L'amour paysan 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amour paysan 2
Le Dimanche, Jean est métamorphosé, sa mère ne le reconnait pas.
"Je pensais pas que le fait de devenir paysan, le rendrait aussi heureux !".
"Moi non plus ! Mais si c'est son choix ! Par contre, il faut le prévenir que ça fait pas rêver les jeunes filles !".
Jean leur répondra, lors de leur prévenance:
"Oh, j'ai le temps pour ça ! On verra ! Bon, vous me ramenez chez Fernand ?".
Chez l'agriculteur, les parents se rassurent en visitant la chambre du jeune homme, mais ne remarquent pas, que seul le lit de Jean est fait.
Lors de leur départ, Fernand pose discrètement sa main sur les fesses du jeune Jean, qui se cambre aussitôt d'envie.
Un frisson lui parcoure le dos.
Dès qu'ils sont hors de vue, Jean se retourne.
Fernand lui prend le visage entre ses mains.
"Tu m'as manqué, je pensais pas m'attacher aussi vite ! J'aimerai bien que tu restes toujours avec moi !".
"Moi aussi ! M'sieur Fernand ! J'avais hâte de revenir ! J'ai dis à mes parents que je rentrerai qu'une fois par mois ! Ca vous dérange pas ?".
"Au contraire ! C'est mieux comme ça ! Mais qu'est-ce que ...".
Le jeune garçon est agenouillé devant lui, et commence déjà à coulisser sur sa longue verge.
Fernand se laisse dévorer la queue, très longuement, en caressant la tête de son jeune apprenti.
Il râle de plaisir, tout au long de cette délicieuse fellation goulue.
Après plus de dix minutes, il relève son protégé et l'entraine dans la ferme.
Le jeune garçon se retrouve nu, au niveau des jambes.
Fernand le couche sur un établi en bois, qui lui sert aussi de table à manger.
Il lui écarte les cuisses et l'enduit de beurre fermier au centre des fesses.
Il colle son gros gland en poussant.
Le petit Jean écarte ses fesses avec ses mains.
"Oui, M'sieur Fernand ! Enculez-moi ! J'en ai encore envie, depuis hier ! Je pense plus qu'a ça !".
"Je suis content que ça te plaise autant ! Ca rentre de plus en plus facilement, d'ailleurs !".
"Ouhhh ! Oui, C'est parce que ça me plait, j'ai toujours envie de vous avoir dans mon cul !".
"Eh ben ! T'es un vrai p'tit pédéraste alors ! Une vraie p'tite femelle !".
"Oui, je veux être votre femelle ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Le gland de Fernand vient de toucher le fond du cul du jeune homme.
L'agriculteur s'accroche à ses cuisses en lui tenant les jambes à la verticale, et s'affaire dans son anus graissé de beurre.
Les bruits de claquements contre les fesses de Jean se mêlent aux râles de plaisir des deux complices.
"Arhhhhhhhhhh ! M'sieur Fernand ! Vous me prenez bien ! Arghhhhhhhhhh ! J'aime me faire enculer ! C'est meilleur à chaque fois !".
Fernand est heureux comme jamais, il aime plus que tout, enculer le jeune Jeannot, mais il sait qu'il ressent plus qu'un désir physique envers lui.
Il aime voir le p'tit Jeannot se masturber la queue pendant qu'il coulisse amplement et profondément dans son cul poisseux.
Ses yeux brillent lorsque le jeune garçon annonce:
"Argggggggg ! M'sieur Fernand ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Jeannot se macule en grands jets de sperme, il couvre son ventre et son maillot de corps en jouissant pleinement.
Fernand est comme fou, il s'agite encore plus frénétiquement, faisant crier de plaisir son jeune amant.
Le jeune garçon aime, de plus en plus, cette sauvage possession, qu'il subit depuis quelques jours.
Il se laisse emporter par les assauts profonds de Fernand, en criant à chaque enfoncement.
Puis Fernand retire sa longue queue et arrose abondamment le ventre du garçon.
