L'amour fou - Partie 2 : Le retour
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'amour fou - Partie 2 : Le retour
La voiture démarre en douceur, Benoît essaie de jouer son nouveau rôle de chauffeur de son mieux. Par conséquent il conduit avec douceur pour ne pas perturber les éventuels ébats de ses passagers et se force à n'utiliser le rétroviseur intérieur que pour les besoins de la circulation.
A l'arrière, Sandrine a déjà posé chacune de ses mains sur la cuisse de l'homme à sa portée pendant que chacun d'eux, conforté par son attitude, tente d'atteindre sa poitrine ; mais elle tient à conserver la maîtrise de la situation et se refuse à ces privautés, alors que de son côté, elle a défait les boutons qui donnent accès à la partie intime de ses deux voisins. Ils se regardent, un peu surpris de ses méthodes, mais décident d'un regard et d'un commun accord de se laisser guider par elle. Après tout, comme ils ont pu l'observer au cours de cette première partie de soirée, cette femme sait ce qu'elle veut, elle s'est déjà "tapé" le plus jeune des serveurs pendant une bonne heure ; si elle les emmène pour la nuit, c'est qu'elle veut "se faire" deux hommes à la fois. Il n'y a qu'à patienter, elle est en train d'évaluer le terrain pendant que son compagnon - ou on ne sait trop qui - les conduit. Peut-être était-il une précédente conquête. Qui sait s'ils n'ont pas affaire à une mangeuse d'hommes. Ils ont l'occasion de "baiser" une femme sans faire l'effort de la draguer, ils ne vont pas faire la fine bouche !
La voiture s'arrête devant une maison. Benoît en descend, ouvre une des portières arrières. Les hommes remettent précipitamment leur engin en place et referment leur braguette. Sandrine confie discrètement ses clés à Benoît qui s'en sert pour ouvrir la porte de la maison afin de faire entrer Sandrine et ses deux invités. Il s'empare des manteaux de chacun et les accroche sur un ceintre. Pendant que Sandrine emmène les deux hommes au salon, Benoît sort afin de trouver une place pour garer sa voiture. A son retour il enlève son manteau et se dirige vers le salon afin de servir Sandrine et ses invités. En habitué de la maison, il sait où trouver ce qui lui est demandé. Il apprend rapidement son second rôle de serviteur zélé.
A un moment donné, l'un des hommes manifeste le besoin d'aller aux toilettes. Sandrine demande à Benoît de l'y conduire. En chemin, l'homme en profite pour lui demander comment est la maîtresse de maison.
- Je ne sais pas, Monsieur.
- Comment ça, mon vieux, vous ne savez pas. Vous devez bien avoir l'habitude ! Vous n'êtes pas le serviteur de Madame ?
- C'est très récent, Monsieur.
- Et que faisiez-vous à sa table au restaurant ?
- Je suis le fiancé de Madame, Monsieur.
- En somme, vous êtes cocu.
- Officiellement depuis ce soir, Monsieur.
- Bonne continuation, alors, mon vieux, ironise-t-il.
L'homme revient à sa place, son compagnon le questionne du regard se doutant qu'il en a profité pour avoir une conversation avec le domestique. Mais Sandrine veille au grain et s'amuse à les empêcher d'échanger des informations du regard.
Autant pour éprouver son fiancé que pour tester ses deux conquêtes, Sandrine retarde le moment de se retirer dans la chambre à coucher. Benoît semble rester digne, les deux hommes ne savent plus sur quel pied danser. A un moment donné, elle laisse un grand blanc s'installer et ils sont incapables de le combler par une conversation intéressante.
- Au moins Benoît, se dit-elle, a une autre tenue. Dans de telles circonstances et à leur place, il n'aurait pas été pris de court ; d'ailleurs il tient son rôle à merveille.
Elle se félicite d'avoir pris cette décision de donner à leur relation un autre tournant alors qu'ils ne se sont pas encore engagés l'un envers l'autre. Le "OUI" de Benoît n'en sera que plus criant de sincérité quand ELLE décidera de l'épouser.
Elle met fin au calvaire de ces minables et les conduit à sa chambre. En y pénétrant elle a l'agréable surprise de découvrir, dans le tiroir de sa table de chevet, à côté de sa boite de pilules, un paquet de préservatifs. Comment Benoît se les est-il procurés, elle n'en sait rien, car ils n'en utilisent pas entre eux ; et elle ne lui a pas laissé de temps libre ... à moins qu'au restaurant pendant qu'elle "fricotait" avec le serveur, ou alors pendant qu'il est allé garer la voiture, mais alors il a été sacrément rapide ... En tous cas, voilà un homme pragmatique et efficace comme elle les aime ... et par dessus le marché discret et prévenant.
Cela lui donne l'idée de vérifier si de ses deux invités, l'un est muni de ces accessoires ou s'ils sont venus comme ça les mains dans les poches.
Ne voulant pas froisser ou déchirer sa belle robe, elle préfère l'enlever elle-même. Les deux hommes sont ébahis de la trouver ainsi en guêpière, les fesses nues. Pourtant, cela se voyait plus que cela ne se devinait sous la robe transparente ! Et au restaurant ils ne s'étaient pas privés de la reluquer, notamment lors de ses jeux de jambes ...
- Qu'attendez-vous, Messieurs ? Qu'il fasse jour ? Vous avez peur du noir ?
Ils avaient envisagé quelque chose de plus sensuel. Ils l'auraient entourée tous deux, soulevé sa robe, enlevé son string qu'elle n'avait pas, ... Et puis ils s'attendaient à dégrafer un soutien-gorge "normal", pas un instrument de torture de nos arrière-grands-parents ou que l'on relate dans les romans d'avant la révolution française.
- Bon, alors, vous vous déshabillez, ou quoi ?
- Entièrement, demande l'un ?
- Non, vous enlevez seulement une chaussette, la droite pour l'un et la gauche pour l'autre.
Au bout de deux minutes de réflexion, ils comprennent qu'il s'agit d'une manière indirecte de leur faire comprendre que la question était stupide. Ils se déshabillent donc entièrement et se présentent à elle comme deux gamins pris en flagrant délit de faute.
Sandrine se dit que décidément elle doit avoir le don d'impressionner les hommes : alors qu'elle est presque à poil, voilà deux hommes qui n'osent pas la toucher bien qu'ils soient venus pour la baiser. Finalement le jeune serveur était moins godiche.
Elle appelle Benoît.
Il arrive, entièrement nu lui aussi, mais détendu et tout aussi digne que s'il était habillé.
- Vous m'avez fait appeler, ma Princesse ?
Elle lui fait discrètement signe de prendre des photos. Il sort, revient et prend quelques clichés des hommes empêtrés dans leur nudité.
