L'amant Gabonais, hétéro détourné... (histoire vraie)

- Par l'auteur HDS Squirley -
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Récit libertin : L'amant Gabonais, hétéro détourné... (histoire vraie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amant Gabonais, hétéro détourné... (histoire vraie)
Dans une petite ville de province, je suis un jeune homme coquin, encore dans la vingtaine mais approchant de la trentaine, bisexuel.
J'ai décidé qu'en cette nouvelle année 2024 j'allais explorer mon côté passif et devenir une bonne salope.

Ayant un goût prononcée pour les hommes noirs, je me suis mis, dès janvier, à écumer les sites, applis et chats chauds afin de dénicher un mâle à mon goût.

Ce jour-là, je fais la causette avec un mec black apparemment bien monté sur un chat. Il habite à une heure de route et dit recevoir. Je me rends donc dans la grande ville à une heure d'ici, salivant d'avance sur la route en pensant à photo de sa bite qu'il m'a envoyé...

On se rencontre dans la rue et là, le mec, un jeune au style voyou et plutôt inquiétant, me demande de le payer pour baiser. Je refuse et l'envoie chier.

C'est donc un peu frustré que je m'éloigne de son quartier, plutôt malfamé, pour me promener en ville. Je regarde autour de moi et je vois beaucoup d'hommes noirs dans les rue... Je me dis qu'il y a sûrement moyen de tirer profit de cette escapade...

Je m'asseois dans un fast-food, commande à manger je consulte mon téléphone afin de chasser un beau mâle pas trop loin. Je ne lève les yeux de mon téléphone et de mon repas que pour mater, ici ou là, les mecs noirs qui entrent et sortent dans le resto.

Après avoir terminé mon repas, je tombe enfin sur un mec qui semble répondre à mes critères.
Je l'aborde et il me répond qu'il ne cherche que des femmes.
Je ne me décourage pas et lui envoie tout de même des photos chaudes de moi, certaines de mon corps à poil dans des positions suggestives ou encore de mon visage de pute en chaleur, avec mes cheveux longs décoiffé et la bouche entrouverte.
Je lui écris aussi ce petit message : "je te donnerai énormément de plaisir si tu le souhaites."

Sans attendre, il m'envoie une photo de sa queue et là... Mon corps s'enflamme. Je sens la chaleur envahir tout mon être du cul jusqu'à la tête.
Une bite bien veineuse, grande, épaisse, circoncise avec un gros gland gonflé et rose foncé...

Il m'envoie un message : "tu es où ?"
Je lui demande si il reçoit, il me dit qu'il ne peut pas mais veut venir à moi.
Après lui avoir expliqué que je n'habite pas dans cette ville, il me harcèle et demande si c'est possible dans ma voiture, je lui dis que ce n'est pas mon truc... Mais ne pouvant laisser passer cette verge de rêve, nous concluons ensemble de nous retrouver chez lui pour que je le suce dans la cage d'escalier de son immeuble.
Ce ne serait pas la première fois pour moi d'ailleurs...

Je me retrouve vingt minutes plus tard devant l'immeuble qu'il m'a indiqué par message.
Je suis dans un quartier chaud avec des mecs qui dealent partout et me proposent constamment du shit. Même si je suis plutôt habitué des quartiers chauds et que j'ai exploré des endroits beaucoup plus dangereux à travers le monde, cette situation me provoque tout de même une puissante montée d'adrénaline.
Et si c'était un traquenard ?
Moi petit blanc au milieu de cette cité, venu pour sucer une bite, qu'en penseraient les voyous du quartier si ils m'attrapaient ?

Je vois plusieurs blacks traîner devant et comme je veux être sûr de mon coup, je passe un appel à mon futur amant. Je découvre au téléphone une voix grave, sensuelle, avec un fort accent africain.
Je bande rien qu'à l'écouter parler...

