L'amour paysan

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : L'amour paysan Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amour paysan
Nous sommes dans les années 1960, dans la campagne de la Lorraine.

Jean est un jeune garçon, toute son enfance a été banale.

Ses professeurs l'ont qualifié de cancre. Ses camarades se moquent de lui, à cause de sa timidité et son physique frêle et fragile.
Sa petite taille est aussi source d'humiliation.

Il vient de rater son certificat d'étude et n'en est pas fier.

A ce moment, il est dans sa chambre, son réveil est perturbé par une érection matinale.
Depuis peu, s'adonner à la masturbation solitaire, est un des rares moments de bonheur qu'il connaisse.
Il n'a pas encore besoin d'imaginer de situations pour arriver à l'éjaculation, le contact de ses doigts sur son sexe suffit à l'emmener au plaisir pénien complet.

Son ventre reçoit ses éjections multiples et abondantes, jusqu'à la dernière goutte.
Jean retrouve sa lucidité après l'orgasme, comme souvent, il est ennuyé par le souci de se nettoyer sans laisser de traces.

Il saisit un mouchoir en tissu à carreaux, qu'il pense laver lui-même dès qu'il pourra.

"Jeannot ! Tu te lèves ?".

Il reconnait la voix de sa mère, et rejoint ses parents dans la cuisine, autour de la table centrale.

"Bonjour P'pa, bonjour M'man !".
"Bonjour ! Bon, il faut qu'on parle ! Tu as l'âge d'apprendre un métier ! Sans le certificat, t'as pas beaucoup de choix !".
"Je sais M'man !".
"Tu te souviens du père Moutet ? Le Fernand !".
"Oui, je crois !".
"Il cherche un jeune pour l'aider à la ferme ! Qui sait ? Ca peut te plaire ! Tu devrais essayer !".
"Je sais pas, Je vais essayer P'pa !".

Le lendemain, ils sont reçus par l'agriculteur du village voisin, pour une présentation du jeune homme.

"Eh beh ! Il a bien changé le p'tit Jeannot ! T'aimes les animaux ?".
"Oui, M'sieur Fernand !".
"C'est ce qu'y faut ! Avec du courage en plus, tout ira bien !".

Comme la ferme est assez éloignée, il est convenu que Jean restera jusqu'au Samedi avant de retourner chez ses parents.
Les premiers jours se déroulent sans encombres, Jean apprécie le contact avec l'homme quarantenaire, les vaches, les moutons, les chevaux, les poules, sans oublier les deux chiens et le chat.

Il a fait ses premières traites de lait, nettoyage d'étable et écurie également.
Il aime particulièrement le nourrissage de tout ce petit monde animal.

La fin de semaine approche, c'est Vendredi matin.
L'agriculteur est en avance, il va réveiller le jeune homme.

En poussant la porte, il voit le ventre du jeune garçon maculé de sperme, Jean est encore sous l'emprise du plaisir en continuant d'éjaculer ses derniers jets.

"Oh ! Pardon Jeannot ! Je pensais pas ...".

Jean est gêné, il cache son sexe avec ses mains embuées de sperme.

"Excusez-moi, M'sieur Fernand !".
"C'est normal à ton âge ! Tu sais, moi aussi, ça m'arrive ! C'est la nature !".
"C'est vrai ?".
"Bien sûr ! Bon, je te laisse te préparer, on a du boulot !".

La matinée passe comme d'habitude, seule une gêne du jeune garçon est perceptible.
Cela contrarie l'agriculteur.
Après le repas, il rejoint Jean qui nourrit les poules.

"T'arrives pas à oublier ce qui s'est passé ce matin ?".
"J'ai honte, M'sieur Fernand ! Tout le monde dit qu'il ne faut pas faire ça !".
"Oh, tu comprendras vite que ce qu'on dit et c'qu'on fait, c'est deux choses différentes ! Mon garçon ! Tiens, j'vais t'montrer que moi aussi, je le fais ! Regardes moi !".

L'homme sort son sexe, Jean est subjugué par ses dimensions.
Le membre est bien plus long que le sien, et celui de son père, qu'il a surpris entrain d'uriner longuement.

"M'sieur Fernand ! Vous êtes sûr qu'on peut ?".
"Bien sûr ! Ne me dis pas que t'as jamais joué à touche pipi avec tes copains ! Ou copines !".
"Si une fois, avec un copain !".
"Qu'est-ce que vous avez fait ?".
"Euh, je l'ai touché jusqu'à...".
"Il a juté ! C'est ça ?".
"Oui !".
"Alors montres-moi, comment t'as fait !".

