L’anniversaire du Marquis d’Evans – Saison 2 - (suite de l'épisode 848) - SPECIAL 1000 ème récit
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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L’anniversaire du Marquis d’Evans – Saison 2 - (suite de l'épisode 848) - SPECIAL 1000 ème récit
L’anniversaire du Marquis d’Evans – Saison 2 - (suite de l'épisode 848) - SPECIAL 1000 ème récit de la Saga ! -
Personne, hormis Monsieur le Marquis d’Evans, ne savait ce qui était au programme mais la soirée anniversaire qui allait suivre commençait sous les meilleurs hospices… Le Noble en tenue d’apparat de Marquis de l’époque prérévolutionnaire, claqua dans Ses mains. Sa prestance naturelle en imposait encore plus dans ce costume qui semblait être sorti d’un autre siècle, sauf qu’il paraissait neuf et étincelant de broderies rehaussées de fil d’or. En réalité le Noble à fait refaire sur mesure le même costume que portait un de ses ancêtres sur un magnifique portait d’un tableau de 1788 (lire les Origines de la Saga des esclaves …) où le Marquis d’Evans de l’époque avait posé de longues heures, face à l’artiste peintre, debout dans son bureau au décor style Louis XVI.
- Je vois que tout le monde est là, eh bien nous pouvons y aller !..... Walter et Marie, descendez voir si Ma Limousine est déjà sortie devant le Perron, ainsi que la camionnette qui doit transporter Mes cabots sur laquelle devrait être attelée la remorque pour Mon quadrige de chevaux à deux pattes. Normalement, le reste de la meute MDE doit déjà être rendue sur place pour une petite et unique répétition avant le spectacle auquel nous nous rendons…
Les deux compères habituels du Château se regardèrent un peu étonnés de voir que tout semblait avoir été orchestré par le Maître des Lieux, sans même qu’ils n’aient eu conscience que quelque chose se tramait dans leur dos, eux qui étaient habitués à tout organiser et surveiller entre les Nobles murs du Légendaire Château du Marquis d’Evans, tandis qu’ils ne s’étaient absentés dans leurs chambres personnelles que peu de temps pour se vêtir avec les costumes de cosaques que Monsieur le Marquis avait fait livrer à leurs intentions. Walter emboita le pas à Marie pour se diriger vers la sortie et il aperçut, au bas des marches, soumise Emeline MDE, l’assistante professionnelle particulière du Châtelain, qui s’activait pour faire se placer les derniers véhicules qui devaient quitter la demeure. Le Châtelain ajouta, s’adressant ensuite à celles et ceux de son cheptel qu’IL avait fait venir dans le Grand Hall d’entrée, tous de fidèles esclaves MDE de longue date qui avaient été sélectionnés pour accompagner le Maître et surtout pour être là et servir de décors au moment de Son arrivée à la soirée costumée qu’IL avait voulu théâtraliser au maximum, histoire de donner d’entrée le ton D/s auquel IL tenait tant.
- Quant à vous, Mes chiens et chiennes qui m’appartenez et qui avez eu l’honneur d’être choisis pour rester à Mes côtés, sachez que nous quittons le Château pour sortir dans le grand monde Lyonnais et qu’encore plus que d’habitude, je compte sur vous pour Me rendre fier et faire honneur à la stricte éducation D/s que Je daigne prendre le temps de vous inculquer depuis des semaines, des mois et pour certains même depuis des années.
Monsieur le Marquis d’Evans descendit avec noblesse, suivi de Ses quatre femelles costumées qu’IL fit exceptionnellement s’assoir dans la limousine à Ses côtés pour qu’elles ne froissent pas tout de suite leurs belles robes longues de soie et velours bleu royal. Sous la directive de soumise Emeline MDE, les quatre chiens MDE qui ne se déplaçaient qu’à quatre pattes grimpèrent à l’arrière de la camionnette, bien contents de s’apercevoir que le plancher en avait été tapissé d’une couche de mousse recouverte d’une moquette ce qui allait ménager leurs genoux pendant toute la durée du voyage, au lieu de se retrouver la rotule à même la tôle de carrosserie. Quant aux quatre « pony-boys » costumés de la tête aux pieds ressemblant grosso-modo à des chevaux, au détail près qu’ils étaient toujours bipèdes, grimpèrent dans le van à chevaux dont le sol était recouvert de paille fraiche. Ils furent autorisés à s’assoir sur la paille pour le trajet qui devait malgré tout durer une bonne heure en partant du cœur du Beaujolais.
Il ne restait plus au Château que quelques gardes ainsi que tous les esclaves du Cheptel qui avaient été punis pendant les dernières 48 heures puisque, de surcroît, ils n’avaient pas eu le droit de pouvoir participer à la soirée. En outre, ils devaient profiter de l’occasion pour faire le grand nettoyage et le curetage de tous les box de l’écurie et des chenils qui resteraient vides jusqu’au petit matin… Le convoi prit la direction du Grand Lyon, avec à sa tête la somptueuse Limousine dans laquelle venait de prendre place à l’avant, à côté du chauffeur de service, soumise Emeline MDE, tenant entre ses mains un dossier complet relatant le déroulement de la soirée qui avait été planifiée avec une précision d’horloger. A l’arrière, Monsieur le Marquis d’Evans qui était entouré du couple de cosaques costumés que formaient Walter et Marie, et de Ses quatre femelles : soumise Vanessa MDE, soumise Laïs MDE, esclave Aphrodite MDE et esclave Phryné MDE. Personne, pas même les deux fidèles domestiques qui avaient eu la chance d’apprendre qu’ils étaient les Invités personnels du Noble et qu’ils n’avaient qu’à se laisser conduire pour une fois les yeux fermés, n’aurait osé ouvrir la bouche et questionner le Châtelain pour connaître la destination finale du voyage qui se passait sans encombre malgré les quelques récurrents embouteillages…
A l’arrivée, devant le grand cabaret « Entrez-Vous ! » de Lyon qui avait été privatisé pour la soirée, se trouvaient de nombreuses personnes toutes masquées et déguisées avec des costumes distingués et variés. Certains avaient déjà rejoint la salle à l’intérieur, mais il restait encore pas mal de monde dehors qui avait prévu d’attendre l’hôte-organisateur de cette réception exceptionnelle, Celui dont le nom était sur toutes les lèvres de ceux qui avaient été triés sur le volet et conviés à cette soirée qui s’annonçait comme particulièrement festive, orgiaque et savoureusement D/s. L’arrivée de la superbe limousine noire ne passa donc pas inaperçue et chacun attendit que Monsieur le Marquis d’Evans en soit sorti pour applaudir avec admiration ce Dominant que tous ici présents reconnaissait comme le plus grand parmi les grands de la communauté des Maîtres D/s.
