L’ANNIVERSAIRE
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2394 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 987 210 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2015 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 13 507 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L’ANNIVERSAIRE
Je viens de recevoir une invitation de Séverine pour venir fêter ses 18 ans un samedi soir du mois prochain.
Je suis amoureux de Séverine. Je l’ai fréquenté à mon lycée avant d’arrêter mes études et trouver un travail à la fin de cette année scolaire.
Je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Jérôme et fais du hasard, je vais fêter mes 18 ans le lendemain de celle que j’aime mais qui ne le sais pas.
Pendant ce mois, la seule chose que je fais c’est de la remercier de son invitation.
— Viens, tu verras, tu seras surpris.
Je cherche et je trouve un cadeau que j’espère original.
Le mois se passe et à 20 heures comme prévues-je sonne à la porte du pavillon.
Au moment d’entrer, deux autres garçons que je ne connais pas arrivent.
Une jeune fille nous ouvre. Je la reconnais, c’est Valérie l’une de ses copines.
Je suis bien ridicule avec mon paquet car je semble être le seul à avoir apporté quelque chose.
Séverine est là au milieu. Une dizaine d’hommes parmi lesquelles deux camarades de classe l’entour.
Avant qu’elle arrive à moi, je me sépare de mon paquet qui devient encombrant car d’autres garçons sont arrivés eux aussi sans aucun cadeau.
Quelques minutes plus tard, Valérie, qui nous a ouverts vient parler à l’oreille de son amie.
Elle s’avance pour prendre la parole.
— Bien, vous êtes les 18 garçons que j’ai souhaité avoir à mon anniversaire pour mes 18 ans. Valérie ici présente est en charge de bien gérer la soirée. Si vous êtes là ce soir c’est pour que j’honore un pari que j’ai perdu. Il y a 6 mois, pour la première fois, j’étais invité à une soirée.
Nous étions 17 filles qui fêtaient le pari gagné par l’une d’entre nous à la suite de sa participation à la chaîne créée lors de leurs 16 ans.
Nous avons fini la soirée en jouant au poker.
L’enveloppe qui était au centre de la table était l’enjeu. Nous nous étions toutes engagées à suivre à la lettre ce qui était stipulé dans l’enveloppe.
J’ai eu la chance que les cartes nous soient favorables et j’ai gagné.
J’ai pris l’enveloppe et je l’ai ouverte.
« Continuons la chaîne, interdiction de la briser. »
« La gagnante s’engage le jour de ses 18 ans à inviter 18 garçons et se donnera à eux, toute la soirée. Tout garçon qui n’arrivera pas à bander sera comptabilisé parmi les 18 »
— Valérie va passer parmi vous et vous donner une enveloppe ou un numéro organisera le passage près de moi.
Le message stipule que si un des 18 garçons part ou ne m’honore pas, dans 1 mois je dois réinviter 18 garçons. Je devrai recommencer tous les mois jusqu'à ce que je réussisse mon engagement.
Je dois dire à celui qui va tirer le numéro 1 que je suis vierge et qu’il prenne qu’elle égare lorsqu’il me déflorera.
Pour lever vos derniers scrupules, vous porterez une capote que Valérie vous placera.
— Messieurs, à vous d’être à la hauteur ! Moi je le serais !
— Séverine attend, tu n’as pas ouvert ton cadeau.
Ce crétin lui tend le paquet que j’ai amené et déposé discrètement.
— Je vois que parmi vous il y a un gentleman qui c’est se comporter lorsqu’une jeune fille fête son anniversaire. Donne le-moi je ne vais pas perdre de temps pour l’ouvrir.
En disant cela elle défait le paquet. Je suis rouge de honte et réussi à le cacher.
Séverine sort un cœur blanc avec marquée.
« À celle que j’aime »
— Sympa, il y en aura un ce soir qui m’honorera avec le cœur battant. Je vais le garder près de moi toute la soirée.
Je prends l’enveloppe dans la corbeille que Valérie me tend.
N°2, mon chiffre porte-bonheur.
D’un coup un cri nous fait sursauter.
— J’ai le 1.
J’ai envie de partir au lieu d’assister à cette soirée glauque et bien dans l’air du temps. La mode des paris stupides filmer sur les portables est en train de tuer la jeunesse.
Le fait que Séverine doive recommencer dans un mois m’oblige à rester. Séverine se met nue et me montre sa petite fente que j’aurais bien voulu être le premier à pénétrer. Ne nous méprenons pas, pas le N°1 ce soir, mais le premier en tête à tête dans sa chambre ou la mienne.
Celui qui se croit chanceux s’avance pendant que Séverine se couche sur le canapé.
Valérie le prend en bouche pour le faire bander.
C’est un puceau, elle a beau faire, il lui est impossible de lui placer le préservatif.
Valérie l’élimine. Je le vois passer près de moi en remontant son pantalon et se dépêcher de quitter le pavillon.
— Le N°2 ! À toi, tu auras le privilège de la déflorer. Soit doux !
Comme pour le N°1, elle me suce la verge. Le fait de savoir que je vais déflorer celle que j’aime même si c’est dans des circonstances que j’aurais préféré éviter me fait bander. La capote est en place et je m’approche de mon cœur.
De mes cœurs je dois dire car outre celui de Séverine, le cœur que j’ai offert est posé près de sa tête.
Elle me tend les bras, elle m’aime donc. C’est ce que j’essaye de ma persuadée.
Comme un zombi j’avance ma verge et doucement je l’introduis entre ses grandes lèvres que j’écarte en passant ma main entre nous.
— Vas-y, je suis prête !
Je pousse un peu et je sens son hymen qui cède m’offrant la grotte de mon amour.
Ce que je n’ai pas dit, c’est que moi aussi je me dépucelle n’ayant jamais voulu baiser les filles sans amour même si j’en ai embrassé quelqu'une.
Je ne sais pas si c’est stipulé dans cette maudite lettre mais je prends mon temps.
J’entre et je sors de la vulve de Séverine tranquillement. Je maîtrise mon sexe qui ne s’emballe pas et au bout de cinq minutes le corps de mon aimée se cabre. Elle projette son ventre vers mon ventre et dans la pièce remplie de ces mâles impatients, elle jouit.
Ses cris prouvent que sa jouissance n’est pas feinte. Je pourrais lui remplir la chatte de longs traits de sperme mais ma pudeur m’empêche de me servir du sexe de ma petite femme comme d’un réceptacle à foutre.
Lorsque je me retire, le suivant prendre ma place.
Séverine le reçoit comme elle va recevoir tous les autres excepté trois d’entre eux qui n’ont pas réussi à l’honorer.
Je me suis assis dans un coin de la pièce. À aucun moment le corps de Séverine ne me fait voir qu’elle a une jouissance. La seule qu’elle a eue ces avec moi dans la soirée.
Pourtant certains garçons sont de vrais étalons. L’un d’eux a un sexe tellement long mais fin que lorsque Valérie lui place la capote, elle ne couvre que la moitié de sa longueur.
Le salopard, lorsqu’il la pénètre, il pousse son membre pour qu’il aille au plus profond de la grotte de celle qu’il baise comme un soudard.
