L'Amour avec Dédé
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'Amour avec Dédé
Elle voulait acheter une voiture d’occasion. Je suis vendeur dans un garage, pas une usine à vendre, une petite boite. Quand elle entre dans la boutique je la vois en étant occupé à arroser des plantes. Elle ne me déplait pas. Je vais vers elle avec mon plus beau sourire. Elle m’explique ce qu’elle désire. Je suis attirée vers elle, je ne fait presque pas attention à ce qu’elle dit. Elle me montre une voiture qu’elle veut essayer.
Nous voilà parti pour un moment. Nous n’avons pas parlé un seul instant de la voiture. En rentrant elle signait la vente, sans discuter. Le reste s’est fait naturellement. Elle me plaisait, je lui plaisais. Le lendemain, juste avant la fermeture, elle revient à la concession pour un détail.
Nous repartons dans sa voiture. Elle me fait part de son soucis. Elle s’arrête au bord de la route pour me dire je ne sais quoi: ma bouche lui coupe la parole: notre premier baiser dure, dure longtemps. Je n’ose pas faire un faux mouvement: je reste tranquille, je l’invite simplement au restaurant. Elle accepte rapidement sans complexe. Enfin je peux la voir comme il faut: visage un peu carré, avec des cheveux châtains clairs, longs, des lèvres sensuelles. Je vois sa poitrine: ses seins semblent déborder du débardeur. Pour le reste il faut que j’attende qu’elle soit debout.
Le maître d’hôtel met un long moment avent de venir nous voir. Nous bavardons de nous: elle s’appelle Dédé, diminutif d’Andrée. a 21 ans est célibataire depuis deux mois, elle vit seule en ville dans un deux pièces. Elle aime faire la cuisine, aime les petits plats. Par contre elle n’aime pas du tout repasser.
Enfin nous sommes servis. La conversation repart sur des bases encore plus personnelles. A mon tour je me découvre: je suis seul dans la vie J‘ai 30 ans, mon ex est parti avec un de mes meilleurs amis, je suis libre comme l’air. Elle en sourit. Je prends sa main pour la « punir ». Elle me laisse faire, en ne retirant pas sa main et en regardant le mienne avec un léger sourire. Je sens que j’ai la gagne au bout des doigts. Je monte ma main sur son bras, elle me laisse faire. Je sens qu’elle me fait du pied.
Nous allons nous promener à pied en nous arrêtant dans un jardin public totalement désert. Sur le banc, nous faisons comme les amoureux d’antan: nous nous bécotons, sauf que les bisous deviennent de véritables baisers. J’en profite pour lui caresser un peu la poitrine qu’elle me tend. Je sens ses tétons pousser comme de véritables champignons. Elle en gémit même. Puisqu’elle semble aimer ce que je fait je passe ma main entre ses jambes, sur son jean. Je monte vers sa chatte.
Elle me rend la pareille en venant poser une main trop curieuse sur ma bite. Nous sommes surexcités.
Je l’emmène chez moi, où ce qui devait arriver est là. Dès l’entrée je l’embrasse, nos langues ne se séparent pas d’un millimètre. Nous ne pouvons pas nous empêcher de toucher nos sexes à travers les vêtements.
Finalement je lui ai enlever le débardeur, comme je le pensais elle ne portait rien dessous. Ses seins durcissaient sans arrêt.
Je me trouve à l’étroit dans mon pantalon. Mon désir monte rapidement. J’embrasse ses seins, les malaxe, tire légèrement sur le tétons. Dédé demande plus, sans le dire, elle masse son pubis contre ma cuisse. Je défais son jean, le fait descendre en même temps que sa culotte. D’elle-même elle se débarrasse de ces deux vêtements. Nue maintenant, je peux enfin la caresser où je veux, où elle veut. Dédé n’hésite pas à me faire enlever mon pantalon. J’enlève de moi-même ce qui me reste pour être égal à elle.
Elle me fait bander encore plus. Elle me plait, me donne encore envie d’elle, je veux la baiser:
- Je te veux, maintenant.
- Oui, prends moi.
- Comment tu veux ?
- Ca m’est égal, baises moi.
Demander ainsi est rare, je la couche sur le lit. Elle se fait chatte en se tournant pour me montrer ses fesses magnifiques. Elle ouvre ses jambes pour m’inviter. Je vois toute sa fente bien mouillée.
Je ne me couche pas sur elle, je veux voir ma bite entrer dans sa chatte. Elle est comment moi, elle regarde bien comment je la baise. Elle prend ma bite pour la diriger. Je suis juste à l’entrée de son vagin. Elle passe ses jambes sur mes fesses. Elle est prête.
Je ne veux pas la décevoir: je la pénètre très lentement. Mon gland sent ses tissus. Je sens mon prépuce se retirer. Je suis enfin dans son ventre: elle est très chaude dedans. Avant que je soit au fond de son trou, elle fait le mouvement utile pour qu’elle soit totalement baisée. Maintenant que nous avons vu l’introduction nous nous regardons dans les yeux. J’y lis son besoin de jouissance. Elle a son premier orgasme quand je suis au fond. J’y reste sans bouger le temps de son plaisir. Je reprends mes aller et venue pour jouir à mon tour dans son ventre.