Ses nombreuses éjections de foutre rejoignent celles du jeune apprenti.
Il revient ensuite dans son anus et termine de jouir tranquillement dans son corps.
Il ne peut plus se retenir d'une envie de montrer à Jean, son attachement.
Il se penche vers son visage et lui donne un long baiser, le premier depuis leurs jeux sexuels.
Lorsque leurs lèvres se séparent, le jeune garçon lui dit en pleurant:
"J'vous aime ! M'sieur Fernand ! J'veux plus vous quitter !".
"Moi aussi, mon p'tit Jeannot ! On se quittera jamais !".
Fernand sort un mouchoir en tissu pour se nettoyer la queue, pendant que Jean se relève.
Il attend que son maitre agriculteur lui donne le mouchoir pour s'essuyer l'anus.
Il ajoute:
"Zut ! Je vais devoir me changer de maillot de corps !".
"Oh, tu peux le garder, on est que tous les deux et ça ressemble à du lait de vache, après tout !".
Excité par cette proposition, le jeune homme répond:
"Pourquoi pas !".
Ils se mettent au travail, en rattrapant le retard causé par l'arrivée tardive de Jean à la ferme, et leur baise passionnée.
Fernand ose partager ses penchants dominateurs avec Jeannot, qui se révèle en demande de soumission.
Leur amour partagé exacerbe leurs désirs, Fernand encule le jeune garçon ou se fait sucer dès qu'il peut.
Ils se tutoient désormais.
Jean a suivi les conseils de Fernand en côtoyant quelques filles du village pour confirmer qu'il n'avait aucun besoin hétérosexuel.
C'est à la troisième tentative qu'il parvient à avoir un rapport complet avec l'une d'elle.
En rentrant à la ferme, il dit à l'agriculteur:
"Fernand ! C'est fait ! J'ai couché avec une fille !".
"Et alors ?".
"Je veux plus le faire ! J'ai eu du mal à bander et j'avais le sentiment de ne pas être à ma place ! Quand je la baisais, je l'enviai ! J'avais envie d'être à sa place ! Je m'ennuyais aussi ! Et tant mieux ! Ca m'a permis de sortir pour pas juter dans sa chatte !".
"Bon ! Je préférai que tu sois sûr ! Mais je suis content aussi ! J'avais peur que tu me quittes, quand même !".
"Non, je t'aime trop, et j'aime ta queue aussi ! Je préfère être ta p'tite femelle ! Ca m'va bien !".
C'est au bout de quelques mois que Jean connait une nouveauté sensorielle avec Fernand.
Ce matin-là, Jean a persuadé Fernand de le laisser lui dévorer la queue, jusqu'à l'abreuver abondamment de son jus chaud et salé.
Puis, ils s'affairent au champ, afin de ramasser la paille et former des bottes, pour enfin, les entasser sur la remorque.
Il est près de 11h00, le jeune garçon est en sueur, il travaille torse nu et en short, Fernand a une pulsion qu'il ne peut plus repousser.
Il s'approche du jeune garçon et le plaque contre les bottes de paille.
A la demande de Jean, il accepte de couvrir l'endroit des vêtements ôtés auparavant, à cause de la chaleur.
A présent, un peu de salive suffit pour lubrifier l'anus de Jeannot.
Le jeune homme se fait posséder rapidement, et râle sans retenue dans la campagne.
Le fait que Fernand a déjà éjaculé récemment, lui donne une endurance supplémentaire.
Jean n'a plus besoin de se masturber, il macule de sperme la botte de paille, au bout de presque vingt minutes de sodomie profonde.
"Arghhhhhhhhhhh ! Fernand ! C'est plus fort aujourd'hui ! Encore !".
En effet, Jean apprécie le plaisir anal de plus en plus, même après avoir éjaculé.
Une sensation puissante lui envahit le corps, son visage se crispe, il a l'impression que son cerveau va éclater.
Fernand s'inquiète, tout en l'enculant comme un forcené.
"Ca va ? Mon amour ?".