La longueur qu’il fait entrer, doit venir comprimer son col de l’utérus car je vois Séverine esquisser une grimace.
Un autre a une bite différente de celui que je viens de décrire mais tout aussi impressionnante pour celle qui va la recevoir. Petite mais avec un diamètre hors norme.
Je n’ai pas de pied à coulisse pour mesurer le diamètre mais ce qui est sur c’est qu’il fait le double de la mienne que je considère comme normal.
Lui aussi fait partie des goujats qui vont prendre ma caille ce soir. La moindre des choses aurait été d’ouvrir sa vulve avec ses doigts avant de l’enfiler.
Non, une brute. Il se place devant l’ouverture et lui aussi pousse un grand coup. Séverine pousse même un petit, Aie ! Que j’entends hélas et qui me brise le cœur !
Valérie souffre, elle aussi à force de les sucer. Je la vois faire des mouvements avec ses mâchoires qui doivent se tétaniser.
Le 18ème garçon est sur elle. Les yeux de mon petit bouchon sont fermés et je sens en loi cette dernière pénétration qui doit être un calvaire pour elle.
Ouf ! C’est fini, il éjacule et se retire.
Tous les voyeurs qui sont restés après avoir baisé quitte la pièce un as un.
Je reste seul avec Valérie.
Je m’approche de mon amie. Lui soulève la tête et la pose sur mes genoux.
Je fais signe à Valérie d’aller chercher des linges mouillés. Elle lui en met un entre ses cuisses. Elle se cabre avec le froid de la serviette entre mes bras mais rapidement son visage se détend car cette fraîcheur doit lui faire du bien.
Je prends la deuxième serviette et je lui place sur le front. Quelques secondes elle ouvre les yeux, doit m’apercevoir et esquisse un sourire.
Dans un effort qui semble énorme elle prend le cœur posé à son côté le porte sur sa poitrine.
— C’est toi qui me l’a offert ?
Je n’ai pas besoin de répondre, nos regards emplis d’amour suffissent. Je fais signe à Valérie de nous laisser.
C’est comme cela que le sommeil nous gagne.
Quelques heures plus tard, je me réveille. La nature faisant son œuvre et mon envie de toilette me fait monter ma verge à la verticale.
Plus grave Séverine qui dort encore la tête sur mes genoux est tournée face à elle et sa bouche vient la toucher à travers mon pantalon.
Je me dégage en lui soulevant la tête et en la reposant en récupérant mon cousin qu’elle sert toujours sur elle.
Je cherche les w.c. et je tombe sur la salle de bain. Mon envie m’oblige à me servir du bidet car je ne peux plus chercher la cuvette des waters.
Je me sens sale de ce qui ces passés cette nuit.
J’ouvre l’eau de la baignoire que je remplis. Je retourne dans la salle, prend ma petite dans mes bras et la porte jusqu'à la baignoire.
Lorsque je la fais glisser doucement dans l’eau, la chaleur sur son corps toujours nu doit lui faire énormément de bien. Elle ouvre les yeux me vois et me tend une fois de plus les bras.
Je me déshabille et en passant derrière elle, je me glisse pour pouvoir la serrer dans mes bras.
Lorsque mes jambes sont le long des siennes, elle s’appuie sur ma poitrine s’abandonnant aux caresses de l’eau.
Je ne sais pas quoi faire de mes mains. Elle en prend une et la place sur l’un de ses seins petits et mignons. Je pense que l’invitation qui m’est faite de caresse l’un est valable pour l’autre et je sens qu’il apprécie ma caresse.
Nous restons là quelques minutes. Séverine semble reprendre du poil de la bête.
Elle attrape le savon et me le met dans la main.
Sa joue est posée dans mon cou.
Je me saisis du savon que je lui passe sur les seins, le ventre en prenant soin de ne pas descendre top bas et de toucher sa toison.
Elle me prend la main et la place sur sa chatte.
L’invite est explicite, la savonnette glisse sur ses lèvres intimes et les écarte par moments.
Le savon doit finir d’apaiser ses douleurs car elle m’appuie de plus en plus sur la main.
Mon sexe est de plus en plus dur et son dos ne peut ignorer ce phénomène naturel de la nature lorsque les hommes ont des désirs pour la femme qu’ils aiment.
Ce qui devait arriver arrive ! La savonnette glisse sous mes doigts et va se promener seule au fond de la baignoire.
Je n’ai pas le temps de réagir et mes doigts sont directement en contact avec sa vulve.
Je n’ose pas bouger de peur de lui faire mal. Sa main est toujours attachée à la mienne. C’est elle-même qui la fait manœuvrer pour que mes doigts entrent dans son vagin.
J’ose les faire bouger doucement. Sans l’avoir calculé, pour la première fois, nos bouches et nos langues se trouvent. Je m’applique à ce que ce premier baiser soit aussi bon que lorsque mon sexe là prit pour la première fois. J’y arrive bien car mes lèvres reçoivent sa jouissance lorsqu’un second cri de plaisir éclos sur dans nos bouches.
Séverine ne veut pas en rester là. Elle se redresse, se retourne, me fait avancer au milieu de la baignoire et s’assied sur ma bite pour s’empaler dessus.
Une légère grimace vite estompée passe sur son visage. Elle me prend par le cou et nous restons là soudés l’un à l’autre nos bouches et nos langues de nouveau emmêlées.
C’est sans bougé que je finis par inonder sa grotte par de l’ont jets de spermes qui lui font une fois de plus monter en elle une tornade qui dévaste son ventre.
Au bout d’un moment, l’eau est froide et nous ne sommes plus très à l’aise dans le bain.
Ma verge s'est rétractée et je suis sorti de son sexe.
Elle se redresse et sort de la baignoire. Je la suis et je récupère une serviette pour l’essuyer. Quoique son vagin semble être redevenu opérationnel après ce que nous venons de faire, j’essuie ses grandes levées avec douceur.
Elle récupère la serviette et fait de même pour mon corps.
Pour ce faire, elle s’agenouille et n’hésite pas à m’aspirer la verge au fond de sa bouche.
Gourmande avec çà mon petit sexe que j’aime de plus en plus.
Les léchages et les aspirations que mon vit subit par cette bougresse m’empêche de résister très longtemps. Les longs jets envoyés il y a quelques minutes dans son vagin, me laisse assez de sperme pour qu’elle ait le loisir d’apprécier pour la première fois son goût. Elle aspire tout et me donne l’impression d’aimer.
Si elle le veut bien, je lui en distillerais des litres que je lui offrirais généreusement. Elle met un peignoir et m’en donne un à ma taille. Ce doit être ceux de ses parents.
Elle me conduit dans la cuisine pour me faire reprendre des forces. Au passage elle récupère mon cœur qu’elle semble ne plus vouloir lâcher.
Pendant que je bois un café, elle remet la maison en état ses parents devant revenir le lendemain matin.
Ce travail fini, elle me demande où j’habite et ce que je fais car elle a su au lycée que j’avais arrêté, il n’y a pas longtemps.
Elle veut voir mon chez moi et ne souhaite pas être là quand ses parents vont être de retour afin d’éviter leurs questions.
Lorsque j’arrive chez moi, son visage est étonné.
