L'amour au féminin au fil du temps

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'amour au féminin au fil du temps Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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L'amour au féminin au fil du temps
Vers l'an 1400 les paysans du coin suivant les consignes du prêtre, poursuivent Julie, jeune femme du 18 ans encore célibataire, une vieille fille, quoi.Son seul refuge est la masure d'une autre fille perdue, Claire, qui a eu la chance de posséder sa maison. Julie éclate en sanglot : son crime est de ne pas vouloir épouser l'homme de confiance du maître. Depuis le viol qu'elle a subit quand elle avais à peine 12 ans, il refuse d'entendre parler même de la bite. Elle sera en sécurité chez Claire.
La nuit est loin de tomber. Après quelques instants d'embarras, Claire accepte de Julie soit chez elle.
Un peu de soupe claire remet sur pied la pauvre Julie. La hutte ne possède qu'un grabat. Il devra suffira aux deux jeunes femmes. Comme à l'époque les filles se mettent nues, sans complexe. Juste un petit regard curieux sur les chattes velues.
La couverture étendue sur elles, la nuit commence tranquillement, sauf que Claire demande à Julie ce qui se passe exactement. Elle avoue son déplaisir des hommes.
Pourtant tu sais c'est bon des fois un sexe d'homme dans le ventre.
J'en ai eu deux à la fois, j'ai eu mal, depuis je ne veux plus d'homme.
Tu sais Madame, la femme du Maître elle aussi ne veux plus d'homme. Je les remplace au moins deux fois la semaine. Elle est toujours satisfaite de mes services.
Quels services ?
Lui donner du plaisir, elle pourrait l'avoir seule, mais elle elle aime partager avec moi, je ne demande pas mieux.
Vous faites quoi ?
Je vais te montrer.
Sans une parole de plus, Claire prend Julie dans ses bras. Elle pose délicatement ses lèvres sur celle de sa visiteuse. Sans rien imposer elle caresse doucement les seins. Elle laisse à Julie le temps de savourer ce qu'elle fait pour aller plus bas. Malgré elle Julie écarte sa chatte, enfiévrée malgré elle. La drôle de délivrance arrive quand un doigt guérisseur se pose juste là où ça brûle.
Pour cette première caresse Julie sent le plaisir arriver en elle. Elle n'ose pas rendre la caresse pourtant facile. Claire pousse la main de Julie vers elle.Elle le tient pour commencer. Enfin Julie lui rend ce qu'elle a eu. Claire jouit à peine, il lui en faut beaucoup plus, pas une bite. Elle préfère rouler le bord de la couverture pour en entrer un bon bout dans le vagin. C'est rugueux, ce qui plaît au ventre de Claire. Elle se masturbe seule devant les yeux étonnés du Julie.
Au petit matin Claire se lève pour réchauffer le peu de soupe. Toujours nue, elle sert Julie, elle aussi nue. La bas ventre de Claire est proche de la bouche de Julie. Claire le lui tend, elle ouvre ses lèvres. Julie vois la chatte humide. Elle se doute bien que si Claire la lui montre c'est qu'elle veut autre chose. Comme une évidence, Julie sens d'abord l'abricot qui exhale les senteurs de la nuit. Cette odeur l'excite sans qu'elle sache pourquoi. Elle mord le fruit présenté.
La langue rappeuse se faufile dans les méandre du sexe féminin. Claire tient la tête , la dirige un peu. Elle sent le début du bonheur, presque comme celui que lui rend Madame. Son bijou donne enfin le plaisir qu'elle attend. La jeune Julie fait ce qu'elle a appris à faire en plusieurs mois.
Les semaines,les mois, les années passent ; tout le monde, sauf Madame les a oubliées.
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Lou XV° Règne. En profonde Normandie les paysans râlent quand la fille du comte ne veux pas d'époux. Les prétendants sont de bonnes races ; Madeleine refuse tout les hommes. Elle s'est entichée de la fille d'un fermier. Elle l'abrite sous son toit, dans sa chambre même. Le père, le comte admet cette « trahison » : seul le bonheur de sa fille compte. Lui se contente de la mère de la fille, d'où des spectacles coquins qu'heureusement les croquant de voient pas. Il est courant que la mère de la fille change de lit.