Cela les excite. Ils s'approchent de Sandrine et commencent à la peloter.
- Enfin, se dit-elle !
Elle attrape un sexe d'homme dans chaque main et entreprend de les masturber. Benoît est toujours présent, il n'a pas été congédié et suppose donc qu'il doit continuer à prendre des souvenirs, voire sous forme de vidéos. Il s'y applique consciencieusement, essayant d'oublier que la femme concernée est sa future épouse et que quelques heures auparavant il n'aurait jamais cru se trouver un jour dans une telle situation.
Aucun des deux compères n'a réussi à libérer Sandrine de sa guêpière.
- Tant pis, se dit-elle, je m'en chargerai moi-même plus tard. Cela me donne plus d'autorité sur eux.
Comme l'un d'entre eux est déjà passablement dur et veut la coucher sur le lit pour la pénétrer, elle lui demande s'il a apporté avec lui de quoi la prémunir contre les éventuels risques ; il fait mine de ne pas comprendre, mais elle ne l'entend pas ainsi.
- Je ne crois pourtant pas être allée vous chercher dans les bas-fonds. Où avez-vous été élevés ?
L'homme n'en revient pas ... et son début d'érection retombe instantanément comme un gâteau que l'on aurait sorti trop tôt du four.
- Je suis désolé, bafouille-t-il, mais vous nous avez pris de court, et nous ne sommes pas équipés. Nous n'avons pas l'habitude de nous promener avec de quoi trousser une belle à chaque coin de rue. Or vous ne nous avez pas donné l'occasion de nous procurer ce que vous réclamez maintenant. Mais je puis vous assurer sur l'honneur qu'en ce qui me concerne vous ne risquez rien.
- Et qui vous dit que vous ne risquez rien avec moi ?
- Oh, Madame, s'exclament-ils, offusqués ! Nous vous faisons confiance.
- Vous m'avez pourtant vue m'absenter un long moment avec ce jeune serveur. Oserez-vous prétendre le contraire ?
- C'est un fait, répond le second homme, mais à voir les précautions que vous prenez avec nous, probablement les avez-vous aussi prises avec lui.
- Par conséquent il n'y a pas lieu à faire d'exception, pour votre propre sécurité. Je ne peux pas plus me fier à sa parole qu'à la vôtre, et réciproquement.
Benoît commence à s'amuser de la situation. Sa Maîtresse se joue de ces individus avec brio.
- Finalement, se dit-il, cette nouvelle vie risque de lui apporter des agréments inattendus et autrement piquants que l'ancienne !
Il ne perd pas une miette à enregistrer.
Le second homme, craignant l'affaire perdue, d'autant plus que la dame ne peut être prise de force du fait de la présence de ce "serviteur - plus ou moins amant" tente un dernier argument :
- Vous ne pouvez pas comparer un garçon de café avec nous !
- Effectivement, vous avez raison.
Ils respirent tous deux, croyant à un miracle.
- Ce jeune homme avait beaucoup à apprendre en effet et je me suis chargée de pourvoir à une partie de son éducation ... sexuelle, mais au moins lui avait du savoir-vivre !
Le couperet est tombé. Ils comprennent qu'ils n'ont pas affaire à une vulgaire catin ou nymphomane, mais à une femme de caractère. Le premier commence à s'emparer de ses affaires pour se rhabiller et le second s'apprête à le suivre.
Voyant qu'ils capitulent, elle les interrompt :
- Je constate qu'au moins vous savez reconnaître vos torts.
- Nous sommes désolés.
- Heureusement que mon fiancé ici présent est un homme prévoyant, lui. Vous pouvez le remercier. En bon domestique, comme tout homme bien élevé devrait être, il a su pourvoir au besoin de sa Maîtresse, et grâce à lui nous allons pouvoir continuer la partie commencée.
Ils n'en reviennent pas, se dirigent vers Benoît et lui tendent chaleureusement la main pour le remercier de sa coopération et le féliciter de sa prévoyance. En restant aussi guindé qu'il peut l'être, le nouveau domestique serre les mains tendues vers lui.
Ces formalités accomplies, les deux individus se retournent vers Sandrine, qui entretemps s'est munie d'une cravache qu'elle fait claquer. Benoît commence à vraiment s'amuser : sa future épouse a des ressources qu'il ne lui avait même pas soupçonnées jusqu'alors !
Le premier des hommes recule en s'exclamant :
- Mais ce n'était pas convenu !
- Pour qui me preniez-vous donc, Messieurs, lui rétorque Sandrine ? Pour une salope voulant VOUS offrir du bon temps et que vous humilieriez de vos sarcasmes vulgaires entre grossiers personnages après m'avoir souillée en présence de mon fiancé ?
Ils restent bouche bée tandis qu'elle s'approche dangereusement. Un premier coup claque sur le torse de son vis-à-vis le plus avancé, le second s'abat sur les fesses du second qui s'est retourné et s'est replié en criant "Non !", puis :
- Mais elle est folle !
- Pour m'avoir, il faut me mériter. Vous allez commencer par payer pour m'avoir déshabillée du regard au restaurant.
Chacun prend encore quatre coups de cravache.
- Vous vous trompez, on ne vous avait même pas remarquée.
Deux autres coups, plus forts cette fois-ci, interrompent le mensonge.
- Voilà pour avoir eu l'outrecuidance d'ignorer une femme comme moi.
- Enfin, si, on vous avait remarquée, bien sûr.
Un coup carrément asséné sur la bouche qui se met à saigner.
- Ça c'est pour le mensonge. Tu m'as remarquée ou tu ne m'as pas remarquée, il faudrait savoir.
Et se tournant vers celui recroquevillé en position fœtale, elle lui assène un violent coup sur l'épaule.
- Et toi la larve, que dis-tu ?
- De toutes façons vous vous êtes déshabillée de vous même, alors pourquoi nous punir ?
Pendant une demie heure elle joue ainsi avec eux, les obligeant petit-à-petit à avouer le désir qu'ils ont éprouvé pour elle, ce qui la fait tellement mouiller que l'on pourrait reconstituer son parcours rien qu'en suivant les marques liquides sur le sol de la chambre. Tant et si bien qu'elle voit poindre un début d'érection sur le moins timoré de ses partenaires.
Elle envoie sa cravache à Benoît, qui la saisit au vol ; elle enlève elle-même sa guêpière et va s'allonger, cuisses écartées, sur son lit.
- Je suis bonne princesse, venez me sucer.
Comme ils hésitent, elle les exhorte :
- Allez, toi, tu t'occupes de ma chatte, dit-elle en s'adressant à celui qui ne saigne pas de la bouche. Et toi de mes seins. Et vous avez intérêt à me procurer du plaisir, sinon ...
Ils obéissent, mais comme ils s'y prennent un peu trop rudement au goût de Sandrine, elle les reprend.