J’ai du boulot, on voie bien que c’est un appartement de célibataire ! Mes toi sur ton canapé pour ne pas être dans mes jambes.
J’allume la télévision et je regarde un film. Je ne mets pas cinq minutes à dormir.
Lorsque je me réveille, elle est en train d’enlever les gants qui me servent à faire la vaisselle sans m’abîmer les mains.
— Tu es réveillé, je t’ai épuisé, tu dormais tellement fort que tu n’as même pas bougé lorsque j’ai passé l’aspirateur.
J’oublie de lui dire que depuis que je l’ai acheté, il y a un mois, il n’a jamais quitté son placard où elle l’a trouvé.
L’appartement est niquel. Tout est à sa place et surtout la vaisselle est faite et rangée.
— Viens, me faire connaître ta chambre. Je n’y suis pas entré.
Comme le reste de l’appartement entre mes vêtements voit mes sous-vêtements et le lit, la chambre est à l’image du reste de l’appartement.
Elle ramasse les vêtements et les emmène dans la cuisine. J’ai bien acheté une machine lorsque j’ai emménagé au déménagement de mes parents dans le Sud de la France.
Ils ont repris un commerce de souvenirs et parfum à Grasse.
Lorsqu’ils ont décidé de partir, j’ai trouvé du travail dans un magasin d’électroménager et cet appartement.
Elle veut changer les draps. Problème, je n’en ai qu’une paire.
Je l’aide à retaper le lit, c’est la première fois de ma vie que je retends des draps. C’est ma mère qui les a mis le mois dernier.
En enlevant ses affaires et se couche sur le lit.
— Si l’on testait le matelas.
Il ne me faut que quelques secondes pour enlever mes affaires en les faisant voler dans la pièce.
—Jérôme, il y a une chaise pour les poser et ne pas les jeter.
Certains peuvent dire, elle est chiante la nana !
Moi je dis que j’ai trouvé une perle rare.
Lorsque je la rejoins et que je lui mets immédiatement la main sur la chatte deux doigts à l’intérieur elle est tellement mouillée que mes doigts baignent dans ses sécrétions intimes.
Je descends ma bouche, elle écarte les cuisses et visuellement après avoir écarté ses lèvres qui sont assez développées, je découvre son bouton qui ressemble à un petit sexe masculin.
Je ne mets pas une minute à la faire se pâmer.
Une vraie folle de la chatte mon petit bébé. Tu touches un peu et les turbos se mettent en marche. Si elle reste avec moi, les voisins risquent d’aller se plaindre au syndic que dans l’appartement d’à côté une femme doit être battue.
Chaque fois que je le pourrais, il faudra que je lui prenne la bouche pour éviter les problèmes de voisinage.
Après la chatte et le clito qui ont formidablement bien réagi, je remonte vers ses seins que j’ai bien caressés mais que je n’ai pas gobé. Je m’y emploie et ils réagissent aux aussi fort bien.
Ses mamelons se durcissent et comme son clitoris, ils sont assez gros pour que mes dents les saisissent et les mordillent l’un après l’autre.
De son coté, Séverine s’occupe de ma verge avec sa main.
Pour la troisième fois elle répond présent.
Mon cœur se retourne et me présente sa croupe. Pour rigoler je lui claque une fesse.
— Violant avec çà !
— Séverine, c’était pour rigoler.
— Qui te dit d’arrêter, ta main m’a fait frissonner la chatte. Je sens que je suis de nouveau toute mouillée.
En disant ces mots qui m’ouvrent des horizons agréables, elle se redresse et m’offre sa croupe en levrette.
— Prends-moi la rosette, Jérôme, en préparant la soirée, m’a dit que son copain lui avait pris le week-end dernier et qu’à partir de la deuxième fois, en faisant travailler les muscles qui entourent notre anus elle a joui aussi fort, mais d’une manière différente, qu’avec sa chatte. J’aimerais découvrir cette sensation.
Une perle je vous dis, de nombreux hommes doivent trouver des subterfuges pour prendre la rondelle de leur femme et moi celle que j’aime m’offre sans sourcilier son cul.
Je me positionne et j’avance mon pieu vers son petit trou.
Gourmande la petite, alors que j’entre doucement, elle donne un grand coup de rein en arrière et avant que je réagisse mes couilles touches son vagin.
Quelques secondes de calmes et elle recommence à se pilonner sur ma queue.
Ma trique n’a jamais été aussi tendue. Une régale, surtout lorsqu’elle se met à faire fonctionner ses sphincters qui m’enserrent la verge.
Je ne mets pas longtemps à la faire crier son plaisir. Ma main est allé sous son ventre et à trouver mon petit copain qui m’aide à la faire monter en gammes.
Je lui inonde les parois anales et nous nous écroulons sur le lit emmêlé l’un as l’autre plutôt l’un dans l’autre
.
Trois jours se sont passé comme dans un rêve chaque fois que Séverine est avec moi.
J’ai repris le travail aujourd’hui attendant avec impatience le soir pour que nous nous retrouvions.
J’ai donné de l’argent à mon bébé pour qu’elle achète des draps et de quoi manger.
Je viens à peine de rentrer lorsqu’elle ouvre avec la porte avec la clef que je lui ai donnée.
Elle tire derrière elle une valise et tombe en pleurs dans mes bras.
Elle essaye de me donner des explications mais son chagrin est si fort que les mots ne sortent pas.
Je finis par comprendre que son père la mise dehors, qu’il l’a traité de pute ou de prostituer le mot ayant du mal à sortir de sa jolie bouche.
Je la fais asseoir sur le canapé. Comme sur celui de ses parents ou dans la baignoire, je lui entoure son buste de mes bras.
— Prends ton temps expliques-toi calmement ma chérie.
— Quand je suis arrivé mon père directement mon traité de salope et de pute. Il répétait ces mots en boucles. Je lui ai demandé pourquoi il me traitait comme cela. Attends, je vais te faire voir ce qu’il m’a mis sous les yeux.
Elle se lève ouvre sa valise et sort une photo A4.
— Voilà ce qu’il venait de trouver sur un site de photos dites tendances en regardant les photos et les vidéos.
Je regarde la photo certainement prise avec un appareil photo lors de la soirée.
— Il l’a tiré d’une vidéo que l’un des garçons a postée. Je n’ai pas vu ce film mais l’on me voit recevoir sur mon corps plusieurs gars qui attendent le sexe à la main et qui entrent dans mon vagin...
Plusieurs fois il m’a reconnu ma figure étant tournée vers l’objectif. Pour confirmer que c’était bien moi, il n’a pas eu de mal à reconnaître son canapé et tout ce que l’on peut voir derrière.
Je suis bien obligé de reconnaître qu’une tuile lui tombe sur la tête.
Pour lui faire voir que je fais partie de ceux qui savent prendre des décisions, j’appelle mes parents.
Sans explications sur le fond, je leur demande s’ils peuvent nous recevoir quelque temps.
Une chambre nous attend, il nous suffit de prendre le train.
— Merci, nous serons là dans une semaine.
Le lendemain, je donne mon compte et je me rends chez les parents de Séverine.
