L'AMOUR AU BUREAU
Récit érotique écrit par Nanou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'AMOUR AU BUREAU
<p>Régulièrement, mon chéri me dit qu'il aimerait bien que je fasse l'amour avec un autre homme, en dehors de sa présence. Il est vrai que lors de nos rapports amoureux, il m'arrive de lui répondre oui.
Un jour, je lui dis qu'un de mes collègues de travail me fait la cour, il répond :
- Tu vois bien que tu es désirable, tu crois toujours que je te dis ça pour te faire plaisir. Et il est comment cet homme ?
- Pas mal, un peu plus jeune que moi, célibataire. Et tu t'en fiches que je me fasse draguer ?
- Non, au contraire, cela me fait plaisir, il sera peut-être tenté par une partie à trois.
- Tu ne perds pas le Nord toi, mais si je me laisse faire, je suis sûre que tu seras bien embêté.
- Pas du tout, si tu me racontes tout.
- Allez, tu fais le fanfaron !
- Pas du tout, je pense ce que je dis.
- Bon, puisque c'est comme ça, je te préviens, je vais aller jusqu'au bout et si je peux avoir deux hommes, tu n'en feras pas partie.
Pour le coup, c'est plutôt moi qui fait "le fanfaron", j'ai prononcé ces mots, un peu énervée, un peu excitée. Je me demande s'il se moque de ce que je fais ou si, au contraire, il est vraiment prêt à ce genre de situation. Régulièrement, je me demande si, moi, je suis prête à franchir le pas. Bien que nous ayons une vie plutôt libre, nous n'avons jamais eu de relation extraconjugale en dehors de la présence de l'autre.
Quelque temps après, d'un air taquin il me demande :
- Alors tu en es où avec ton dragueur ?
- Ça avance, ça avance !
En fait, la seule chose que j'ai faite, c'est de choisir des vêtements plus attrayants, j'ai banni les pantalons informes, les pulls larges, tout ce qui masque ma silhouette. Et j'ai eu le droit à encore plus de compliments de la part de mon collègue.
Suite à la question de mon mari, je décide d'aller plus loin, il l'aura voulu. J'avoue qu'au fond de moi, je suis un peu partagée, mais le fait d'être courtisée est plutôt agréable et flatteur. Surtout par un homme bien de sa personne.
L’évènement qui va tout accélérer est le repas qui est organisé chaque année par le service où je travaille. Souvent, après le repas, quelques-uns vont en boite. Je n’y vais pas à chaque fois, mais je me suis toujours amusée dans ces soirées.
Le lendemain, je mets une robe que je n'ai portée qu'en présence de mon époux. Elle est assez courte, environ 10 cm au-dessus du genou, le haut est bien décolleté. Quand je vais prendre un café, le collègue qui me fait « la cour » (Christophe) me rejoint. Il me dit :
- Si tu viens au repas habillée comme cela, tu vas avoir beaucoup de cavaliers en puissance, enfin dans le cas où tu prolongerais le repas par la soirée et si ton mari n’est pas là.
- Je ne sais pas si je viendrai danser, en tout cas mon époux ne sera pas disponible.
- Je serai fier d’être ton chevalier servant, avec une tenue pareille, je vais faire des jaloux.
- Tu sais, ce n’est pas une robe de sortie, j’en ai d’autres un peu plus sexy.
J'ai dit cela par réflexe, sans vraiment penser à ce que je disais. Du coup, Christophe répond :
- Tu serais chiche de venir avec ?
- Et pourquoi pas ?
- Ça va jaser, et ton mari sera peut-être jaloux !
- Bernard, pas du tout ! Et j'ai le droit de m'habiller comme je veux, c'est ma vie privée.
- Alors j'attends avec impatience cette soirée, tu me promets d'être ma cavalière.
- D'accord, mais je ne danserai pas qu'avec toi, parce que là, les ragots vont aller bon train.
Notre conversation s'arrête là, il faut bien aller justifier nos salaires.
Le jour fatidique est arrivé, après le boulot, je rentre à la maison pour me préparer. Mon époux n'est pas encore rentré. Je prends un bon bain pour me relaxer. Je me rince, me mets de la crème sur tout le corps. Je m'aperçois que mes aisselles ne sont pas parfaitement lisses, donc opération épilation. Je regarde mon minou, pour voir s'il faut parfaire la coupe. J'aime bien quand les bords sont bien nets et la longueur régulière, et vu la culotte que je veux mettre, il faut que je retouche un peu. Je taille la longueur avec une tondeuse étudiée pour. Je commence à faire les bords et là, je ne sais pas ce que je fais, je rate mon coup et je coupe plus que je ne le veux. J'essaie de rattraper en taillant de l'autre côté, mais je n'arrive pas à faire quelque chose de symétrique. Eh puis zut ! J'enlève tout. Comme je prends de la crème épilatoire pour les aisselles, je l'utilise aussi pour finir l'épilation de mon pubis.
C'est mon homme qui va être content, il adore quand je suis totalement épilée. Peut-être qu'il sera un peu jaloux que je me sois fait cela pour une soirée entre copains de boulot, tant pis pour lui, il m'a assez provoquée. Une fois l'opération terminée, je remets de la crème et j'apprécie la douceur de ma peau totalement lisse. Je me regarde dans le miroir, je suis plus nue que nue, comme dit mon cher et tendre, je me caresse doucement, l’excitation est en train de me gagner, je me titille le clito, puis un de mes doigts part à la conquête de mon antre d’amour, je le trouve déjà tout humide d’excitation. Je ne sais pas ce qui me prend, quand je pense que ce soir je vais peut-être « tromper » mon chéri et cela me mets dans tous mes états. En fait, je trouve un plaisir certain à penser à cette soirée, puisque mon homme m’encourage, j’aurai tort de ne pas en profiter, je ne suis pas une oie blanche. Je continue à me mettre de la crème.
J’ai une idée pour entretenir mon envie : Bernard m’a acheté des boules de geishas, je vais les utiliser ce soir. Je me dirige vers le dressing, elles sont dans le tiroir de mes sous-vêtements, dans un joli étui nacré. Je les enduis d’un peu de gel de lubrification et je les introduis délicatement dans mon corps.
Ensuite, je vais choisir mes habits. Une petite robe noire, mi-cuisse, sans manche, moulante, dont le bas épouse bien la taille, les hanches, le haut des cuisses et s'évase ensuite. Les sous-vêtements : un soutien-gorge en dentelle, pigeonnant pour donner du volume à ma poitrine, un string avec le devant en tulle qui ne laisse aucun doute sur le fait que je suis totalement épilée.
Je mets mon soutien-gorge, puis mon string, le haut de ma fente est parfaitement visible à travers le tulle. J'essaie un porte-jarretelles, mais je suis pratiquement sûre que les coutures vont faire épaisseur sous ma robe. Je la mets et effectivement, le tissu est trop fin, un œil observateur verra obligatoirement les marques que laisse le porte-jarretelles. Des yeux observateurs, il y en aura, mes collègues mâles en premiers. Je veux bien être sexy, mais pas de manière aussi ostensible. Je me contente de mettre des bas Dim-up, c'est toujours mieux que des collants.
Je suis prête à partir avant que mari ne revienne du travail. Il m'avait prévenue que sa réunion durerait longtemps. Je mets un gilet pour protéger mes épaules de la fraîcheur de la nuit et je me rends au restaurant où une salle a été réservée pour nous.
Christophe m'attend dans l'entrée :
- Je t'ai attendu, je voulais absolument être assis à tes côtés. Félicitations pour ta tenue, tu es vraiment charmante. Je ne m'attendais pas à une tenue aussi attirante.
- C'est de ta faute, tu m'as un peu obligé avec tes compliments permanents, il fallait bien que je sois à la hauteur.
- Tu vas attirer les regards de tous les hommes du service et les foudres des femmes.
- Tu exagères un peu.
Dès que j'ai accroché mon gilet au portemanteaux, je dois bien me rendre à l'évidence : quasiment tous les regards sont dirigés vers moi. Je m'assieds le plus vite possible.
Le repas se déroule normalement. A chaque fois que je croise les jambes, je sens les boules de geishas qui bougent dans mon vagin et entretiennent mon excitation intime.
Nous parlons de tout et de rien, certains racontent les inévitables histoires drôles ou pas drôles. A la fin du repas une partie des convives rentrent chez eux, les autres vont finir la soirée en boîte.
Trois de mes collègues viennent avec leurs conjoints, il y a en plus Virginie, ma collègue de bureau, Thierry, un informaticien d’une société de sous-traitance qui passe les trois-quarts du temps chez nous et, bien sur, Christophe et moi. Deux couples se sont arrangés pour venir ensemble. Thierry emmène Virginie, visiblement, il la drague, normal, ils sont célibataires tous les deux. J’emmène Christophe qui n’a pas pris sa voiture, il habite à côté du restaurant.
La boîte de nuit est sympa, il y a 2 salles, une plutôt techno et musique moderne l’autre avec une piste de danse spéciale rock. Nous sommes tous d’accord pour aller dans la salle rock, plus conviviale, il y a plus de places assises et ils passent régulièrement des slows, pour reposer les danseurs ou pour faciliter le travail des dragueurs.
Je pose mon gilet au vestiaire et m’éclipse discrètement aux toilettes : il faut que je retire mes boules de geishas, je ne sais pas si elles vont tenir avec le rythme des danses. Quand je les enlève, elles sont toutes moites, je les nettoie et les essuie avec un mouchoir en papier et les remets dans leur étui. Je vais m’asseoir avec mes collègues.
Dès la première série de rock, Christophe m’invite. C’est un bon danseur, malgré cela, il me faut quelques minutes pour m’habituer à ses enchaînements de passes. Nous faisons quelques danses et nous retournons nous asseoir pour nous désaltérer. J’alterne les danses avec mes collègues sans privilégier particulièrement Christophe. Après un instant de détente autour de notre table, le seul avec qui je n’ai pas encore dansé m’invite à une série de rock. J’ai remarqué qu’il est certainement le meilleur danseur présent, ses mouvements sont quasi parfaits. En plus nous tombons sur des rocks rapides (crocodile rock, rock around the clock.)
Je sens bien que ma robe virevolte autour de moi, mais je ne sais pas à quel point. J’en prends conscience, quand Christophe m’invite à danser un slow et qu’il me dit :
- J’ai quelque chose d’un peu indiscret à te demander
- Vas-y n’hésite pas.
- Quand tu dansais tout à l’heure je t’ai bien observé, si j’ai bien vu, tu portes des bas !
- Tu as de bons yeux, oui j’ai des bas, des Dim-up, c’est plus sexy que des collants.
- Encore plus indiscret, je peux ?
- Pourquoi pas, vu ta première question, je suis intéressée.
- Comme ta robe remontait haut, lors de certains mouvements, j’ai vu une partie de ton postérieur au dessus de la limite des bas. Presque comme si tu n’avais pas de culotte.
- Quel est ton sentiment, j’en ai une ou je n’en ai pas ? Et est-ce que cela te gênerait, d’ailleurs ?
- Non, je ne serais pas gêné, au contraire. Si je te pose la question, c’est que je ne sais pas.
Du fait que le DJ a baissé les lumières de la piste, ce que je fais est très discret : je prends une de ses mains et la dirige sur mes hanches, à la hauteur de la ceinture du string. Je sens bien qu’il est excité. J’ai envie de lui faire plaisir, il est tellement chou.
- J’ai un string, il est très discret, n’est-ce pas ?
- Ah oui ! Il doit être vraiment mini pour laisser planer le doute de cette manière.
- Il est très petit, tu crois que les autres ont vu quelque chose ?
- Je ne pense pas, j’étais le seul à te regarder en permanence.
- Viens, dirigeons-nous vers le vestiaire.
- Pourquoi ?
- Tu verras.
Arrivés de l’autre côté de la piste, en dehors du regard de nos collègues, je laisse Christophe non sans lui avoir dit d’attendre que je revienne. Je vais dans les toilettes, situées à côté des vestiaires. Je me glisse rapidement dans une cabine. Je relève ma robe et fais descendre mon string le long de mes jambes, je l’enlève et le mets au creux de ma main. Je me dépêche de rejoindre mon cavalier avant la fin de la danse. Arrivée à ses côtés, je glisse ma culotte dans la poche de son pantalon.
- Eh ! Qu’est ce que tu as mis dans ma poche.
- Surprise, tu n’as pas le droit de regarder, tu dois deviner.
Je l’empêche de mettre la main dans sa poche en la posant sur ma taille et je l’entraîne vers la piste.
- Au fait, pourquoi tu m’observes comme ça ?
- Tu le sais bien !
- Mais, je suis mariée.
- Je sais bien, mais j’ai toujours espoir que tu me feras une faveur.
- C’est quoi une faveur pour toi ?
- J’ai cru comprendre que, ton mari et toi, vous êtes assez ouverts d’esprit et plutôt libres.
- C’est vrai, mais il faut des conditions particulières. Et puis tu n’as pas trouvé ce qu’il y a dans ta poche.
- Franchement, je ne vois pas.
- Eh bien, tu n’es pas perspicace. Attends, je vais t’aider. Rapprochons nous de notre table. Où ils vont se demander ce que nous faisons, de la discrétion que diable !
Je prends sa main et, une nouvelle fois, la dirige vers là où devrait se trouver la ceinture de mon string. Je vois son regard chercher le mien. Je lui fais un grand sourire, j’appuie mon ventre sur le sien, je sens, à travers nos vêtements, sa virilité qui prend de l’ampleur. Avant qu’il ait repris ses esprits, la danse se termine et je me dirige vers nos collègues.
A notre table, il ne reste que Thierry et Virginie. J'attends que Christophe revienne s'asseoir, pour choisir une place face à lui. Je veux lui faire profiter d'une vue sur mon entrecuisse, ce qui n'est pas difficile vu la configuration des lieux : tables basses, fauteuils profonds. Je lui fais un grand sourire et écarte imperceptiblement les jambes en tendant la main pour prendre mon verre. Quand je m'adosse au fauteuil, je laisse jes jambes dans la même position. Je vois son regard qui se dirige vers mes cuisses. Comme lors de chaque série de slow, la luminosité n'est pas très élevée, il ne doit pas voir grand chose. À son tour, il s'avance pour prendre son verre et il reste penché en avant, certainement dans l'espoir d'avoir un meilleur point de vue.