Il me semble jouir plus que d’habitude. Nous nous embrassons encore. Quand je sors d’elle, elle prend ma bite pour m’y faire un bisou. Elle me tient à pleine main. Elle fait que je ne débande pas.
Elle me branle avec beaucoup d’habileté. Visiblement je ne suis pas son premier, d’autant plus qu’elle ajoute ses lèvres qui mordillent légèrement le bout du gland. Dédé commence à me prendre dans sa bouche. Elle me suce pour que je bande encore: elle y arrive facilement. Si elle continue elle va me faire jouir. Sa bouche enserre ma bite pendant que sa main me branle vers le pubis. Elle me fait la totale.
Elle arrête juste avant que mon sperme parte. Elle n’aime pas avaler les semences. J’aurais aimé.
Maintenant qu’elle m’a fait jouir, elle se caresse devant moi, sans pudeur.
Elle commence par se caresser les pointes des seins avant de poser sa main droite sur sa chatte. Je la regarde bien faire: elle caresse lentement son clitoris, l’abandonne un moment pour entrer trois doigts dans le puits. Sa main gauche aide la première en écartant l’entrée. Elle gémit sans cesse.
Je vois que son entrée secrète est secouée par des spasme: elle se fait jouir. Je bande encore.
J’aimerai bien son petit trou: elle ne le veux pas, plus tard peut être.
Par contre elle me demande de la sucer encore. Je me penche vers son sexe. Ma langue va directement sur le bouton. J’ai vu qu’elle aimait se doigter, j’entre toute ma langue dans son trou. Je ne sais pas comment elle a fait, elle me prend dans sa bouche. Cette fois elle lèche plus particulièrement le bourrelet du gland. Elle jouit, juste avant moi. Elle sent venir ma semence, elle la laisse jaillir sur sa figure. Quand j’ai fini de jouir, que je suis encore dur, elle lèche le bout de la bite, toujours en la tenant à pleine main.
Maintenant c’est fini, elle se tourne pour s’endormir. Je me colle à elle pour me réveiller contre son cul. Je bande, je pourrai la sodomiser. Sans son accord pas question elle m’a dit non une fois, je ne vais pas insister. En me réveillant je bande entre ses fesses. Je la réveille. Elle passe une main derrière elle: ma bite fait l’objet de ses attention. Elle me branle magistralement comme hier, non, mieux qu’hier.
Depuis 3 ans que nous sommes ensemble elle commence à changer. Elle accepte mon doigt entre ses fesses quand je la suce. Elle me rend la pareille. Je n’ai toujours pas pu l’enculer. C’est elle qui décidera, après tout son cul est à elle.
Nous voilà parti pour un moment. Nous n’avons pas parlé un seul instant de la voiture. En rentrant elle signait la vente, sans discuter. Le reste s’est fait naturellement. Elle me plaisait, je lui plaisais. Le lendemain, juste avant la fermeture, elle revient à la concession pour un détail.
Nous repartons dans sa voiture. Elle me fait part de son soucis. Elle s’arrête au bord de la route pour me dire je ne sais quoi: ma bouche lui coupe la parole: notre premier baiser dure, dure longtemps. Je n’ose pas faire un faux mouvement: je reste tranquille, je l’invite simplement au restaurant. Elle accepte rapidement sans complexe. Enfin je peux la voir comme il faut: visage un peu carré, avec des cheveux châtains clairs, longs, des lèvres sensuelles. Je vois sa poitrine: ses seins semblent déborder du débardeur. Pour le reste il faut que j’attende qu’elle soit debout.
Le maître d’hôtel met un long moment avent de venir nous voir. Nous bavardons de nous: elle s’appelle Dédé, diminutif d’Andrée. a 21 ans est célibataire depuis deux mois, elle vit seule en ville dans un deux pièces. Elle aime faire la cuisine, aime les petits plats. Par contre elle n’aime pas du tout repasser.
Enfin nous sommes servis. La conversation repart sur des bases encore plus personnelles. A mon tour je me découvre: je suis seul dans la vie J‘ai 30 ans, mon ex est parti avec un de mes meilleurs amis, je suis libre comme l’air. Elle en sourit. Je prends sa main pour la « punir ». Elle me laisse faire, en ne retirant pas sa main et en regardant le mienne avec un léger sourire. Je sens que j’ai la gagne au bout des doigts. Je monte ma main sur son bras, elle me laisse faire. Je sens qu’elle me fait du pied.
Nous allons nous promener à pied en nous arrêtant dans un jardin public totalement désert. Sur le banc, nous faisons comme les amoureux d’antan: nous nous bécotons, sauf que les bisous deviennent de véritables baisers. J’en profite pour lui caresser un peu la poitrine qu’elle me tend. Je sens ses tétons pousser comme de véritables champignons. Elle en gémit même. Puisqu’elle semble aimer ce que je fait je passe ma main entre ses jambes, sur son jean. Je monte vers sa chatte.