La fille du fermier commence à avoir des habitudes, des exigences même. Elle est devenue la maîtresse de la fille, son amante, celle qui commande. Même le comte obéi. L'été elle décide de vivre nue dans le château. Tous doivent la suivre ; y compris le comte. Il est plaisant de le voir la bite balançant quand il marche, ou dure quand il est excité. Même sa fille le remarque sans en être outragée. Voir l’accouplement de sa jument donne des idées. La fermière entraîne son amante dans une cavalcade folle sur le dos de l'animal. La femme est devant, la fermière derrière la tenant pas la taille avec une main négligemment posée sur l'autre cuisse. L'excitation est vite là. La crinière de l'animal frotte juste là où il faut. Les lèvres de sexe s'ouvrent le plus possible. Les doigts de la femme derrière elle passent sur le bouton. Elle donne un bel orgasme à la femme. Si elle ne tombe pas c'est grâce aux bras de sa maîtresse. Seul la raison force la jeune femme à prendre époux. Elle trouve le bon mari qui convient un avorton qui ne peut baiser. Il lui suffit pour se faire dépuceler par un voiturier de passage, et prendre goût aux belles bites. On ne refait pas les femmes !!!
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Les joies de la fin de cette longue guerre tueuse, mangeuse d'hommes :1918 . Il en manque terriblement. Il en manque pour Lucile qui juste avant avait fait l’amour à son promis. Il a disparu....Seule maintenant elle ne veut plus entendre parler d'homme. Ce sons les années folles ; Lucile le devient aussi. Elle fait la connaissance dans le cabaret où elle travaille d'une autre fille comme elle. Les jours de repos se comptent sur les doigts. Elles les passent ensemble. Une entente se crée. Elles sont très amies, trop proches pour certains.
Lucile aime passer du temps avec Alberte. Au début elle ont tellement de points communs qu'elles bavardent sans cesse. La crise les rapproche, les obligeant à vire ensemble. L'une et l’autre prennent l’habitude de voir l'autre nue, par hasard, puis par habitude. Jusqu’au jour où Alberte déclare à Lucile qu'elle ne lui déplairait pas pour une nuit ensemble. Il n'est pas besoin de dessins pour la suite. Elles savent que souvent des femmes s'amusent entre elles. Lucile se laisse la caresser, même si elle préférerait des main masculines. Pourtant les mains de femmes lui enlève toutes traces de problème. Elles la délacent même surtout au moment le plus fort : elle rugit son plaisir, celui qu'elle n'a pas eu à deux depuis longtemps. Le plus dur pour Lucile est de lécher une sexe de femme. Au début c'est bien pour rendre service. La suite montre qu'elle aime la cyprine, comme elle aime la, non les langues sur elle.
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Il y a peu, Josée rencontre au bureau Pierrette, un camarade qui la convie chez elle avec son mari amateur comme elle du triolisme. La soirée, après un alcool commence fort bien. Pierrette l’embrasse rapidement sur la bouche. Étonnée, pas réticente, Josée se laisse faire, elle rend même la langue dans la bouche. Comme une évidence la main du mari vient sur sa cuisse. Là, c'est le virage:ou refuse la suite ou elle l'accepte. Refuser du plaisir n'est pas dans la nature de Josée ; Elle laisse la main aller loàù elle veut.
Elle se retrouve avec eux main dans ses jambes. Une cherche à caresser sans aller trop haut, l''autre au cnraire est sur le ont délicat du sexe. Josée se laisse aller vers le plaisir. Elle le rend au mins en partie en, prenant dans la main la bite géante. Elle n'arrive pas à la sortir : c'est lui qui la li donne avec l'aide de sa femme.
Le besoin de la queue l'oblige se mettre sur les genoux du mari. La femmes derrière elle s’occupe de ses fesses. Baisée par un gros moreau, branlée par le cul Josée n'en peu plus : elle jouit plusieurs fois. Cette fois la maîtresse de fit enculer, la chatte exposée à la vue de Josée. Lécher un con, voilà qui manque au palmarès de Josie qui se révèle ne redoutable lécheuse.

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