- Depuis combien de temps n'avez-vous pas mangé ? Doucement, nous avons toute la nuit devant nous. Toi, tu sais où est mon clitoris ? Je ne t'ai pas permis d'y fourrer tes sales pattes de gros porc, juste ta langue ; d'abord mets-toi à genoux au pied du lit. Voilà, cherche, fourre ton museau comme si tu cherchais des truffes ; et quand tu auras trouvé, tu lècheras dou-ce-ment. Et toi viens t'accroupir au-dessus de moi, mais interdiction de t'affaler. Non, je ne veux pas voir tes fesses pour l'instant, tourne-toi de l'autre côté. Tu dois tenir sur les bras et les jambes ; et tu me suces doucement les mamelons pour commencer.
Elle les guide ainsi, faisant leur éducation sexuelle, expliquant à l'un par la pratique comment enrouler sa langue autour du clitoris pour le faire gonfler, comment l'aspirer doucement, comment lécher ses lèvres, les sucer, comment introduire sa langue dans son antre intime ; à l'autre comment titiller de sa langue les mamelons, les aspirer avec délicatesse, lui faisant découvrir la sensibilité de ses aréoles, et comment rendre l'intégralité du sein réactif au moindre contact lingual, et même demandeur, lui apprenant à ne pas privilégier l'un au détriment de l'autre.
Elle leur apprend à oublier leur propre désir pour se consacrer AU SIEN. Elle gère ainsi ses orgasmes (qu'elle exprime en toute impudeur) causés qui par l'excitation du clitoris, qui par celle de ses lèvres, qui par ses seins, ... elle réussit même à les faire coïncider et – pour la première fois de sa vie, alors que la langue de son partenaire est trop courte pour avoir pu atteindre son point G – un jet puissant le surprend en pleine action. Sandrine l'oblige à maintenir sa position et à se délecter du nectar qu'elle lui offre ainsi.
Puis elle leur dit :
- Vous allez vous congratuler pour la leçon que je viens de vous donner. Approchez-vous l'un de l'autre. Toi laisse ma poitrine et rejoins ton copain.
Lorsqu'ils se trouvent à proximité l'un de l'autre, se demandant ce qui les attend, elle leur intime :
- Embrassez-vous sur la bouche et partagez le nectar que l'un de vous a reçu de moi.
Comme ils se regardent effarés, elle s'impatiente :
- Allons, je n'aime pas attendre. C'est bon pour les domestiques. Et si vous osez me laisser supposer que vous considérez comme telle, il va vous en cuire.
Ils obéissent sans grand enthousiasme.
- Plus d'entrain ! Toi, tu es la femme, dit-elle en s'adressant au plus timoré, et toi l'homme. Pelotez-vous et jouez le jeu. Embrassez-vous a-mou-reu-se-ment.
Ils s'exécutent.
- Bien ! Maintenant, nous allons passer à un autre plaisir.
S'adressant à celui qui lui a sucé le sexe :
- Je vais me retourner et tu va me sucer l'anus, extérieur et intérieur, toujours avec la langue.
- Mais c'est dégoûtant !
- C'est toi qui est dégoûtant. Tu n'as même pas demandé à prendre une douche avant de vouloir me sauter dessus !
Puis s'adressant à l'autre :
- Et toi, tu vas chercher mes autres points sensibles, en commençant par mes aisselles, toujours avec la langue. Ne t'inquiète pas si elles sont humides : la sueur a la même consistance que l'urine.
Et elle se met sur le ventre.
Comprenant qu'il n'y a pas moyen d'échapper à leur calvaire, les deux hommes s'exécutent de leur mieux. Sandrine écarte largement ses cuisses et ses bras, tenant elle-même les fesses bien écartées au moment où elle demande à son partenaire de la pénétrer de sa langue. Elle exige de pouvoir jouir autant et aussi violemment que dans la position précédente, mais n'obtient pas ce résultat. Au bout d'une heure environ, elle permet aux deux hommes d'échanger comme précédemment les goûts qu'ils ont ainsi découverts.
Pendant tout ce temps, Benoît est resté stoïquement raide comme un "I" à contempler sa fiancée en train de se faire procurer du plaisir buccal par deux hommes à la fois, entièrement nue. Il ne s'est permis quelques entorses que pour filmer certaines scènes particulièrement intéressantes et prendre quelques clichés. Il est aussi allé chercher des rafraîchissements sans que personne ne remarque son absence de courte durée.
Il a été bien inspiré. Sandrine a soif. Voyant que Benoît a apporté tout ce qu'il faut elle se prépare à faire une petite pause, mais une idée lui vient.
- Je sens que je vais boire quelque chose. Mais vous deux, vous allez vous rafraichir mutuellement. Positionnez-vous tête bêche, sur le côté.
Ils s'exécutent sans discuter. Sandrine sourit en constatant avec plaisir avec quelle facilité elle a pris de l'autorité sur eux.
- Que chacun prenne le sexe de l'autre en bouche.
Là encore, ils obéissent. Benoît n'en revient pas !
- Je ne veux pas voir d'érection. Il doit bien vous rester un peu d'urine dans la vessie. Il va vous falloir en faire profiter votre camarade. Un petit effort tous les deux ! Et je ne veux pas voir la moindre goutte tomber par terre ...
En les observant, elle se fait servir par Benoît et sirote tranquillement. Ce dernier n'est en revanche pas convié à partager autre chose que le spectacle, ce qui est déjà beaucoup du point de vue de Sandrine.
Lorsqu'elle constate la première tétée accompagné de tentatives de déglutition et de moues de dégoût, un sourire de satisfaction apparaît sur ses lèvres. Elle fait séparer la bouche et le pénis concernés et en approche son nez pour en sentir l'odeur afin de vérifier qu'on n'a pas tenté de l'abuser. Puis elle attend calmement que la même chose se produise dans l'autre sens et opère la même vérification.
Seulement alors, elle empoigne les deux sexes et se met à les masturber frénétiquement. Les deux hommes sont bientôt dans un état de rigidité qui lui convient. Elle fait signe à Benoît d'enfiler un préservatif à chacun des deux. Elle ordonne à celui le mieux doté de s'allonger à plat dos sur le sol et s'empale sur lui, assise sur son ventre en lui tournant le dos. L'autre doit lui faire face, à genoux. Elle gobe son phallus.
C'est elle qui dirige les mouvements. Benoît est chargé de filmer l'intégralité de la scène. Alternativement l'homme d'abord à genoux doit se mettre accroupi pour faciliter le plaisir de Madame, quel que soit son niveau de fatigue. Il est autorisé à utiliser ses mains pour lui caresser les seins avec dou-ceur. Quant à celui au sol, il peut lui tenir les hanches et lui peloter les fesses. Elle-même se masse le clitoris. C'est elle qui détermine le rythme, le ralentit pour éviter les éjaculations trop précoces, l'accélère pour atteindre un orgasme qu'elle sent naissant. Elle intervient quand elle le juge utile sur les mains de ses partenaires pour en déplacer les positions, en accélérer les mouvements, les appuyer ou les soulever légèrement.