Le jeune Jean s'approche, il caresse timidement, avec une douceur et une fascination évidente le sexe de son maitre agriculteur.
le membre prend des proportions qui le surprennent, il atteint très vite sa dureté maximale et sa taille la plus longue.

Jean s'étonne de pouvoir l'empoigner avec ses deux mains, l'une sur l'autre et pouvoir encore apercevoir son gros gland violacé.

"Ca va ? Tu veux arrêter ?". Lui demande Fernand.
"Non, ça va !".

Fernand constate que le jeune garçon bande fermement dans son pantalon.

"Ca t'excite, je vois !".
"Oui, Je devrais pas M'sieur Fernand ?".
"Mais si, c'est normal ! Mmmmmmmmmmm ! Caresse-toi en même temps ! Je veux pas être le seul à m'amuser !".
"Je peux ? M'sieur Fernand ? C'est vrai ?".
"Vas-y, j'te dis ! Ouhhhhh".

Jean fait tomber son vêtement et se masturbe au même rythme, que son autre main sur la bite du quarantenaire.

"M'sieur Fernand ! J'aime vous faire ça ! Elle est belle votre queue ! Plus que la mienne !".
"Hummmm ! Tu sais ce qui me ferais plaisir ? Alors ? Oh non, c'est trop tôt ! J'ai pas le droit !".
"Dites-moi ! M'sieur Fernand !".
"Tu pourrais me prendre dans ta bouche ! C'est encore meilleur !".
"Ma bouche ? C'est possible ? Je ... je veux bien essayer ! Vous me dites comment faire ?".
"Bien sûr, mon p'tit Jeannot ! Allez baisse toi ! Je vais te guider !".

Le jeune garçon est devant cet objet de plaisir nouveau pour lui.
Après ce premier attouchement sur son jeune copain de classe, il confirme qu'il aime aussi donner du plaisir à une autre personne que lui-même.

Ses lèvres s'écartent, la douce chaleur du gland de Fernand le rassure, il commence parle lécher longuement, puis sous l'impulsion de la main Fernand derrière sa nuque, il se fait pénétrer la gorge.
Fernand lui maintient le visage entre ses mains et fait coulisser avec amplitude sa grosse verge dans sa bouche.
Il en veux pas brusquer le jeune garçon et reste tendre.
Après quelques minutes, l'homme écarte le visage de Jean et lui demande:

"Tu veux arrêter ?".
"Non, M'sieur Fernand ! Encore ! Jusqu'au bout !".
"Comme tu veux ! Régales-toi ! Jeannot ! Mmmmmmmmm !".

Jean n'a plus besoin des mains de Fernand, il glisse de lui même sur le gros et long sexe avec volupté.

"C'est bien Jeannot ! Arhhhhhhh ! Tu me fait beaucoup de bien ! Arhhhhhgggggg !".

L'agriculteur est aux anges, le jeune garçon s'applique avec gloutonnerie, il est surpris de l'entendre gémir en se faisant sucer.
Il regarde le garçon sur le coté, et remarque qu'il a maculé la terre sous lui, avec son jeune sperme.
Est-ce spectacle qui finit de l'emmener à l'orgasme à son tour ?
Toujours est-il, qu'il prévient Jean:

"Arghhhhhhhh ! Jeannot ! Restes sur ma queue, s'il te plait, je vais juter ! Ne gâches pas tout ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Jean est surpris par ses éjections chaudes, âpres et salées.
Par réflexe, il avale au fur et à mesure que Fernand l'abreuve de son foutre brulant.

"Arghhhhhhhhhhh ! Jeannot ! C'est bonnnnnnnnnnnnn ! Arhhhhhhhhhhhhh !".

Le jeune Jeannot découvre, en avalant le sperme, qu'il adore donner du plaisir à l'agriculteur.
Il continue de coulisser en même temps sur sa longue queue, avec un bonheur réel.

Fernand se laisse sucer longuement par le jeune homme, en lui caressant les cheveux.

