L'amour paysan 3
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amour paysan 3
Jean est heureux, il vit un amour caché avec Fernand.
Même si cet amour est interdit, il sait qu'il a fait le bon choix.
Fernand a révélé sa vraie nature féminine, sous son apparence masculine.
Peu de temps après leur début de rencontre, tout lui est revenu.
Son mal être avec les filles et la pression ressentie lorsqu'on lui parlait de vie en couple et de faire des enfants.
Les moqueries des garçons sur son physique androgyne, et ce sentiment de ne pas être à sa place, avec les garçons de son âge.
Finalement, il a fallu sa rencontre avec Fernand pour comprendre qu'il aimait être celui qu'on possédait.
Avec le temps, Fernand l'a affublé de nombreux petits noms, "ma p'tite chatte", "ma p'tite cochonne", etc... quand ils font l'amour.
Ou, "ma p'tite salope", mais encore "chienne", quand il le défonce sans vergogne.
Jean adore suivre Fernand dans ses désirs pervers.
Dans les quinze dernières années de leur histoire, il accepte de baiser avec d'autres hommes devant lui, lors de leurs escapades en ville.
Mais avant cela, il y eu ce jour !
Fernand impose à Jean de recevoir un représentant en machine agricole, et lui fait une entière confiance.
L'homme ressemble beaucoup à Fernand, aussi massif et bourru, avec dix ans de moins, mais 15 de plus que Jean.
Comme c'est l'été, Jean est encore torse nu et en short.
L'homme se fait un devoir de visiter leurs installations.
Jean ne comprend pas pourquoi, mais il est troublé par cet homme, et finit par se mettre à bander malgré lui.
Le représentant l'a remarqué, et ne résiste pas longtemps avant de coller sa bouche a celle de Jean.
"M'sieur ! Non !".
"Allez, laisses toi faire, j'ai bien vu que tu bandais !".
L'homme colle Jean contre la barrière qui enferme les brebis dans l'étable, et lui baisse son vêtement.
Il attire en même temps la main du jeune homme sur sa bite, qui constate qu'il a affaire à un sexe plus court que celui de son amant, mais bien plus épais.
Sa dureté l'excite, il ressent déjà la salive de l'homme entre ses fesses.
"Alors, c'est vrai ce qui se raconte ! il parait que le père Fernand te fourre comme une femelle, dès qu'il peut ! T'inquiètes pas, je suis de la partie, moi aussi ! Et j'avoue que je l'envie bien ! Moi aussi, je t'enculerai tous les jours, si je pouvais !".
Puis, Jean se cambre en se faisant écarteler l'anus, par le sexe très large de l'homme.
L'homme le maintient collé à la rambarde de bois, et s'agite frénétiquement dans son cul, en lui parlant crument.
"Tiens salope ! Tu crois que je vais te laisser m'exciter avec ton p'tit cul dans ton short, sans te baiser ensuite ! Prends ça, p'tite pute !".
"Arghhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'ai honte ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Elle te plait ma queue ! Salope ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Le représentant s'avère être un habitué des rapports entre hommes, il a assez d'endurance pour enculer Jean, pendant plus d'une demi heure.
Il remplit l'anus du jeune homme, de sa semence, puis reprend son rôle de vendeur en suivant le jeune homme dans la ferme.
Jean lui demande d'attendre l'avis de Fernand pour le choix d'une machine.
C'est un déchirement qui le saisit, quand il doit refuser les sollicitations de Fernand, à son retour.
Il sait très bien que, s'il se laisse enculer, Fernand va constater la présence du sperme de l'autre homme dans son anus.
Il prétexte une gêne anale et lui offre une magnifique fellation passionnée.
L'homme reviendra à plusieurs reprises, et baisera Jean, encore une multitude de fois.
Jean a mieux vécu sa culpabilité, quand il a baisé avec d'autres hommes devant Fernand.
C'est une faute de Fernand, lors d'une journée en ville, sans Jeannot, qui a permit au jeune homme de lui parler de cette tromperie.
C'était au milieu des années 70, les cinémas pornos fleurissaient, attisant la curiosité de Fernand.
Il n'a pu résister aux avances d'un très jeune homme, attiré par sa magnifique bite, devant l'urinoir.