A peine une minute plus tard, je le vois arriver.
Il est jeune, grand, mince avec un visage exquis marqué de lèvres délicieuses et de pommettes et mâchoire bien dessinées. J'ai déjà envie de le croquer.
Il sourit, il est aimable, gentil, quoiqu'un peu timide.
Il m'accompagne à l'intérieur de l'immeuble et nous montons quelques étages au-dessus.
Je peux sentir son odeur forte...

Nous discutons un peu en chemin et faisons plus ample connaissance. Il a 26 ans, il habite chez ses parents avec ses frères et soeurs et malheureusement pour cette raison il ne peut pas m'accueillir chez lui.
Je lui explique que ça risque d'être difficile pour moi de m'ouvrir le cul dans un hall d'immeuble avec le risque d'être surpris, que j'ai besoin d'un minimum de confort, mais que je le sucerai volontiers jusqu'à la jouissance. Il semble apprécier la perspective et me jette un regard de désir. La tension monte entre nous au fil de nos échanges...

Nous arrivons finalement dans une cage d'escalier sombre. Il s'adosse à une porte pour la bloquer et me dit : "vas-y".
Je me mets à genoux et lui baisse son pantalon de jogging et là, je tombe en extase. Il ne bande pas encore mais sa queue est déjà bien grosse. Un peu embarrassé, mon hétéro me demande si il peut mater un porno sur son téléphone en même temps que je lui fais son affaire.
Je n'y vois pas d'inconvénient et je commence à m'affairer.
Il commence à regarder ce qui semble être une vidéo hétéro (de par les cris de femme) sur son portable mais à peine trente secondes après il se détourne totalement de son téléphone qu'il finit par ranger. Finalement il préfère me regarder dans les yeux tandis que je le pompe et a l'air de kiffer ça.
Dès que j'avais commencé à m'occuper de sa queue, et je sais y faire, il avait déjà gonflé et doublé de volume.
J'avais désormais face à moi un mâle à la fois envoûtant et envoûté.
Sous mon charme de petite salope affamée de sa bite noire.

Excité par cette queue, je lui demande si je peux faire des photos de son membre et un petit selfie de moi avec.
Il est soudain très très embarrassé et accepte malgré tout.
Je prend donc à la va-vite quatre photos médiocres car il me demande, timidement, de ranger mon téléphone car ça le dérange un peu. Soucieux de son bien-être, je m'exécute et reprend cette dégustation africaine.

Je me concentre à fond sur sa queue, m'appliquant avec la langue, la prenant en fond de gorge, n'arrivant d'ailleurs pas à la gober entièrement.
Tandis que je le pompe, mes mains parcourent ses cuisses fermes et musclées ainsi que ses abdos à tomber par-terre.
Quel beau mâle !

Au bout de cinq minutes il me dit:
"On va chez toi s'il te plait. J'ai envie de te baiser."
Je sors sa grosse queue de ma petite bouche et lui demande :
"Tu es sûr ? J'habite à une heure de route en voiture."
Il me répond:
"J'ai trop envie de te baiser, on va chez toi. Je rentrerai en train tant pis."

Ravi par sa proposition, je me redresse et nous nous mettons en route !

Lors du trajet, nous avons bien discuté, il me raconta un peu sa vie, me dit qu'il vient du Gabon, qu'il a une copine française de son âge, une blonde. Dans son attitude, il est à la fois doux et prévenant avec moi, tout en dégageant une puissance mystérieuse. Il émane de lui une virilité qui m'émoustille au plus haut point.
Il me dit qu'il me trouve beau et a vraiment envie d'essayer l'homosexualité avec moi.
Tentant d'être concentré sur la route, je sens déjà mon cul s'ouvrir alors que nous discutons.

Nous arrivons chez moi, je monte dans les escaliers en remuant mon cul, je sens son regard sur moi, il me dévore des yeux.

