L'amour avec les hommes
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amour avec les hommes
Dans les années 50, ma famille habitait un appartement sordide, dans une vieille maison de cinq étages. Un escalier de bois grimpait là-haut. Au quatrième, sur le palier, à gauche, se trouvaient les toilettes communes à tout l'étage. A droite, se trouvait notre maison. Chez nous, il n'y avait pas de sanitaire. Ni WC, ni salle de bains. En plus de mes parents, nous étions trois enfants. Moi, et deux frères plus jeunes.
Au cinquième, un garçon de 16 ans. Un géant de plus de deux mètres, nommé Jordi,bâti comme une armoire à glace, sauf dans sa tête. Il aurait pu être dans ma classe. Un accident de naissance, disait ma mère, avait ralenti le développement de son cerveau. Il nous faisait rire, mes frères et moi. Il était tellement lourd que les marches de l'escalier tremblaient. On disait entre nous qu'un jour, l'escalier se briserait et qu'il se retrouverait au rez-de -chaussée.
Ma mère ne travaillait pas. Le matin, elle se levait tôt pour préparer le café de mon père et le petit déjeuner des enfants. La pièce qui servait de salon-salle à manger, contenait une vielle cuisinière à charbon à côté d'un évier en pierre. C'est là que le matin notre mère nous faisait la toilette, avec un gant de toilette, debouts dans l'évier. Vous savez comment sont les enfants, nous nous chamaillions tous les matins pour savoir dans quel ordre nous passerions à la toilette.
Un jour de bataille, ma mère, excédée, m'a expulsé, tout nu, sur le palier, hors de la maison. Je ne me souviens plus pour quelle raison, mais je savais que je n'étais pas coupable. Du moins cette fois-là. J'ai piqué une colère monumentale. J'ai tambouriné à la porte, avec force coups de poings. N'ayant aucune réponse, je me suis assis sur la première marche de l'escalier, juste à côté des WC et, j'ai pleuré.
L'escalier tremblait. Tout à mon chagrin, je n'ai pas entendu Jordi qui montait. Quand il est arrivé au quatrième, il s'est arrêté devant moi. J'étais tellement triste que je n'ai pas relevé la tête. Jordi s'est penché sur moi et m'a pris dans ses bras. J'ai regardé son visage, il était décomposé. Des larmes coulaient sur ses joues. Il s'est mis à me bercer. Il me caressait la tête, me serrait contre sa poitrine. Petit à petit, mes pleurs se sont calmés et je me suis endormi. J'avais 6 ans.
Quand ma mère est venue me chercher, elle m'a trouvé dans les bras de Jordi.Il était debout et me serrait contre lui. Elle s'est mise à hurler. Apeuré, Jordi s'est approché d'elle et m'a tendu à bout de bras, débitant des mots incompréhensibles et en pleurant.
Plus tard, elle m'a raconté qu'elle avait prévenu la police.
Je n'ai pas compris pourquoi car Jordi n'avait fait que me consoler. Pendant des années, j'ai rêvé la nuit de Jordi. Ses bras étaient chauds et puissants. Sa peau était douce. Je m'était senti bien.
Mes parents n'étant pas spécialement du genre câlin ou affectueux, je me suis souvenu pendant toute ma jeunesse de la tendresse et du plaisir ressentis dans les bras d'un homme. Depuis, je préfère les bras d'un homme à ceux d'une femme. Je m'y sens en sécurité et j'y ressens des sensations hautement érotiques.
Il m'arrive de faire l'amour avec un homme. Mais, ce que je préfère, c'est quand il me déshabille et qu'il me prend dans ses bras. Il doit être grand, très musclé et câlin. J'aime le caresser, partout où il a des muscles. Le torse, le dos, les bras et les jambes, mais surtout les fesses. Le plus important étant qu'il me fasse la même chose. En retour, je me donne à lui.
Je prends son sexe en main et le branle avec douceur, décalottant le gland entre mes doigts. Un léger coup de langue tout autour pour exciter ses sens. Je lèche ses couilles en passant un ongle sur la petite fente du gland. Je sens sa bite qui sursaute. Mes lèvres se referment sur le fruit rouge sombre. Le gland glisse sur ma langue. Elle suit la couture du capuchon et de la hampe. J'écarte légèrement les lèvres et ma bouche glisse jusqu'à son pubis. Le gland s'enfonce dans ma gorge et je suis obligé de l'avaler pour qu'il pénêtre plus avant. L'homme pousse un soupir et pose ses mains sur ma tête. En même temps, il arque ses reins pour s'enfoncer plus loin encore. J'ouvre la bouche encore plus grande. Ma langue va lècher ses couilles. L'homme se redresse sur ses genoux. Ses mains sont toujours sur ma tête. Son membre commence à glisser entre mes lèvres. Il est raide et ardent. Poussé par les coups de reins de son maître, l'engin s'enfonce toujours plus loin au fond de ma gorge. Le mouvement s'accélère et je suis au bord de la nausée. Soudain, le sexe tressaute et les gouttes chaudes du sperme coulent dans ma gorge.