Sa mère est seule. J’ai du mal à lui faire comprendre que je ne suis pas un représentant de commerce cherchant à lui vendre un aspirateur ou une encyclopédie en plusieurs volumes.
Elle finit par accepter de parler devant la porte d’entrée.
Lorsqu’elle comprend que je suis un copain de sa fille.
Que les voisins peuvent entendre des propos que son mari n’apprécierait pas qu’ils s’ébruitent bien que depuis deux jours ils ne répondent plus au téléphone !
Certains petits malins veulent rencontrer leur prostituée de fille et leur demande combien elle prend.
— Pourquoi avez-vous fait cela ?
J’ai du mal à lui faire comprendre que j’étais venu inviter à son anniversaire. Que je ne savais pas que sa fille avait bêtement suivie un mouvement de provocation comme les jeunes ont trop tendance à suivre depuis plusieurs mois !
Je lui explique que depuis cette erreur je lui avais fait prendre conscience de l’erreur qu’elle avait faite surtout lorsque l’on voit comment ces jeunes cons ont respecté sa fille.
— Je vais essayer de faire comprendre tous ces évènements à mon mari, mais je le connais ce ne sera pas facile voire impossible.
Elle me donne son numéro de téléphone pour l’appeler le lendemain.
Lorsque je rentre, Séverine m’accueille avec autant d’amour.
Elle est dans la cuisine en train de préparer une tarte aux pommes.
Elle a juste une petite culotte sur les fesses car aujourd’hui il fait très chaud.
Par la porte-fenêtre ouverte je vois un homme sur son balcon dans l’immeuble d'en face qui mate mon petit bonheur.
Sans le dire à Séverine, espérant qu’il n’est pas cardiaque, je la prends sous les fesses la pose sur la table les fesses dans la patte.
Je sors mon sexe et je lui enfourne dans les miches.
Comme je suis placé, notre voyeur ne croit pas en la chance qu’il a avec ses voisins.
Je suis sur que le son qu’émet mon petit sexe préféré doit lui arriver aux oreilles. Je la laisse chanter, à cette heure, il est possible de faire du bruit.
Sa chatte une fois de plus apprécie le sperme que je lui offre. Sans se démonter, elle se retourne met la compote et les pommes sur la tarte et l’enfourne avec la marque de sa raie fessière entourée de ses deux pommes.
Le lendemain sa mère me confirme que son père refuse tout nouveau contacté avec sa fille.
Je lui donne le numéro de mes parents lui expliquant que pour soustraire Séverine à ceux qui ont de quoi l’ennuyé je l’emmène à Grasse près de mes parents.
Je mets en vente la plupart de ce qui est vendable et j’achète les billets pour la provence.
Mes parents sont contents de notre venue, leur fils chéri leur manquait déjà.
Je cherche un emploi que j’ai la chance de trouver dans la journée.
Je suis allé dans la même enseigne que celle où je travaillais en région parisienne.
Ils avaient un poste à pourvoir. Un coup de fil à mon directeur qui a fait des éloges de ma façon de gérer mon secteur.
Pour compléter la journée, je trouve une petite maison à louer entre mon travail et chez mes parents.
Notre fils aîné Christian est né neuf fois après notre bain dans la baignoire de ses parents.
Séverine se savait protéger par les préservatifs pendant la soirée. Le lendemain matin, lorsque ma tige s’ai enfoncé dans son vagin, les traits de spermes que je lui ai copieusement envoyés ont fait leur œuvre. Le mois prochain notre bébé va venir au monde.
Un mois avant, j’ai épousé mon petit cœur. Ses parents étaient là, je suis monté personnellement à Paris pour convaincre son père.
J’avais emporté avec moi deux billets du Parc des princes pour voir Ibrahimovic, dont-il est fan.
J’avais donné un des billets à sa maman qui lui a fait croire qu’elle l’avait gagné au super marché.
Lorsqu’il s’est assis à coté de moi, je criais Ibra, Ibra, Ibra.
Au bout d’un certain temps, il m’a interpellé.
— Vous savez qu’Ibra ne joue pas, il est blessé.
Un peu con le futur gendre. La glace est brisée. À la fin du match nous allons à la porte de Saint Clou boire une bière.
J’ai hésité quelques minutes et je me suis lancé.
— Savez-vous qui vous ont offert votre billet.
— Ma femme, elle l’a gagné au super marché.
— Non, elle vous la fait croire, je les ai amené de Grasse où je vis avec Séverine.
À ce prénom, il se lève courroucé.
— Et votre petit-fils il vous intéresse ? Partez et vous ne le connaîtrez jamais.
Cette fois il se lève.
— Venez avec moi.
Dans le métro puis le R.E.R., je lui explique l’erreur de sa fille qui m’avait permis de la rencontrer.
Je lui explique que pour la soustraire aux quolibets, j’avais tout lâché et que j’avais retrouvé du travail dans un magasin d’électroménager.
Je lui demande de pardonner et de venir assister à notre mariage et de rester jusqu’à la naissance de son petit-fils.
Arrivé chez mes beaux-parents, lorsque sa femme a vu que j’étais avec lui, son cœur a fait un grand bon dans sa poitrine.
S’adressant à sa femme.
— Toi tu ne perds rien pour attendre. Dépêches-toi va faire les valises. Départ demain 6 heures.
Les retrouvailles ont été émouvantes. Tous ont autant fait couler de larmes que moi de sperme avec Séverine. Nos ébats à un mois de l’accouchement étaient principalement buccaux.
Le mariage c’est bien passé, Valérie est venue et était le témoin de Séverine. Elle nous a appris que le jeu de con que Séverine avait subi s’ai arrêté toutes les filles ont eu très peur de se retrouver sur internet.
J’ai demandé à mon futur beau-père d’être mon témoin. Il a accepté à la seule condition c’est que je lui ai des billets du P.S.G.
Je lui en obtiens de temps en temps par mon patron, notre société étant sponsor du club.
Christian est né un matin à 5 heures, tout le monde était debout, à sa naissance, c’est tout juste si les 2 grands-pères veillent à couper le cordon.
La sage-femme les en a dissuadé et j’ai pu le faire avec les jambes qui avaient du mal à me soutenir.
Pendant sa grossesse, Séverine a repris ses cours en école supérieurs de commerce et a réussi avec des notes qui lui ont ouvert les portes d’une société importante.
Notre fils deux ans après a accueilli sa petite sœur bientôt suivie de son petit frère.
Dans mon travail, j’ai monté tous les niveaux et avec des cours aidés par ma femme, je suis directeur du magasin.
Après 42 ans de mariage, je suis le plus heureux des hommes.
Les jours ou avec Séverine comme toutes les femmes elle a tendance à aller trop loin, je lui promets pour son anniversaire une soirée spéciale.
18 ans, 18 garçons.
60 ans…… Elle éclate de rire et toutes les polémiques s’arrêtent.
Le jour de ses dix-huit ans, Sandra nous a demandé de recevoir ses copains.
Notre maison que j’ai fait construire sur les hauteurs de Grasse avec sa piscine est attrayante pour les jeunes.
Nous avons accepté à la seule condition de pouvoir resté dans notre chambre.
Notre simple présence nous a rassuré…….