"Ohhhh ! Oui ! Encore, C'est fort ! Encule-moi encore ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Jean se laisse envahir par cette nouvelle sensation anale qui monte inexorablement, puis explose en lui longuement.
"Argggggggggggggggggggggggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Mon dieu, t'as jamais crié comme ça, Jeannot ! Ca va ?".
"Oui, je crois que tu viens de me faire jouir du cul, c'est trop fort, j'adore ! Arghhhhh, je crois que ça va recommencer ! Arhhhhhh ! Continues !".
Et pour cause, il va, en effet, connaitre plusieurs orgasmes à la chaine, jusqu'au déversement de sperme de Fernand dans son anus.
Il a alors un élan d'amour passionnel envers le quadragénaire.
"Je t'aime Fernand, encore plus fort qu'avant ! Tu m'as fait connaitre un plaisir énorme ! je croyais pas qu'c'était possible de jouir comme ça !".
Depuis ce jour, le jeune Jeannot connait des orgasmes anaux à chaque fois que son amant le sodomise.
Ils vivront ensemble de longues années, Fernand est toujours très protecteur et dominateur avec Jean.
Ils évoluent vers des jeux pervers avec insertions de légumes allongés, des outils aux formes excitantes, et insèrent les mots crus pour intensifier la domination.
Fernand se souvient de ses anciennes visites en ville, et ose entrainer son amant dans des lieux de rencontres pour hommes.
Il arrive à persuader son amant de baiser avec trois autres hommes.
Outre le plaisir de le voir jouir avec d'autres queues, cela le rassure aussi, sur la suite de la vie de Jean.
Il sait qu'après lui, il saura ou trouver des amants pour calmer ses pulsions homosexuelles.
A l'aube des 70 printemps, Fernand succombe à une attaque cardiaque, laissant un Jean inconsolable.
Il hérite de la ferme, conformément aux dernières volontés de Fernand.
Jean comblera ses pulsions à la ville et profite de la liberté sexuelle des années 80 pour se rendre au cinéma porno, afin de se faire prendre, dès qu'il peut.
"Je pensais pas que le fait de devenir paysan, le rendrait aussi heureux !".
"Moi non plus ! Mais si c'est son choix ! Par contre, il faut le prévenir que ça fait pas rêver les jeunes filles !".
Jean leur répondra, lors de leur prévenance:
"Oh, j'ai le temps pour ça ! On verra ! Bon, vous me ramenez chez Fernand ?".
Chez l'agriculteur, les parents se rassurent en visitant la chambre du jeune homme, mais ne remarquent pas, que seul le lit de Jean est fait.
Lors de leur départ, Fernand pose discrètement sa main sur les fesses du jeune Jean, qui se cambre aussitôt d'envie.
Un frisson lui parcoure le dos.
Dès qu'ils sont hors de vue, Jean se retourne.
Fernand lui prend le visage entre ses mains.
"Tu m'as manqué, je pensais pas m'attacher aussi vite ! J'aimerai bien que tu restes toujours avec moi !".
"Moi aussi ! M'sieur Fernand ! J'avais hâte de revenir ! J'ai dis à mes parents que je rentrerai qu'une fois par mois ! Ca vous dérange pas ?".
"Au contraire ! C'est mieux comme ça ! Mais qu'est-ce que ...".
Le jeune garçon est agenouillé devant lui, et commence déjà à coulisser sur sa longue verge.
Fernand se laisse dévorer la queue, très longuement, en caressant la tête de son jeune apprenti.
Il râle de plaisir, tout au long de cette délicieuse fellation goulue.
Après plus de dix minutes, il relève son protégé et l'entraine dans la ferme.
Le jeune garçon se retrouve nu, au niveau des jambes.
Fernand le couche sur un établi en bois, qui lui sert aussi de table à manger.
Il lui écarte les cuisses et l'enduit de beurre fermier au centre des fesses.
Il colle son gros gland en poussant.
Le petit Jean écarte ses fesses avec ses mains.