Nos collègues reviennent se désaltérer. Deux couples ont décidé de s'en aller. Ils nous disent au revoir et quittent le dancing.
Thierry m'invite à danser, il est moins bon danseur que mon précédent collègue et je n'ai pas à craindre de dévoiler mes charmes à tous.
Quand nous retournons nous asseoir, Christophe est toujours au même endroit, il discute avec Virginie. Le DJ a remonté l'intensité lumineuse, chic, je vais pouvoir recommencer le spectacle. Je suis peut-être un peu folle de tenter mon collègue de cette manière éhontée, mais je prends plaisir à le faire. Depuis tout à l'heure, où j'ai senti sa tige de chair se gonfler contre moi, je suis convaincue de mon charme et je n'ai pas envie de m'arrêter en si bon chemin. En fait, je me sens un peu cochonne, mon mari m'a mis au défi, il ne se doutait peut-être pas que j'étais capable d'aller au si loin.
Je reprends le siège en face de Christophe et, cette fois-ci, je m'adosse directement au fond du fauteuil et je me laisse glisser vers l'avant. De cette manière, ma robe remonte encore plus haut, j'écarte un peu les cuisses. Bingo, cette fois-ci, il a tout vu. Je m'imagine ses pensées : elle a enlevé son string, me l'a donné, maintenant, elle me dévoile son intimité parfaitement épilée, où va-t-elle s'arrêter ?
Ce dont je ne me suis pas aperçue, perdue dans mes réflexions, c'est que Thierry est venu s'asseoir à côté de Christophe et que, lui aussi, regarde dans la même direction. Vu où il est, il ne doit pas tout voir, par contre, il doit voir que je porte des bas.
Le dernier couple revient, Christophe propose de finir la soirée chez lui, il a mis une bouteille de champagne au frais. Le couple restant est d'accord. Virginie n'a pas l'air spécialement enthousiaste, mais elle dit oui quand même, Thierry est OK, moi aussi. Nous quittons la boîte. Comme à l'aller, je repars avec Christophe. Les autres nous suivent. Dès que je démarre, Christophe se tourne vers moi, il pose sa main sur ma cuisse, largement découverte.
- Si j'avais su, je n'aurais pas invité tout ce monde chez moi
- Si tu avais su quoi ?
- Ben ! Que tu étais dans de bonnes dispositions vis-à-vis de moi
- Qu'est ce qui te fait dire ça ?
Imperceptiblement, sa main remonte le long de ma cuisse et atteint la lisière de mes bas. Je ne fais rien pour l'en dissuader.
- Je ne sais pas, en premier tu m'avoues que tu as des bas, car c'est plus sexy, en deuxième, tu vas enlever ton string et tu danses avec moi nue sous ta robe en me le faisant deviner, en troisième, tu m'exposes tes charmes, je devrais dire, tu m'exhibes tes charmes, car j'ai bien vu ton minou tout nu, sans poil. Alors que veux-tu, je peux y croire, non ?
- Au fait, en parlant de ça, je pense que Thierry a profité d'une partie du spectacle, tu n'es pas jaloux, j'espère.
- Jaloux ? Pourquoi ? Tu es mariée, je serais mal venu d'être jaloux.
Sa main a atteint mon bas-ventre, un de ses doigts caresse le haut de ma fente.
- J'ai tellement envie de toi, même si je sais que c'est pour une soirée, je serai le plus heureux des hommes.
- Tu sais, j'ai souvent pensé à cette soirée, depuis que tu as proposé d'être mon cavalier. J'ai fait tout ça pour toi, je me suis épilée, j'ai choisi des vêtements sexy, j'ai planifié mon déshabillage. Si tu n'avais rien découvert lorsque je dansais, je me serais débrouillée pour que tu voies avant que j'enlève ma culotte. Je peux même te dire que pendant le repas j'avais des boules de geisha, pour entretenir mon excitation.
- Alors, tu as tout prémédité !
- Bien sur, mais je ne veux pas te donner de faux espoirs.
Son doigt essaie de s'insinuer entre mes lèvres, mais ma place de conductrice n'est pas très adaptée. Et puis nous arrivons devant chez lui. Il habite une maison, héritée de ses parents, quasiment en centre ville, il ouvre le portail avec une télécommande, j'entre la voiture dans la cour jusqu'au garage. Thierry gare la sienne derrière, le couple reste dans la rue.
Christophe ouvre la maison et nous guide vers le salon. Encore une fois, j'attends que chacun soit assis pour m'installer mais cette fois-ci c'est pour être discrète vis-à-vis des autres convives, ce n'est pas la peine que tous sachent que je suis dans une tenue plus que légère. Je me retrouve aux côtés du couple, Virginie et Thierry sont sur des fauteuils de l'autre côté, en face un canapé 2 places où, évidemment, Christophe prend place.
- Alors, Champagne pour tout le monde ?
- Non, je préfère un jus de fruit, dit Virginie, j’ai un peu mal à la tête.
Ce n’est pas son jour à Virginie. Christophe se lève pour aller chercher les verres et les boissons. Je me lève aussi :
- Attends, je viens t'aider, tu ne vas pas y arriver tout seul, dis moi où sont les verres.
- Dans le meuble de la salle à manger, il y a des flûtes et des verres à jus de fruits.
Je vais chercher les verres, les pose sur la table de salon et rejoins Christophe dans la cuisine. Il est en train de mettre des glaçons dans le seau à champagne.
- Laisses moi faire, sors les bouteilles, lui dis-je.
Pendant que je démoule les glaçons, j'entends le frigo qui s'ouvre et se referme, puis je sens une main dans mon dos, elle descend plus bas, frôle ma hanche, passe sur mes fesses, prolonge sa descente jusqu'au bas de ma robe. Puis elle remonte lentement entre mes cuisses, caresse la chair nue au-dessus des bas, continue son ascension et atteint enfin le Graal. Le contact de cette main sur la partie la plus intime de mon corps me fait frémir de plaisir. Un doigt s'insinue entre mes nymphes et remonte vers mon clito. J'écarte les pieds pour faciliter cette délicieuse intrusion. Je sens un autre doigt qui cherche à entrer dans mon sexe. Essai couronné de succès, car je suis toute mouillée, j'en tremble d'excitation. Je pose le bac à glaçons et je m'appuie des deux mains sur le meuble. Pour un peu je jouirai comme ça, debout, juste avec deux doigts à quelques mètres de certains de mes collègues.
Nous nous reprenons, il ne faut pas trop rester longtemps, cela paraîtrait louche. Christophe mets la bouteille dans le seau et me donne le jus de fruits. Je le suis dans le salon, les jambes un peu flageolantes.
Pendant que Christophe sert ses invités, je me rassieds à côté du couple et pour entretenir l’envie, je me mets dans une position où, à nouveau, j’exhibe mes charmes à Christophe. Je me sens toute humide et ça me plait.
J'aperçois le regard de Thierry sur mes cuisses, il doit bien se rendre compte que dans la position où je suis, je laisse Christophe découvrir mes dessous. Je suis sure qu'il aimerait bien en faire autant.
La discussion tourne assez vite court, car chacun est un peu fatigué de cette soirée assez tonique. Aussi, quand Virginie dit qu’elle aimerait bien rentrer, nos collègues sautent sur l’occasion. Tout le monde se lève et se dirige vers l’entrée, je fais de même. Quand je passe vers lui, Christophe me retient et me dit discrètement :
- Tu restes ?
- Je vais faire semblant de partir. C’est plus discret.
Le couple sort en premier, suivi par Virginie et Thierry, puis moi. Christophe, toujours derrière moi en profite pour me peloter les fesses, il passe même une main entre mes cuisses sous ma robe.
Après les embrassades habituelles et les souhaits de bonne nuit, chacun retourne vers sa voiture, le couple part en premier, Thierry qui ramène Virginie ensuite. Je démarre ma voiture, recule dans l’allée et dès que je vois les feux des autres véhicules disparaître, je rentre à nouveau dans la cour.
Christophe m’ouvre la porte et m’entraîne vers l’entrée de son domicile. La porte à peine refermée, il me prend dans ses bras et descend la fermeture de ma robe. Je baisse les bras, il repousse les bretelles et accompagne la descente de mon vêtement qui finit par tomber à terre. Il passe à nouveau ses bras derrière mon dos et dégrafe mon soutien-gorge en dentelles. Il m'aide à l'enlever complètement, ensuite, il descend en m'embrassant la poitrine, le ventre, passe autour de mon sexe et continue sur mes cuisses. Il me lève un pied, pour enlever ma chaussure, fait de même sur l'autre.
Me voilà nue, puisque mon string est dans sa poche (enfin presque, il me reste mes bas) dans l'entrée de la maison de mon collègue. Le pire ou le mieux, c'est que cette situation m'excite. Christophe prend ma main et m'entraîne dans le salon, il m'allonge sur le canapé, je suis à sa merci. Il me caresse les seins, dont les pointes s'érigent instantanément. Puis une main se dirige vers mon sexe, elle caresse mon pubis glabre et s'insinue entre mes cuisses que j'écarte complaisamment. Un doigt vient titiller mon clito, je sens mon plaisir arriver. Toute une soirée à entretenir mon excitation et une petite caresse m'entraîne au septième ciel. En plus, maintenant il colle sa bouche sur ma fente, j'écarte encore plus les cuisses, puis je pose un pied à terre et l'autre sur le dossier. Il introduit sa langue entre mes lèvres intimes tout en continuant à caresser mon bouton. Je jouis. J'ai envie de son sexe, je le repousse gentiment, m'assied sur le canapé et déboutonne sa chemise ; pendant ce temps, il déboutonne son pantalon. Je lui enlève sa chemise, il descend pantalon et slip, je vois enfin sa tige de chair bien dressée devant mes yeux. Je me baisse pour la mettre dans ma bouche, je lui fais des caresses avec ma langue, des va-et-vient avec ma main.
- Non, pas comme ça, j'ai trop envie de toi, je veux pénétrer ton corps, attends s'il te plait, je vais chercher des préservatifs.
Il se relève, en profite pour enlever totalement ses vêtements, il revient quelques secondes plus tard avec une boîte de capotes. Il la vide sur la table du salon, prend un étui et l'ouvre, il l'enfile avec dextérité sur son membre turgescent. Il m'allonge à nouveau sur le canapé, pointe une nouvelle fois sa langue dans mon sexe humide, pendant que ses mains caressent mes seins dressés d'excitation. Il s'allonge sur moi, je sens son sexe se présenter à l'entrée du mien, il me pénètre par petits coups. Quand mes lèvres sont complètement ouvertes sur son pénis, il s'enfonce d'un seul coup. Je sens son pubis contre le mien, je profite de cette intromission que j'attends depuis quelques heures. Christophe entame des allers et retours dans mon sexe. Je ne sais pas si cela dure longtemps, mon envie est tellement forte que je jouis très vite. Il continue ses mouvements en moi, mes orgasmes se suivent jusqu'à ce qu'il arrête, terrassé lui-même par la jouissance. Il ne reste que quelques instants sur moi, certainement pour ne pas me faire supporter le poids de son corps. Je sens son sexe qui quitte le mien avec un petit sentiment de vide.
Il s'assied à mes pieds et me caresse les seins :
- J'attendais ce moment depuis longtemps, je ne suis pas déçu, ce soir, je suis le plus heureux des hommes.
- Attends, ce n'est pas fini, on a le temps.
- J'espère bien.
Il continue ses caresses sur ma poitrine, une main se dirige sur mon ventre, approche de mon pubis.
- J'adore ta petite chatte toute nue, c'est d'un érotisme torride. En plus, je sais que tu l'as épilée pour moi, c'est encore mieux.
- Je ne suis pas sure que Thierry ait vu grand chose, par contre, je suis certaine qu'il savait que, toi, tu avais une vue imprenable.
- Je peux te dire que cela lui aurait plu.
- Ah bon ! Qu'est ce qui te fait dire ça
- Tu sais en célibataires, nous avons discuté de nos goûts en matière de femme et à lui aussi tu plais énormément.
- Vous avez des discussions de machos
- Non, c'est que tu es attirante, c'est plutôt un compliment.
- C'est vrai, je peux le prendre comme ça, c'est plus positif. De plus, plaire à 2 hommes, c'est bien.
- Ah ah ! Ne serais-tu pas un peu coquine ou insatiable ?
Il continue à descendre sa main sur mon minou. Il introduit un doigt dans ma grotte d'amour. De mon côté, de penser à deux hommes me donne envie, je tends une main vers son pénis qui durcit à nouveau. Je lui dis de s'allonger sur le tapis, je me mets tête-bêche sur lui. Je prends son membre dans la main pour continuer à lui redonner la vigueur nécessaire.
De son côté, il alterne ses caresses linguales sur mon clito et me lèvres. Au moment où je me lève pour récupérer une capote sur la table, la sonnette retentit.
- Qui peut sonner à cette heure ?
- Va voir !
- Je vais récupérer un peignoir dans la salle de bain. Je reviens vite.
Je me rassieds sur le canapé, il se lève et se dirige vers l'entrée, sabre au clair. Quelques instants après je l'entends ouvrir la porte :
- Tiens, Thierry, qu'est ce qui t'arrive ?
- J'ai perdu les clés de mon appart, je suis sûr que je les avais chez toi.
- Et tu penses les avoir perdues où ?
- Vers le fauteuil où j'étais assis, tu n'es pas tout seul, apparemment.
- Euh non !
Sa question est inutile, il a certainement vu ma voiture. En plus, si Christophe a ouvert la porte, il doit voir mes vêtements qui sont restés au sol dans l'entrée.
A posteriori, je me demande s'il ne l'a pas fait exprès, car vu où il a retrouvé ses clés, il fallait vraiment le faire.
Sur le moment, je ne pense pas à ça et je me dis que c'est une occasion. Je dis à Christophe :
- Laisse le entrer ! Il sait bien que je suis là
- Tu peux aller dans ma chambre, c'est la porte du fond.
- Ce n'est pas la peine.
- OK, c'est comme tu veux.
Je vois arriver Christophe en premier, vêtu d'un peignoir, visiblement toujours en forme, suivi par Thierry. Je reste assise, évidemment, ma position laisse découvrir mon corps. Thierry ne se gêne pas pour me regarder, c'est normal, si j'avais voulu me cacher, je serais allée dans la chambre de Christophe. En fait, Christophe a l'air plus gêné que moi.