"Eh ben ! Mon p'tit Jeannot ! J'ai rarement connu autant de plaisir !".
"Même avec votre femme ?".
"J'ai jamais été marié ! j'ai couché avec des femmes, même des putes ! Mais c'est pas mon truc ! Je crois ! Les seules fois que j'ai aimé ça, c'était à la guerre ! Avec un copain de l'armée ! C'était la pute du régiment ! J'étais celui qui le baisais le plus souvent ! J'aimais trop me retrouver avec lui !".
"Ca devait être bien alors !".
"Oui, comme avec toi ! Et puis, ça nous permettait d'oublier les horreurs qu'on vivait !".
"Je comprends !".
"Merci d'avoir avalé, au fait ! Ca va ? Ca t'a pas dégouté ?".
"Non ! J'ai même aimé le gout ! C'est bon, en fait ! On recommencera ?".
"Ohhh ! Avec plaisir ! Mon p'tit Jeannot !".

Leur labeur reprend jusqu'en fin d'après-midi.
Comme nous sommes Vendredi, Fernand remplit une vieille baignoire pour prendre son bain hebdomadaire, sous le regard de Jeannot.

"Bon j'ai fini ! Tu veux profiter de l'eau chaude ?".

Jean hésite, il n'a pas souvent l'occasion de prendre un bain.
Chez lui, il doit se laver devant un évier, avec un gant, il répond alors:

"Merci, je veux bien !".

Le bain se passe devant l'agriculteur nu, qui lui lave le dos.

Le jeune Jeannot ne résiste pas à la pulsion de reprendre sa longue queue, entre les lèvres.
Fernand est agréablement surpris, il se laisse sucer avec un plaisir certain.
Il constate avec bonheur que le jeune garçon prend des initiatives buccales, il aime passionnément lui dévorer la bite.

Fernand est excité comme jamais, il tente le tout pour le tout et soulève son jeune complice.
Il lui caresse le corps, puis s'attarde longuement avec du savon sur son œillet et le place contre lui.
Jean devine que le gros gland de Fernand cherche à entrer entre ses fesses.

"M'sieur Fernand ! C'est possible de faire ça ? Je vais pas avoir mal ?".
"Pas, si tu m'aides ! Je te laisses faire, si tu veux ! Allez essaies ! Tu t'arrêtes, quand tu sens que je suis au fond !".

Fernand écarte les fesses du jeune garçon, qui s'appuie des mains sur le mur, pour se pénétrer du gros et long sexe de l'homme.

"Ne vas pas trop vite ! On a le temps ! Laisses faire ton cul, il va s'ouvrir doucement ! Tu verras !".

En effet, il faut du temps et de nombreuses tentatives d'enfoncements pour que Jean ressente enfin le gros gland de Fernand qui passe sa collerette anale.
"Arhhhh ! C'est gros !".
"Tu as mal ?".
"Non, ca va ! C'est bizarre comme sensation, mais c'est agréable !".
"Continues alors ! Ressors la et reviens sur moi !".
"Ouhh, c'est bon !".

Il revient sur le sexe gonglé d'envie.

"Arhhhhhhhhhhhhh ! Oh, je pensais pas y arriver ! Ahhhhhhhhhhhhh !".

Il vient en effet de s'empaler presque entièrement sur la queue de Fernand.

"Ohhh ! Jeannot ! C'est bien, maintenant je te laisse encore faire, bouges ! S'il te plait !".

Le petit Jean s'enfonce inexorablement sur la queue de son premier amant.
Plus il coulisse sur le gros sexe, et plus il s'enfonce profondément, il découvre de nouvelles sensations anales.

Fernand gémit de plaisir, il remarque que le jeune garçon est assez détendu analement pour prendre la direction de sa première sodomie.

"Bon, maintenant, je vais prendre la suite, Jeannot ! Occupes toi de ta queue ! Branles toi ! Tu verras, tu vas adorer !".

Jean se tient d'une main sur le mur, et se masturbe, pendant que Fernand l'encule amplement, en s'accrochant à ses fesses couvertes de mousse.

"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! M'sieur Fernand ! C'est excitant ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Ca t'plait ? Mon garçon ?".
"Arggggggghhhhhhhhhhh ! Oui ! Et vous ? M'sieur Fernand ? C'est comme avec votre copain ?".
"C'est encore meilleur ! Jeannot ! C'est meilleur ! Ca faisait tellement longtemps ! Ahhhhh !".

Les deux complices s'adonnent à une longue chorégraphie sexuelle et s'honorent tous les deux de râles sonores, de plaisir mutuel.