"Oui, M'sieur Fernand ! Enculez-moi ! J'en ai encore envie, depuis hier ! Je pense plus qu'a ça !".
"Je suis content que ça te plaise autant ! Ca rentre de plus en plus facilement, d'ailleurs !".
"Ouhhh ! Oui, C'est parce que ça me plait, j'ai toujours envie de vous avoir dans mon cul !".
"Eh ben ! T'es un vrai p'tit pédéraste alors ! Une vraie p'tite femelle !".
"Oui, je veux être votre femelle ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Le gland de Fernand vient de toucher le fond du cul du jeune homme.
L'agriculteur s'accroche à ses cuisses en lui tenant les jambes à la verticale, et s'affaire dans son anus graissé de beurre.
Les bruits de claquements contre les fesses de Jean se mêlent aux râles de plaisir des deux complices.
"Arhhhhhhhhhh ! M'sieur Fernand ! Vous me prenez bien ! Arghhhhhhhhhh ! J'aime me faire enculer ! C'est meilleur à chaque fois !".
Fernand est heureux comme jamais, il aime plus que tout, enculer le jeune Jeannot, mais il sait qu'il ressent plus qu'un désir physique envers lui.
Il aime voir le p'tit Jeannot se masturber la queue pendant qu'il coulisse amplement et profondément dans son cul poisseux.
Ses yeux brillent lorsque le jeune garçon annonce:
"Argggggggg ! M'sieur Fernand ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Jeannot se macule en grands jets de sperme, il couvre son ventre et son maillot de corps en jouissant pleinement.
Fernand est comme fou, il s'agite encore plus frénétiquement, faisant crier de plaisir son jeune amant.
Le jeune garçon aime, de plus en plus, cette sauvage possession, qu'il subit depuis quelques jours.
Il se laisse emporter par les assauts profonds de Fernand, en criant à chaque enfoncement.
Puis Fernand retire sa longue queue et arrose abondamment le ventre du garçon.
Ses nombreuses éjections de foutre rejoignent celles du jeune apprenti.
Il revient ensuite dans son anus et termine de jouir tranquillement dans son corps.
Il ne peut plus se retenir d'une envie de montrer à Jean, son attachement.
Il se penche vers son visage et lui donne un long baiser, le premier depuis leurs jeux sexuels.
Lorsque leurs lèvres se séparent, le jeune garçon lui dit en pleurant:
"J'vous aime ! M'sieur Fernand ! J'veux plus vous quitter !".
"Moi aussi, mon p'tit Jeannot ! On se quittera jamais !".
Fernand sort un mouchoir en tissu pour se nettoyer la queue, pendant que Jean se relève.
Il attend que son maitre agriculteur lui donne le mouchoir pour s'essuyer l'anus.
Il ajoute:
"Zut ! Je vais devoir me changer de maillot de corps !".
"Oh, tu peux le garder, on est que tous les deux et ça ressemble à du lait de vache, après tout !".
Excité par cette proposition, le jeune homme répond:
"Pourquoi pas !".
Ils se mettent au travail, en rattrapant le retard causé par l'arrivée tardive de Jean à la ferme, et leur baise passionnée.
Fernand ose partager ses penchants dominateurs avec Jeannot, qui se révèle en demande de soumission.
Leur amour partagé exacerbe leurs désirs, Fernand encule le jeune garçon ou se fait sucer dès qu'il peut.
Ils se tutoient désormais.
Jean a suivi les conseils de Fernand en côtoyant quelques filles du village pour confirmer qu'il n'avait aucun besoin hétérosexuel.
C'est à la troisième tentative qu'il parvient à avoir un rapport complet avec l'une d'elle.
En rentrant à la ferme, il dit à l'agriculteur:
"Fernand ! C'est fait ! J'ai couché avec une fille !".
"Et alors ?".
"Je veux plus le faire ! J'ai eu du mal à bander et j'avais le sentiment de ne pas être à ma place ! Quand je la baisais, je l'enviai ! J'avais envie d'être à sa place ! Je m'ennuyais aussi ! Et tant mieux ! Ca m'a permis de sortir pour pas juter dans sa chatte !".