Elle me rend la pareille en venant poser une main trop curieuse sur ma bite. Nous sommes surexcités.
Je l’emmène chez moi, où ce qui devait arriver est là. Dès l’entrée je l’embrasse, nos langues ne se séparent pas d’un millimètre. Nous ne pouvons pas nous empêcher de toucher nos sexes à travers les vêtements.
Finalement je lui ai enlever le débardeur, comme je le pensais elle ne portait rien dessous. Ses seins durcissaient sans arrêt.
Je me trouve à l’étroit dans mon pantalon. Mon désir monte rapidement. J’embrasse ses seins, les malaxe, tire légèrement sur le tétons. Dédé demande plus, sans le dire, elle masse son pubis contre ma cuisse. Je défais son jean, le fait descendre en même temps que sa culotte. D’elle-même elle se débarrasse de ces deux vêtements. Nue maintenant, je peux enfin la caresser où je veux, où elle veut. Dédé n’hésite pas à me faire enlever mon pantalon. J’enlève de moi-même ce qui me reste pour être égal à elle.
Elle me fait bander encore plus. Elle me plait, me donne encore envie d’elle, je veux la baiser:
- Je te veux, maintenant.
- Oui, prends moi.
- Comment tu veux ?
- Ca m’est égal, baises moi.
Demander ainsi est rare, je la couche sur le lit. Elle se fait chatte en se tournant pour me montrer ses fesses magnifiques. Elle ouvre ses jambes pour m’inviter. Je vois toute sa fente bien mouillée.
Je ne me couche pas sur elle, je veux voir ma bite entrer dans sa chatte. Elle est comment moi, elle regarde bien comment je la baise. Elle prend ma bite pour la diriger. Je suis juste à l’entrée de son vagin. Elle passe ses jambes sur mes fesses. Elle est prête.
Je ne veux pas la décevoir: je la pénètre très lentement. Mon gland sent ses tissus. Je sens mon prépuce se retirer. Je suis enfin dans son ventre: elle est très chaude dedans. Avant que je soit au fond de son trou, elle fait le mouvement utile pour qu’elle soit totalement baisée. Maintenant que nous avons vu l’introduction nous nous regardons dans les yeux. J’y lis son besoin de jouissance. Elle a son premier orgasme quand je suis au fond. J’y reste sans bouger le temps de son plaisir. Je reprends mes aller et venue pour jouir à mon tour dans son ventre.
Il me semble jouir plus que d’habitude. Nous nous embrassons encore. Quand je sors d’elle, elle prend ma bite pour m’y faire un bisou. Elle me tient à pleine main. Elle fait que je ne débande pas.
Elle me branle avec beaucoup d’habileté. Visiblement je ne suis pas son premier, d’autant plus qu’elle ajoute ses lèvres qui mordillent légèrement le bout du gland. Dédé commence à me prendre dans sa bouche. Elle me suce pour que je bande encore: elle y arrive facilement. Si elle continue elle va me faire jouir. Sa bouche enserre ma bite pendant que sa main me branle vers le pubis. Elle me fait la totale.
Elle arrête juste avant que mon sperme parte. Elle n’aime pas avaler les semences. J’aurais aimé.
Maintenant qu’elle m’a fait jouir, elle se caresse devant moi, sans pudeur.
Elle commence par se caresser les pointes des seins avant de poser sa main droite sur sa chatte. Je la regarde bien faire: elle caresse lentement son clitoris, l’abandonne un moment pour entrer trois doigts dans le puits. Sa main gauche aide la première en écartant l’entrée. Elle gémit sans cesse.
Je vois que son entrée secrète est secouée par des spasme: elle se fait jouir. Je bande encore.
J’aimerai bien son petit trou: elle ne le veux pas, plus tard peut être.
Par contre elle me demande de la sucer encore. Je me penche vers son sexe. Ma langue va directement sur le bouton. J’ai vu qu’elle aimait se doigter, j’entre toute ma langue dans son trou. Je ne sais pas comment elle a fait, elle me prend dans sa bouche. Cette fois elle lèche plus particulièrement le bourrelet du gland. Elle jouit, juste avant moi. Elle sent venir ma semence, elle la laisse jaillir sur sa figure. Quand j’ai fini de jouir, que je suis encore dur, elle lèche le bout de la bite, toujours en la tenant à pleine main.
Maintenant c’est fini, elle se tourne pour s’endormir. Je me colle à elle pour me réveiller contre son cul. Je bande, je pourrai la sodomiser. Sans son accord pas question elle m’a dit non une fois, je ne vais pas insister. En me réveillant je bande entre ses fesses. Je la réveille. Elle passe une main derrière elle: ma bite fait l’objet de ses attention. Elle me branle magistralement comme hier, non, mieux qu’hier.
Depuis 3 ans que nous sommes ensemble elle commence à changer. Elle accepte mon doigt entre ses fesses quand je la suce. Elle me rend la pareille. Je n’ai toujours pas pu l’enculer. C’est elle qui décidera, après tout son cul est à elle.
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