L'amour interdit 3 - histoire érotique

Maurane, prend sa fille par les mains, et entraine vers le lit. Comme un automate, Julia suit sa maman. Avec douceur, elle la bascule sur le lit, ou des résidus de cyprine et de sperme odorants sont bien visibles sur la couche.

Julia se laisse faire, elle ne veut pas se révolter, au contraire, elle veut aussi avoir des jouissances aussi terribles que celle de sa maman. D'ailleurs, son corps le réclame. Julia, ignare des plaisirs du sexe, aspire à être enfin une femme. Elle veut que des bites féroces lui ravagent les orifices et fassent d'elle une femme comblée. Mais pour l'instant, elle est soumise à sa maman qui, elle aussi, est ignorante du lesbianisme.

Les mains moites de Maurane caressent fébrilement le corps de sa fille. Avec douceur, elle lui caresse les siens, excite les mamelons, en les roulant entre ses doigts, et en étirant. Julia commence à geindre en fermant les yeux, sa peau souple répond parfaitement aux palpations profondes que sa maman pratique ses lobes mammaires.

Mais lorsque la maman pose sa bouche sur les mamelons bien dressés, Julia reçoit comme une décharge électrique dans les corps. Cela prouve que la coquine est bien réceptive. Les succions deviennent de plus en plus féroces. Julia serre les dents, sa respiration s'accélère. La bouche maternelle, maintenant progresse vers le ventre, s'attarde sur le nombril avant de s'approcher du temple de l'amour. Julia ouvre les cuisses, sa maman regarde un instant la chatte ruisselante de cyprine. Hume fortement les effluves très odorantes qui s'échappent du volcan en fusion.

Doucement, elle pose sa bouche sur le fruit trop mûr, qui rejette son jus, et commence à laper comme un chat entre les fines lèvres vaginales, bien dessinées.
Pour Julia, c'est une expérience extraordinaire, elle gémit. Sa maman lui enfonce sa langue dans le conduit et le fouille férocement. Julia défaille, mais lorsque l'affamée de maman, lui gobe le clito, elle pousse un cri terrible. Elle se cabre sur le lit, et comme prise de frénésies, agite fortement son bassin. Ses grognements sont ceux d'une bête agonisante.

Maurane, pour sa première expérience lesbienne, sait comme faire. Elle fait hurler sa fille de plaisir et l'emmène jusqu'à la jouissance. Julia, en recherchant sous souffle, marmonne :

-Oh, maman, maman, c'est merveilleux, encore, encore !

Pendant de longues minutes, Maurane dévore la chatte et ose aussi s'attaquer à l'anneau rectal. Julia trouve cet attouchement fabuleux, jamais une bouche ne s'est posée sur sa chatte et encore moins sur son anus. La maman, bien que novice, fait délirer sa fille avec sa bouche. Lorsque la langue râpeuse pénètre l'anus de Julia, cela déclenche en elle, une jouissance anale terrible. Elle hurle si fort que son papa et son frère sursautent. Ils s'approchent d'elle, et commencent à jouer des doigts sur son corps. La maman, après avoir accompli son défit, cède la place.

Les queues des deux hommes ont repris des forces. Elles sont dressées comme des mâts. Bien que haletante, Julia regarde les engins remplis de sèves, secoués par de petits soubresauts. Elle souhaite vivement de les avoir dans le corps. La maman demande :

-Ma chérie suce la queue de ton papa, avale sa semence, gave-toi ma chérie !

Julia saisit la verge de son papa, qui semble énorme tellement elle est tendue. Elle sent le sang battre dans les grosses veines apparentent. Elle l'agite un moment, puis décalotte le gland, elle l'observe longuement, en ravalant sa salive. Elle penche sa tête vers le manche impressionnant, donne quelques coups de langue sur le champignon gascon, de le gober. Elle se déboîte presque les mâchoires, tellement elle s'évertue à sucer l'engin. Son frère regarde l'exploit que sa sœur et entrain d'accomplir. Elle qui n'a pas encore connu de bites, là, la coquine va être servi, elle en a deux à disposition.


Julia s'acharne sur le gland, sa bouche fait ce qu'elle peut sur le mandrin charnu. Son papa geint de bonheur, enfin Julia entend sa voix :

-Oh ma chérie, tu suces divinement, je vais décharger, mon Dieu, ça vient, ça vient !

Une puissante giclée de sperme lui remplit la bouche. Julia repousse son papa, elle manque d'étouffer. Elle veut recracher la semence. Mais sa maman la stoppe :

-Non, malheureuse, ne fais pas ça, avale, c'est si bon, avale !