Lorsqu'elle se sent fatiguée, elle demande à Benoît de poser l'appareil d'enregistrement sur un support fixe, de le mettre en position d'enregistrement automatique, et de venir soutenir son dos.
Cela lui permet de contraindre ses partenaires à lui procurer encore du plaisir pendant près de deux heures.
Ne cherchant pas à équilibrer les situations entre les deux hommes, elle décide alors qu'il ne lui reste qu'une seule chose à faire avant de se séparer d'eux.
- Messieurs, vous avez pris le plaisir que vous espériez, je crois.
Ils n'osent pas prétendre le contraire, même si les choses ne se sont pas déroulées comme ils l'escomptaient.
- Vous n'aviez pas envisagé d'utiliser de préservatif, autant que je me souvienne.
Ils baissent la tête, penauds, se demandant où veut en venir cette femme qui fait alternativement souffler le chaud et le froid.
- Chacun de vous va donc boire le sperme de l'autre.
Benoît s'approche alors de chacun des deux hommes et lui tend le préservatif plein qu'il a retiré avec précaution – sur un signe discret de sa Maîtresse – de son camarade au moment où il a éjaculé. En bon toutou, il veille à l'application de cette nouvelle directive de sa Maîtresse. Les deux hommes sont sur le point de vomir. Sandrine les en dissuade :
- Je préviens que celui d'entre vous qui souillerait ce sol serait aussitôt contraint de le nettoyer par ingestion comme un vulgaire animal avant d'être fouetté.
Comprenant que la maîtresse des lieux ne plaisante pas, ils obéissent avec le plus grand écœurement mais réussissent à se retenir de commettre la moindre saleté.
Après quoi, Sandrine leur annonce :
- Messieurs, si vous vous étiez montrés dignes, vous aurez bien évidemment eu droit à une douche avant de vous en aller. Comme il n'en a rien été, estimez-vous heureux du plaisir et des leçons que je vous ai procurés. Rhabillez-vous. Le jour commence à se lever, mon domestique va vous raccompagner jusqu'à la porte d'entrée.
Ils n'attendent pas qu'elle le leur répète, pressés de quitter ces lieux malgré le plaisir qu'il ont effectivement reçu ... et ingrats quant aux leçons gratuites dont ils ont bénéficié concernant les techniques amoureuses.
Après leur départ, Benoît débarrasse la chambre de Sandrine.
- Mon ami, tu as été très bien. Pour une première, je te félicite.
- Je vous remercie, ma Princesse. Puis-je me permettre de vous rappeler que je dois me lever dans une heure pour aller me préparer chez moi afin de partir au travail ?
- Ah oui, c'est vrai que tu as un travail autre que me servir ... Et à quelle heure vas-tu rentrer ?
- Ma Princesse sait que je l'ignore moi-même.
- Il va pourtant falloir maintenant que tu t'organises pour me rendre des comptes plus précis, mon domestique adoré. Je te donne une semaine pour gérer tout cela au mieux. Le même délai que pour t'installer ici à titre temporaire pendant une période d'essai de ... disons 6 mois, au cours de laquelle tu conserveras ton logement mais n'iras y faire un tour qu'une fois par semaine pour relever ton courrier, prendre tes messages téléphoniques, récupérer des affaires dont tu découvrirais qu'elles te sont indispensables. Avant de partir tu prendras un double des clés de la maison.
- Bien, ma Princesse.
- Autre chose : ce n'est pas parce que tu conserves un logement indépendant du mien que tu es autorisé à avoir des secrets. Tu noteras tous tes messages téléphoniques scrupuleusement par écrit sur un carnet que je te fournirai et qui sera rangé, ainsi que ton courrier, dans un tiroir non verrouillé du bureau de ta chambre.
- Je ferai comme Vous l'exigez, ma Princesse.
- Tu tiendras également un journal, sur lequel tu noteras scrupuleusement toutes tes impressions, tous tes désirs, tout ce qui n'est pas strictement professionnel. Tu le rangeras dans le même tiroir. Si tu ressens la moindre pulsion envers une femme croisée dans la rue, que ce soit à cause de son regard, de sa tenue, de sa poitrine, ou pour tout autre raison, je veux le savoir. Si tu es jaloux des hommes qui me procurent du plaisir, je veux le savoir même si j'apprécie que tu te comportes en parfait domestique obéissant et attentionné. Regarde-moi droit dans les yeux et réponds-moi.
- Ma Princesse, je Vous adore et je ferai de mon mieux tout ce que Vous me demandez.
A ce moment, Sandrine constate que Benoît est en train d'avoir une érection.
- Tu dormiras plus tard, viens ici, tu l'as bien mérité.
Elle l'entraîne vers son lit, l'y jette sur le dos, enfile son pénis dans son vagin brûlant et trempé, et le chevauche en s'agrippant à ses cheveux, hurlant comme une amazone.
A l'arrière, Sandrine a déjà posé chacune de ses mains sur la cuisse de l'homme à sa portée pendant que chacun d'eux, conforté par son attitude, tente d'atteindre sa poitrine ; mais elle tient à conserver la maîtrise de la situation et se refuse à ces privautés, alors que de son côté, elle a défait les boutons qui donnent accès à la partie intime de ses deux voisins. Ils se regardent, un peu surpris de ses méthodes, mais décident d'un regard et d'un commun accord de se laisser guider par elle. Après tout, comme ils ont pu l'observer au cours de cette première partie de soirée, cette femme sait ce qu'elle veut, elle s'est déjà "tapé" le plus jeune des serveurs pendant une bonne heure ; si elle les emmène pour la nuit, c'est qu'elle veut "se faire" deux hommes à la fois. Il n'y a qu'à patienter, elle est en train d'évaluer le terrain pendant que son compagnon - ou on ne sait trop qui - les conduit. Peut-être était-il une précédente conquête. Qui sait s'ils n'ont pas affaire à une mangeuse d'hommes. Ils ont l'occasion de "baiser" une femme sans faire l'effort de la draguer, ils ne vont pas faire la fine bouche !