Je suis amoureux de Séverine. Je l’ai fréquenté à mon lycée avant d’arrêter mes études et trouver un travail à la fin de cette année scolaire.
Je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Jérôme et fais du hasard, je vais fêter mes 18 ans le lendemain de celle que j’aime mais qui ne le sais pas.
Pendant ce mois, la seule chose que je fais c’est de la remercier de son invitation.
— Viens, tu verras, tu seras surpris.
Je cherche et je trouve un cadeau que j’espère original.
Le mois se passe et à 20 heures comme prévues-je sonne à la porte du pavillon.
Au moment d’entrer, deux autres garçons que je ne connais pas arrivent.
Une jeune fille nous ouvre. Je la reconnais, c’est Valérie l’une de ses copines.
Je suis bien ridicule avec mon paquet car je semble être le seul à avoir apporté quelque chose.
Séverine est là au milieu. Une dizaine d’hommes parmi lesquelles deux camarades de classe l’entour.
Avant qu’elle arrive à moi, je me sépare de mon paquet qui devient encombrant car d’autres garçons sont arrivés eux aussi sans aucun cadeau.
Quelques minutes plus tard, Valérie, qui nous a ouverts vient parler à l’oreille de son amie.
Elle s’avance pour prendre la parole.
— Bien, vous êtes les 18 garçons que j’ai souhaité avoir à mon anniversaire pour mes 18 ans. Valérie ici présente est en charge de bien gérer la soirée. Si vous êtes là ce soir c’est pour que j’honore un pari que j’ai perdu. Il y a 6 mois, pour la première fois, j’étais invité à une soirée.
Nous étions 17 filles qui fêtaient le pari gagné par l’une d’entre nous à la suite de sa participation à la chaîne créée lors de leurs 16 ans.
Nous avons fini la soirée en jouant au poker.
L’enveloppe qui était au centre de la table était l’enjeu. Nous nous étions toutes engagées à suivre à la lettre ce qui était stipulé dans l’enveloppe.
J’ai eu la chance que les cartes nous soient favorables et j’ai gagné.
J’ai pris l’enveloppe et je l’ai ouverte.
« Continuons la chaîne, interdiction de la briser. »
« La gagnante s’engage le jour de ses 18 ans à inviter 18 garçons et se donnera à eux, toute la soirée. Tout garçon qui n’arrivera pas à bander sera comptabilisé parmi les 18 »
— Valérie va passer parmi vous et vous donner une enveloppe ou un numéro organisera le passage près de moi.
Le message stipule que si un des 18 garçons part ou ne m’honore pas, dans 1 mois je dois réinviter 18 garçons. Je devrai recommencer tous les mois jusqu'à ce que je réussisse mon engagement.
Je dois dire à celui qui va tirer le numéro 1 que je suis vierge et qu’il prenne qu’elle égare lorsqu’il me déflorera.
Pour lever vos derniers scrupules, vous porterez une capote que Valérie vous placera.
— Messieurs, à vous d’être à la hauteur ! Moi je le serais !
— Séverine attend, tu n’as pas ouvert ton cadeau.
Ce crétin lui tend le paquet que j’ai amené et déposé discrètement.
— Je vois que parmi vous il y a un gentleman qui c’est se comporter lorsqu’une jeune fille fête son anniversaire. Donne le-moi je ne vais pas perdre de temps pour l’ouvrir.
En disant cela elle défait le paquet. Je suis rouge de honte et réussi à le cacher.
Séverine sort un cœur blanc avec marquée.
« À celle que j’aime »
— Sympa, il y en aura un ce soir qui m’honorera avec le cœur battant. Je vais le garder près de moi toute la soirée.
Je prends l’enveloppe dans la corbeille que Valérie me tend.
N°2, mon chiffre porte-bonheur.
D’un coup un cri nous fait sursauter.
— J’ai le 1.
J’ai envie de partir au lieu d’assister à cette soirée glauque et bien dans l’air du temps. La mode des paris stupides filmer sur les portables est en train de tuer la jeunesse.
Le fait que Séverine doive recommencer dans un mois m’oblige à rester. Séverine se met nue et me montre sa petite fente que j’aurais bien voulu être le premier à pénétrer. Ne nous méprenons pas, pas le N°1 ce soir, mais le premier en tête à tête dans sa chambre ou la mienne.
Celui qui se croit chanceux s’avance pendant que Séverine se couche sur le canapé.
Valérie le prend en bouche pour le faire bander.
C’est un puceau, elle a beau faire, il lui est impossible de lui placer le préservatif.
Valérie l’élimine. Je le vois passer près de moi en remontant son pantalon et se dépêcher de quitter le pavillon.
— Le N°2 ! À toi, tu auras le privilège de la déflorer. Soit doux !
Comme pour le N°1, elle me suce la verge. Le fait de savoir que je vais déflorer celle que j’aime même si c’est dans des circonstances que j’aurais préféré éviter me fait bander. La capote est en place et je m’approche de mon cœur.
De mes cœurs je dois dire car outre celui de Séverine, le cœur que j’ai offert est posé près de sa tête.
Elle me tend les bras, elle m’aime donc. C’est ce que j’essaye de ma persuadée.
Comme un zombi j’avance ma verge et doucement je l’introduis entre ses grandes lèvres que j’écarte en passant ma main entre nous.
— Vas-y, je suis prête !
Je pousse un peu et je sens son hymen qui cède m’offrant la grotte de mon amour.
Ce que je n’ai pas dit, c’est que moi aussi je me dépucelle n’ayant jamais voulu baiser les filles sans amour même si j’en ai embrassé quelqu'une.
Je ne sais pas si c’est stipulé dans cette maudite lettre mais je prends mon temps.
J’entre et je sors de la vulve de Séverine tranquillement. Je maîtrise mon sexe qui ne s’emballe pas et au bout de cinq minutes le corps de mon aimée se cabre. Elle projette son ventre vers mon ventre et dans la pièce remplie de ces mâles impatients, elle jouit.
Ses cris prouvent que sa jouissance n’est pas feinte. Je pourrais lui remplir la chatte de longs traits de sperme mais ma pudeur m’empêche de me servir du sexe de ma petite femme comme d’un réceptacle à foutre.
Lorsque je me retire, le suivant prendre ma place.
Séverine le reçoit comme elle va recevoir tous les autres excepté trois d’entre eux qui n’ont pas réussi à l’honorer.
Je me suis assis dans un coin de la pièce. À aucun moment le corps de Séverine ne me fait voir qu’elle a une jouissance. La seule qu’elle a eue ces avec moi dans la soirée.
Pourtant certains garçons sont de vrais étalons. L’un d’eux a un sexe tellement long mais fin que lorsque Valérie lui place la capote, elle ne couvre que la moitié de sa longueur.
Le salopard, lorsqu’il la pénètre, il pousse son membre pour qu’il aille au plus profond de la grotte de celle qu’il baise comme un soudard.
La longueur qu’il fait entrer, doit venir comprimer son col de l’utérus car je vois Séverine esquisser une grimace.
Un autre a une bite différente de celui que je viens de décrire mais tout aussi impressionnante pour celle qui va la recevoir. Petite mais avec un diamètre hors norme.