Ils cherchent tous les deux les clés, que Thierry retrouve rapidement, coincées entre le coussin et le bras du fauteuil où il était assis.
- Ah ! super, on va fêter ça
Dès que j'ai prononcé ces mots, je me lève pour aller chercher à boire. Je vois le regard médusé de mes collègues se diriger sur moi. Sans prêter attention, je vais à la cuisine et je reviens avec une autre bouteille de champagne. Ils ne se sont même pas assis, leurs regards vont de ma tête à ma poitrine puis se dirigent vers mes cuisses et mon minou tout dévoilé. Cette situation me rend euphorique, je sens ma grotte d’amour qui s’humidifie de plaisir.
- Asseyez-vous les gars, la vie est belle. Celui qui ouvre la bouteille, je lui fais une surprise.
- Donne là moi, réponds Thierry
Je lui tends, il commence à l'ouvrir. Christophe s'est assis sur le canapé. Je prends nos verres et les mets devant Thierry qui les remplit. Puis je fais le tour de la table, bois une gorgée de champagne et m'approche de Thierry. Je déboutonne sa chemise puis descends vers sa ceinture, je la dégrafe ainsi que son pantalon. Ensuite, je baisse son pantalon et son slip ; son sexe commence à durcir. Je le pousse doucement vers l’arrière pour qu’il prenne place sur le canapé. Je me déplace vers Christophe, j’ouvre son peignoir qui laisse apparaître un chibre bien dur. Je me baisse vers cette colonne de chair qui n’attend que les caresses, ma main la flatte, mais c’est avec ma bouche que je continue. Je sens bien que Christophe est troublé et si je continue je crois qu’il va atteindre le point de non-retour. Je me tourne vers la table pour saisir un préservatif, je lui enfile sur le sexe, puis je lui tourne le dos. D’une main, je tiens son pénis pour le diriger dans mon intimité qui n’attend que ça. Je m’empale doucement, jusqu’à m’asseoir sur lui. Je me tourne vers Thierry, cette fois ci, il bande parfaitement. Il se caresse.
- Viens devant moi !
Il se lève, se place devant moi. Son chibre bien dur est à la hauteur de ma bouche, comme pour Christophe, je le caresse de mes mains avant de débuter une fellation d’enfer. En fait, j’adore avoir deux sexes pour moi. Je me sens remplie, c’est un bien-être immense qui me m’assaille. Donner du plaisir à deux hommes, prendre du plaisir avec deux hommes, c’est incomparable.
Je continue ma caresse buccale sur Thierry, mais j’ai aussi envie de mouvement. Aussi, je les délaisse quelques secondes. Je me mets à quatre pattes sur l’épais tapis du salon et je dis à Christophe de s’installer derrière moi et à Thierry de venir devant moi. Ils s’exécutent et je reprends ma fellation. Christophe s’enfonce dans mon sexe et ses va-et-vient font monter mon excitation. Il n’y a pas que la mienne qui monte, mes caresses manuelles et buccales sur Thierry font leur effet, je sens son chibre qui se contracte, j’accélère mes caresses manuelles, j’enlève ma bouche pour voir son sperme sortir avec force de son corps. Cette vision déclenche le début de mon orgasme, Christophe continue ses mouvements en moi, puis je le sens se coller contre moi et s’immobiliser au fond de mon corps, je jouis à nouveau.
Nous nous séparons et nous asseyons sur le canapé. Thierry est le premier à parler :
- Tu parles d’une soirée, je n’aurais jamais pensé que cela se finirait de cette manière.
- Moi non plus. Réponds Christophe.
- Et bien on pourrait boire un peu, j’ai soif
Christophe me tend mon verre, un peu de champagne, rien de tel pour finir une bonne soirée.
Machinalement je prends la boite de préservatifs : elle est vide ; heureusement, il lui en restait deux, pour ce soir c’était suffisant. Nous discutons encore quelques minutes, puis je déclare que je commence à être un peu fatiguée et que je vais rentrer. Je me lève pour récupérer mes habits. Je les enfile dans l’entrée, je pense qu’habillée je leur redonnerais moins envie qu’en revenant nue.
Thierry aussi s’est rhabillé, Christophe a juste refermé son peignoir. Je les embrasse et me dirige vers la porte d’entrée. Christophe m’accompagne. Avant de sortir je l’embrasse à nouveau, je lui dis :
- Je te laisse ma culotte, tu me la rendras Lundi.
- Ah, mais c’est vrai que tu es toute nue la dessous.
Et d’un geste rapide, il vérifie. Il me sourit et m’embrasse tendrement. Je le quitte et me dirige vers ma voiture.
Bien sûr, le lendemain matin, j’ai tout raconté à mon époux, qui m’a fait l’amour comme une bête, tellement il était excité par mon récit.
Le lundi, quand je retourne au travail, je retrouve Christophe à la machine à café. Comme nous ne sommes que tous les deux, il me dit :
- J'ai quelque chose à toi dans la poche.
- Donne là moi, je vais aller la remettre.
- Ne me dis pas que tu n'as rien dessous ?
- Ben si, je ne l'ai porté que quelques heures, je peux bien la réutiliser.
- Alors tu es venue au travail sans culotte ?
- Oui, pourquoi ?
- Je ne te crois pas.
- Je ne peux pas te le prouver ici, ce n'est pas discret, quelqu'un pourrait arriver.
- Tant pis, tant que tu ne me l'auras pas prouvé, je ne te rends pas ton string. Et tu seras cul nu toute la journée.
- Oh pour moi, ce n'est pas gênant, mais toi, tu vas y penser tout le temps, ce n'est pas bon pour ton efficacité. Allez, je retourne au boulot.
La machine est dans un renfoncement du couloir et, en fait, en regardant à droite et à gauche en repartant, il est possible de voir si quelqu'un arrive. Ce que je fais. Comme personne ne montre le bout de son nez, avant de m'engager, je tourne la tête vers Christophe, lui souris, et d'un même mouvement des deux mains, je relève ma jupe jusqu'à la taille et découvre mon postérieur, libre de toute entrave, évidemment. Je retourne dans mon bureau.
Quelques minutes après, je l'appelle au téléphone :
- Tu vois que je ne raconte pas de bêtises.
- J'avoue que j'en suis baba, c'est la première fois ?
- C'est mon secret, je te laisse deviner.
Et je raccroche.
La matinée se passe sans autre interruption. A midi, Christophe vient me chercher pour aller manger. Dans le couloir, il se retourne et tout de suite après passe une main sur ma hanche. Je lui dis :
- Tu veux t'assurer que je n'ai rien en dessous ?
- Ben oui, je me suis demandé, toute la matinée, si tu ne m'avais pas monté un coup en enlevant ta culotte juste avant de venir au café pour la remettre après.
- Ce n'est pas mon genre, en plus, je ne pouvais pas savoir que nous ne serions que tous les deux. Par contre, j'aimerais bien que nous soyons un peu discrets. Toi, je te fais confiance, mais je ne sais pas comment Thierry va réagir.
- Oh, ne t'inquiète pas, il est reparti à la conquête de Virginie.
- Comment tu le sais ?
- Ce matin, il m'a dit qu'il l'avait invité au cinéma samedi soir. En fait, il semble que Virginie était un peu jalouse, car elle a remarqué que Thierry t'observait de près, alors il ne va pas se vanter de sa fin de soirée de vendredi.
- Tant mieux, cela me rassure, mais quoi qu'il en soit, je ne voudrais pas que l'on te surprenne à me peloter dans les couloirs.
- J'ai vérifié qu'il n'y avait personne.
- J'ai vu et je t'en remercie, il en faut peu pour que le bruit courre. Que les gens parlent de mes habits sexy c'est une chose, s’ils se rendent compte de nos relations, cela pourrait nous nuire. Au fait, maintenant, tu peux me rendre mon string, je t'ai prouvé la véracité de mes dires.
- Je l'ai laissé dans mon tiroir de bureau. Je me suis dit, soit elle m'a monté un coup et elle n'en a pas besoin, soit elle a dit la vérité et cela va être vraiment bon de savoir qu'elle est nue sous sa jupe et manger en sa compagnie, au milieu de nos collègues qui l'ignorent.
- Et si cela me gênait ?
- J'ai bien pensé à cette éventualité et, à la réflexion, j'ai déduit que ce n'était pas possible, vu notre soirée de vendredi et ta tenue de ce matin. Tu ne serais pas venue, nue sous tes vêtements, si tu étais gênée.
- En fait, tu as raison, non seulement, je ne suis pas gênée, mais en plus cela me fait plaisir que tu le saches.
- Arrêtes, je commence à bander, avant d'aller déjeuner ce n'est pas bon. Déjà que je vais y penser tout le repas et tout cela sans pouvoir calmer mes ardeurs, trop dur.
- Si tu m'avais rendu ma culotte, tu n'aurais eu l'esprit à cela. Tant pis pour toi. Puis je crois qu'il faut parler d'autre chose, on arrive au self.
De fait, nous sommes à l'entrée de notre cafétéria. Dans la file d'attente, ce petit cochon de Christophe en profite pour me peloter les fesses. Je me suis débrouillée pour ne pas être à côté de lui, mais durant tout le repas, je sens son regard sur moi. Je me sens toute émoustillée : je suis nue sous ma jupe, au milieu de mes collègues, il le sait et cela l'excite, c'est évident. Par contre coup, moi aussi. Il va falloir qu'on fasse quelque chose. Au boulot, c'est un peu risqué, mais c'est tellement bon de jouer avec le feu. J'attends qu'il ait fini pour me lever de table. Nous repartons ensemble, une de mes collègues de bureau nous accompagne. Tant pis, je l'appellerai au téléphone.
Heureusement, ma collègue doit aller au service RH et elle nous laisse tous les deux. Christophe me dit:
- J'ai envie de toi, de te savoir sans culotte m'a vraiment excité.
- Je m'en doute, moi aussi, mais on peut aller où ?
- Le seul endroit pas trop risqué, c'est la salle des serveurs informatique, elle est fermée et j'ai la clé. En plus l'entrée est un peu cachée, puis à cette heure personne n'y va, les sauvegardes c'est le soir. Attends moi vers le panneau du CE, j'arrive tout de suite.
Je me dirige vers le panneau. Je n'avais pas pensé que sa position de responsable réseau lui donnait l'accès à cette salle. Je n'ai pas longtemps à attendre, son bureau n'est pas très loin. Il me fait signe de le suivre, il a déjà ouvert la porte et nous entrons rapidement. Il referme le verrou et laisse la clé sur la serrure.
Ensuite, il me prend par la main et m’entraîne vers le bureau situé dans un coin de la pièce. Il me pousse contre le bureau et se baisse tout de suite devant moi. Ses mains se posent sur mes genoux et remontent délicatement ma jupe, sa bouche se dirige vers mon pubis. Je sens sa langue s’insinuer dans ma fente pour aller titiller mon clito qui n'en demande pas tant. J’écarte les cuisses, sa langue descend vers mes lèvres intimes qui n’ont pas besoin de cela pour être humides. Puis, il insinue sa langue dans ma grotte d’amour, il me pénètre littéralement avec sa langue. Je sens mon excitation monter, il alterne caresse sur le clito et pénétration linguale. Un doigt vient à son aide et me pénètre en douceur, sa langue continue à me titiller le clito. Les deux caresses me font jouir une première fois.
Je l'incite à se remettre debout en le prenant sous les bras. Je déboucle sa ceinture, ouvre son pantalon et baisse slip et pantalon. Sa tige de chair turgescente m'apparaît dans toute sa vigueur. Je caresse son sexe avec la main pour bien me rendre compte de son envie. Il est vraiment dur, preuve de son excitation, s'il en ait besoin. Pendant que je m'active sur lui, il a récupéré un préservatif dans une poche. Je me dis qu'il a dû tout combiné, car je ne le vois pas se promener en permanence avec une capote dans la poche. Ce témoignage indirect de désir me fait plaisir. Je me relève pour qu'il puisse enfiler le préservatif. Il s'avance vers moi, plie les genoux et se présente à l'entrée de mon sexe. Je m'appuie avec les mains sur le bureau et j'attends avec bonheur la pénétration. Son pénis entre petit à petit dans ma grotte humide de désir. Quand il est complètement dedans, il reste quelques instants collé contre moi, je sens mon pubis nu caressé par sa toison. Il commence des va-et-vient dans mon corps. Je ressens avec plaisir mon vagin trempé d'excitation par ces allers-retours. Il alterne mouvements rapides et courts avec des mouvements lents et profonds, pendant lesquels il ressort presque entièrement de moi. Cette alternance de rythme, de sensation de vide et de plénitude a tôt fait de m'amener une nouvelle fois au septième ciel.
J'ai envie de changer de position, car j'ai un peu mal aux bras. Aussi, je le repousse gentiment, je vais au bout du bureau et m'allonge en partie dessus, dos tourné vers Christophe : j'adore la levrette. Bien sur, ma jupe est redescendue, je la relève et dévoile mon postérieur qu'il connaît déjà. Christophe arrive derrière moi et cette fois-ci, il me pénètre d'un seul coup jusqu'aux tréfonds de mon corps. Je sens son excitation à son rythme, il s'accroche à mes hanches et fait des mouvements rapides et profonds. Je sens ses boules qui tapent mon pubis. Mon excitation monte graduellement, je suis au bord de l'orgasme, je me retiens pour ne pas trop gémir de plaisir, jusqu'au moment où je sens qu'il jouit, abouté au fond de mon vagin, les mains crispées sur mes hanches. Cela me déclenche un orgasme fantastique.
Quand il se retire, je ressens une impression de vide. Avant que j'ai le temps de me relever, je sens une caresse sur mes lèvres intimes : il est en train de m'essuyer délicatement avec un mouchoir en papier. Puis, il embrasse chacune de mes fesses et rabaisse ma jupe sur mon postérieur. Il m'aide à me relever. Il s'est déjà rhabillé, il est vrai que j'ai mis un moment à atterrir après ce plaisir dévastateur.
- Bon, ce n'est pas que je veux être rabat-joie, mais si nous voulons être discrets, il ne faut pas rester ici trop longtemps.
- Tu as raison, moi il me faut toujours un petit moment pour me reprendre.
- Au fait, tu veux remettre ton string ? Je l'ai pris quand je suis allé chercher les clés.
- OK, rends le moi, mais si tu préfères, je ne le remets pas, de cette manière, tu auras le souvenir de mon petit cul nu sous ma jupe.