Il sort alors de moi et me prend dans ses bras. Il m'attire contre lui et enfouit ma tête dans son cou. Il passe sa main sur mes cheveux, dans mon cou, sur mon dos et enfin sur mes fesses. De l'autre, il me tient par la taille, étroitement serré contre lui. Sa peau est douce, ses bras puissants. Entre eux, je me sens comme un enfant. Me sentant relâché, il me retourne sur le ventre. Il me caresse à nouveau le dos et les fesses. Il se couche sur moi. Son corps massif recouvre entièrement le mien. Il se repose sur ses genoux et ses coudes pour ne pas m'écraser. Il m'embrasse dans le cou et passant ses bras sous moi, ses mains écartent mes fesses où il inserre sa bite. Il se relève sur ses genoux et, tenant sa queue à la main, il promène son gland, tout le long de la raie, l'écartant un peu plus à chaque passage. Mes fesses sont proéminantes, comme celles d'une fille. Quand le petit trou lui apparaît, sa bite est insérrée entre les globes. Il les écarte à nouveau et crache un jet de salive qu'il étale avec son gland. Il le pose sur le trou et pousse doucement.
Bientôt, le sexe s'enfonce en moi. Quand les cuisses de l'homme touchent mes fesses, je comprend qu'il est tout entier dans mon cul. Je ramène mes genoux sur sa poitrine pour le faire entrer plus profond. L'homme s'agite et le membre va et vient de plus en plus vite entre mes fesses. Ses mains les serrent autour de sa bite pour avoir plus de plaisir. De mon côté, je me projette en arrière pour l'exciter encore plus. Il commence à souffler. Encore quelques secondes et son sperme coule dans mon cul.
Je me soulève alors, l'expulsant de mon cul. Je me retourne et le renverse en arrière. Je l'enjambe. Sa queue est toute humide de son éjaculation. Je la saisi et la dirige vers mon trou. Le gland introduit, je me laisse glisser lentement le long du membre. Quand mes fesses touchent son ventre, ses poils me chatouillent. Je commence alors à monter et descendre le long de la tige. Elle se raidit et au bout de quelques minutes, elle se répand à nouveau au fond de mon cul.
L'homme ressort de moi. Il s'allonge sur le lit. Je me réfugie dans ses bras. Câlin, il me serre contre sa poitrine, comme on serre un enfant. C'est le deal que je passe avec mes amants. Mon cul et ma bouche contre les caresses. Ils doivent me déshabiller avec douceur et me prodiguer des caresses et la chaleur de leurs bras. Je n'ai pas de mal à obtenir ce que je veux. Avec mon cul de fille et mon physique d'éternel adolescent, je sais que je plais aux hommes. Aux filles aussi d'ailleurs. Mais, même si parfois je fais l'amour avec l'une d'elle, elles manquent de l'essentiel. Les muscles.
Au cinquième, un garçon de 16 ans. Un géant de plus de deux mètres, nommé Jordi,bâti comme une armoire à glace, sauf dans sa tête. Il aurait pu être dans ma classe. Un accident de naissance, disait ma mère, avait ralenti le développement de son cerveau. Il nous faisait rire, mes frères et moi. Il était tellement lourd que les marches de l'escalier tremblaient. On disait entre nous qu'un jour, l'escalier se briserait et qu'il se retrouverait au rez-de -chaussée.
Ma mère ne travaillait pas. Le matin, elle se levait tôt pour préparer le café de mon père et le petit déjeuner des enfants. La pièce qui servait de salon-salle à manger, contenait une vielle cuisinière à charbon à côté d'un évier en pierre. C'est là que le matin notre mère nous faisait la toilette, avec un gant de toilette, debouts dans l'évier. Vous savez comment sont les enfants, nous nous chamaillions tous les matins pour savoir dans quel ordre nous passerions à la toilette.
Un jour de bataille, ma mère, excédée, m'a expulsé, tout nu, sur le palier, hors de la maison. Je ne me souviens plus pour quelle raison, mais je savais que je n'étais pas coupable. Du moins cette fois-là. J'ai piqué une colère monumentale. J'ai tambouriné à la porte, avec force coups de poings. N'ayant aucune réponse, je me suis assis sur la première marche de l'escalier, juste à côté des WC et, j'ai pleuré.
L'escalier tremblait. Tout à mon chagrin, je n'ai pas entendu Jordi qui montait. Quand il est arrivé au quatrième, il s'est arrêté devant moi. J'étais tellement triste que je n'ai pas relevé la tête. Jordi s'est penché sur moi et m'a pris dans ses bras. J'ai regardé son visage, il était décomposé. Des larmes coulaient sur ses joues. Il s'est mis à me bercer. Il me caressait la tête, me serrait contre sa poitrine. Petit à petit, mes pleurs se sont calmés et je me suis endormi. J'avais 6 ans.
Quand ma mère est venue me chercher, elle m'a trouvé dans les bras de Jordi.Il était debout et me serrait contre lui. Elle s'est mise à hurler. Apeuré, Jordi s'est approché d'elle et m'a tendu à bout de bras, débitant des mots incompréhensibles et en pleurant.
