L'animatrice
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2009 dans la catégorie A dormir debout
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L'animatrice
<p>Je suis en stage de formation continu dans la banlieue lyonnaise. C'est la première fois que j'assiste à de telles remises à niveau. Le premier jour n'est jamais qu'un simple rappel de choses connues au moins pour moi. Je commençais à me demander ce que je faisais là.
Les repas étaient pris en commun et assis près de l'animatrice je lui faisais part de mes doutes sur l'utilité, pour moi au moins de se stage. Notre conversation durait plus d'une heure: les autres convives partaient les une après les autres rejoindre leur chambre.
Sans que je sache trop pourquoi la conversation a dévié sur l'égalité des sexes et finalement sur l'amour physique. Sa position était que le choix d'un ou d'une partenaire dépendait seulement de la volonté de la femme. La mienne était que c'était à l'homme de faire les premier pas. Notre discussion byzantine s'éternisait.
Finalement elle avait raison: c'est elle qui avait le choix puisqu'elle me demandait de l'accompagner dans sa chambre. Ce n'est qu'une fois arrivés qu'elle se jette presque sur moi pour m'embrasser. Notre baiser est des plus profonds que je n'ai jamais connus. Sa langue rentrait dans ma bouche à la recherche de la mienne. Elle embrassait si bien que je me mettais à bander. Elle s'en apercevait et collait son ventre contre mon sexe. En représailles je lui mettais mes mains aux fesses. Je relevais le bas de sa robe jusqu'à ce que je devine enfin son string. Je passais ma main sous lui et cherchais à lui caresser la raie pour peut-être arriver à son cul.
Elle refusait cette envie pour commencer elle à prendre les initiatives. Elle me prend la bite et la sort de mon pantalon qu'elle descend. Elle me demande de me déshabiller et ce n'est qu'une fois nue qu'elle accepte de s'occuper de mon sexe. Elle me branle avec une facilité déconcertante: elle doit avoir une grande habitude de masturber un homme. Au début je me laisse faire: c'est tellement bon ! Je décide de la faire arrêter: j'ai envie d'elle, de son con et de son cul.
Je lui prends la main et la retourner contre elle. Je la pose sur son con. Je la déshabille et je vois enfin le corps splendide d'une trentenaire bien entretenue: sexe rasé, avec juste une petite touffe qui remonte vers le nombril. Nous allons nous coucher et là où je crois avoir l'avantage, c'est elle qui anime à sa façon notre intimité. Elle vient poser son con sur ma bouche en me disant: suces moi. J'aime beaucoup sucer les femmes: j'aime à la fois l'odeur et je goût d'un con. La je suis servi. J'en ai plein la bouche: sa cyprine coule presque sur moi. J'en ai le menton mouillé. Ma langue va se perdre dans son con et je rentre un peu dans le vagin avant d'aller sucer le bouton. Elle me demande encore de lui caresser les seins. Je la suce un moment quand elle jouit sur ma bouche. Enfin elle se couche contre moi et recommence à prendre ma bite en main. Je pense qu'elle va me branler: je me trompe. Elle se met la tête aux pieds et avale ma pine qu'elle suce admirablement bien également. Sa langue lèche mon gland avant d'avaler le plus possible ma queue. Elle ne tarde pas à m'emmener au bord de l'extase: je la préviens du moment où je vais jouir. Elle s'en fiche bien et avale mon sperme. Elle n'en laisse pas une goutte. Comme je débande, ce qui après tout est normal, elle reste dans la même position, son con pas très loin de mon regard et commence à se branler. Elle écarte les lèvres intimes avec deux doigts de la main gauche, fait ressortir le clitoris et le branle lentement avec la main droite. Elle penche sa tête et me reprend en bouche. Bien sur je bande encore.
C'est alors que commence véritable nuit d'amour. Elle se couche sur le dos, ouvre en grand ses jambes et quand je suis sur elle, elle guide ma bite vers son con. Elle passe ses jambes autour de ma taille: nous effectuons les allers et venus ensemble. Je tarde à jouir, mais elle jouit plusieurs fois avant moi. J'ai sentir son con qui par à coup se contracte autour de ma queue. Nous arrêtons la baise juste le temps de sa jouissance et reprenons aussitôt après.
Je ne sais ce que j'ai, je jouis et continu à bander. Elle est satisfaite de ne pas avoir à m'exciter encore: je suis prêt à la pénétrer encore plusieurs fois. Elle ne me demande plus de la baiser: elle se met en levrette, prend ma bite et la pose sur son cul. Un peu avant que je ne lui rentre mon sexe, elle s'encule toute seule d'un grand coup de rein. Je rentre très facilement: son cul est habitué et s'ouvre tout seul. Je rentre toute la longueur de ma queue dans l'intestin Elle commence à gémir un peu et dit continuellement "que c'est bon". Elle jouit encore plusieurs fois. Pour ma part je suis assez long à jouir: elle en profite beaucoup. Et quand ça arrive je lâche un véritable jet dans son cul.
Un moment de repos et nous reprenons l'ensemble à zéro.