Je n’ai pas de pied à coulisse pour mesurer le diamètre mais ce qui est sur c’est qu’il fait le double de la mienne que je considère comme normal.
Lui aussi fait partie des goujats qui vont prendre ma caille ce soir. La moindre des choses aurait été d’ouvrir sa vulve avec ses doigts avant de l’enfiler.
Non, une brute. Il se place devant l’ouverture et lui aussi pousse un grand coup. Séverine pousse même un petit, Aie ! Que j’entends hélas et qui me brise le cœur !
Valérie souffre, elle aussi à force de les sucer. Je la vois faire des mouvements avec ses mâchoires qui doivent se tétaniser.
Le 18ème garçon est sur elle. Les yeux de mon petit bouchon sont fermés et je sens en loi cette dernière pénétration qui doit être un calvaire pour elle.
Ouf ! C’est fini, il éjacule et se retire.
Tous les voyeurs qui sont restés après avoir baisé quitte la pièce un as un.
Je reste seul avec Valérie.
Je m’approche de mon amie. Lui soulève la tête et la pose sur mes genoux.
Je fais signe à Valérie d’aller chercher des linges mouillés. Elle lui en met un entre ses cuisses. Elle se cabre avec le froid de la serviette entre mes bras mais rapidement son visage se détend car cette fraîcheur doit lui faire du bien.
Je prends la deuxième serviette et je lui place sur le front. Quelques secondes elle ouvre les yeux, doit m’apercevoir et esquisse un sourire.
Dans un effort qui semble énorme elle prend le cœur posé à son côté le porte sur sa poitrine.
— C’est toi qui me l’a offert ?
Je n’ai pas besoin de répondre, nos regards emplis d’amour suffissent. Je fais signe à Valérie de nous laisser.
C’est comme cela que le sommeil nous gagne.
Quelques heures plus tard, je me réveille. La nature faisant son œuvre et mon envie de toilette me fait monter ma verge à la verticale.
Plus grave Séverine qui dort encore la tête sur mes genoux est tournée face à elle et sa bouche vient la toucher à travers mon pantalon.
Je me dégage en lui soulevant la tête et en la reposant en récupérant mon cousin qu’elle sert toujours sur elle.
Je cherche les w.c. et je tombe sur la salle de bain. Mon envie m’oblige à me servir du bidet car je ne peux plus chercher la cuvette des waters.
Je me sens sale de ce qui ces passés cette nuit.
J’ouvre l’eau de la baignoire que je remplis. Je retourne dans la salle, prend ma petite dans mes bras et la porte jusqu'à la baignoire.
Lorsque je la fais glisser doucement dans l’eau, la chaleur sur son corps toujours nu doit lui faire énormément de bien. Elle ouvre les yeux me vois et me tend une fois de plus les bras.
Je me déshabille et en passant derrière elle, je me glisse pour pouvoir la serrer dans mes bras.
Lorsque mes jambes sont le long des siennes, elle s’appuie sur ma poitrine s’abandonnant aux caresses de l’eau.
Je ne sais pas quoi faire de mes mains. Elle en prend une et la place sur l’un de ses seins petits et mignons. Je pense que l’invitation qui m’est faite de caresse l’un est valable pour l’autre et je sens qu’il apprécie ma caresse.
Nous restons là quelques minutes. Séverine semble reprendre du poil de la bête.
Elle attrape le savon et me le met dans la main.
Sa joue est posée dans mon cou.
Je me saisis du savon que je lui passe sur les seins, le ventre en prenant soin de ne pas descendre top bas et de toucher sa toison.
Elle me prend la main et la place sur sa chatte.
L’invite est explicite, la savonnette glisse sur ses lèvres intimes et les écarte par moments.
Le savon doit finir d’apaiser ses douleurs car elle m’appuie de plus en plus sur la main.
Mon sexe est de plus en plus dur et son dos ne peut ignorer ce phénomène naturel de la nature lorsque les hommes ont des désirs pour la femme qu’ils aiment.
Ce qui devait arriver arrive ! La savonnette glisse sous mes doigts et va se promener seule au fond de la baignoire.
Je n’ai pas le temps de réagir et mes doigts sont directement en contact avec sa vulve.
Je n’ose pas bouger de peur de lui faire mal. Sa main est toujours attachée à la mienne. C’est elle-même qui la fait manœuvrer pour que mes doigts entrent dans son vagin.
J’ose les faire bouger doucement. Sans l’avoir calculé, pour la première fois, nos bouches et nos langues se trouvent. Je m’applique à ce que ce premier baiser soit aussi bon que lorsque mon sexe là prit pour la première fois. J’y arrive bien car mes lèvres reçoivent sa jouissance lorsqu’un second cri de plaisir éclos sur dans nos bouches.
Séverine ne veut pas en rester là. Elle se redresse, se retourne, me fait avancer au milieu de la baignoire et s’assied sur ma bite pour s’empaler dessus.
Une légère grimace vite estompée passe sur son visage. Elle me prend par le cou et nous restons là soudés l’un à l’autre nos bouches et nos langues de nouveau emmêlées.
C’est sans bougé que je finis par inonder sa grotte par de l’ont jets de spermes qui lui font une fois de plus monter en elle une tornade qui dévaste son ventre.
Au bout d’un moment, l’eau est froide et nous ne sommes plus très à l’aise dans le bain.
Ma verge s'est rétractée et je suis sorti de son sexe.
Elle se redresse et sort de la baignoire. Je la suis et je récupère une serviette pour l’essuyer. Quoique son vagin semble être redevenu opérationnel après ce que nous venons de faire, j’essuie ses grandes levées avec douceur.
Elle récupère la serviette et fait de même pour mon corps.
Pour ce faire, elle s’agenouille et n’hésite pas à m’aspirer la verge au fond de sa bouche.
Gourmande avec çà mon petit sexe que j’aime de plus en plus.
Les léchages et les aspirations que mon vit subit par cette bougresse m’empêche de résister très longtemps. Les longs jets envoyés il y a quelques minutes dans son vagin, me laisse assez de sperme pour qu’elle ait le loisir d’apprécier pour la première fois son goût. Elle aspire tout et me donne l’impression d’aimer.
Si elle le veut bien, je lui en distillerais des litres que je lui offrirais généreusement. Elle met un peignoir et m’en donne un à ma taille. Ce doit être ceux de ses parents.
Elle me conduit dans la cuisine pour me faire reprendre des forces. Au passage elle récupère mon cœur qu’elle semble ne plus vouloir lâcher.
Pendant que je bois un café, elle remet la maison en état ses parents devant revenir le lendemain matin.
Ce travail fini, elle me demande où j’habite et ce que je fais car elle a su au lycée que j’avais arrêté, il n’y a pas longtemps.
Elle veut voir mon chez moi et ne souhaite pas être là quand ses parents vont être de retour afin d’éviter leurs questions.
Lorsque j’arrive chez moi, son visage est étonné.
J’ai du boulot, on voie bien que c’est un appartement de célibataire ! Mes toi sur ton canapé pour ne pas être dans mes jambes.
J’allume la télévision et je regarde un film. Je ne mets pas cinq minutes à dormir.
Lorsque je me réveille, elle est en train d’enlever les gants qui me servent à faire la vaisselle sans m’abîmer les mains.