Une fois dans mon appartement, je lui propose de s'asseoir sur le canapé. Je vais chercher des capotes et du lubrifiant tandis qu'il se déshabille et prend place. Je me déshabille à mon tour et je le sens un peu intimidé devant mon corps masculin, en effet, je suis quelqu'un de petit de taille mais tout de même viril.
Pour le détendre, je lui propose de mettre un porno hétéro sur la télé et d'imaginer qu'il baise une femme si il le souhaite. Il sourit timidement et me dit : "Non, ça ira. Tu me plais. Viens me sucer."

Je m'asseois près de lui et plonge sur sa queue, qui, une fois dans ma bouche, gonfle instantanément. Sous mes coups de langue, son excitation monte et je goûte à son liquide pré-séminal.
Il est doux et sucré... ça promet.

Mes mains parcourent son corps. Je sens sa queue veineuse palpiter de plaisir. Je m'attarde un peu sur ses couilles, les lèche et les renifle. Putain ce qu'elles sentent bon. Je suis très réceptif aux phéromones de ce mâle rempli de testostérone.

Soudain, il me demande de me tourner pour voir mon cul.
Je m'exécute, ravi, lui tendant mon cul. J'allais enfin me prendre cette bite noire.
Il admire mon cul cambré et me demande, toujours un peu timide, si je peux lui mettre un préservatif.
Je me retourne à nouveau pour lui enfiler, il bande vraiment très dur...
Ensuite je reprend place et me lubrifie.

Je sens mon cul bailler de désir, comme si c'était une chatte désireuse d'être fécondée.
C'est incroyable comme le corps masculin peut réagir de façon si féminine face à un vrai mâle.

Etonnamment, je suis tellement ouvert de désir qu'il rentre en moi facilement. C'est un peu douloureux au début mais le plaisir prend place. Il commence ses va-et-vient avec douceur et puissance à la fois.

Sa grosse queue masse ma prostate et au bout de cinq petites minutes (je suppose) je commence déjà à avoir un orgasme anal.

Je gémis de plaisir.
"Oh oui! Putain... C'est trop bon!"
J'essaie de ne pas hurler pour ne pas faire savoir à mon voisinage que je suis une salope qui aime se faire baiser par une grosse bite black. Mais c'est trop bon et je suis secoué de spasmes orgasmiques à chacun de ses assauts qui se font de plus en plus puissants.

A un moment, je redresse mon buste pour sentir son torse musclé contre le miens. Il caresse mes hanches, les saisissant parfois pour me saillir vigoureusement.

Quelques temps plus tard à me baiser ainsi, je commence à être un désorienté et me dit qu'il est temps de changer de position.
Je me retourne et me met sur le dos, écartant mes jambes pour qu'il me baise en missionnaire comme une femme.
Mon étalon est un peu perdu, il ne sait pas trop par où commencer. Je lui demande de s'allonger sur moi pour me pénétrer dans cette position. Il me regarde, hébété, et jette un oeil sur mon torse poilu et avant de me dire, gêné, qu'il pense qu'il n'aimera pas cette position.
Je comprend qu'il me trouve trop masculin à son goût pour me baiser en missionnaire comme si j'étais sa femme.

Alors, pris d'un instinct bestial, je le pousse en arrière avec mes pieds.
Surpris, il tombe à la renverse, se retrouve penché, dos contre l'accoudoir du canapé. Excité à mort, je l'immobilise en étreignant son torse entre mes jambes et viens m'empaler ainsi sur sa queue.
Je ne sais comment décrire cette position, inédite pour moi, comme inspirée par un feu de désir.
Je suis sur le dos, lui aussi, têtes opposées, et je viens m'empaler sur sa queue en faisant des va et viens sportif de haut en bas avec mon cul qui, ainsi pénétré avec puissance, semble donner à mon mâle, d'abord décontenancé par la situation, un plaisir fou.

Je me masse ainsi la prostate sur sa bite jouissive. Comme une bonne salope avide de sa queue, je me montre actif dans ma passivité.