- Tu es vraiment une gentille aguicheuse, j'adore. Et on recommence quand ?
- Alors ça, je ne sais pas, je vais y réfléchir., je ne voudrais pas que cela devienne automatique, il n'y aurait plus de charme. Comment fait-on pour sortir ?
- Je vais y aller en premier, s'il n'y a personne dans le couloir je cogne à la porte, tu sors et moi je rentre à nouveau, je te laisse quelques minutes et je sors à mon tour.
- Ok, tu m'appelles pour aller prendre un café ?
- D'accord.
Il sort, quelques secondes après il cogne à la porte, je sors à mon tour et je me dirige vers mon bureau, en faisant comme si je venais directement de la cafétéria.
Assise à mon bureau, je me demande si je ne suis pas en train de faire une grosse bêtise : avoir des relations avec un collègue de travail, cela peut être gênant, les mauvaises langues sont légions, mais cela reste du domaine personnel. Par contre, baiser sur les lieux de travail, c'est limite faute professionnelle.
Tant pis, je pense que le jeu en vaut la chandelle, la vie est courte, de plus, braver les interdits est toujours excitant.
Je réfléchis à ce que je pourrais trouver pour mettre un peu de piment dans nos relations, sans prendre trop de risque, il est impossible d'aller régulièrement dans la salle des serveurs sans se faire repérer un jour ou l'autre. Comme je ne veux pas être soumise au désir de Christophe, je cherche quelque chose d'aléatoire mais en même temps érotique.
Après quelques instants de réflexion en pensant à la soirée de vendredi, je trouve une "astuce", j'ouvre ma messagerie et lui envoie le courriel suivant :
A partir de maintenant, je ne mettrai que des robes ou des jupes.
Dessous je porterai 3 tenues différentes :
- porte-jarretelles, bas, culotte ou string.
- bas Dim-up, culotte ou string.
- Les uns ou les autres, sans culotte.
J'avais pensé remplacer la dernière solution par
- porte-jarretelles, bas, sans culotte.
- bas Dim-up, sans culotte.
Mais il n'y aurait eu qu'une chance sur 4 pour que tu trouves ma tenue.
Parce que, le but c'est que tu trouves ce que je porte. Si tu as vu juste, tu auras le droit à une gâterie de ton choix, après le repas, au local de tout à l'heure à moins que tu ne trouves un autre endroit.
Comment allons-nous faire ?
Le matin, nous prendrons notre café ensemble, comme la plupart du temps ; à ce moment tu auras tout le loisir de m'observer. Ensuite, pour être discrets, quand tu retourneras dans ton bureau, tu m'enverras ta réponse par courriel
- pj pour la tenue 1
- Du pour le tenue 2
- Sc pour la tenue 3
Je te répondrai par vrai ou faux.
Si tu trouves la bonne réponse, tu auras toute la matinée pour réfléchir à ce que tu veux. Terrible.
N'oublie pas de supprimer ce courrier.
A plus
Quelques minutes après, le téléphone sonne. C'est Christophe.
- J'ai reçu ton courrier, l'idée me plaît, même si je n'ai qu'une chance sur trois.
- Si tu es un bon observateur, tu peux augmenter tes chances, il y a des signes qui ne trompent pas.
- Je te paye un café et tu m'expliques ?
- OK, j'arrive.
Je me dirige vers le distributeur. Christophe m'attend, il n'est pas tout seul. Heureusement, le temps que nos boissons se préparent, les autres s'en vont.
- Allez, expliques moi !
- Si tu ouvres bien les yeux, il y a des choses qui transparaissent.
- Quoi, par exemple ?
- Les élastiques de ceinture, les bourrelets que font les coutures sur les fesses et puis c'est à toi de deviner.
- Qui me dit que tu ne vas pas tricher ?
- Personne, mais tu peux me faire confiance, je ne me défilerai pas.
- Et on commence quand ?
- Pas aujourd'hui, tu sais comment je suis, mais demain ça me paraît bien.
- Ok, je vais attendre demain avec impatience.
Nous finissons notre café et retournons à notre travail.
Le lendemain, je vais au travail, habillée d'une robe, sous laquelle je mets un porte-jarretelle et un string. Je ne suis pas certaine que Christophe puisse se faire une idée de ma tenue, tant pis, c'est le jeu.
Cela se confirme bien avec le mail qu'il m'envoie :
DU
Il n'a vu ni les attaches du porte-jarretelles, ni la ceinture.
Je lui réponds le message convenu avec un petit commentaire :
Faux, pour gagner, il va falloir faire preuve d'un meilleur talent d'observateur.
Malheureusement pour lui, il se trompe encore les deux jours suivants. Il est vrai qu'il n'a théoriquement qu'une chance sur trois. D'ailleurs, le troisième jour, il m'envoie une réponse en me disant que rien ne prouvait que je ne trichais pas.
Je me dis qu'il faut que je fasse quelque chose, car, autrement, Christophe va se décourager. Je lui réponds :
Pour te simplifier la tâche, à partir de demain, je changerai tous les jours et comme chaque jour je te donnerai la réponse, tu auras une chance sur deux, c’est largement mieux que le loto.
Aujourd’hui, c’était DU.
Bonne chance.
Le lendemain, je mets un porte-jarretelles et un string. En plus, je choisis une jupe fine et fluide, à travers laquelle, il est possible de distinguer les attaches du porte-jarretelles, quand je me tiens dans certaines positions. Ce qui me permettra d’être discrète vis-à-vis de mes autres collègues. Cela ne me gêne pas d’être habillée un peu légèrement, même sexy, mais je pense que si certains s’apercevaient que je mets un porte-jarretelles, les potins iraient bon train. J’ai bien le droit de m’habiller comme je veux, mais comme les mauvaises langues sont nombreuses, je préfère ne pas me faire remarquer.
Nous sommes vendredi et je veux lui faciliter la tâche, je suis décidée à enlever mon string, s’il ne voit pas que j’en porte un. C’est de la triche, mais c'est pour la bonne cause.
Au bureau, j'attends avec impatience le moment où je vais aller prendre mon café et où Christophe va essayer de distinguer toutes les marques que mes sous-vêtements peuvent laisser sur ma jupe.
Il m'appelle à l'heure habituelle, je le rejoins sans attendre. Dès que j'arrive au distributeur, je vois ses yeux parcourir mon corps et chercher à trouver les marques que peuvent faire mes dessous. Pendant qu'il me sert un café, je m'installe à une de ces tables hautes qui permettent au consommateur de poser leur gobelet et obligent à boire debout. L'avantage, c'est qu'il y a une barre, sur laquelle on peut poser un pied. Ce que je m'empresse de faire : ma jupe fine épouse parfaitement ma cuisse, l'attache du porte-jarretelles fait une petite bosse. Cette fois-ci, je suis sure qu'il va trouver au moins une partie de la réponse.
Christophe s'installe à côté de moi, son sourire m'assure qu'il a vu ce que je voulais lui montrer. Il ne lui reste plus qu’à deviner si je porte une culotte ou non.
La présence de collègues nous oblige à parler de manière anodine, cela n’est pas plus mal, malgré son impatience, il doit attendre pour avoir la réponse à ses interrogations.
De fait, à peine de retour au bureau, j’ai un message sur mon ordi :
PJ
Donc, il a trouvé, je suis dans l’obligation de satisfaire ses desiderata, ce qui n’est pas désagréable. Je lui renvoie un message :
Exact, tes désirs seront des ordres, que je réaliserai avec plaisir.
La réponse ne se fait pas attendre :
Avant d’aller manger, je prendrai la clé du local info. Pour être plus discret, je partirai en premier et j’irai directement ouvrir la porte ; je la laisserai ouverte, tu pourras entrer sans frapper. En plus, mon collègue a pris un jour de rtt, donc il ne risque pas de venir nous déranger.
Je vais penser à cela toute la matinée, vivement midi.
Je me demande ce qu’il va vouloir et cette interrogation m’excite déjà.
Le repas se passe comme prévu, Christophe s’en va quelques minutes avant moi. Dès que je peux quitter mes collègues discrètement, je me dirige vers notre local préféré, j’entre directement. Comme prévu, la porte n’est pas verrouillée, je la ferme à clé, dès que je suis à l’intérieur.
Il est assis sur un bureau, il se lève aussitôt. Cette fois-ci, c'est moi qui dirige le début des opérations : je m'attaque tout de suite à sa ceinture, je déboutonne son pantalon et baisse la braguette. Je passe les mains sur ses hanches et tente de baisser pantalon et slip en même temps, mais son sexe a déjà pris du volume et gêne la descente. Je suis "obligée" de passer une main entre la ceinture et son corps, de cette façon, je touche l'objet du délit. Je continue à descendre ses vêtements, quand ils sont aux genoux, j'ai son chibre à la hauteur des yeux. Je ne peux m'empêcher de le prendre dans ma bouche, je le sens devenir de plus en plus dur. J'ai envie de le sentir en moi, je me relève, passe mes mains derrière ma jupe, descends le zip et la laisse tomber à terre, puis j’enlève mon string. Je m'allonge sur le bureau, les fesses au ras du bord du bureau. Christophe a profité de mon déshabillage pour mettre un préservatif. Il s’approche de moi, pose sa main sur ma petite chatte toute nue. Ses caresses me donne des frissons de bonheur. Il titille délicatement mon clito, le prend entre deux doigts, je me sens devenir de plus en plus excitée. Je relève les jambes, je prends mes chevilles dans les mains, il doit me voir ouverte de désir. Christophe s’avance encore plus de moi, son sexe turgescent touche mon pubis. Il dirige son chibre vers mes lèvres intimes, il me caresse avec, puis se décide enfin à me pénétrer. Je sens son membre entrer dans mon corps qui ne demande que ça. Il s'enfonce doucement en moi, jusqu'à ce que son ventre me touche, il est entièrement dans mon puit d'amour.
J'ai de plus en plus envie qu'il s'agite en moi :
- Vas-y, bouge ! J'ai trop envie !
Il s'exécute et ressort entièrement, puis replonge au fond de moi ; il recommence de nombreuses fois cette manœuvre. Ensuite, il accélère la cadence de ses pénétrations et, bien qu'il soit certainement très excité, il tient longtemps le rythme. Mon excitation augmente rapidement, je sens que je vais bientôt jouir. Christophe a dû le sentir, il reste un moment au fond de ma grotte, je ne sais pas si c'est le fameux point G, en tout cas ma jouissance explose.
Ma position, sur le dos, sur le bureau, est quand même un peu inconfortable. Je propose à Christophe de me prendre en levrette. En me relevant, je prend conscience de ma tenue : nue du ventre aux pieds, mon minou épilé encadré par le porte-jarretelles, en fait je me trouve diablement érotique. Comme la dernière fois je m'installe en partie à plat ventre sur le bureau. Christophe n'attend pas et me pénètre d'un seul coup. J'adore tellement cette position, qu'il ne me faut pas longtemps pour jouir à nouveau. Mon plaisir a été si rapide à venir que les mouvements de va-et-vient de Christophe, dans mon corps, ne sont pas arrivés à le mener au septième ciel. Egoïstement, j'ai pensé plus à moi, qu'à lui, et dire que je lui avait dit que ses désirs seront des ordres. Heureusement, je sais comment le faire jouir à coup sur. Je suis tellement excitée, que j’ai envie de me donner entièrement à lui : je passe une main derrière moi, prend son sexe, le retire de mon minou et le présente devant mon petit trou, qui est tout humide de mes jouissances précédentes. Je me détends et pousse mes fesses en arrière pour que son gland commence à pénétrer mon anus. Je lui dis :
- A toi maintenant ! Enfonces-toi en moi !
- Tu veux vraiment ?
- Oui, sodomises-moi, je suis sure que tu en as envie. Allez ! Encules-moi !
Je ne sais pas ce qui me prend, d’habitude je suis moins triviale, mais là, je suis prête à tout.
Christophe s’exécute et je sens sa tige de chair turgescente s’enfoncer dans mes entrailles. Il me pénètre par à-coups, lentement pour que mon petit trou s’habitue à la présence de ce membre, source de bonheur pour l’un et l’autre. En plus, il passe une main sous moi et caresse mon clito avec un doigt agile. Il fait des incursions dans mon sexe trempé et resserré qui ne demanderait qu’à être pénétré lui aussi. Petit à petit, il investit mon corps, son chibre est bien au fond de moi, ses boules touches mes lèvres lisses. Ses mouvements sont un peu freinés par sa position, aussi, je passe une main sous moi pour remplacer la sienne. J’en profite pour caresser son chibre, je sens la douceur de ma chatte épilée, je ne peux m’empêcher de me caresser. Christophe a mis ses mains sur mes hanches et fait des mouvements amples et rapides dans mon derrière, je sens qu’il ne va pas tarder à jouir car il accélère encore le rythme. Ses mains se crispent sur mes hanches et d’un coup il entre au plus profond de moi et reste abouté dans mon petit trou, en pleine jouissance. Moi aussi je jouis, est-ce par mes caresses ou par la pénétration, je ne sais, peut-être les deux. Quoi qu’il en soit c’est très bon.
Christophe se retire de moi, je me relève après quelques instants pour reprendre mes esprits. En silence, il remonte son pantalon et prend dans sa poche un mouchoir en papier qu’il me donne, pour que je puisse essuyer de mes sécrétions intimes. Ensuite, il se baisse pour ramasser ma jupe et mon string et il me les tend. Je remets ma jupe mais pas mon string :
- Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, je ne remets pas mon string, je te le laisse, j’aime bien que tu saches que je suis nue sous ma jupe. De plus, j’adore sentir l’air sur ma petite chatte toute nue et toute humide.
- Tu veux vraiment que je sois obsédé par ton corps ?
- Oui, j’aime bien être désirable et désirée. Tu as tout fait pour que je tombe dans tes filets, alors, il faut en subir les conséquences.
- Tu te rends compte que si je pense à toi, je vais encore avoir du mal à travailler.
- Heureusement pour toi, nous ne sommes pas dans le même bureau. Allez, en parlant de boulot, faut y retourner.
- Dommage, j'aurais bien continué.
- Une autre fois peut-être ! Je pars en premier.
Je me dirige vers la porte et je sors du local en faisant un clin d'œil à Christophe.