"Bon ! Je préférai que tu sois sûr ! Mais je suis content aussi ! J'avais peur que tu me quittes, quand même !".
"Non, je t'aime trop, et j'aime ta queue aussi ! Je préfère être ta p'tite femelle ! Ca m'va bien !".
C'est au bout de quelques mois que Jean connait une nouveauté sensorielle avec Fernand.
Ce matin-là, Jean a persuadé Fernand de le laisser lui dévorer la queue, jusqu'à l'abreuver abondamment de son jus chaud et salé.
Puis, ils s'affairent au champ, afin de ramasser la paille et former des bottes, pour enfin, les entasser sur la remorque.
Il est près de 11h00, le jeune garçon est en sueur, il travaille torse nu et en short, Fernand a une pulsion qu'il ne peut plus repousser.
Il s'approche du jeune garçon et le plaque contre les bottes de paille.
A la demande de Jean, il accepte de couvrir l'endroit des vêtements ôtés auparavant, à cause de la chaleur.
A présent, un peu de salive suffit pour lubrifier l'anus de Jeannot.
Le jeune homme se fait posséder rapidement, et râle sans retenue dans la campagne.
Le fait que Fernand a déjà éjaculé récemment, lui donne une endurance supplémentaire.
Jean n'a plus besoin de se masturber, il macule de sperme la botte de paille, au bout de presque vingt minutes de sodomie profonde.
"Arghhhhhhhhhhh ! Fernand ! C'est plus fort aujourd'hui ! Encore !".
En effet, Jean apprécie le plaisir anal de plus en plus, même après avoir éjaculé.
Une sensation puissante lui envahit le corps, son visage se crispe, il a l'impression que son cerveau va éclater.
Fernand s'inquiète, tout en l'enculant comme un forcené.
"Ca va ? Mon amour ?".
"Ohhhh ! Oui ! Encore, C'est fort ! Encule-moi encore ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Jean se laisse envahir par cette nouvelle sensation anale qui monte inexorablement, puis explose en lui longuement.
"Argggggggggggggggggggggggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Mon dieu, t'as jamais crié comme ça, Jeannot ! Ca va ?".
"Oui, je crois que tu viens de me faire jouir du cul, c'est trop fort, j'adore ! Arghhhhh, je crois que ça va recommencer ! Arhhhhhh ! Continues !".
Et pour cause, il va, en effet, connaitre plusieurs orgasmes à la chaine, jusqu'au déversement de sperme de Fernand dans son anus.
Il a alors un élan d'amour passionnel envers le quadragénaire.
"Je t'aime Fernand, encore plus fort qu'avant ! Tu m'as fait connaitre un plaisir énorme ! je croyais pas qu'c'était possible de jouir comme ça !".
Depuis ce jour, le jeune Jeannot connait des orgasmes anaux à chaque fois que son amant le sodomise.
Ils vivront ensemble de longues années, Fernand est toujours très protecteur et dominateur avec Jean.
Ils évoluent vers des jeux pervers avec insertions de légumes allongés, des outils aux formes excitantes, et insèrent les mots crus pour intensifier la domination.
Fernand se souvient de ses anciennes visites en ville, et ose entrainer son amant dans des lieux de rencontres pour hommes.
Il arrive à persuader son amant de baiser avec trois autres hommes.
Outre le plaisir de le voir jouir avec d'autres queues, cela le rassure aussi, sur la suite de la vie de Jean.
Il sait qu'après lui, il saura ou trouver des amants pour calmer ses pulsions homosexuelles.
A l'aube des 70 printemps, Fernand succombe à une attaque cardiaque, laissant un Jean inconsolable.
Il hérite de la ferme, conformément aux dernières volontés de Fernand.
Jean comblera ses pulsions à la ville et profite de la liberté sexuelle des années 80 pour se rendre au cinéma porno, afin de se faire prendre, dès qu'il peut.
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