Il l'a suivi dans un cabinet de toilettes, pour le prendre longuement ensuite.
Jean a pris son amant épleuré dans ses bras et lui a avoué sa liaison avec le représentant, en lui rappelant que c'était uniquement par pulsion sexuelle, lui aussi.
Comme Jean avait envie de connaitre l'endroit, ils y sont allés ensemble. Tout rentrait dans l'ordre.
Par la suite, lors des visites du représentant, Fernand s'éclipsait et s'est même caché dans l'étable pour les voir copuler ensemble.
Jusqu'au jour ou Jean en a eu assez de faire semblant, et a avoué au représentant que Fernand savait tout, devant lui.
Ils ont alors baisé à trois, ensuite, pour le plus grand plaisir de tous, surtout Jean !
D'autres pratiques s'offraient à eux, dont la double anale !
Quand Fernand a disparu, la mère de Jean a vu le chagrin de son fils.
"Ca te manques pas, de ne pas avoir eu d'enfant ?".
"Non, maman, mes neveux et nièces me suffisent !.
"Tu as été heureux alors ?".
"Oui, grâce à Fernand !".
"Alors, c'est vrai, tu fais partie de ces hommes là !".
"J'ai essayé avec les femmes, maman, mais c'est comme ça que je suis heureux, il m'a aimé plus fort que n'importe qui !".
"Bon, finalement, c'est bien que ton père ne soit plus là, non plus ! Je crois que je l'ai toujours su !".
"Ne t'inquiètes plus pour moi, j'ai besoin de temps pour faire mon deuil, mais je sais qui je suis, grâce à lui !".
"C'est bien ! Je te souhaite de connaitre un autre Fernand, alors !".
"On verra M'man, on verra !".
Il devra se contenter des rencontres furtives en ville pendant plus de 6 ans, puis lors d'un rassemblement d'agriculteurs, il accepte les avances d'un homme de son âge, et se fait baiser toute la nuit à l'hôtel.
Ils se retrouvent ensuite tous les Week-ends, jusqu'au rapprochement de l'autre homme, qui vend sa ferme pour rejoindre Jean.
Même si cet amour est interdit, il sait qu'il a fait le bon choix.
Fernand a révélé sa vraie nature féminine, sous son apparence masculine.
Peu de temps après leur début de rencontre, tout lui est revenu.
Son mal être avec les filles et la pression ressentie lorsqu'on lui parlait de vie en couple et de faire des enfants.
Les moqueries des garçons sur son physique androgyne, et ce sentiment de ne pas être à sa place, avec les garçons de son âge.
Finalement, il a fallu sa rencontre avec Fernand pour comprendre qu'il aimait être celui qu'on possédait.
Avec le temps, Fernand l'a affublé de nombreux petits noms, "ma p'tite chatte", "ma p'tite cochonne", etc... quand ils font l'amour.
Ou, "ma p'tite salope", mais encore "chienne", quand il le défonce sans vergogne.
Jean adore suivre Fernand dans ses désirs pervers.
Dans les quinze dernières années de leur histoire, il accepte de baiser avec d'autres hommes devant lui, lors de leurs escapades en ville.
Mais avant cela, il y eu ce jour !
Fernand impose à Jean de recevoir un représentant en machine agricole, et lui fait une entière confiance.
L'homme ressemble beaucoup à Fernand, aussi massif et bourru, avec dix ans de moins, mais 15 de plus que Jean.
Comme c'est l'été, Jean est encore torse nu et en short.
L'homme se fait un devoir de visiter leurs installations.
Jean ne comprend pas pourquoi, mais il est troublé par cet homme, et finit par se mettre à bander malgré lui.
Le représentant l'a remarqué, et ne résiste pas longtemps avant de coller sa bouche a celle de Jean.
"M'sieur ! Non !".
"Allez, laisses toi faire, j'ai bien vu que tu bandais !".
L'homme colle Jean contre la barrière qui enferme les brebis dans l'étable, et lui baisse son vêtement.
Il attire en même temps la main du jeune homme sur sa bite, qui constate qu'il a affaire à un sexe plus court que celui de son amant, mais bien plus épais.