Le dernier après-midi de la semaine se déroule assez vite et je retourne chez moi. Je ne sais pas si mon mari va m'interroger et je ne sais pas si je vais tout lui dire, mais j'ai pris du plaisir, c'est l'essentiel.
</p>
Un jour, je lui dis qu'un de mes collègues de travail me fait la cour, il répond :
- Tu vois bien que tu es désirable, tu crois toujours que je te dis ça pour te faire plaisir. Et il est comment cet homme ?
- Pas mal, un peu plus jeune que moi, célibataire. Et tu t'en fiches que je me fasse draguer ?
- Non, au contraire, cela me fait plaisir, il sera peut-être tenté par une partie à trois.
- Tu ne perds pas le Nord toi, mais si je me laisse faire, je suis sûre que tu seras bien embêté.
- Pas du tout, si tu me racontes tout.
- Allez, tu fais le fanfaron !
- Pas du tout, je pense ce que je dis.
- Bon, puisque c'est comme ça, je te préviens, je vais aller jusqu'au bout et si je peux avoir deux hommes, tu n'en feras pas partie.
Pour le coup, c'est plutôt moi qui fait "le fanfaron", j'ai prononcé ces mots, un peu énervée, un peu excitée. Je me demande s'il se moque de ce que je fais ou si, au contraire, il est vraiment prêt à ce genre de situation. Régulièrement, je me demande si, moi, je suis prête à franchir le pas. Bien que nous ayons une vie plutôt libre, nous n'avons jamais eu de relation extraconjugale en dehors de la présence de l'autre.
Quelque temps après, d'un air taquin il me demande :
- Alors tu en es où avec ton dragueur ?
- Ça avance, ça avance !
En fait, la seule chose que j'ai faite, c'est de choisir des vêtements plus attrayants, j'ai banni les pantalons informes, les pulls larges, tout ce qui masque ma silhouette. Et j'ai eu le droit à encore plus de compliments de la part de mon collègue.
Suite à la question de mon mari, je décide d'aller plus loin, il l'aura voulu. J'avoue qu'au fond de moi, je suis un peu partagée, mais le fait d'être courtisée est plutôt agréable et flatteur. Surtout par un homme bien de sa personne.
L’évènement qui va tout accélérer est le repas qui est organisé chaque année par le service où je travaille. Souvent, après le repas, quelques-uns vont en boite. Je n’y vais pas à chaque fois, mais je me suis toujours amusée dans ces soirées.
Le lendemain, je mets une robe que je n'ai portée qu'en présence de mon époux. Elle est assez courte, environ 10 cm au-dessus du genou, le haut est bien décolleté. Quand je vais prendre un café, le collègue qui me fait « la cour » (Christophe) me rejoint. Il me dit :
- Si tu viens au repas habillée comme cela, tu vas avoir beaucoup de cavaliers en puissance, enfin dans le cas où tu prolongerais le repas par la soirée et si ton mari n’est pas là.
- Je ne sais pas si je viendrai danser, en tout cas mon époux ne sera pas disponible.
- Je serai fier d’être ton chevalier servant, avec une tenue pareille, je vais faire des jaloux.
- Tu sais, ce n’est pas une robe de sortie, j’en ai d’autres un peu plus sexy.
J'ai dit cela par réflexe, sans vraiment penser à ce que je disais. Du coup, Christophe répond :
- Tu serais chiche de venir avec ?
- Et pourquoi pas ?
- Ça va jaser, et ton mari sera peut-être jaloux !
- Bernard, pas du tout ! Et j'ai le droit de m'habiller comme je veux, c'est ma vie privée.
- Alors j'attends avec impatience cette soirée, tu me promets d'être ma cavalière.
- D'accord, mais je ne danserai pas qu'avec toi, parce que là, les ragots vont aller bon train.
Notre conversation s'arrête là, il faut bien aller justifier nos salaires.
Le jour fatidique est arrivé, après le boulot, je rentre à la maison pour me préparer. Mon époux n'est pas encore rentré. Je prends un bon bain pour me relaxer. Je me rince, me mets de la crème sur tout le corps. Je m'aperçois que mes aisselles ne sont pas parfaitement lisses, donc opération épilation. Je regarde mon minou, pour voir s'il faut parfaire la coupe. J'aime bien quand les bords sont bien nets et la longueur régulière, et vu la culotte que je veux mettre, il faut que je retouche un peu. Je taille la longueur avec une tondeuse étudiée pour. Je commence à faire les bords et là, je ne sais pas ce que je fais, je rate mon coup et je coupe plus que je ne le veux. J'essaie de rattraper en taillant de l'autre côté, mais je n'arrive pas à faire quelque chose de symétrique. Eh puis zut ! J'enlève tout. Comme je prends de la crème épilatoire pour les aisselles, je l'utilise aussi pour finir l'épilation de mon pubis.
C'est mon homme qui va être content, il adore quand je suis totalement épilée. Peut-être qu'il sera un peu jaloux que je me sois fait cela pour une soirée entre copains de boulot, tant pis pour lui, il m'a assez provoquée. Une fois l'opération terminée, je remets de la crème et j'apprécie la douceur de ma peau totalement lisse. Je me regarde dans le miroir, je suis plus nue que nue, comme dit mon cher et tendre, je me caresse doucement, l’excitation est en train de me gagner, je me titille le clito, puis un de mes doigts part à la conquête de mon antre d’amour, je le trouve déjà tout humide d’excitation. Je ne sais pas ce qui me prend, quand je pense que ce soir je vais peut-être « tromper » mon chéri et cela me mets dans tous mes états. En fait, je trouve un plaisir certain à penser à cette soirée, puisque mon homme m’encourage, j’aurai tort de ne pas en profiter, je ne suis pas une oie blanche. Je continue à me mettre de la crème.
J’ai une idée pour entretenir mon envie : Bernard m’a acheté des boules de geishas, je vais les utiliser ce soir. Je me dirige vers le dressing, elles sont dans le tiroir de mes sous-vêtements, dans un joli étui nacré. Je les enduis d’un peu de gel de lubrification et je les introduis délicatement dans mon corps.
Ensuite, je vais choisir mes habits. Une petite robe noire, mi-cuisse, sans manche, moulante, dont le bas épouse bien la taille, les hanches, le haut des cuisses et s'évase ensuite. Les sous-vêtements : un soutien-gorge en dentelle, pigeonnant pour donner du volume à ma poitrine, un string avec le devant en tulle qui ne laisse aucun doute sur le fait que je suis totalement épilée.
Je mets mon soutien-gorge, puis mon string, le haut de ma fente est parfaitement visible à travers le tulle. J'essaie un porte-jarretelles, mais je suis pratiquement sûre que les coutures vont faire épaisseur sous ma robe. Je la mets et effectivement, le tissu est trop fin, un œil observateur verra obligatoirement les marques que laisse le porte-jarretelles. Des yeux observateurs, il y en aura, mes collègues mâles en premiers. Je veux bien être sexy, mais pas de manière aussi ostensible. Je me contente de mettre des bas Dim-up, c'est toujours mieux que des collants.
Je suis prête à partir avant que mari ne revienne du travail. Il m'avait prévenue que sa réunion durerait longtemps. Je mets un gilet pour protéger mes épaules de la fraîcheur de la nuit et je me rends au restaurant où une salle a été réservée pour nous.
Christophe m'attend dans l'entrée :
- Je t'ai attendu, je voulais absolument être assis à tes côtés. Félicitations pour ta tenue, tu es vraiment charmante. Je ne m'attendais pas à une tenue aussi attirante.
- C'est de ta faute, tu m'as un peu obligé avec tes compliments permanents, il fallait bien que je sois à la hauteur.
- Tu vas attirer les regards de tous les hommes du service et les foudres des femmes.
- Tu exagères un peu.
Dès que j'ai accroché mon gilet au portemanteaux, je dois bien me rendre à l'évidence : quasiment tous les regards sont dirigés vers moi. Je m'assieds le plus vite possible.
Le repas se déroule normalement. A chaque fois que je croise les jambes, je sens les boules de geishas qui bougent dans mon vagin et entretiennent mon excitation intime.
Nous parlons de tout et de rien, certains racontent les inévitables histoires drôles ou pas drôles. A la fin du repas une partie des convives rentrent chez eux, les autres vont finir la soirée en boîte.
Trois de mes collègues viennent avec leurs conjoints, il y a en plus Virginie, ma collègue de bureau, Thierry, un informaticien d’une société de sous-traitance qui passe les trois-quarts du temps chez nous et, bien sur, Christophe et moi. Deux couples se sont arrangés pour venir ensemble. Thierry emmène Virginie, visiblement, il la drague, normal, ils sont célibataires tous les deux. J’emmène Christophe qui n’a pas pris sa voiture, il habite à côté du restaurant.
La boîte de nuit est sympa, il y a 2 salles, une plutôt techno et musique moderne l’autre avec une piste de danse spéciale rock. Nous sommes tous d’accord pour aller dans la salle rock, plus conviviale, il y a plus de places assises et ils passent régulièrement des slows, pour reposer les danseurs ou pour faciliter le travail des dragueurs.
Je pose mon gilet au vestiaire et m’éclipse discrètement aux toilettes : il faut que je retire mes boules de geishas, je ne sais pas si elles vont tenir avec le rythme des danses. Quand je les enlève, elles sont toutes moites, je les nettoie et les essuie avec un mouchoir en papier et les remets dans leur étui. Je vais m’asseoir avec mes collègues.
Dès la première série de rock, Christophe m’invite. C’est un bon danseur, malgré cela, il me faut quelques minutes pour m’habituer à ses enchaînements de passes. Nous faisons quelques danses et nous retournons nous asseoir pour nous désaltérer. J’alterne les danses avec mes collègues sans privilégier particulièrement Christophe. Après un instant de détente autour de notre table, le seul avec qui je n’ai pas encore dansé m’invite à une série de rock. J’ai remarqué qu’il est certainement le meilleur danseur présent, ses mouvements sont quasi parfaits. En plus nous tombons sur des rocks rapides (crocodile rock, rock around the clock.)
Je sens bien que ma robe virevolte autour de moi, mais je ne sais pas à quel point. J’en prends conscience, quand Christophe m’invite à danser un slow et qu’il me dit :
- J’ai quelque chose d’un peu indiscret à te demander
- Vas-y n’hésite pas.
- Quand tu dansais tout à l’heure je t’ai bien observé, si j’ai bien vu, tu portes des bas !
- Tu as de bons yeux, oui j’ai des bas, des Dim-up, c’est plus sexy que des collants.
- Encore plus indiscret, je peux ?
- Pourquoi pas, vu ta première question, je suis intéressée.
- Comme ta robe remontait haut, lors de certains mouvements, j’ai vu une partie de ton postérieur au dessus de la limite des bas. Presque comme si tu n’avais pas de culotte.
- Quel est ton sentiment, j’en ai une ou je n’en ai pas ? Et est-ce que cela te gênerait, d’ailleurs ?
- Non, je ne serais pas gêné, au contraire. Si je te pose la question, c’est que je ne sais pas.
Du fait que le DJ a baissé les lumières de la piste, ce que je fais est très discret : je prends une de ses mains et la dirige sur mes hanches, à la hauteur de la ceinture du string. Je sens bien qu’il est excité. J’ai envie de lui faire plaisir, il est tellement chou.
- J’ai un string, il est très discret, n’est-ce pas ?
- Ah oui ! Il doit être vraiment mini pour laisser planer le doute de cette manière.
- Il est très petit, tu crois que les autres ont vu quelque chose ?
- Je ne pense pas, j’étais le seul à te regarder en permanence.
- Viens, dirigeons-nous vers le vestiaire.
- Pourquoi ?
- Tu verras.
Arrivés de l’autre côté de la piste, en dehors du regard de nos collègues, je laisse Christophe non sans lui avoir dit d’attendre que je revienne. Je vais dans les toilettes, situées à côté des vestiaires. Je me glisse rapidement dans une cabine. Je relève ma robe et fais descendre mon string le long de mes jambes, je l’enlève et le mets au creux de ma main. Je me dépêche de rejoindre mon cavalier avant la fin de la danse. Arrivée à ses côtés, je glisse ma culotte dans la poche de son pantalon.
- Eh ! Qu’est ce que tu as mis dans ma poche.
- Surprise, tu n’as pas le droit de regarder, tu dois deviner.
Je l’empêche de mettre la main dans sa poche en la posant sur ma taille et je l’entraîne vers la piste.
- Au fait, pourquoi tu m’observes comme ça ?
- Tu le sais bien !
- Mais, je suis mariée.
- Je sais bien, mais j’ai toujours espoir que tu me feras une faveur.
- C’est quoi une faveur pour toi ?
- J’ai cru comprendre que, ton mari et toi, vous êtes assez ouverts d’esprit et plutôt libres.
- C’est vrai, mais il faut des conditions particulières. Et puis tu n’as pas trouvé ce qu’il y a dans ta poche.
- Franchement, je ne vois pas.
- Eh bien, tu n’es pas perspicace. Attends, je vais t’aider. Rapprochons nous de notre table. Où ils vont se demander ce que nous faisons, de la discrétion que diable !
Je prends sa main et, une nouvelle fois, la dirige vers là où devrait se trouver la ceinture de mon string. Je vois son regard chercher le mien. Je lui fais un grand sourire, j’appuie mon ventre sur le sien, je sens, à travers nos vêtements, sa virilité qui prend de l’ampleur. Avant qu’il ait repris ses esprits, la danse se termine et je me dirige vers nos collègues.
A notre table, il ne reste que Thierry et Virginie. J'attends que Christophe revienne s'asseoir, pour choisir une place face à lui. Je veux lui faire profiter d'une vue sur mon entrecuisse, ce qui n'est pas difficile vu la configuration des lieux : tables basses, fauteuils profonds. Je lui fais un grand sourire et écarte imperceptiblement les jambes en tendant la main pour prendre mon verre. Quand je m'adosse au fauteuil, je laisse jes jambes dans la même position. Je vois son regard qui se dirige vers mes cuisses. Comme lors de chaque série de slow, la luminosité n'est pas très élevée, il ne doit pas voir grand chose. À son tour, il s'avance pour prendre son verre et il reste penché en avant, certainement dans l'espoir d'avoir un meilleur point de vue.
Nos collègues reviennent se désaltérer. Deux couples ont décidé de s'en aller. Ils nous disent au revoir et quittent le dancing.