— Tu es réveillé, je t’ai épuisé, tu dormais tellement fort que tu n’as même pas bougé lorsque j’ai passé l’aspirateur.
J’oublie de lui dire que depuis que je l’ai acheté, il y a un mois, il n’a jamais quitté son placard où elle l’a trouvé.
L’appartement est niquel. Tout est à sa place et surtout la vaisselle est faite et rangée.
— Viens, me faire connaître ta chambre. Je n’y suis pas entré.
Comme le reste de l’appartement entre mes vêtements voit mes sous-vêtements et le lit, la chambre est à l’image du reste de l’appartement.
Elle ramasse les vêtements et les emmène dans la cuisine. J’ai bien acheté une machine lorsque j’ai emménagé au déménagement de mes parents dans le Sud de la France.
Ils ont repris un commerce de souvenirs et parfum à Grasse.
Lorsqu’ils ont décidé de partir, j’ai trouvé du travail dans un magasin d’électroménager et cet appartement.
Elle veut changer les draps. Problème, je n’en ai qu’une paire.
Je l’aide à retaper le lit, c’est la première fois de ma vie que je retends des draps. C’est ma mère qui les a mis le mois dernier.
En enlevant ses affaires et se couche sur le lit.
— Si l’on testait le matelas.
Il ne me faut que quelques secondes pour enlever mes affaires en les faisant voler dans la pièce.
—Jérôme, il y a une chaise pour les poser et ne pas les jeter.
Certains peuvent dire, elle est chiante la nana !
Moi je dis que j’ai trouvé une perle rare.
Lorsque je la rejoins et que je lui mets immédiatement la main sur la chatte deux doigts à l’intérieur elle est tellement mouillée que mes doigts baignent dans ses sécrétions intimes.
Je descends ma bouche, elle écarte les cuisses et visuellement après avoir écarté ses lèvres qui sont assez développées, je découvre son bouton qui ressemble à un petit sexe masculin.
Je ne mets pas une minute à la faire se pâmer.
Une vraie folle de la chatte mon petit bébé. Tu touches un peu et les turbos se mettent en marche. Si elle reste avec moi, les voisins risquent d’aller se plaindre au syndic que dans l’appartement d’à côté une femme doit être battue.
Chaque fois que je le pourrais, il faudra que je lui prenne la bouche pour éviter les problèmes de voisinage.
Après la chatte et le clito qui ont formidablement bien réagi, je remonte vers ses seins que j’ai bien caressés mais que je n’ai pas gobé. Je m’y emploie et ils réagissent aux aussi fort bien.
Ses mamelons se durcissent et comme son clitoris, ils sont assez gros pour que mes dents les saisissent et les mordillent l’un après l’autre.
De son coté, Séverine s’occupe de ma verge avec sa main.
Pour la troisième fois elle répond présent.
Mon cœur se retourne et me présente sa croupe. Pour rigoler je lui claque une fesse.
— Violant avec çà !
— Séverine, c’était pour rigoler.
— Qui te dit d’arrêter, ta main m’a fait frissonner la chatte. Je sens que je suis de nouveau toute mouillée.
En disant ces mots qui m’ouvrent des horizons agréables, elle se redresse et m’offre sa croupe en levrette.
— Prends-moi la rosette, Jérôme, en préparant la soirée, m’a dit que son copain lui avait pris le week-end dernier et qu’à partir de la deuxième fois, en faisant travailler les muscles qui entourent notre anus elle a joui aussi fort, mais d’une manière différente, qu’avec sa chatte. J’aimerais découvrir cette sensation.
Une perle je vous dis, de nombreux hommes doivent trouver des subterfuges pour prendre la rondelle de leur femme et moi celle que j’aime m’offre sans sourcilier son cul.
Je me positionne et j’avance mon pieu vers son petit trou.
Gourmande la petite, alors que j’entre doucement, elle donne un grand coup de rein en arrière et avant que je réagisse mes couilles touches son vagin.
Quelques secondes de calmes et elle recommence à se pilonner sur ma queue.
Ma trique n’a jamais été aussi tendue. Une régale, surtout lorsqu’elle se met à faire fonctionner ses sphincters qui m’enserrent la verge.
Je ne mets pas longtemps à la faire crier son plaisir. Ma main est allé sous son ventre et à trouver mon petit copain qui m’aide à la faire monter en gammes.
Je lui inonde les parois anales et nous nous écroulons sur le lit emmêlé l’un as l’autre plutôt l’un dans l’autre
.
Trois jours se sont passé comme dans un rêve chaque fois que Séverine est avec moi.
J’ai repris le travail aujourd’hui attendant avec impatience le soir pour que nous nous retrouvions.
J’ai donné de l’argent à mon bébé pour qu’elle achète des draps et de quoi manger.
Je viens à peine de rentrer lorsqu’elle ouvre avec la porte avec la clef que je lui ai donnée.
Elle tire derrière elle une valise et tombe en pleurs dans mes bras.
Elle essaye de me donner des explications mais son chagrin est si fort que les mots ne sortent pas.
Je finis par comprendre que son père la mise dehors, qu’il l’a traité de pute ou de prostituer le mot ayant du mal à sortir de sa jolie bouche.
Je la fais asseoir sur le canapé. Comme sur celui de ses parents ou dans la baignoire, je lui entoure son buste de mes bras.
— Prends ton temps expliques-toi calmement ma chérie.
— Quand je suis arrivé mon père directement mon traité de salope et de pute. Il répétait ces mots en boucles. Je lui ai demandé pourquoi il me traitait comme cela. Attends, je vais te faire voir ce qu’il m’a mis sous les yeux.
Elle se lève ouvre sa valise et sort une photo A4.
— Voilà ce qu’il venait de trouver sur un site de photos dites tendances en regardant les photos et les vidéos.
Je regarde la photo certainement prise avec un appareil photo lors de la soirée.
— Il l’a tiré d’une vidéo que l’un des garçons a postée. Je n’ai pas vu ce film mais l’on me voit recevoir sur mon corps plusieurs gars qui attendent le sexe à la main et qui entrent dans mon vagin...
Plusieurs fois il m’a reconnu ma figure étant tournée vers l’objectif. Pour confirmer que c’était bien moi, il n’a pas eu de mal à reconnaître son canapé et tout ce que l’on peut voir derrière.
Je suis bien obligé de reconnaître qu’une tuile lui tombe sur la tête.
Pour lui faire voir que je fais partie de ceux qui savent prendre des décisions, j’appelle mes parents.
Sans explications sur le fond, je leur demande s’ils peuvent nous recevoir quelque temps.
Une chambre nous attend, il nous suffit de prendre le train.
— Merci, nous serons là dans une semaine.
Le lendemain, je donne mon compte et je me rends chez les parents de Séverine.
Sa mère est seule. J’ai du mal à lui faire comprendre que je ne suis pas un représentant de commerce cherchant à lui vendre un aspirateur ou une encyclopédie en plusieurs volumes.
Elle finit par accepter de parler devant la porte d’entrée.
Lorsqu’elle comprend que je suis un copain de sa fille.
Que les voisins peuvent entendre des propos que son mari n’apprécierait pas qu’ils s’ébruitent bien que depuis deux jours ils ne répondent plus au téléphone !