Julia, en grimaçant, avale avec difficulté la crème onctueuse, que son papa lui a offert. Roger est souriant, il encourage sa fille :

-C'est bien ma chérie, maintenant, je vais faire de toi une femme, ouvre bien les cuisses, je vais te prendre comme tu le mérites ma chérie !

Julia écarte les cuisses le plus possible, son papa prend place entre le compas ouvert, et pose son engin redoutable contre la fente humide. Il la prend par les hanches et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage de la jeunette. Le pal épais s'enfonce doucement dans la gaine étroite, la douleur fait geindre Julia, mais son souhait est d'être prise entièrement pour devenir une vraie femme. Malgré la souffrance qu'elle ressent, Julia est courageuse.


Elle serre la main de sa maman pendant la pénétration, en faisant une moue affreuse. Son papa sent une résistance. Elle recule un peu son pieu et donne un violent coup de reins. Julia se cabre en poussant un cri, une intense brûlure lui traverse le ventre, elle s'agrippe à son papa, ses yeux s'emplissent de larmes. Le bougre de papa vient de lui déchirer son hymen. Il reste un moment sans faire de mouvements. Pendant que son papa lui prenait sa virginité, Julia a serré si fort la main de sa maman, qu'elle en a grimacé.

De sa main libre, Maurane caresse avec douceur le corps tremblant de sa fille. Elle est bien consciente de la douleur que ressent sa fille. Ses caresses se font de plus en plus précises. Sa main fait de petits cercles sur le ventre plat de Julia, en s'approchant de son clitoris. Elle le saisit, et commence un doux branlage. Ce geste d'amour rassure Julia, la douleur semble s'atténuer. Le manche large qui lui dilate le vagin, commence prendre vie, il entame de petits allers et retours.


Julia souffle comme un dragon, la vitesse augmente d'un cran, pour atteindre rapidement sa vitesse de croisière. La maman encourage sa fille sans cesser de lui branler la boule de chair :

-Oui, ma chérie prend toute la bite de ton papa, ne te retiens pas, crie, agite-toi, cherche ton plaisir ma chérie !

Roger ne ménage plus sa fille, il la défonce comme la dernière des putes. Julia gémit, couine à chaque coup de reins. Elle ondule du bassin, sa vulve fonctionne comme une ventouse, elle enserre la bite de son papa comme pour l'emprisonner. Le bougre serre les dents, il se démène comme un beau diable. Soudain sa fille se cabre en poussant un hurlement, Julia écrase la main de sa maman, sa jouissance est fantastique. Son corps se met à trembler comme une feuille au vent.


Un grognement se fait entendre, son papa vient de jouir à son tour. Il remplit le vagin avec sa semence épaisse. La douceur du sperme qui coule en elle, fait couiner Julia de bonheur. Soudain, la chevauchée reprend de plus belle, Julia sonne des coups de reins aussi violents que ceux de son papa. Le gland large qui lui rabote le col de l'utérus, la fait gémir comme une bête blessée. Une seconde jouissance fait cabrer simultanément les deux amants. Qui retombent sur la couche en haletant fortement.

Enfin le papa dépuceleur retire sa verge de la vulve. Maurane regarde la chatte rejeter un filet de sperme mêlé à du sang. Elle embrasse sa fille sur le ventre en disant :

-Te voila maintenant femme ma chérie !

Julia arbore un petit sourire, elle n'est encore pas remise de ses jouissances. Sa chatte ne cesse de se contracter, Loïc qui bande comme un cheval, ne peut s'empêcher de dire :

-Oh putain comme elle jouit bien ta chatte ma salope, comme j'aimerais moi aussi la faire vibrer !

La maman en souriant regarde sa fille qui est inerte sur le lit, et lui demande :

-Tu veux sentir en toi la queue de ton frère ma chérie, elle est bonne, tu sais !

Julia fait un signe de tête pour dire oui. Puis en s'adressant à son fils, Maurane dit :

-Prends là mon chéri, le passage est fait, vas-y fais-la encore jouir, prends ton pied aussi !

Rapidement, Loïc enfonce sa verge dans le conduit qui vient d'être visité. Il s'accroche à sa sœur et comme un soudard, il la pilonne férocement. La pression monte dans les corps. Le va-et-vient incessant fait grogner de plaisir Julia qui s'agite sous les coups de boutoir violents de son frère. Elle se cabre en poussant un grognement, pendant la jouissance. Loïc continue de la défoncer, les coups de reins dévastateurs, font réagir Julia :

-Oh putain, comme c'est bon, vas-y, vas-y bourre-moi, Loïc. Mon Dieu, je vais encore jouir !

Elle pousse un grognement de bête et jouit en même temps que son frère. Loïc reste dans le corps de sa sœur un long moment avant de se désaccoupler.