Thierry m'invite à danser, il est moins bon danseur que mon précédent collègue et je n'ai pas à craindre de dévoiler mes charmes à tous.
Quand nous retournons nous asseoir, Christophe est toujours au même endroit, il discute avec Virginie. Le DJ a remonté l'intensité lumineuse, chic, je vais pouvoir recommencer le spectacle. Je suis peut-être un peu folle de tenter mon collègue de cette manière éhontée, mais je prends plaisir à le faire. Depuis tout à l'heure, où j'ai senti sa tige de chair se gonfler contre moi, je suis convaincue de mon charme et je n'ai pas envie de m'arrêter en si bon chemin. En fait, je me sens un peu cochonne, mon mari m'a mis au défi, il ne se doutait peut-être pas que j'étais capable d'aller au si loin.
Je reprends le siège en face de Christophe et, cette fois-ci, je m'adosse directement au fond du fauteuil et je me laisse glisser vers l'avant. De cette manière, ma robe remonte encore plus haut, j'écarte un peu les cuisses. Bingo, cette fois-ci, il a tout vu. Je m'imagine ses pensées : elle a enlevé son string, me l'a donné, maintenant, elle me dévoile son intimité parfaitement épilée, où va-t-elle s'arrêter ?
Ce dont je ne me suis pas aperçue, perdue dans mes réflexions, c'est que Thierry est venu s'asseoir à côté de Christophe et que, lui aussi, regarde dans la même direction. Vu où il est, il ne doit pas tout voir, par contre, il doit voir que je porte des bas.
Le dernier couple revient, Christophe propose de finir la soirée chez lui, il a mis une bouteille de champagne au frais. Le couple restant est d'accord. Virginie n'a pas l'air spécialement enthousiaste, mais elle dit oui quand même, Thierry est OK, moi aussi. Nous quittons la boîte. Comme à l'aller, je repars avec Christophe. Les autres nous suivent. Dès que je démarre, Christophe se tourne vers moi, il pose sa main sur ma cuisse, largement découverte.
- Si j'avais su, je n'aurais pas invité tout ce monde chez moi
- Si tu avais su quoi ?
- Ben ! Que tu étais dans de bonnes dispositions vis-à-vis de moi
- Qu'est ce qui te fait dire ça ?
Imperceptiblement, sa main remonte le long de ma cuisse et atteint la lisière de mes bas. Je ne fais rien pour l'en dissuader.
- Je ne sais pas, en premier tu m'avoues que tu as des bas, car c'est plus sexy, en deuxième, tu vas enlever ton string et tu danses avec moi nue sous ta robe en me le faisant deviner, en troisième, tu m'exposes tes charmes, je devrais dire, tu m'exhibes tes charmes, car j'ai bien vu ton minou tout nu, sans poil. Alors que veux-tu, je peux y croire, non ?
- Au fait, en parlant de ça, je pense que Thierry a profité d'une partie du spectacle, tu n'es pas jaloux, j'espère.
- Jaloux ? Pourquoi ? Tu es mariée, je serais mal venu d'être jaloux.
Sa main a atteint mon bas-ventre, un de ses doigts caresse le haut de ma fente.
- J'ai tellement envie de toi, même si je sais que c'est pour une soirée, je serai le plus heureux des hommes.
- Tu sais, j'ai souvent pensé à cette soirée, depuis que tu as proposé d'être mon cavalier. J'ai fait tout ça pour toi, je me suis épilée, j'ai choisi des vêtements sexy, j'ai planifié mon déshabillage. Si tu n'avais rien découvert lorsque je dansais, je me serais débrouillée pour que tu voies avant que j'enlève ma culotte. Je peux même te dire que pendant le repas j'avais des boules de geisha, pour entretenir mon excitation.
- Alors, tu as tout prémédité !
- Bien sur, mais je ne veux pas te donner de faux espoirs.
Son doigt essaie de s'insinuer entre mes lèvres, mais ma place de conductrice n'est pas très adaptée. Et puis nous arrivons devant chez lui. Il habite une maison, héritée de ses parents, quasiment en centre ville, il ouvre le portail avec une télécommande, j'entre la voiture dans la cour jusqu'au garage. Thierry gare la sienne derrière, le couple reste dans la rue.
Christophe ouvre la maison et nous guide vers le salon. Encore une fois, j'attends que chacun soit assis pour m'installer mais cette fois-ci c'est pour être discrète vis-à-vis des autres convives, ce n'est pas la peine que tous sachent que je suis dans une tenue plus que légère. Je me retrouve aux côtés du couple, Virginie et Thierry sont sur des fauteuils de l'autre côté, en face un canapé 2 places où, évidemment, Christophe prend place.
- Alors, Champagne pour tout le monde ?
- Non, je préfère un jus de fruit, dit Virginie, j’ai un peu mal à la tête.
Ce n’est pas son jour à Virginie. Christophe se lève pour aller chercher les verres et les boissons. Je me lève aussi :
- Attends, je viens t'aider, tu ne vas pas y arriver tout seul, dis moi où sont les verres.
- Dans le meuble de la salle à manger, il y a des flûtes et des verres à jus de fruits.
Je vais chercher les verres, les pose sur la table de salon et rejoins Christophe dans la cuisine. Il est en train de mettre des glaçons dans le seau à champagne.
- Laisses moi faire, sors les bouteilles, lui dis-je.
Pendant que je démoule les glaçons, j'entends le frigo qui s'ouvre et se referme, puis je sens une main dans mon dos, elle descend plus bas, frôle ma hanche, passe sur mes fesses, prolonge sa descente jusqu'au bas de ma robe. Puis elle remonte lentement entre mes cuisses, caresse la chair nue au-dessus des bas, continue son ascension et atteint enfin le Graal. Le contact de cette main sur la partie la plus intime de mon corps me fait frémir de plaisir. Un doigt s'insinue entre mes nymphes et remonte vers mon clito. J'écarte les pieds pour faciliter cette délicieuse intrusion. Je sens un autre doigt qui cherche à entrer dans mon sexe. Essai couronné de succès, car je suis toute mouillée, j'en tremble d'excitation. Je pose le bac à glaçons et je m'appuie des deux mains sur le meuble. Pour un peu je jouirai comme ça, debout, juste avec deux doigts à quelques mètres de certains de mes collègues.
Nous nous reprenons, il ne faut pas trop rester longtemps, cela paraîtrait louche. Christophe mets la bouteille dans le seau et me donne le jus de fruits. Je le suis dans le salon, les jambes un peu flageolantes.
Pendant que Christophe sert ses invités, je me rassieds à côté du couple et pour entretenir l’envie, je me mets dans une position où, à nouveau, j’exhibe mes charmes à Christophe. Je me sens toute humide et ça me plait.
J'aperçois le regard de Thierry sur mes cuisses, il doit bien se rendre compte que dans la position où je suis, je laisse Christophe découvrir mes dessous. Je suis sure qu'il aimerait bien en faire autant.
La discussion tourne assez vite court, car chacun est un peu fatigué de cette soirée assez tonique. Aussi, quand Virginie dit qu’elle aimerait bien rentrer, nos collègues sautent sur l’occasion. Tout le monde se lève et se dirige vers l’entrée, je fais de même. Quand je passe vers lui, Christophe me retient et me dit discrètement :
- Tu restes ?
- Je vais faire semblant de partir. C’est plus discret.
Le couple sort en premier, suivi par Virginie et Thierry, puis moi. Christophe, toujours derrière moi en profite pour me peloter les fesses, il passe même une main entre mes cuisses sous ma robe.
Après les embrassades habituelles et les souhaits de bonne nuit, chacun retourne vers sa voiture, le couple part en premier, Thierry qui ramène Virginie ensuite. Je démarre ma voiture, recule dans l’allée et dès que je vois les feux des autres véhicules disparaître, je rentre à nouveau dans la cour.
Christophe m’ouvre la porte et m’entraîne vers l’entrée de son domicile. La porte à peine refermée, il me prend dans ses bras et descend la fermeture de ma robe. Je baisse les bras, il repousse les bretelles et accompagne la descente de mon vêtement qui finit par tomber à terre. Il passe à nouveau ses bras derrière mon dos et dégrafe mon soutien-gorge en dentelles. Il m'aide à l'enlever complètement, ensuite, il descend en m'embrassant la poitrine, le ventre, passe autour de mon sexe et continue sur mes cuisses. Il me lève un pied, pour enlever ma chaussure, fait de même sur l'autre.
Me voilà nue, puisque mon string est dans sa poche (enfin presque, il me reste mes bas) dans l'entrée de la maison de mon collègue. Le pire ou le mieux, c'est que cette situation m'excite. Christophe prend ma main et m'entraîne dans le salon, il m'allonge sur le canapé, je suis à sa merci. Il me caresse les seins, dont les pointes s'érigent instantanément. Puis une main se dirige vers mon sexe, elle caresse mon pubis glabre et s'insinue entre mes cuisses que j'écarte complaisamment. Un doigt vient titiller mon clito, je sens mon plaisir arriver. Toute une soirée à entretenir mon excitation et une petite caresse m'entraîne au septième ciel. En plus, maintenant il colle sa bouche sur ma fente, j'écarte encore plus les cuisses, puis je pose un pied à terre et l'autre sur le dossier. Il introduit sa langue entre mes lèvres intimes tout en continuant à caresser mon bouton. Je jouis. J'ai envie de son sexe, je le repousse gentiment, m'assied sur le canapé et déboutonne sa chemise ; pendant ce temps, il déboutonne son pantalon. Je lui enlève sa chemise, il descend pantalon et slip, je vois enfin sa tige de chair bien dressée devant mes yeux. Je me baisse pour la mettre dans ma bouche, je lui fais des caresses avec ma langue, des va-et-vient avec ma main.
- Non, pas comme ça, j'ai trop envie de toi, je veux pénétrer ton corps, attends s'il te plait, je vais chercher des préservatifs.
Il se relève, en profite pour enlever totalement ses vêtements, il revient quelques secondes plus tard avec une boîte de capotes. Il la vide sur la table du salon, prend un étui et l'ouvre, il l'enfile avec dextérité sur son membre turgescent. Il m'allonge à nouveau sur le canapé, pointe une nouvelle fois sa langue dans mon sexe humide, pendant que ses mains caressent mes seins dressés d'excitation. Il s'allonge sur moi, je sens son sexe se présenter à l'entrée du mien, il me pénètre par petits coups. Quand mes lèvres sont complètement ouvertes sur son pénis, il s'enfonce d'un seul coup. Je sens son pubis contre le mien, je profite de cette intromission que j'attends depuis quelques heures. Christophe entame des allers et retours dans mon sexe. Je ne sais pas si cela dure longtemps, mon envie est tellement forte que je jouis très vite. Il continue ses mouvements en moi, mes orgasmes se suivent jusqu'à ce qu'il arrête, terrassé lui-même par la jouissance. Il ne reste que quelques instants sur moi, certainement pour ne pas me faire supporter le poids de son corps. Je sens son sexe qui quitte le mien avec un petit sentiment de vide.
Il s'assied à mes pieds et me caresse les seins :
- J'attendais ce moment depuis longtemps, je ne suis pas déçu, ce soir, je suis le plus heureux des hommes.
- Attends, ce n'est pas fini, on a le temps.
- J'espère bien.
Il continue ses caresses sur ma poitrine, une main se dirige sur mon ventre, approche de mon pubis.
- J'adore ta petite chatte toute nue, c'est d'un érotisme torride. En plus, je sais que tu l'as épilée pour moi, c'est encore mieux.
- Je ne suis pas sure que Thierry ait vu grand chose, par contre, je suis certaine qu'il savait que, toi, tu avais une vue imprenable.
- Je peux te dire que cela lui aurait plu.
- Ah bon ! Qu'est ce qui te fait dire ça
- Tu sais en célibataires, nous avons discuté de nos goûts en matière de femme et à lui aussi tu plais énormément.
- Vous avez des discussions de machos
- Non, c'est que tu es attirante, c'est plutôt un compliment.
- C'est vrai, je peux le prendre comme ça, c'est plus positif. De plus, plaire à 2 hommes, c'est bien.
- Ah ah ! Ne serais-tu pas un peu coquine ou insatiable ?
Il continue à descendre sa main sur mon minou. Il introduit un doigt dans ma grotte d'amour. De mon côté, de penser à deux hommes me donne envie, je tends une main vers son pénis qui durcit à nouveau. Je lui dis de s'allonger sur le tapis, je me mets tête-bêche sur lui. Je prends son membre dans la main pour continuer à lui redonner la vigueur nécessaire.
De son côté, il alterne ses caresses linguales sur mon clito et me lèvres. Au moment où je me lève pour récupérer une capote sur la table, la sonnette retentit.
- Qui peut sonner à cette heure ?
- Va voir !
- Je vais récupérer un peignoir dans la salle de bain. Je reviens vite.
Je me rassieds sur le canapé, il se lève et se dirige vers l'entrée, sabre au clair. Quelques instants après je l'entends ouvrir la porte :
- Tiens, Thierry, qu'est ce qui t'arrive ?
- J'ai perdu les clés de mon appart, je suis sûr que je les avais chez toi.
- Et tu penses les avoir perdues où ?
- Vers le fauteuil où j'étais assis, tu n'es pas tout seul, apparemment.
- Euh non !
Sa question est inutile, il a certainement vu ma voiture. En plus, si Christophe a ouvert la porte, il doit voir mes vêtements qui sont restés au sol dans l'entrée.
A posteriori, je me demande s'il ne l'a pas fait exprès, car vu où il a retrouvé ses clés, il fallait vraiment le faire.
Sur le moment, je ne pense pas à ça et je me dis que c'est une occasion. Je dis à Christophe :
- Laisse le entrer ! Il sait bien que je suis là
- Tu peux aller dans ma chambre, c'est la porte du fond.
- Ce n'est pas la peine.
- OK, c'est comme tu veux.
Je vois arriver Christophe en premier, vêtu d'un peignoir, visiblement toujours en forme, suivi par Thierry. Je reste assise, évidemment, ma position laisse découvrir mon corps. Thierry ne se gêne pas pour me regarder, c'est normal, si j'avais voulu me cacher, je serais allée dans la chambre de Christophe. En fait, Christophe a l'air plus gêné que moi.
Ils cherchent tous les deux les clés, que Thierry retrouve rapidement, coincées entre le coussin et le bras du fauteuil où il était assis.