La voiture s'arrête devant une maison. Benoît en descend, ouvre une des portières arrières. Les hommes remettent précipitamment leur engin en place et referment leur braguette. Sandrine confie discrètement ses clés à Benoît qui s'en sert pour ouvrir la porte de la maison afin de faire entrer Sandrine et ses deux invités. Il s'empare des manteaux de chacun et les accroche sur un ceintre. Pendant que Sandrine emmène les deux hommes au salon, Benoît sort afin de trouver une place pour garer sa voiture. A son retour il enlève son manteau et se dirige vers le salon afin de servir Sandrine et ses invités. En habitué de la maison, il sait où trouver ce qui lui est demandé. Il apprend rapidement son second rôle de serviteur zélé.
A un moment donné, l'un des hommes manifeste le besoin d'aller aux toilettes. Sandrine demande à Benoît de l'y conduire. En chemin, l'homme en profite pour lui demander comment est la maîtresse de maison.
- Je ne sais pas, Monsieur.
- Comment ça, mon vieux, vous ne savez pas. Vous devez bien avoir l'habitude ! Vous n'êtes pas le serviteur de Madame ?
- C'est très récent, Monsieur.
- Et que faisiez-vous à sa table au restaurant ?
- Je suis le fiancé de Madame, Monsieur.
- En somme, vous êtes cocu.
- Officiellement depuis ce soir, Monsieur.
- Bonne continuation, alors, mon vieux, ironise-t-il.
L'homme revient à sa place, son compagnon le questionne du regard se doutant qu'il en a profité pour avoir une conversation avec le domestique. Mais Sandrine veille au grain et s'amuse à les empêcher d'échanger des informations du regard.
Autant pour éprouver son fiancé que pour tester ses deux conquêtes, Sandrine retarde le moment de se retirer dans la chambre à coucher. Benoît semble rester digne, les deux hommes ne savent plus sur quel pied danser. A un moment donné, elle laisse un grand blanc s'installer et ils sont incapables de le combler par une conversation intéressante.
- Au moins Benoît, se dit-elle, a une autre tenue. Dans de telles circonstances et à leur place, il n'aurait pas été pris de court ; d'ailleurs il tient son rôle à merveille.
Elle se félicite d'avoir pris cette décision de donner à leur relation un autre tournant alors qu'ils ne se sont pas encore engagés l'un envers l'autre. Le "OUI" de Benoît n'en sera que plus criant de sincérité quand ELLE décidera de l'épouser.
Elle met fin au calvaire de ces minables et les conduit à sa chambre. En y pénétrant elle a l'agréable surprise de découvrir, dans le tiroir de sa table de chevet, à côté de sa boite de pilules, un paquet de préservatifs. Comment Benoît se les est-il procurés, elle n'en sait rien, car ils n'en utilisent pas entre eux ; et elle ne lui a pas laissé de temps libre ... à moins qu'au restaurant pendant qu'elle "fricotait" avec le serveur, ou alors pendant qu'il est allé garer la voiture, mais alors il a été sacrément rapide ... En tous cas, voilà un homme pragmatique et efficace comme elle les aime ... et par dessus le marché discret et prévenant.
Cela lui donne l'idée de vérifier si de ses deux invités, l'un est muni de ces accessoires ou s'ils sont venus comme ça les mains dans les poches.
Ne voulant pas froisser ou déchirer sa belle robe, elle préfère l'enlever elle-même. Les deux hommes sont ébahis de la trouver ainsi en guêpière, les fesses nues. Pourtant, cela se voyait plus que cela ne se devinait sous la robe transparente ! Et au restaurant ils ne s'étaient pas privés de la reluquer, notamment lors de ses jeux de jambes ...
- Qu'attendez-vous, Messieurs ? Qu'il fasse jour ? Vous avez peur du noir ?
Ils avaient envisagé quelque chose de plus sensuel. Ils l'auraient entourée tous deux, soulevé sa robe, enlevé son string qu'elle n'avait pas, ... Et puis ils s'attendaient à dégrafer un soutien-gorge "normal", pas un instrument de torture de nos arrière-grands-parents ou que l'on relate dans les romans d'avant la révolution française.
- Bon, alors, vous vous déshabillez, ou quoi ?
- Entièrement, demande l'un ?
- Non, vous enlevez seulement une chaussette, la droite pour l'un et la gauche pour l'autre.
Au bout de deux minutes de réflexion, ils comprennent qu'il s'agit d'une manière indirecte de leur faire comprendre que la question était stupide. Ils se déshabillent donc entièrement et se présentent à elle comme deux gamins pris en flagrant délit de faute.
Sandrine se dit que décidément elle doit avoir le don d'impressionner les hommes : alors qu'elle est presque à poil, voilà deux hommes qui n'osent pas la toucher bien qu'ils soient venus pour la baiser. Finalement le jeune serveur était moins godiche.
Elle appelle Benoît.
Il arrive, entièrement nu lui aussi, mais détendu et tout aussi digne que s'il était habillé.
- Vous m'avez fait appeler, ma Princesse ?
Elle lui fait discrètement signe de prendre des photos. Il sort, revient et prend quelques clichés des hommes empêtrés dans leur nudité.
Cela les excite. Ils s'approchent de Sandrine et commencent à la peloter.
- Enfin, se dit-elle !
Elle attrape un sexe d'homme dans chaque main et entreprend de les masturber. Benoît est toujours présent, il n'a pas été congédié et suppose donc qu'il doit continuer à prendre des souvenirs, voire sous forme de vidéos. Il s'y applique consciencieusement, essayant d'oublier que la femme concernée est sa future épouse et que quelques heures auparavant il n'aurait jamais cru se trouver un jour dans une telle situation.
Aucun des deux compères n'a réussi à libérer Sandrine de sa guêpière.
- Tant pis, se dit-elle, je m'en chargerai moi-même plus tard. Cela me donne plus d'autorité sur eux.
Comme l'un d'entre eux est déjà passablement dur et veut la coucher sur le lit pour la pénétrer, elle lui demande s'il a apporté avec lui de quoi la prémunir contre les éventuels risques ; il fait mine de ne pas comprendre, mais elle ne l'entend pas ainsi.
- Je ne crois pourtant pas être allée vous chercher dans les bas-fonds. Où avez-vous été élevés ?
L'homme n'en revient pas ... et son début d'érection retombe instantanément comme un gâteau que l'on aurait sorti trop tôt du four.
- Je suis désolé, bafouille-t-il, mais vous nous avez pris de court, et nous ne sommes pas équipés. Nous n'avons pas l'habitude de nous promener avec de quoi trousser une belle à chaque coin de rue. Or vous ne nous avez pas donné l'occasion de nous procurer ce que vous réclamez maintenant. Mais je puis vous assurer sur l'honneur qu'en ce qui me concerne vous ne risquez rien.
- Et qui vous dit que vous ne risquez rien avec moi ?
- Oh, Madame, s'exclament-ils, offusqués ! Nous vous faisons confiance.
- Vous m'avez pourtant vue m'absenter un long moment avec ce jeune serveur. Oserez-vous prétendre le contraire ?