Plus tard, elle m'a raconté qu'elle avait prévenu la police.
Je n'ai pas compris pourquoi car Jordi n'avait fait que me consoler. Pendant des années, j'ai rêvé la nuit de Jordi. Ses bras étaient chauds et puissants. Sa peau était douce. Je m'était senti bien.
Mes parents n'étant pas spécialement du genre câlin ou affectueux, je me suis souvenu pendant toute ma jeunesse de la tendresse et du plaisir ressentis dans les bras d'un homme. Depuis, je préfère les bras d'un homme à ceux d'une femme. Je m'y sens en sécurité et j'y ressens des sensations hautement érotiques.
Il m'arrive de faire l'amour avec un homme. Mais, ce que je préfère, c'est quand il me déshabille et qu'il me prend dans ses bras. Il doit être grand, très musclé et câlin. J'aime le caresser, partout où il a des muscles. Le torse, le dos, les bras et les jambes, mais surtout les fesses. Le plus important étant qu'il me fasse la même chose. En retour, je me donne à lui.
Je prends son sexe en main et le branle avec douceur, décalottant le gland entre mes doigts. Un léger coup de langue tout autour pour exciter ses sens. Je lèche ses couilles en passant un ongle sur la petite fente du gland. Je sens sa bite qui sursaute. Mes lèvres se referment sur le fruit rouge sombre. Le gland glisse sur ma langue. Elle suit la couture du capuchon et de la hampe. J'écarte légèrement les lèvres et ma bouche glisse jusqu'à son pubis. Le gland s'enfonce dans ma gorge et je suis obligé de l'avaler pour qu'il pénêtre plus avant. L'homme pousse un soupir et pose ses mains sur ma tête. En même temps, il arque ses reins pour s'enfoncer plus loin encore. J'ouvre la bouche encore plus grande. Ma langue va lècher ses couilles. L'homme se redresse sur ses genoux. Ses mains sont toujours sur ma tête. Son membre commence à glisser entre mes lèvres. Il est raide et ardent. Poussé par les coups de reins de son maître, l'engin s'enfonce toujours plus loin au fond de ma gorge. Le mouvement s'accélère et je suis au bord de la nausée. Soudain, le sexe tressaute et les gouttes chaudes du sperme coulent dans ma gorge.
Il sort alors de moi et me prend dans ses bras. Il m'attire contre lui et enfouit ma tête dans son cou. Il passe sa main sur mes cheveux, dans mon cou, sur mon dos et enfin sur mes fesses. De l'autre, il me tient par la taille, étroitement serré contre lui. Sa peau est douce, ses bras puissants. Entre eux, je me sens comme un enfant. Me sentant relâché, il me retourne sur le ventre. Il me caresse à nouveau le dos et les fesses. Il se couche sur moi. Son corps massif recouvre entièrement le mien. Il se repose sur ses genoux et ses coudes pour ne pas m'écraser. Il m'embrasse dans le cou et passant ses bras sous moi, ses mains écartent mes fesses où il inserre sa bite. Il se relève sur ses genoux et, tenant sa queue à la main, il promène son gland, tout le long de la raie, l'écartant un peu plus à chaque passage. Mes fesses sont proéminantes, comme celles d'une fille. Quand le petit trou lui apparaît, sa bite est insérrée entre les globes. Il les écarte à nouveau et crache un jet de salive qu'il étale avec son gland. Il le pose sur le trou et pousse doucement.
Bientôt, le sexe s'enfonce en moi. Quand les cuisses de l'homme touchent mes fesses, je comprend qu'il est tout entier dans mon cul. Je ramène mes genoux sur sa poitrine pour le faire entrer plus profond. L'homme s'agite et le membre va et vient de plus en plus vite entre mes fesses. Ses mains les serrent autour de sa bite pour avoir plus de plaisir. De mon côté, je me projette en arrière pour l'exciter encore plus. Il commence à souffler. Encore quelques secondes et son sperme coule dans mon cul.
Je me soulève alors, l'expulsant de mon cul. Je me retourne et le renverse en arrière. Je l'enjambe. Sa queue est toute humide de son éjaculation. Je la saisi et la dirige vers mon trou. Le gland introduit, je me laisse glisser lentement le long du membre. Quand mes fesses touchent son ventre, ses poils me chatouillent. Je commence alors à monter et descendre le long de la tige. Elle se raidit et au bout de quelques minutes, elle se répand à nouveau au fond de mon cul.
L'homme ressort de moi. Il s'allonge sur le lit. Je me réfugie dans ses bras. Câlin, il me serre contre sa poitrine, comme on serre un enfant. C'est le deal que je passe avec mes amants. Mon cul et ma bouche contre les caresses. Ils doivent me déshabiller avec douceur et me prodiguer des caresses et la chaleur de leurs bras. Je n'ai pas de mal à obtenir ce que je veux. Avec mon cul de fille et mon physique d'éternel adolescent, je sais que je plais aux hommes. Aux filles aussi d'ailleurs. Mais, même si parfois je fais l'amour avec l'une d'elle, elles manquent de l'essentiel. Les muscles.
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