Certains petits malins veulent rencontrer leur prostituée de fille et leur demande combien elle prend.
— Pourquoi avez-vous fait cela ?
J’ai du mal à lui faire comprendre que j’étais venu inviter à son anniversaire. Que je ne savais pas que sa fille avait bêtement suivie un mouvement de provocation comme les jeunes ont trop tendance à suivre depuis plusieurs mois !
Je lui explique que depuis cette erreur je lui avais fait prendre conscience de l’erreur qu’elle avait faite surtout lorsque l’on voit comment ces jeunes cons ont respecté sa fille.
— Je vais essayer de faire comprendre tous ces évènements à mon mari, mais je le connais ce ne sera pas facile voire impossible.
Elle me donne son numéro de téléphone pour l’appeler le lendemain.
Lorsque je rentre, Séverine m’accueille avec autant d’amour.
Elle est dans la cuisine en train de préparer une tarte aux pommes.
Elle a juste une petite culotte sur les fesses car aujourd’hui il fait très chaud.
Par la porte-fenêtre ouverte je vois un homme sur son balcon dans l’immeuble d'en face qui mate mon petit bonheur.
Sans le dire à Séverine, espérant qu’il n’est pas cardiaque, je la prends sous les fesses la pose sur la table les fesses dans la patte.
Je sors mon sexe et je lui enfourne dans les miches.
Comme je suis placé, notre voyeur ne croit pas en la chance qu’il a avec ses voisins.
Je suis sur que le son qu’émet mon petit sexe préféré doit lui arriver aux oreilles. Je la laisse chanter, à cette heure, il est possible de faire du bruit.
Sa chatte une fois de plus apprécie le sperme que je lui offre. Sans se démonter, elle se retourne met la compote et les pommes sur la tarte et l’enfourne avec la marque de sa raie fessière entourée de ses deux pommes.
Le lendemain sa mère me confirme que son père refuse tout nouveau contacté avec sa fille.
Je lui donne le numéro de mes parents lui expliquant que pour soustraire Séverine à ceux qui ont de quoi l’ennuyé je l’emmène à Grasse près de mes parents.
Je mets en vente la plupart de ce qui est vendable et j’achète les billets pour la provence.
Mes parents sont contents de notre venue, leur fils chéri leur manquait déjà.
Je cherche un emploi que j’ai la chance de trouver dans la journée.
Je suis allé dans la même enseigne que celle où je travaillais en région parisienne.
Ils avaient un poste à pourvoir. Un coup de fil à mon directeur qui a fait des éloges de ma façon de gérer mon secteur.
Pour compléter la journée, je trouve une petite maison à louer entre mon travail et chez mes parents.
Notre fils aîné Christian est né neuf fois après notre bain dans la baignoire de ses parents.
Séverine se savait protéger par les préservatifs pendant la soirée. Le lendemain matin, lorsque ma tige s’ai enfoncé dans son vagin, les traits de spermes que je lui ai copieusement envoyés ont fait leur œuvre. Le mois prochain notre bébé va venir au monde.
Un mois avant, j’ai épousé mon petit cœur. Ses parents étaient là, je suis monté personnellement à Paris pour convaincre son père.
J’avais emporté avec moi deux billets du Parc des princes pour voir Ibrahimovic, dont-il est fan.
J’avais donné un des billets à sa maman qui lui a fait croire qu’elle l’avait gagné au super marché.
Lorsqu’il s’est assis à coté de moi, je criais Ibra, Ibra, Ibra.
Au bout d’un certain temps, il m’a interpellé.
— Vous savez qu’Ibra ne joue pas, il est blessé.
Un peu con le futur gendre. La glace est brisée. À la fin du match nous allons à la porte de Saint Clou boire une bière.
J’ai hésité quelques minutes et je me suis lancé.
— Savez-vous qui vous ont offert votre billet.
— Ma femme, elle l’a gagné au super marché.
— Non, elle vous la fait croire, je les ai amené de Grasse où je vis avec Séverine.
À ce prénom, il se lève courroucé.
— Et votre petit-fils il vous intéresse ? Partez et vous ne le connaîtrez jamais.
Cette fois il se lève.
— Venez avec moi.
Dans le métro puis le R.E.R., je lui explique l’erreur de sa fille qui m’avait permis de la rencontrer.
Je lui explique que pour la soustraire aux quolibets, j’avais tout lâché et que j’avais retrouvé du travail dans un magasin d’électroménager.
Je lui demande de pardonner et de venir assister à notre mariage et de rester jusqu’à la naissance de son petit-fils.
Arrivé chez mes beaux-parents, lorsque sa femme a vu que j’étais avec lui, son cœur a fait un grand bon dans sa poitrine.
S’adressant à sa femme.
— Toi tu ne perds rien pour attendre. Dépêches-toi va faire les valises. Départ demain 6 heures.
Les retrouvailles ont été émouvantes. Tous ont autant fait couler de larmes que moi de sperme avec Séverine. Nos ébats à un mois de l’accouchement étaient principalement buccaux.
Le mariage c’est bien passé, Valérie est venue et était le témoin de Séverine. Elle nous a appris que le jeu de con que Séverine avait subi s’ai arrêté toutes les filles ont eu très peur de se retrouver sur internet.
J’ai demandé à mon futur beau-père d’être mon témoin. Il a accepté à la seule condition c’est que je lui ai des billets du P.S.G.
Je lui en obtiens de temps en temps par mon patron, notre société étant sponsor du club.
Christian est né un matin à 5 heures, tout le monde était debout, à sa naissance, c’est tout juste si les 2 grands-pères veillent à couper le cordon.
La sage-femme les en a dissuadé et j’ai pu le faire avec les jambes qui avaient du mal à me soutenir.
Pendant sa grossesse, Séverine a repris ses cours en école supérieurs de commerce et a réussi avec des notes qui lui ont ouvert les portes d’une société importante.
Notre fils deux ans après a accueilli sa petite sœur bientôt suivie de son petit frère.
Dans mon travail, j’ai monté tous les niveaux et avec des cours aidés par ma femme, je suis directeur du magasin.
Après 42 ans de mariage, je suis le plus heureux des hommes.
Les jours ou avec Séverine comme toutes les femmes elle a tendance à aller trop loin, je lui promets pour son anniversaire une soirée spéciale.
18 ans, 18 garçons.
60 ans…… Elle éclate de rire et toutes les polémiques s’arrêtent.
Le jour de ses dix-huit ans, Sandra nous a demandé de recevoir ses copains.
Notre maison que j’ai fait construire sur les hauteurs de Grasse avec sa piscine est attrayante pour les jeunes.
Nous avons accepté à la seule condition de pouvoir resté dans notre chambre.
Notre simple présence nous a rassuré…….
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La petite part de fiction à la fin était sympa :)
(Même si je pense qu'y'aura plus d'place sur les hauteurs de Grasse djà dans 10 ans, vu comme ça bétonne)
(Même si je pense qu'y'aura plus d'place sur les hauteurs de Grasse djà dans 10 ans, vu comme ça bétonne)
tres belle histoire :)
tres belle histoire
merci
merci