- C'est un fait, répond le second homme, mais à voir les précautions que vous prenez avec nous, probablement les avez-vous aussi prises avec lui.
- Par conséquent il n'y a pas lieu à faire d'exception, pour votre propre sécurité. Je ne peux pas plus me fier à sa parole qu'à la vôtre, et réciproquement.
Benoît commence à s'amuser de la situation. Sa Maîtresse se joue de ces individus avec brio.
- Finalement, se dit-il, cette nouvelle vie risque de lui apporter des agréments inattendus et autrement piquants que l'ancienne !
Il ne perd pas une miette à enregistrer.
Le second homme, craignant l'affaire perdue, d'autant plus que la dame ne peut être prise de force du fait de la présence de ce "serviteur - plus ou moins amant" tente un dernier argument :
- Vous ne pouvez pas comparer un garçon de café avec nous !
- Effectivement, vous avez raison.
Ils respirent tous deux, croyant à un miracle.
- Ce jeune homme avait beaucoup à apprendre en effet et je me suis chargée de pourvoir à une partie de son éducation ... sexuelle, mais au moins lui avait du savoir-vivre !
Le couperet est tombé. Ils comprennent qu'ils n'ont pas affaire à une vulgaire catin ou nymphomane, mais à une femme de caractère. Le premier commence à s'emparer de ses affaires pour se rhabiller et le second s'apprête à le suivre.
Voyant qu'ils capitulent, elle les interrompt :
- Je constate qu'au moins vous savez reconnaître vos torts.
- Nous sommes désolés.
- Heureusement que mon fiancé ici présent est un homme prévoyant, lui. Vous pouvez le remercier. En bon domestique, comme tout homme bien élevé devrait être, il a su pourvoir au besoin de sa Maîtresse, et grâce à lui nous allons pouvoir continuer la partie commencée.
Ils n'en reviennent pas, se dirigent vers Benoît et lui tendent chaleureusement la main pour le remercier de sa coopération et le féliciter de sa prévoyance. En restant aussi guindé qu'il peut l'être, le nouveau domestique serre les mains tendues vers lui.
Ces formalités accomplies, les deux individus se retournent vers Sandrine, qui entretemps s'est munie d'une cravache qu'elle fait claquer. Benoît commence à vraiment s'amuser : sa future épouse a des ressources qu'il ne lui avait même pas soupçonnées jusqu'alors !
Le premier des hommes recule en s'exclamant :
- Mais ce n'était pas convenu !
- Pour qui me preniez-vous donc, Messieurs, lui rétorque Sandrine ? Pour une salope voulant VOUS offrir du bon temps et que vous humilieriez de vos sarcasmes vulgaires entre grossiers personnages après m'avoir souillée en présence de mon fiancé ?
Ils restent bouche bée tandis qu'elle s'approche dangereusement. Un premier coup claque sur le torse de son vis-à-vis le plus avancé, le second s'abat sur les fesses du second qui s'est retourné et s'est replié en criant "Non !", puis :
- Mais elle est folle !
- Pour m'avoir, il faut me mériter. Vous allez commencer par payer pour m'avoir déshabillée du regard au restaurant.
Chacun prend encore quatre coups de cravache.
- Vous vous trompez, on ne vous avait même pas remarquée.
Deux autres coups, plus forts cette fois-ci, interrompent le mensonge.
- Voilà pour avoir eu l'outrecuidance d'ignorer une femme comme moi.
- Enfin, si, on vous avait remarquée, bien sûr.
Un coup carrément asséné sur la bouche qui se met à saigner.
- Ça c'est pour le mensonge. Tu m'as remarquée ou tu ne m'as pas remarquée, il faudrait savoir.
Et se tournant vers celui recroquevillé en position fœtale, elle lui assène un violent coup sur l'épaule.
- Et toi la larve, que dis-tu ?
- De toutes façons vous vous êtes déshabillée de vous même, alors pourquoi nous punir ?
Pendant une demie heure elle joue ainsi avec eux, les obligeant petit-à-petit à avouer le désir qu'ils ont éprouvé pour elle, ce qui la fait tellement mouiller que l'on pourrait reconstituer son parcours rien qu'en suivant les marques liquides sur le sol de la chambre. Tant et si bien qu'elle voit poindre un début d'érection sur le moins timoré de ses partenaires.
Elle envoie sa cravache à Benoît, qui la saisit au vol ; elle enlève elle-même sa guêpière et va s'allonger, cuisses écartées, sur son lit.
- Je suis bonne princesse, venez me sucer.
Comme ils hésitent, elle les exhorte :
- Allez, toi, tu t'occupes de ma chatte, dit-elle en s'adressant à celui qui ne saigne pas de la bouche. Et toi de mes seins. Et vous avez intérêt à me procurer du plaisir, sinon ...
Ils obéissent, mais comme ils s'y prennent un peu trop rudement au goût de Sandrine, elle les reprend.
- Depuis combien de temps n'avez-vous pas mangé ? Doucement, nous avons toute la nuit devant nous. Toi, tu sais où est mon clitoris ? Je ne t'ai pas permis d'y fourrer tes sales pattes de gros porc, juste ta langue ; d'abord mets-toi à genoux au pied du lit. Voilà, cherche, fourre ton museau comme si tu cherchais des truffes ; et quand tu auras trouvé, tu lècheras dou-ce-ment. Et toi viens t'accroupir au-dessus de moi, mais interdiction de t'affaler. Non, je ne veux pas voir tes fesses pour l'instant, tourne-toi de l'autre côté. Tu dois tenir sur les bras et les jambes ; et tu me suces doucement les mamelons pour commencer.
Elle les guide ainsi, faisant leur éducation sexuelle, expliquant à l'un par la pratique comment enrouler sa langue autour du clitoris pour le faire gonfler, comment l'aspirer doucement, comment lécher ses lèvres, les sucer, comment introduire sa langue dans son antre intime ; à l'autre comment titiller de sa langue les mamelons, les aspirer avec délicatesse, lui faisant découvrir la sensibilité de ses aréoles, et comment rendre l'intégralité du sein réactif au moindre contact lingual, et même demandeur, lui apprenant à ne pas privilégier l'un au détriment de l'autre.
Elle leur apprend à oublier leur propre désir pour se consacrer AU SIEN. Elle gère ainsi ses orgasmes (qu'elle exprime en toute impudeur) causés qui par l'excitation du clitoris, qui par celle de ses lèvres, qui par ses seins, ... elle réussit même à les faire coïncider et – pour la première fois de sa vie, alors que la langue de son partenaire est trop courte pour avoir pu atteindre son point G – un jet puissant le surprend en pleine action. Sandrine l'oblige à maintenir sa position et à se délecter du nectar qu'elle lui offre ainsi.
