L'année 1983 -partie 1- Sous la douche du vestiaire hommes
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 132 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plaisir39 ont reçu un total de 660 581 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 802 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'année 1983 -partie 1- Sous la douche du vestiaire hommes
Je vais vous raconter trois histoires vécues à quelques mois d'intervalle dans l'année 1983.
Voici, la première, j'étais embauché en tant qu'intérimaire dans une entreprise navale.
Au départ, je faisais mon vrai métier, mais certains jours, je devais exercer en tant que calorifugeur, faute de missions, ce qui ne plaisait guère.
Il me fallait gagner de quoi payer le loyer de l'appartement que je venais d'acquérir (et qui m'a bien servi pour ma première relation entre hommes!).
Donc, cette activité consistait a remplacer l'amiante et la laine de verre sur les navires militaires.
Il me fallait remplacer, mes vêtements 2 fois par jour! J'était noir de suie de la tête aux pieds, sans parler des démangeaisons dues à la laine de verre.
Mes camarades (dont Maurice, qui me baisera 10 ans plus tard!) sortent à l'heure habituelle.
Je décide d'attendre qu'ils soient partis, pour passer à mon tour sous la douche commune, je déteste m'exposer nu devant des inconnus, si ce n'est pas pour baiser avec.
Malheureusement, un homme assez grand, et large, qui bossait dans l'endroit depuis peu, entre et se met nu pour venir à coté de moi sous son jet.
Je remarque son gros sexe au repos, j'ai honte de mon petit sexe qui n'atteint une jolie taille, qu'en érection.
Je me tourne pour ne pas qu'il remarque mon trouble et cacher mon sexe ridicule. A peine une minute plus tard, il m'interpelle en faisant un bruit de sa bouche.
Je le regarde et vois qu'il branle sa grosse queue couverte de mousse, en érection, tout en matant mon cul.
Il me dit:"Viens on va baiser dans les chiottes, à coté!".
J'hésite, jusqu'au moment ou il attrape ma main pour la poser sur sa bite, pendant qu'il me palpe les fesses.
Je dois réagir vite, j'ai peur du flagrant délit d'homosexualité.
Je le branle, lentement, puis il m'entraine aux WC.
Il m'enduit l'anus de mousse savonneuse, puis pousse avec son gros gland pour me pénétrer.
En à peine deux minutes de tentatives de pénétration, il prend possession de mon anus jusqu'à la base de sa bite.
On doit faire vite et il le sait, puisqu'il me défonce déjà comme un bourrin.
Ce salaud, m'éclate l'anus délicieusement bien, je prends un premier orgasme anal que j'étouffe en mordant mon bras.
J'ai du mal à tenir sur mes pieds tant il me soulève avec ses grands coups de queue dans mon cul.
C'est à mon deuxième orgasme qu'il éjacule de tout son être dans mon conduit anal.
Après un temps de récupération, nous retournons sous la douche.
Il m'envoie des petits baisers avec sa bouche de temps à autres, et me demande:"Tu t'appelles comment?".
"Patrick, et toi?".
"Frédéric!".
"Tu bosses ici?".
"Pour l'instant, je suis intérimaire!".
"Moi aussi, intérimaire comme électricien".
"OK! je dois y aller Frédéric!".
"OK, a plus qui sait!".
Une semaine, en gros, plus tard, je travaillais dans la cabine d'un bateau, ma tâche étant d'aménager un placard, j'avais la journée pour un boulot de deux heures.
J'entends arriver quelqu'un dans la cabine, je reconnais Frédéric.
"Oh, Patrick, tu es là! c'est génial, on est tranquille, tu crois?".
"Oui, mon chef vient de passer, donc je suis tranquille!".
Il va fermer le loquet de la cabine, puis s'approche de moi en me dégrafant mes boutons de jeans.
J'ai déjà ma main à l'intérieur de son slip, alors qu'il baisse le mien. Il me tourne, puis crache sur ses doigts et entre mes fesses.
Comme la première fois, il prend possession de mon cul assez rapidement en m'écartelant les parois anales.
Je mors mon bras pour retenir mes gémissements, pendant qu'il me défonce sans retenue et profondément sans discontinuer,Sa possession dure quasiment dix à 12 minutes, me provoquant un merveilleux et excitant orgasme anal.
Il sort de mon cul, et m'attrape le visage pour m'enfoncer sa queue jusqu'au fond de la gorge.
Son sperme m'inonde aussitôt, j'avale au rythme des jets qui continuent d'assaillir mon palais, puis il dégage sa grosse bite pour terminer d'éjaculer sur mon visage.
Je reste ébahi par la soudaineté de son éjaculation, le sperme coule sur mon pull foncé sans que je m'en aperçoive.
On ne perd pas de temps, en nous rhabillant, très vite, puis chacun reprend son travail.
C'est en rentrant aux vestiaires qu'un copain me dit:"T'as des taches sur ton pull!".