- Ah ! super, on va fêter ça
Dès que j'ai prononcé ces mots, je me lève pour aller chercher à boire. Je vois le regard médusé de mes collègues se diriger sur moi. Sans prêter attention, je vais à la cuisine et je reviens avec une autre bouteille de champagne. Ils ne se sont même pas assis, leurs regards vont de ma tête à ma poitrine puis se dirigent vers mes cuisses et mon minou tout dévoilé. Cette situation me rend euphorique, je sens ma grotte d’amour qui s’humidifie de plaisir.
- Asseyez-vous les gars, la vie est belle. Celui qui ouvre la bouteille, je lui fais une surprise.
- Donne là moi, réponds Thierry
Je lui tends, il commence à l'ouvrir. Christophe s'est assis sur le canapé. Je prends nos verres et les mets devant Thierry qui les remplit. Puis je fais le tour de la table, bois une gorgée de champagne et m'approche de Thierry. Je déboutonne sa chemise puis descends vers sa ceinture, je la dégrafe ainsi que son pantalon. Ensuite, je baisse son pantalon et son slip ; son sexe commence à durcir. Je le pousse doucement vers l’arrière pour qu’il prenne place sur le canapé. Je me déplace vers Christophe, j’ouvre son peignoir qui laisse apparaître un chibre bien dur. Je me baisse vers cette colonne de chair qui n’attend que les caresses, ma main la flatte, mais c’est avec ma bouche que je continue. Je sens bien que Christophe est troublé et si je continue je crois qu’il va atteindre le point de non-retour. Je me tourne vers la table pour saisir un préservatif, je lui enfile sur le sexe, puis je lui tourne le dos. D’une main, je tiens son pénis pour le diriger dans mon intimité qui n’attend que ça. Je m’empale doucement, jusqu’à m’asseoir sur lui. Je me tourne vers Thierry, cette fois ci, il bande parfaitement. Il se caresse.
- Viens devant moi !
Il se lève, se place devant moi. Son chibre bien dur est à la hauteur de ma bouche, comme pour Christophe, je le caresse de mes mains avant de débuter une fellation d’enfer. En fait, j’adore avoir deux sexes pour moi. Je me sens remplie, c’est un bien-être immense qui me m’assaille. Donner du plaisir à deux hommes, prendre du plaisir avec deux hommes, c’est incomparable.
Je continue ma caresse buccale sur Thierry, mais j’ai aussi envie de mouvement. Aussi, je les délaisse quelques secondes. Je me mets à quatre pattes sur l’épais tapis du salon et je dis à Christophe de s’installer derrière moi et à Thierry de venir devant moi. Ils s’exécutent et je reprends ma fellation. Christophe s’enfonce dans mon sexe et ses va-et-vient font monter mon excitation. Il n’y a pas que la mienne qui monte, mes caresses manuelles et buccales sur Thierry font leur effet, je sens son chibre qui se contracte, j’accélère mes caresses manuelles, j’enlève ma bouche pour voir son sperme sortir avec force de son corps. Cette vision déclenche le début de mon orgasme, Christophe continue ses mouvements en moi, puis je le sens se coller contre moi et s’immobiliser au fond de mon corps, je jouis à nouveau.
Nous nous séparons et nous asseyons sur le canapé. Thierry est le premier à parler :
- Tu parles d’une soirée, je n’aurais jamais pensé que cela se finirait de cette manière.
- Moi non plus. Réponds Christophe.
- Et bien on pourrait boire un peu, j’ai soif
Christophe me tend mon verre, un peu de champagne, rien de tel pour finir une bonne soirée.
Machinalement je prends la boite de préservatifs : elle est vide ; heureusement, il lui en restait deux, pour ce soir c’était suffisant. Nous discutons encore quelques minutes, puis je déclare que je commence à être un peu fatiguée et que je vais rentrer. Je me lève pour récupérer mes habits. Je les enfile dans l’entrée, je pense qu’habillée je leur redonnerais moins envie qu’en revenant nue.
Thierry aussi s’est rhabillé, Christophe a juste refermé son peignoir. Je les embrasse et me dirige vers la porte d’entrée. Christophe m’accompagne. Avant de sortir je l’embrasse à nouveau, je lui dis :
- Je te laisse ma culotte, tu me la rendras Lundi.
- Ah, mais c’est vrai que tu es toute nue la dessous.
Et d’un geste rapide, il vérifie. Il me sourit et m’embrasse tendrement. Je le quitte et me dirige vers ma voiture.
Bien sûr, le lendemain matin, j’ai tout raconté à mon époux, qui m’a fait l’amour comme une bête, tellement il était excité par mon récit.
Le lundi, quand je retourne au travail, je retrouve Christophe à la machine à café. Comme nous ne sommes que tous les deux, il me dit :
- J'ai quelque chose à toi dans la poche.
- Donne là moi, je vais aller la remettre.
- Ne me dis pas que tu n'as rien dessous ?
- Ben si, je ne l'ai porté que quelques heures, je peux bien la réutiliser.
- Alors tu es venue au travail sans culotte ?
- Oui, pourquoi ?
- Je ne te crois pas.
- Je ne peux pas te le prouver ici, ce n'est pas discret, quelqu'un pourrait arriver.
- Tant pis, tant que tu ne me l'auras pas prouvé, je ne te rends pas ton string. Et tu seras cul nu toute la journée.
- Oh pour moi, ce n'est pas gênant, mais toi, tu vas y penser tout le temps, ce n'est pas bon pour ton efficacité. Allez, je retourne au boulot.
La machine est dans un renfoncement du couloir et, en fait, en regardant à droite et à gauche en repartant, il est possible de voir si quelqu'un arrive. Ce que je fais. Comme personne ne montre le bout de son nez, avant de m'engager, je tourne la tête vers Christophe, lui souris, et d'un même mouvement des deux mains, je relève ma jupe jusqu'à la taille et découvre mon postérieur, libre de toute entrave, évidemment. Je retourne dans mon bureau.
Quelques minutes après, je l'appelle au téléphone :
- Tu vois que je ne raconte pas de bêtises.
- J'avoue que j'en suis baba, c'est la première fois ?
- C'est mon secret, je te laisse deviner.
Et je raccroche.
La matinée se passe sans autre interruption. A midi, Christophe vient me chercher pour aller manger. Dans le couloir, il se retourne et tout de suite après passe une main sur ma hanche. Je lui dis :
- Tu veux t'assurer que je n'ai rien en dessous ?
- Ben oui, je me suis demandé, toute la matinée, si tu ne m'avais pas monté un coup en enlevant ta culotte juste avant de venir au café pour la remettre après.
- Ce n'est pas mon genre, en plus, je ne pouvais pas savoir que nous ne serions que tous les deux. Par contre, j'aimerais bien que nous soyons un peu discrets. Toi, je te fais confiance, mais je ne sais pas comment Thierry va réagir.
- Oh, ne t'inquiète pas, il est reparti à la conquête de Virginie.
- Comment tu le sais ?
- Ce matin, il m'a dit qu'il l'avait invité au cinéma samedi soir. En fait, il semble que Virginie était un peu jalouse, car elle a remarqué que Thierry t'observait de près, alors il ne va pas se vanter de sa fin de soirée de vendredi.
- Tant mieux, cela me rassure, mais quoi qu'il en soit, je ne voudrais pas que l'on te surprenne à me peloter dans les couloirs.
- J'ai vérifié qu'il n'y avait personne.
- J'ai vu et je t'en remercie, il en faut peu pour que le bruit courre. Que les gens parlent de mes habits sexy c'est une chose, s’ils se rendent compte de nos relations, cela pourrait nous nuire. Au fait, maintenant, tu peux me rendre mon string, je t'ai prouvé la véracité de mes dires.
- Je l'ai laissé dans mon tiroir de bureau. Je me suis dit, soit elle m'a monté un coup et elle n'en a pas besoin, soit elle a dit la vérité et cela va être vraiment bon de savoir qu'elle est nue sous sa jupe et manger en sa compagnie, au milieu de nos collègues qui l'ignorent.
- Et si cela me gênait ?
- J'ai bien pensé à cette éventualité et, à la réflexion, j'ai déduit que ce n'était pas possible, vu notre soirée de vendredi et ta tenue de ce matin. Tu ne serais pas venue, nue sous tes vêtements, si tu étais gênée.
- En fait, tu as raison, non seulement, je ne suis pas gênée, mais en plus cela me fait plaisir que tu le saches.
- Arrêtes, je commence à bander, avant d'aller déjeuner ce n'est pas bon. Déjà que je vais y penser tout le repas et tout cela sans pouvoir calmer mes ardeurs, trop dur.
- Si tu m'avais rendu ma culotte, tu n'aurais eu l'esprit à cela. Tant pis pour toi. Puis je crois qu'il faut parler d'autre chose, on arrive au self.
De fait, nous sommes à l'entrée de notre cafétéria. Dans la file d'attente, ce petit cochon de Christophe en profite pour me peloter les fesses. Je me suis débrouillée pour ne pas être à côté de lui, mais durant tout le repas, je sens son regard sur moi. Je me sens toute émoustillée : je suis nue sous ma jupe, au milieu de mes collègues, il le sait et cela l'excite, c'est évident. Par contre coup, moi aussi. Il va falloir qu'on fasse quelque chose. Au boulot, c'est un peu risqué, mais c'est tellement bon de jouer avec le feu. J'attends qu'il ait fini pour me lever de table. Nous repartons ensemble, une de mes collègues de bureau nous accompagne. Tant pis, je l'appellerai au téléphone.
Heureusement, ma collègue doit aller au service RH et elle nous laisse tous les deux. Christophe me dit:
- J'ai envie de toi, de te savoir sans culotte m'a vraiment excité.
- Je m'en doute, moi aussi, mais on peut aller où ?
- Le seul endroit pas trop risqué, c'est la salle des serveurs informatique, elle est fermée et j'ai la clé. En plus l'entrée est un peu cachée, puis à cette heure personne n'y va, les sauvegardes c'est le soir. Attends moi vers le panneau du CE, j'arrive tout de suite.
Je me dirige vers le panneau. Je n'avais pas pensé que sa position de responsable réseau lui donnait l'accès à cette salle. Je n'ai pas longtemps à attendre, son bureau n'est pas très loin. Il me fait signe de le suivre, il a déjà ouvert la porte et nous entrons rapidement. Il referme le verrou et laisse la clé sur la serrure.
Ensuite, il me prend par la main et m’entraîne vers le bureau situé dans un coin de la pièce. Il me pousse contre le bureau et se baisse tout de suite devant moi. Ses mains se posent sur mes genoux et remontent délicatement ma jupe, sa bouche se dirige vers mon pubis. Je sens sa langue s’insinuer dans ma fente pour aller titiller mon clito qui n'en demande pas tant. J’écarte les cuisses, sa langue descend vers mes lèvres intimes qui n’ont pas besoin de cela pour être humides. Puis, il insinue sa langue dans ma grotte d’amour, il me pénètre littéralement avec sa langue. Je sens mon excitation monter, il alterne caresse sur le clito et pénétration linguale. Un doigt vient à son aide et me pénètre en douceur, sa langue continue à me titiller le clito. Les deux caresses me font jouir une première fois.
Je l'incite à se remettre debout en le prenant sous les bras. Je déboucle sa ceinture, ouvre son pantalon et baisse slip et pantalon. Sa tige de chair turgescente m'apparaît dans toute sa vigueur. Je caresse son sexe avec la main pour bien me rendre compte de son envie. Il est vraiment dur, preuve de son excitation, s'il en ait besoin. Pendant que je m'active sur lui, il a récupéré un préservatif dans une poche. Je me dis qu'il a dû tout combiné, car je ne le vois pas se promener en permanence avec une capote dans la poche. Ce témoignage indirect de désir me fait plaisir. Je me relève pour qu'il puisse enfiler le préservatif. Il s'avance vers moi, plie les genoux et se présente à l'entrée de mon sexe. Je m'appuie avec les mains sur le bureau et j'attends avec bonheur la pénétration. Son pénis entre petit à petit dans ma grotte humide de désir. Quand il est complètement dedans, il reste quelques instants collé contre moi, je sens mon pubis nu caressé par sa toison. Il commence des va-et-vient dans mon corps. Je ressens avec plaisir mon vagin trempé d'excitation par ces allers-retours. Il alterne mouvements rapides et courts avec des mouvements lents et profonds, pendant lesquels il ressort presque entièrement de moi. Cette alternance de rythme, de sensation de vide et de plénitude a tôt fait de m'amener une nouvelle fois au septième ciel.
J'ai envie de changer de position, car j'ai un peu mal aux bras. Aussi, je le repousse gentiment, je vais au bout du bureau et m'allonge en partie dessus, dos tourné vers Christophe : j'adore la levrette. Bien sur, ma jupe est redescendue, je la relève et dévoile mon postérieur qu'il connaît déjà. Christophe arrive derrière moi et cette fois-ci, il me pénètre d'un seul coup jusqu'aux tréfonds de mon corps. Je sens son excitation à son rythme, il s'accroche à mes hanches et fait des mouvements rapides et profonds. Je sens ses boules qui tapent mon pubis. Mon excitation monte graduellement, je suis au bord de l'orgasme, je me retiens pour ne pas trop gémir de plaisir, jusqu'au moment où je sens qu'il jouit, abouté au fond de mon vagin, les mains crispées sur mes hanches. Cela me déclenche un orgasme fantastique.
Quand il se retire, je ressens une impression de vide. Avant que j'ai le temps de me relever, je sens une caresse sur mes lèvres intimes : il est en train de m'essuyer délicatement avec un mouchoir en papier. Puis, il embrasse chacune de mes fesses et rabaisse ma jupe sur mon postérieur. Il m'aide à me relever. Il s'est déjà rhabillé, il est vrai que j'ai mis un moment à atterrir après ce plaisir dévastateur.
- Bon, ce n'est pas que je veux être rabat-joie, mais si nous voulons être discrets, il ne faut pas rester ici trop longtemps.
- Tu as raison, moi il me faut toujours un petit moment pour me reprendre.
- Au fait, tu veux remettre ton string ? Je l'ai pris quand je suis allé chercher les clés.
- OK, rends le moi, mais si tu préfères, je ne le remets pas, de cette manière, tu auras le souvenir de mon petit cul nu sous ma jupe.
- Tu es vraiment une gentille aguicheuse, j'adore. Et on recommence quand ?