Puis elle leur dit :
- Vous allez vous congratuler pour la leçon que je viens de vous donner. Approchez-vous l'un de l'autre. Toi laisse ma poitrine et rejoins ton copain.
Lorsqu'ils se trouvent à proximité l'un de l'autre, se demandant ce qui les attend, elle leur intime :
- Embrassez-vous sur la bouche et partagez le nectar que l'un de vous a reçu de moi.
Comme ils se regardent effarés, elle s'impatiente :
- Allons, je n'aime pas attendre. C'est bon pour les domestiques. Et si vous osez me laisser supposer que vous considérez comme telle, il va vous en cuire.
Ils obéissent sans grand enthousiasme.
- Plus d'entrain ! Toi, tu es la femme, dit-elle en s'adressant au plus timoré, et toi l'homme. Pelotez-vous et jouez le jeu. Embrassez-vous a-mou-reu-se-ment.
Ils s'exécutent.
- Bien ! Maintenant, nous allons passer à un autre plaisir.
S'adressant à celui qui lui a sucé le sexe :
- Je vais me retourner et tu va me sucer l'anus, extérieur et intérieur, toujours avec la langue.
- Mais c'est dégoûtant !
- C'est toi qui est dégoûtant. Tu n'as même pas demandé à prendre une douche avant de vouloir me sauter dessus !
Puis s'adressant à l'autre :
- Et toi, tu vas chercher mes autres points sensibles, en commençant par mes aisselles, toujours avec la langue. Ne t'inquiète pas si elles sont humides : la sueur a la même consistance que l'urine.
Et elle se met sur le ventre.
Comprenant qu'il n'y a pas moyen d'échapper à leur calvaire, les deux hommes s'exécutent de leur mieux. Sandrine écarte largement ses cuisses et ses bras, tenant elle-même les fesses bien écartées au moment où elle demande à son partenaire de la pénétrer de sa langue. Elle exige de pouvoir jouir autant et aussi violemment que dans la position précédente, mais n'obtient pas ce résultat. Au bout d'une heure environ, elle permet aux deux hommes d'échanger comme précédemment les goûts qu'ils ont ainsi découverts.
Pendant tout ce temps, Benoît est resté stoïquement raide comme un "I" à contempler sa fiancée en train de se faire procurer du plaisir buccal par deux hommes à la fois, entièrement nue. Il ne s'est permis quelques entorses que pour filmer certaines scènes particulièrement intéressantes et prendre quelques clichés. Il est aussi allé chercher des rafraîchissements sans que personne ne remarque son absence de courte durée.
Il a été bien inspiré. Sandrine a soif. Voyant que Benoît a apporté tout ce qu'il faut elle se prépare à faire une petite pause, mais une idée lui vient.
- Je sens que je vais boire quelque chose. Mais vous deux, vous allez vous rafraichir mutuellement. Positionnez-vous tête bêche, sur le côté.
Ils s'exécutent sans discuter. Sandrine sourit en constatant avec plaisir avec quelle facilité elle a pris de l'autorité sur eux.
- Que chacun prenne le sexe de l'autre en bouche.
Là encore, ils obéissent. Benoît n'en revient pas !
- Je ne veux pas voir d'érection. Il doit bien vous rester un peu d'urine dans la vessie. Il va vous falloir en faire profiter votre camarade. Un petit effort tous les deux ! Et je ne veux pas voir la moindre goutte tomber par terre ...
En les observant, elle se fait servir par Benoît et sirote tranquillement. Ce dernier n'est en revanche pas convié à partager autre chose que le spectacle, ce qui est déjà beaucoup du point de vue de Sandrine.
Lorsqu'elle constate la première tétée accompagné de tentatives de déglutition et de moues de dégoût, un sourire de satisfaction apparaît sur ses lèvres. Elle fait séparer la bouche et le pénis concernés et en approche son nez pour en sentir l'odeur afin de vérifier qu'on n'a pas tenté de l'abuser. Puis elle attend calmement que la même chose se produise dans l'autre sens et opère la même vérification.
Seulement alors, elle empoigne les deux sexes et se met à les masturber frénétiquement. Les deux hommes sont bientôt dans un état de rigidité qui lui convient. Elle fait signe à Benoît d'enfiler un préservatif à chacun des deux. Elle ordonne à celui le mieux doté de s'allonger à plat dos sur le sol et s'empale sur lui, assise sur son ventre en lui tournant le dos. L'autre doit lui faire face, à genoux. Elle gobe son phallus.
C'est elle qui dirige les mouvements. Benoît est chargé de filmer l'intégralité de la scène. Alternativement l'homme d'abord à genoux doit se mettre accroupi pour faciliter le plaisir de Madame, quel que soit son niveau de fatigue. Il est autorisé à utiliser ses mains pour lui caresser les seins avec dou-ceur. Quant à celui au sol, il peut lui tenir les hanches et lui peloter les fesses. Elle-même se masse le clitoris. C'est elle qui détermine le rythme, le ralentit pour éviter les éjaculations trop précoces, l'accélère pour atteindre un orgasme qu'elle sent naissant. Elle intervient quand elle le juge utile sur les mains de ses partenaires pour en déplacer les positions, en accélérer les mouvements, les appuyer ou les soulever légèrement.
Lorsqu'elle se sent fatiguée, elle demande à Benoît de poser l'appareil d'enregistrement sur un support fixe, de le mettre en position d'enregistrement automatique, et de venir soutenir son dos.
Cela lui permet de contraindre ses partenaires à lui procurer encore du plaisir pendant près de deux heures.
Ne cherchant pas à équilibrer les situations entre les deux hommes, elle décide alors qu'il ne lui reste qu'une seule chose à faire avant de se séparer d'eux.
- Messieurs, vous avez pris le plaisir que vous espériez, je crois.
Ils n'osent pas prétendre le contraire, même si les choses ne se sont pas déroulées comme ils l'escomptaient.
- Vous n'aviez pas envisagé d'utiliser de préservatif, autant que je me souvienne.
Ils baissent la tête, penauds, se demandant où veut en venir cette femme qui fait alternativement souffler le chaud et le froid.
- Chacun de vous va donc boire le sperme de l'autre.
Benoît s'approche alors de chacun des deux hommes et lui tend le préservatif plein qu'il a retiré avec précaution – sur un signe discret de sa Maîtresse – de son camarade au moment où il a éjaculé. En bon toutou, il veille à l'application de cette nouvelle directive de sa Maîtresse. Les deux hommes sont sur le point de vomir. Sandrine les en dissuade :
- Je préviens que celui d'entre vous qui souillerait ce sol serait aussitôt contraint de le nettoyer par ingestion comme un vulgaire animal avant d'être fouetté.