"Euh,..., ah bon?..., je ..., ah oui, c'est la mayonnaise de mon sandwich!".
Frédéric m'a baisé quatre fois, sur un mois, toujours dans cette précipitation.
Voici, la première, j'étais embauché en tant qu'intérimaire dans une entreprise navale.
Au départ, je faisais mon vrai métier, mais certains jours, je devais exercer en tant que calorifugeur, faute de missions, ce qui ne plaisait guère.
Il me fallait gagner de quoi payer le loyer de l'appartement que je venais d'acquérir (et qui m'a bien servi pour ma première relation entre hommes!).
Donc, cette activité consistait a remplacer l'amiante et la laine de verre sur les navires militaires.
Il me fallait remplacer, mes vêtements 2 fois par jour! J'était noir de suie de la tête aux pieds, sans parler des démangeaisons dues à la laine de verre.
Mes camarades (dont Maurice, qui me baisera 10 ans plus tard!) sortent à l'heure habituelle.
Je décide d'attendre qu'ils soient partis, pour passer à mon tour sous la douche commune, je déteste m'exposer nu devant des inconnus, si ce n'est pas pour baiser avec.
Malheureusement, un homme assez grand, et large, qui bossait dans l'endroit depuis peu, entre et se met nu pour venir à coté de moi sous son jet.
Je remarque son gros sexe au repos, j'ai honte de mon petit sexe qui n'atteint une jolie taille, qu'en érection.
Je me tourne pour ne pas qu'il remarque mon trouble et cacher mon sexe ridicule. A peine une minute plus tard, il m'interpelle en faisant un bruit de sa bouche.
Je le regarde et vois qu'il branle sa grosse queue couverte de mousse, en érection, tout en matant mon cul.
Il me dit:"Viens on va baiser dans les chiottes, à coté!".
J'hésite, jusqu'au moment ou il attrape ma main pour la poser sur sa bite, pendant qu'il me palpe les fesses.
Je dois réagir vite, j'ai peur du flagrant délit d'homosexualité.
Je le branle, lentement, puis il m'entraine aux WC.
Il m'enduit l'anus de mousse savonneuse, puis pousse avec son gros gland pour me pénétrer.
En à peine deux minutes de tentatives de pénétration, il prend possession de mon anus jusqu'à la base de sa bite.
On doit faire vite et il le sait, puisqu'il me défonce déjà comme un bourrin.
Ce salaud, m'éclate l'anus délicieusement bien, je prends un premier orgasme anal que j'étouffe en mordant mon bras.
J'ai du mal à tenir sur mes pieds tant il me soulève avec ses grands coups de queue dans mon cul.
C'est à mon deuxième orgasme qu'il éjacule de tout son être dans mon conduit anal.
Après un temps de récupération, nous retournons sous la douche.
Il m'envoie des petits baisers avec sa bouche de temps à autres, et me demande:"Tu t'appelles comment?".
"Patrick, et toi?".
"Frédéric!".
"Tu bosses ici?".
"Pour l'instant, je suis intérimaire!".
"Moi aussi, intérimaire comme électricien".
"OK! je dois y aller Frédéric!".
"OK, a plus qui sait!".
Une semaine, en gros, plus tard, je travaillais dans la cabine d'un bateau, ma tâche étant d'aménager un placard, j'avais la journée pour un boulot de deux heures.
J'entends arriver quelqu'un dans la cabine, je reconnais Frédéric.
"Oh, Patrick, tu es là! c'est génial, on est tranquille, tu crois?".
"Oui, mon chef vient de passer, donc je suis tranquille!".
Il va fermer le loquet de la cabine, puis s'approche de moi en me dégrafant mes boutons de jeans.
J'ai déjà ma main à l'intérieur de son slip, alors qu'il baisse le mien. Il me tourne, puis crache sur ses doigts et entre mes fesses.
Comme la première fois, il prend possession de mon cul assez rapidement en m'écartelant les parois anales.
Je mors mon bras pour retenir mes gémissements, pendant qu'il me défonce sans retenue et profondément sans discontinuer,Sa possession dure quasiment dix à 12 minutes, me provoquant un merveilleux et excitant orgasme anal.
Il sort de mon cul, et m'attrape le visage pour m'enfoncer sa queue jusqu'au fond de la gorge.
Son sperme m'inonde aussitôt, j'avale au rythme des jets qui continuent d'assaillir mon palais, puis il dégage sa grosse bite pour terminer d'éjaculer sur mon visage.
Je reste ébahi par la soudaineté de son éjaculation, le sperme coule sur mon pull foncé sans que je m'en aperçoive.
On ne perd pas de temps, en nous rhabillant, très vite, puis chacun reprend son travail.
C'est en rentrant aux vestiaires qu'un copain me dit:"T'as des taches sur ton pull!".
"Euh,..., ah bon?..., je ..., ah oui, c'est la mayonnaise de mon sandwich!".
Frédéric m'a baisé quatre fois, sur un mois, toujours dans cette précipitation.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plaisir39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...