- Alors ça, je ne sais pas, je vais y réfléchir., je ne voudrais pas que cela devienne automatique, il n'y aurait plus de charme. Comment fait-on pour sortir ?
- Je vais y aller en premier, s'il n'y a personne dans le couloir je cogne à la porte, tu sors et moi je rentre à nouveau, je te laisse quelques minutes et je sors à mon tour.
- Ok, tu m'appelles pour aller prendre un café ?
- D'accord.
Il sort, quelques secondes après il cogne à la porte, je sors à mon tour et je me dirige vers mon bureau, en faisant comme si je venais directement de la cafétéria.
Assise à mon bureau, je me demande si je ne suis pas en train de faire une grosse bêtise : avoir des relations avec un collègue de travail, cela peut être gênant, les mauvaises langues sont légions, mais cela reste du domaine personnel. Par contre, baiser sur les lieux de travail, c'est limite faute professionnelle.
Tant pis, je pense que le jeu en vaut la chandelle, la vie est courte, de plus, braver les interdits est toujours excitant.
Je réfléchis à ce que je pourrais trouver pour mettre un peu de piment dans nos relations, sans prendre trop de risque, il est impossible d'aller régulièrement dans la salle des serveurs sans se faire repérer un jour ou l'autre. Comme je ne veux pas être soumise au désir de Christophe, je cherche quelque chose d'aléatoire mais en même temps érotique.
Après quelques instants de réflexion en pensant à la soirée de vendredi, je trouve une "astuce", j'ouvre ma messagerie et lui envoie le courriel suivant :
A partir de maintenant, je ne mettrai que des robes ou des jupes.
Dessous je porterai 3 tenues différentes :
- porte-jarretelles, bas, culotte ou string.
- bas Dim-up, culotte ou string.
- Les uns ou les autres, sans culotte.
J'avais pensé remplacer la dernière solution par
- porte-jarretelles, bas, sans culotte.
- bas Dim-up, sans culotte.
Mais il n'y aurait eu qu'une chance sur 4 pour que tu trouves ma tenue.
Parce que, le but c'est que tu trouves ce que je porte. Si tu as vu juste, tu auras le droit à une gâterie de ton choix, après le repas, au local de tout à l'heure à moins que tu ne trouves un autre endroit.
Comment allons-nous faire ?
Le matin, nous prendrons notre café ensemble, comme la plupart du temps ; à ce moment tu auras tout le loisir de m'observer. Ensuite, pour être discrets, quand tu retourneras dans ton bureau, tu m'enverras ta réponse par courriel
- pj pour la tenue 1
- Du pour le tenue 2
- Sc pour la tenue 3
Je te répondrai par vrai ou faux.
Si tu trouves la bonne réponse, tu auras toute la matinée pour réfléchir à ce que tu veux. Terrible.
N'oublie pas de supprimer ce courrier.
A plus
Quelques minutes après, le téléphone sonne. C'est Christophe.
- J'ai reçu ton courrier, l'idée me plaît, même si je n'ai qu'une chance sur trois.
- Si tu es un bon observateur, tu peux augmenter tes chances, il y a des signes qui ne trompent pas.
- Je te paye un café et tu m'expliques ?
- OK, j'arrive.
Je me dirige vers le distributeur. Christophe m'attend, il n'est pas tout seul. Heureusement, le temps que nos boissons se préparent, les autres s'en vont.
- Allez, expliques moi !
- Si tu ouvres bien les yeux, il y a des choses qui transparaissent.
- Quoi, par exemple ?
- Les élastiques de ceinture, les bourrelets que font les coutures sur les fesses et puis c'est à toi de deviner.
- Qui me dit que tu ne vas pas tricher ?
- Personne, mais tu peux me faire confiance, je ne me défilerai pas.
- Et on commence quand ?
- Pas aujourd'hui, tu sais comment je suis, mais demain ça me paraît bien.
- Ok, je vais attendre demain avec impatience.
Nous finissons notre café et retournons à notre travail.
Le lendemain, je vais au travail, habillée d'une robe, sous laquelle je mets un porte-jarretelle et un string. Je ne suis pas certaine que Christophe puisse se faire une idée de ma tenue, tant pis, c'est le jeu.
Cela se confirme bien avec le mail qu'il m'envoie :
DU
Il n'a vu ni les attaches du porte-jarretelles, ni la ceinture.
Je lui réponds le message convenu avec un petit commentaire :
Faux, pour gagner, il va falloir faire preuve d'un meilleur talent d'observateur.
Malheureusement pour lui, il se trompe encore les deux jours suivants. Il est vrai qu'il n'a théoriquement qu'une chance sur trois. D'ailleurs, le troisième jour, il m'envoie une réponse en me disant que rien ne prouvait que je ne trichais pas.
Je me dis qu'il faut que je fasse quelque chose, car, autrement, Christophe va se décourager. Je lui réponds :
Pour te simplifier la tâche, à partir de demain, je changerai tous les jours et comme chaque jour je te donnerai la réponse, tu auras une chance sur deux, c’est largement mieux que le loto.
Aujourd’hui, c’était DU.
Bonne chance.
Le lendemain, je mets un porte-jarretelles et un string. En plus, je choisis une jupe fine et fluide, à travers laquelle, il est possible de distinguer les attaches du porte-jarretelles, quand je me tiens dans certaines positions. Ce qui me permettra d’être discrète vis-à-vis de mes autres collègues. Cela ne me gêne pas d’être habillée un peu légèrement, même sexy, mais je pense que si certains s’apercevaient que je mets un porte-jarretelles, les potins iraient bon train. J’ai bien le droit de m’habiller comme je veux, mais comme les mauvaises langues sont nombreuses, je préfère ne pas me faire remarquer.
Nous sommes vendredi et je veux lui faciliter la tâche, je suis décidée à enlever mon string, s’il ne voit pas que j’en porte un. C’est de la triche, mais c'est pour la bonne cause.
Au bureau, j'attends avec impatience le moment où je vais aller prendre mon café et où Christophe va essayer de distinguer toutes les marques que mes sous-vêtements peuvent laisser sur ma jupe.
Il m'appelle à l'heure habituelle, je le rejoins sans attendre. Dès que j'arrive au distributeur, je vois ses yeux parcourir mon corps et chercher à trouver les marques que peuvent faire mes dessous. Pendant qu'il me sert un café, je m'installe à une de ces tables hautes qui permettent au consommateur de poser leur gobelet et obligent à boire debout. L'avantage, c'est qu'il y a une barre, sur laquelle on peut poser un pied. Ce que je m'empresse de faire : ma jupe fine épouse parfaitement ma cuisse, l'attache du porte-jarretelles fait une petite bosse. Cette fois-ci, je suis sure qu'il va trouver au moins une partie de la réponse.
Christophe s'installe à côté de moi, son sourire m'assure qu'il a vu ce que je voulais lui montrer. Il ne lui reste plus qu’à deviner si je porte une culotte ou non.
La présence de collègues nous oblige à parler de manière anodine, cela n’est pas plus mal, malgré son impatience, il doit attendre pour avoir la réponse à ses interrogations.
De fait, à peine de retour au bureau, j’ai un message sur mon ordi :
PJ
Donc, il a trouvé, je suis dans l’obligation de satisfaire ses desiderata, ce qui n’est pas désagréable. Je lui renvoie un message :
Exact, tes désirs seront des ordres, que je réaliserai avec plaisir.
La réponse ne se fait pas attendre :
Avant d’aller manger, je prendrai la clé du local info. Pour être plus discret, je partirai en premier et j’irai directement ouvrir la porte ; je la laisserai ouverte, tu pourras entrer sans frapper. En plus, mon collègue a pris un jour de rtt, donc il ne risque pas de venir nous déranger.
Je vais penser à cela toute la matinée, vivement midi.
Je me demande ce qu’il va vouloir et cette interrogation m’excite déjà.
Le repas se passe comme prévu, Christophe s’en va quelques minutes avant moi. Dès que je peux quitter mes collègues discrètement, je me dirige vers notre local préféré, j’entre directement. Comme prévu, la porte n’est pas verrouillée, je la ferme à clé, dès que je suis à l’intérieur.
Il est assis sur un bureau, il se lève aussitôt. Cette fois-ci, c'est moi qui dirige le début des opérations : je m'attaque tout de suite à sa ceinture, je déboutonne son pantalon et baisse la braguette. Je passe les mains sur ses hanches et tente de baisser pantalon et slip en même temps, mais son sexe a déjà pris du volume et gêne la descente. Je suis "obligée" de passer une main entre la ceinture et son corps, de cette façon, je touche l'objet du délit. Je continue à descendre ses vêtements, quand ils sont aux genoux, j'ai son chibre à la hauteur des yeux. Je ne peux m'empêcher de le prendre dans ma bouche, je le sens devenir de plus en plus dur. J'ai envie de le sentir en moi, je me relève, passe mes mains derrière ma jupe, descends le zip et la laisse tomber à terre, puis j’enlève mon string. Je m'allonge sur le bureau, les fesses au ras du bord du bureau. Christophe a profité de mon déshabillage pour mettre un préservatif. Il s’approche de moi, pose sa main sur ma petite chatte toute nue. Ses caresses me donne des frissons de bonheur. Il titille délicatement mon clito, le prend entre deux doigts, je me sens devenir de plus en plus excitée. Je relève les jambes, je prends mes chevilles dans les mains, il doit me voir ouverte de désir. Christophe s’avance encore plus de moi, son sexe turgescent touche mon pubis. Il dirige son chibre vers mes lèvres intimes, il me caresse avec, puis se décide enfin à me pénétrer. Je sens son membre entrer dans mon corps qui ne demande que ça. Il s'enfonce doucement en moi, jusqu'à ce que son ventre me touche, il est entièrement dans mon puit d'amour.
J'ai de plus en plus envie qu'il s'agite en moi :
- Vas-y, bouge ! J'ai trop envie !
Il s'exécute et ressort entièrement, puis replonge au fond de moi ; il recommence de nombreuses fois cette manœuvre. Ensuite, il accélère la cadence de ses pénétrations et, bien qu'il soit certainement très excité, il tient longtemps le rythme. Mon excitation augmente rapidement, je sens que je vais bientôt jouir. Christophe a dû le sentir, il reste un moment au fond de ma grotte, je ne sais pas si c'est le fameux point G, en tout cas ma jouissance explose.
Ma position, sur le dos, sur le bureau, est quand même un peu inconfortable. Je propose à Christophe de me prendre en levrette. En me relevant, je prend conscience de ma tenue : nue du ventre aux pieds, mon minou épilé encadré par le porte-jarretelles, en fait je me trouve diablement érotique. Comme la dernière fois je m'installe en partie à plat ventre sur le bureau. Christophe n'attend pas et me pénètre d'un seul coup. J'adore tellement cette position, qu'il ne me faut pas longtemps pour jouir à nouveau. Mon plaisir a été si rapide à venir que les mouvements de va-et-vient de Christophe, dans mon corps, ne sont pas arrivés à le mener au septième ciel. Egoïstement, j'ai pensé plus à moi, qu'à lui, et dire que je lui avait dit que ses désirs seront des ordres. Heureusement, je sais comment le faire jouir à coup sur. Je suis tellement excitée, que j’ai envie de me donner entièrement à lui : je passe une main derrière moi, prend son sexe, le retire de mon minou et le présente devant mon petit trou, qui est tout humide de mes jouissances précédentes. Je me détends et pousse mes fesses en arrière pour que son gland commence à pénétrer mon anus. Je lui dis :
- A toi maintenant ! Enfonces-toi en moi !
- Tu veux vraiment ?
- Oui, sodomises-moi, je suis sure que tu en as envie. Allez ! Encules-moi !
Je ne sais pas ce qui me prend, d’habitude je suis moins triviale, mais là, je suis prête à tout.
Christophe s’exécute et je sens sa tige de chair turgescente s’enfoncer dans mes entrailles. Il me pénètre par à-coups, lentement pour que mon petit trou s’habitue à la présence de ce membre, source de bonheur pour l’un et l’autre. En plus, il passe une main sous moi et caresse mon clito avec un doigt agile. Il fait des incursions dans mon sexe trempé et resserré qui ne demanderait qu’à être pénétré lui aussi. Petit à petit, il investit mon corps, son chibre est bien au fond de moi, ses boules touches mes lèvres lisses. Ses mouvements sont un peu freinés par sa position, aussi, je passe une main sous moi pour remplacer la sienne. J’en profite pour caresser son chibre, je sens la douceur de ma chatte épilée, je ne peux m’empêcher de me caresser. Christophe a mis ses mains sur mes hanches et fait des mouvements amples et rapides dans mon derrière, je sens qu’il ne va pas tarder à jouir car il accélère encore le rythme. Ses mains se crispent sur mes hanches et d’un coup il entre au plus profond de moi et reste abouté dans mon petit trou, en pleine jouissance. Moi aussi je jouis, est-ce par mes caresses ou par la pénétration, je ne sais, peut-être les deux. Quoi qu’il en soit c’est très bon.
Christophe se retire de moi, je me relève après quelques instants pour reprendre mes esprits. En silence, il remonte son pantalon et prend dans sa poche un mouchoir en papier qu’il me donne, pour que je puisse essuyer de mes sécrétions intimes. Ensuite, il se baisse pour ramasser ma jupe et mon string et il me les tend. Je remets ma jupe mais pas mon string :
- Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, je ne remets pas mon string, je te le laisse, j’aime bien que tu saches que je suis nue sous ma jupe. De plus, j’adore sentir l’air sur ma petite chatte toute nue et toute humide.
- Tu veux vraiment que je sois obsédé par ton corps ?
- Oui, j’aime bien être désirable et désirée. Tu as tout fait pour que je tombe dans tes filets, alors, il faut en subir les conséquences.
- Tu te rends compte que si je pense à toi, je vais encore avoir du mal à travailler.
- Heureusement pour toi, nous ne sommes pas dans le même bureau. Allez, en parlant de boulot, faut y retourner.
- Dommage, j'aurais bien continué.
- Une autre fois peut-être ! Je pars en premier.
Je me dirige vers la porte et je sors du local en faisant un clin d'œil à Christophe.
Le dernier après-midi de la semaine se déroule assez vite et je retourne chez moi. Je ne sais pas si mon mari va m'interroger et je ne sais pas si je vais tout lui dire, mais j'ai pris du plaisir, c'est l'essentiel.
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