"M'sieur Fernand ! Je vais juter ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Vas-y lâches tout, mon garçon ! Profites ! C'est entre nous deux ! Personne ne saura jamais ce qu'on fait !".
"Arhhhhhhhhhh ! Vous aviez raison, c'est encore mieux de jouir comme ça ! Avec votre queue dans mon cul ! Ahhhhhhhhhhhhh ! C'est fort !.

Les nombreux jets de sperme vont rejoindre l'eau du bain, pendant que Fernand s'affaire dans l'anus du jeune garçon.
Le petit Jean se cambre pour mieux accepter les assauts puissants de l'agriculteur.

Son visage est comblé d'un air heureux, il se sent enfin apprécié par une autre personne que ses parents.
Peu de temps s'écoule avant que Fernand annonce:

"Arhhhhhhhhh ! Jeannot ! J'aime trop t'enculer ! Tu me fais juter comme un fou ! Arghhhhhhhhhhhh !".

Il se déverse sans fin, en se crispant à ses fesses rougies par ses assauts et ses doigts puissants.

"Oh Mon p'tit Jeannot, tu vas devoir rester avec moi ! Tu feras un super paysan et en plus tu baise bien !".
"Mmmmmmmmmm ! J'ai envie de rester M'sieur Fernand ! J'aime le travail et ça aussi ! Alors c'est de ça qu'on parle quand on dit "se faire enculer" ?".
"Oui, il faudra pas le dire à tes parents ! Si tu veux recommencer !".
"Promis ! Je dirai rien ! J'aime trop ça ! J'adore juter avec votre queue dans mon cul ! Et pour vous ? C'était bon ?".
"Tu peux pas deviner à quel point, mon p'tit Jeannot ! Le souci, c'est que je vais souvent en avoir envie ! Maintenant !".
"Il devrait pas y avoir de problème ! Moi aussi, j'en aurai envie !".

Fernand quitte l'anus du petit Jean et se lave la bite pendant que le garçon plonge ses fesses dans la baignoire.
Il fait des flatulences qui font des bulles et rejettent des flots de sperme à la surface.
Les deux individus se couchent après le repas.

C'est le jeune garçon qui rejoint Fernand dans sa chambre, en premier.

"T'arrives pas à dormir ?".
"Non ! Je pense sans arrêt a vous, M'sieur Fernand !".
"Allez viens ! Moi aussi, j'en ai encore envie !".

L'agriculteur, essentiellement actif, expérimente d'autres positions sur son nouveau complice de jeu.
Fernand éjacule longuement en enculant très profondément son protégé sur le ventre.
Ils s'endorment ensuite, encore collés, l'un dans l'autre.

Le lendemain est agrémenté d'une longue fellation de Jean sur Fernand, avec éjaculation buccale.

Puis en fin d'après-midi, Fernand encule son protégé, dans la forêt qui sépare leurs deux villages, avant de le ramener chez ses parents.
"Alors, ça te plait la ferme ? Il s'occupe bien de toi le Fernand ?".
"Oui P'pa ! Je pourrai rester chez lui ! Il y a du boulot ! C'est pas pratique de revenir ici !".
"Eh ben ! ca m'a l'air de beaucoup te plaire ! s'il est d'accord ! On veut bien ! T'es un grand garçon, après tout !".
"Je pensais pas, mais je crois que j'ai trouvé ma voie ! C'est ce qui me plait !".
En disant cela, il sait qu'il pense aussi au sexe avec un homme !

Les avis des lecteurs

Merci pour vos gentils commentaires, la suite arrive, mais malencontreusement, la partie 3 sera publiée avant la partie 2

Histoire Libertine
J'aime vraiment votre façon d'écrire. C'est doux et simple . Je dévore chacune de vos histoires.merci

Histoire Erotique
Belle histoire simple. Très jeune j'ai appris le sexe en regardant le taureau saillir les vaches. Un jour que j'étais seul à la ferme un homme a amené son vieux verrat pour saillir une truie. Il a vu que je bandais en regardant la longue verge enfiler la truie. Il m'a attiré à lui et m'a demandé de le sucer pendant la saillie; j'avais jamais vu un homme si poilu et avec une bite pareille;il a pas trainé à jouir et moi aussi; il m'a dit de garder l'argent de la saillie

Histoire Erotique
Jouissif à souhait

Histoire Erotique
Bien belle histoire , bien écrite et très excitante .

Histoire Erotique
Belle histoire,bien bandante. Je suis né dans une ferme, vécu 17 ans, années 60, mais de sexe, je regardais le taureau insiminer les vaches !



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