Comprenant que la maîtresse des lieux ne plaisante pas, ils obéissent avec le plus grand écœurement mais réussissent à se retenir de commettre la moindre saleté.
Après quoi, Sandrine leur annonce :
- Messieurs, si vous vous étiez montrés dignes, vous aurez bien évidemment eu droit à une douche avant de vous en aller. Comme il n'en a rien été, estimez-vous heureux du plaisir et des leçons que je vous ai procurés. Rhabillez-vous. Le jour commence à se lever, mon domestique va vous raccompagner jusqu'à la porte d'entrée.
Ils n'attendent pas qu'elle le leur répète, pressés de quitter ces lieux malgré le plaisir qu'il ont effectivement reçu ... et ingrats quant aux leçons gratuites dont ils ont bénéficié concernant les techniques amoureuses.
Après leur départ, Benoît débarrasse la chambre de Sandrine.
- Mon ami, tu as été très bien. Pour une première, je te félicite.
- Je vous remercie, ma Princesse. Puis-je me permettre de vous rappeler que je dois me lever dans une heure pour aller me préparer chez moi afin de partir au travail ?
- Ah oui, c'est vrai que tu as un travail autre que me servir ... Et à quelle heure vas-tu rentrer ?
- Ma Princesse sait que je l'ignore moi-même.
- Il va pourtant falloir maintenant que tu t'organises pour me rendre des comptes plus précis, mon domestique adoré. Je te donne une semaine pour gérer tout cela au mieux. Le même délai que pour t'installer ici à titre temporaire pendant une période d'essai de ... disons 6 mois, au cours de laquelle tu conserveras ton logement mais n'iras y faire un tour qu'une fois par semaine pour relever ton courrier, prendre tes messages téléphoniques, récupérer des affaires dont tu découvrirais qu'elles te sont indispensables. Avant de partir tu prendras un double des clés de la maison.
- Bien, ma Princesse.
- Autre chose : ce n'est pas parce que tu conserves un logement indépendant du mien que tu es autorisé à avoir des secrets. Tu noteras tous tes messages téléphoniques scrupuleusement par écrit sur un carnet que je te fournirai et qui sera rangé, ainsi que ton courrier, dans un tiroir non verrouillé du bureau de ta chambre.
- Je ferai comme Vous l'exigez, ma Princesse.
- Tu tiendras également un journal, sur lequel tu noteras scrupuleusement toutes tes impressions, tous tes désirs, tout ce qui n'est pas strictement professionnel. Tu le rangeras dans le même tiroir. Si tu ressens la moindre pulsion envers une femme croisée dans la rue, que ce soit à cause de son regard, de sa tenue, de sa poitrine, ou pour tout autre raison, je veux le savoir. Si tu es jaloux des hommes qui me procurent du plaisir, je veux le savoir même si j'apprécie que tu te comportes en parfait domestique obéissant et attentionné. Regarde-moi droit dans les yeux et réponds-moi.
- Ma Princesse, je Vous adore et je ferai de mon mieux tout ce que Vous me demandez.
A ce moment, Sandrine constate que Benoît est en train d'avoir une érection.
- Tu dormiras plus tard, viens ici, tu l'as bien mérité.
Elle l'entraîne vers son lit, l'y jette sur le dos, enfile son pénis dans son vagin brûlant et trempé, et le chevauche en s'agrippant à ses cheveux, hurlant comme une amazone.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire est nulle si ce n’est pour ceux qui aime etre l’esclave d une pute …. Et qui aime se faire rabaisser d’autant- pas mon trip
Voilà quelque temps que j'ai arrêté d'écrire ces récits et même de publier ceux que
j'avais déjà écrits et qu'il restait à affiner.
En effet à la suite de problèmes personnels m'ayant conduit à différer dans un premier
temps la poursuite de ces textes, j'ai pris le temps de prendre conscience que le
temps consacré semblait démesuré par rapport au retour perçu.
Quelques lecteurs et lectrices m'ont relancé, l'argument du nombre de lectures
(plusieurs milliers, dépendant d'ailleurs des séries) a été avancé. Sans le réfuter
totalement, ma réponse est que ce nombre n'implique pas forcément un intérêt : un
lecteur peut avoir tenté de commencer à s'intéresser au récit pour l'abandonner au
bout de quelques lignes, il aura malgré tout été comptabilisé.
Je suis désolé pour celles et ceux réellement passionnés par telle ou telle histoire ;
cependant rappelons que ma démarche annoncée comportait l'appropriation du sujet par
le lecteur, lequel devait pouvoir arranger l'histoire à sa manière. Le fait que les
séries prennent fin plus tôt que prévu leur donne ainsi l'occasion de mettre ce
souhait d'autant plus en pratique.
Par ailleurs chaque publication était en soi un tout "fini", même s'il était évident
que l'histoire globale ne l'était pas.
Enfin on ne sait jamais, je ne mets pas fin à mon compte ; peut-être reviendrai-je un
jour sur ma décision ...
Merci de toutes façon à celles et ceux qui m'ont manifesté leur soutien.
j'avais déjà écrits et qu'il restait à affiner.
En effet à la suite de problèmes personnels m'ayant conduit à différer dans un premier
temps la poursuite de ces textes, j'ai pris le temps de prendre conscience que le
temps consacré semblait démesuré par rapport au retour perçu.
Quelques lecteurs et lectrices m'ont relancé, l'argument du nombre de lectures
(plusieurs milliers, dépendant d'ailleurs des séries) a été avancé. Sans le réfuter
totalement, ma réponse est que ce nombre n'implique pas forcément un intérêt : un
lecteur peut avoir tenté de commencer à s'intéresser au récit pour l'abandonner au
bout de quelques lignes, il aura malgré tout été comptabilisé.
Je suis désolé pour celles et ceux réellement passionnés par telle ou telle histoire ;
cependant rappelons que ma démarche annoncée comportait l'appropriation du sujet par
le lecteur, lequel devait pouvoir arranger l'histoire à sa manière. Le fait que les
séries prennent fin plus tôt que prévu leur donne ainsi l'occasion de mettre ce
souhait d'autant plus en pratique.
Par ailleurs chaque publication était en soi un tout "fini", même s'il était évident
que l'histoire globale ne l'était pas.
Enfin on ne sait jamais, je ne mets pas fin à mon compte ; peut-être reviendrai-je un
jour sur ma décision ...
Merci de toutes façon à celles et ceux qui m'ont manifesté leur soutien.
Je suis heureux qu'elle plaise, ça prend du temps à écrire et à corriger ; et encore on
laisse passer des erreurs !
Et puis il y en a d'autres, il en faut pour tous les goûts ...
laisse passer des erreurs !
Et puis il y en a d'autres, il en faut pour tous les goûts ...
j'adore j'aime bocoup ce genre d'histoire j'espere la suite tres vite :)