Le lendemain soir c'est moi qui l'invite dans ma chambre. Nous passons une autre nuit très agitée. Le stage finissant nous passons une dernière nuit ensemble, tout au moins c'est ce que je cois: elle me donne son adresse et depuis souvent nous passons régulièrement des nuits ensemble: parait-il que je suis un bon amant.
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Les repas étaient pris en commun et assis près de l'animatrice je lui faisais part de mes doutes sur l'utilité, pour moi au moins de se stage. Notre conversation durait plus d'une heure: les autres convives partaient les une après les autres rejoindre leur chambre.
Sans que je sache trop pourquoi la conversation a dévié sur l'égalité des sexes et finalement sur l'amour physique. Sa position était que le choix d'un ou d'une partenaire dépendait seulement de la volonté de la femme. La mienne était que c'était à l'homme de faire les premier pas. Notre discussion byzantine s'éternisait.
Finalement elle avait raison: c'est elle qui avait le choix puisqu'elle me demandait de l'accompagner dans sa chambre. Ce n'est qu'une fois arrivés qu'elle se jette presque sur moi pour m'embrasser. Notre baiser est des plus profonds que je n'ai jamais connus. Sa langue rentrait dans ma bouche à la recherche de la mienne. Elle embrassait si bien que je me mettais à bander. Elle s'en apercevait et collait son ventre contre mon sexe. En représailles je lui mettais mes mains aux fesses. Je relevais le bas de sa robe jusqu'à ce que je devine enfin son string. Je passais ma main sous lui et cherchais à lui caresser la raie pour peut-être arriver à son cul.
Elle refusait cette envie pour commencer elle à prendre les initiatives. Elle me prend la bite et la sort de mon pantalon qu'elle descend. Elle me demande de me déshabiller et ce n'est qu'une fois nue qu'elle accepte de s'occuper de mon sexe. Elle me branle avec une facilité déconcertante: elle doit avoir une grande habitude de masturber un homme. Au début je me laisse faire: c'est tellement bon ! Je décide de la faire arrêter: j'ai envie d'elle, de son con et de son cul.
Je lui prends la main et la retourner contre elle. Je la pose sur son con. Je la déshabille et je vois enfin le corps splendide d'une trentenaire bien entretenue: sexe rasé, avec juste une petite touffe qui remonte vers le nombril. Nous allons nous coucher et là où je crois avoir l'avantage, c'est elle qui anime à sa façon notre intimité. Elle vient poser son con sur ma bouche en me disant: suces moi. J'aime beaucoup sucer les femmes: j'aime à la fois l'odeur et je goût d'un con. La je suis servi. J'en ai plein la bouche: sa cyprine coule presque sur moi. J'en ai le menton mouillé. Ma langue va se perdre dans son con et je rentre un peu dans le vagin avant d'aller sucer le bouton. Elle me demande encore de lui caresser les seins. Je la suce un moment quand elle jouit sur ma bouche. Enfin elle se couche contre moi et recommence à prendre ma bite en main. Je pense qu'elle va me branler: je me trompe. Elle se met la tête aux pieds et avale ma pine qu'elle suce admirablement bien également. Sa langue lèche mon gland avant d'avaler le plus possible ma queue. Elle ne tarde pas à m'emmener au bord de l'extase: je la préviens du moment où je vais jouir. Elle s'en fiche bien et avale mon sperme. Elle n'en laisse pas une goutte. Comme je débande, ce qui après tout est normal, elle reste dans la même position, son con pas très loin de mon regard et commence à se branler. Elle écarte les lèvres intimes avec deux doigts de la main gauche, fait ressortir le clitoris et le branle lentement avec la main droite. Elle penche sa tête et me reprend en bouche. Bien sur je bande encore.
C'est alors que commence véritable nuit d'amour. Elle se couche sur le dos, ouvre en grand ses jambes et quand je suis sur elle, elle guide ma bite vers son con. Elle passe ses jambes autour de ma taille: nous effectuons les allers et venus ensemble. Je tarde à jouir, mais elle jouit plusieurs fois avant moi. J'ai sentir son con qui par à coup se contracte autour de ma queue. Nous arrêtons la baise juste le temps de sa jouissance et reprenons aussitôt après.
Je ne sais ce que j'ai, je jouis et continu à bander. Elle est satisfaite de ne pas avoir à m'exciter encore: je suis prêt à la pénétrer encore plusieurs fois. Elle ne me demande plus de la baiser: elle se met en levrette, prend ma bite et la pose sur son cul. Un peu avant que je ne lui rentre mon sexe, elle s'encule toute seule d'un grand coup de rein. Je rentre très facilement: son cul est habitué et s'ouvre tout seul. Je rentre toute la longueur de ma queue dans l'intestin Elle commence à gémir un peu et dit continuellement "que c'est bon". Elle jouit encore plusieurs fois. Pour ma part je suis assez long à jouir: elle en profite beaucoup. Et quand ça arrive je lâche un véritable jet dans son cul.
Un moment de repos et nous reprenons l'ensemble à zéro.
Le lendemain soir c'est moi qui l'invite dans ma chambre. Nous passons une autre nuit très agitée. Le stage finissant nous passons une dernière nuit ensemble, tout au moins c'est ce que je cois: elle me donne son adresse et depuis souvent nous passons régulièrement des nuits ensemble: parait-il que je suis un bon amant.
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