Sa dureté l'excite, il ressent déjà la salive de l'homme entre ses fesses.
"Alors, c'est vrai ce qui se raconte ! il parait que le père Fernand te fourre comme une femelle, dès qu'il peut ! T'inquiètes pas, je suis de la partie, moi aussi ! Et j'avoue que je l'envie bien ! Moi aussi, je t'enculerai tous les jours, si je pouvais !".
Puis, Jean se cambre en se faisant écarteler l'anus, par le sexe très large de l'homme.
L'homme le maintient collé à la rambarde de bois, et s'agite frénétiquement dans son cul, en lui parlant crument.
"Tiens salope ! Tu crois que je vais te laisser m'exciter avec ton p'tit cul dans ton short, sans te baiser ensuite ! Prends ça, p'tite pute !".
"Arghhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'ai honte ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Elle te plait ma queue ! Salope ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Le représentant s'avère être un habitué des rapports entre hommes, il a assez d'endurance pour enculer Jean, pendant plus d'une demi heure.
Il remplit l'anus du jeune homme, de sa semence, puis reprend son rôle de vendeur en suivant le jeune homme dans la ferme.
Jean lui demande d'attendre l'avis de Fernand pour le choix d'une machine.
C'est un déchirement qui le saisit, quand il doit refuser les sollicitations de Fernand, à son retour.
Il sait très bien que, s'il se laisse enculer, Fernand va constater la présence du sperme de l'autre homme dans son anus.
Il prétexte une gêne anale et lui offre une magnifique fellation passionnée.
L'homme reviendra à plusieurs reprises, et baisera Jean, encore une multitude de fois.
Jean a mieux vécu sa culpabilité, quand il a baisé avec d'autres hommes devant Fernand.
C'est une faute de Fernand, lors d'une journée en ville, sans Jeannot, qui a permit au jeune homme de lui parler de cette tromperie.
C'était au milieu des années 70, les cinémas pornos fleurissaient, attisant la curiosité de Fernand.
Il n'a pu résister aux avances d'un très jeune homme, attiré par sa magnifique bite, devant l'urinoir.
Il l'a suivi dans un cabinet de toilettes, pour le prendre longuement ensuite.
Jean a pris son amant épleuré dans ses bras et lui a avoué sa liaison avec le représentant, en lui rappelant que c'était uniquement par pulsion sexuelle, lui aussi.
Comme Jean avait envie de connaitre l'endroit, ils y sont allés ensemble. Tout rentrait dans l'ordre.
Par la suite, lors des visites du représentant, Fernand s'éclipsait et s'est même caché dans l'étable pour les voir copuler ensemble.
Jusqu'au jour ou Jean en a eu assez de faire semblant, et a avoué au représentant que Fernand savait tout, devant lui.
Ils ont alors baisé à trois, ensuite, pour le plus grand plaisir de tous, surtout Jean !
D'autres pratiques s'offraient à eux, dont la double anale !
Quand Fernand a disparu, la mère de Jean a vu le chagrin de son fils.
"Ca te manques pas, de ne pas avoir eu d'enfant ?".
"Non, maman, mes neveux et nièces me suffisent !.
"Tu as été heureux alors ?".
"Oui, grâce à Fernand !".
"Alors, c'est vrai, tu fais partie de ces hommes là !".
"J'ai essayé avec les femmes, maman, mais c'est comme ça que je suis heureux, il m'a aimé plus fort que n'importe qui !".
"Bon, finalement, c'est bien que ton père ne soit plus là, non plus ! Je crois que je l'ai toujours su !".
"Ne t'inquiètes plus pour moi, j'ai besoin de temps pour faire mon deuil, mais je sais qui je suis, grâce à lui !".
"C'est bien ! Je te souhaite de connaitre un autre Fernand, alors !".
"On verra M'man, on verra !".
Il devra se contenter des rencontres furtives en ville pendant plus de 6 ans, puis lors d'un rassemblement d'agriculteurs, il accepte les avances d'un homme de son âge, et se fait baiser toute la nuit à l'hôtel.
Ils se retrouvent ensuite tous les Week-ends, jusqu'au rapprochement de l'autre homme, qui vend sa ferme pour rejoindre Jean.
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