Il me regarde tandis que je fais ces mouvements acrobatiques et s'exclame de sa voix grave :
"Oh là là c'est bon !"
Je sens ses mains saisir mon bassin et il se met à m'aider à accélérer le rythme.

Au bout d'un moment je fatigue et me remet en levrette, ce que mon étalon semble adorer car sans attendre il se jette sur moi et recommence à me pilonner comme au début.

Il semble infatigable, il me donne des orgasmes intenses et ça dure je ne sais combien de temps, peut-être une demie-heure. Je ne sais pas. Mais j'étais tellement dilatée qu'il s'amusait parfois à sortir sa queue de mon cul pour la rerentrer comme dans du beurre.
Par moment je l'entend gémir de plaisir, des râles roques, et je sens son souffle chaud sur mon dos et ma nuque, ce qui me fait frissonner.

Il m'a défoncé ainsi, comme une bonne chienne cambrée sur l'accoudoir du canapé, jusqu'à ce qu'il me demande de le sucer. Il a envie de ma bouche, il me dit qu'il adore ma bouche.

Cette fois-ci, je suis comme ivre de plaisir, cette baise m'a littéralement transformé.
Je me met au sol, à quatre patte, tandis qu'il est à genoux sur le bord du canapé pour me présenter son énorme queue noire.

J'adore le sucer... Il sent si bon. Je m'extasie à nouveau avec son odeur qui m'envoûte.
Cette fois-ci, je suis tellement détendu que j'arrive à avaler l'entièreté de sa queue, je dis bien l'entièreté ! Sa grosse bite glisse jusqu'au fond de ma gorge dilatée de plaisir.

Au départ plutôt passif, mon étalon se met soudainement à me baiser la gorge. Parfois j'étouffe et je recule pour reprendre ma respiration mais il m'attire la tête à lui à nouveau. Il me dit :
"ça va bientôt venir."

Je meurs d'envie de boire goûter et boire son sperme.
Je bandais et commence à me branler tandis que nous baisons par ma bouche.
Je sens mon orgasme monter alors que je suce.
Je commence à être fatigué et reprend plus fréquemment ma respiration. Ce mâle est terriblement endurant. Beaucoup plus sûr de lui, il m'ordonne de continuer.

Je cambre un peu plus mon cul pour qu'il profite de la vue et soudain, sa respiration se fait haletante. Il décharge, un jus épais, sucré et délicieux, dans ma bouche et ma gorge. Je n'en perd pas une goutte et j'avale soigneusement tandis qu'au même moment ma queue se met à émettre une abondance de liquide.
Un orgasme immense me foudroie, nous jouissons littéralement en même temps, sauf que mon orgasme est vraiment particulier. Très femelle.
Lorsque je reprend mes esprits, je regarde au sol, en dessous de ma queue, et je constate qu'une énorme flaque de liquide prostatique a coulé de ma queue alors que nous jouissions ensemble.

Je n'avais jamais vu une telle quantité et mon étalon semblait fasciné par cette flaque blanchâtre.

J'étais comme sur un nuage. Mon mâle s'affale sur le canapé et je le rejoins.
Chacun de notre côté, nous reprenons nos esprits.

L'heure suivante, je l'ai amené à la gare et sur le trajet il m'a fait un compliment que je ne suis pas prêt d'oublier:
"J'ai aimé comment tu m'as sucé. Je n'avais jamais connu de telles sensations lorsqu'on me suçait. Tu fais des trucs incroyables qu'une femme ne m'a jamais fait. D'ailleurs aucune femme n'a jamais réussi à avaler entièrement toute ma bite. J'ai adoré venir dans ta bouche."

Satisfaire un mâle noir en rut est pour moi un plaisir exquis et j'espère bien en trouver d'autres... Et qui sait, me trouver un mâle rien qu'à moi, que je devienne sa petite soumise attitrée, pour son bon plaisir...

Les avis des lecteurs

Belle histoire et bon début. Les rencontres sont faites d'imprévus parfois



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