Derrière lui se positionnèrent tout de suite, car elle venait d’en recevoir l’ordre, ses quatre femelles en robe d’O. Leur cou était ceint d’un collier en or ajusté, formé d’un large cercle qui semblait n’avoir aucune ouverture comme s’il avait été scellé, ad vitam aeternam, à même la peau de chaque soumise et esclave. Chaque collier était gravé des Nobles Initiales MDE du Maître propriétaire qui étaient faites d’incrustations sculptées en lapis-lazuli serties dans le précieux métal. Sur le devant de ces parures d’apparat qui ressemblaient bien peu aux plus vulgaires colliers de chien en cuir que les esclaves du Cheptel portaient habituellement pour faire les tâches et corvées quotidiennes qui leur incombaient au Château, pendait un gros anneau d’or épais en forme de « O », dans lequel était accrochée une lourde chaine en or à maille de forçat. Les soumises et esclaves portaient sur les yeux un masque les faisant ressembler à une chouette, imitant celui que la célèbre « O », sous la plume de Pauline Réage, portait lors de son arrivée remarquée au bal masqué chez le gouverneur. Monsieur le Marquis se retourna pour remonter leurs robes longues à pans coupés qu’il fixa au niveau de la taille, en laissant à l’arrière totalement dégagé leur postérieur portant les trois Initiales incrustées du Maître au fer rouge. Entre les deux lobes fessiers, au creux de la fente intime, chacun pouvait entrapercevoir le cabochon aux Armoiries de la Famille des Evans qui terminait le plug enfoncé dans leur rondelle étroite. La robe ainsi retroussée à la taille laissait également apparaître sur l’avant un pubis parfaitement glabre qui surplombait deux lèvres intimes déjà scintillantes de l’humidité qui régnait dans les cavernes intimes de chaque dominée, si heureuse d’avoir été sélectionnée et particulièrement excitée de pouvoir accompagner le Maître Vénéré en personne. Elles allaient toutes les quatre pieds nus, portant aux poignets et aux chevilles de larges bracelets de cuir lisse noir d’où pendaient de gros anneaux qui ne demandaient qu’à être utilisés...
Pendant ce temps-là, soumise Emeline MDE avait positionné le quadrige de chevaux-humains juste quelque mètres devant le Châtelain, après les avoir préparés en leur ajustant un mors entre les dents et en positionnant le harnachement traditionnel des « pony-boys » autour du visage d’où partaient quatre longes de cuir qu’elle tenait fermement entre ses mains afin de pouvoir les diriger ensemble en tirant dessus (un coup pour avancer, deux coups brefs pour ralentir, deux coups longs pour s’arrêter). Walter et Marie avaient quant à eux pris en mains les laisses des quatre chiens-mâles à raison de deux chacun, après les avoir prévenus qu’ils avaient intérêt à suivre leurs bottes de très près s’ils ne voulaient pas tâter de la cravache plus tôt et plus fortement que prévu. Un peu comme un cortège princier, Monsieur le Marquis s’avança lentement au milieu de la foule enthousiaste dont les regards commençaient à ne plus savoir où donner de la tête, ne voulant rater aucun détail de la parade colorée qui avait su mêler, avec le bon goût et l’immense savoir-faire du Noble, une connotation fortement D/s par derrière le côté costumé et masqué, qui était la consigne imposée à tous les Invités. Le seul qui ne portait pas de masque, à la fois pour se démarquer de la masse, mais aussi parce qu’IL était le seul qui était forcément connu de tous ne pouvait être que le Noble Châtelain dont la réputation mondiale dans le monde de la Domination/soumission n’était plus à faire autant dans la région Lyonnaise qu’au-delà en tous points de l’Hexagone, et même à l’étranger. Les applaudissements ne faisaient qu’augmenter au fur et à mesure que les Invités s’entassaient pour découvrir Le Marquis d’Evans avançant majestueusement, entouré de ceux qui formaient pour la soirée sa suite rapprochée...
Le Châtelain organisateur de la réception privée avait fait installer en fond de salle une estrade surélevée d’où il pourrait présider la soirée avec en léger contrebas à sa droite son fidèle majordome, Walter, et à sa gauche, Marie, la toute autant fidèle cuisinière. Les deux domestiques étaient presque gênés d’être ainsi mis à l’honneur aux côtés du Noble, mais loin d’oser s’en plaindre, ils se contentèrent d’apprécier la marque d’estime et de reconnaissance de leur patron, pour lesquels ils se sentaient prêts tant l’un que l’autre à donner leurs existences, s’il l’avait fallu. Des marches permettaient de monter jusqu’à la plateforme sur laquelle reposait un immense large fauteuil baroque qui servirait de trône pour la soirée à Celui que tous qualifiaient, au sein de la communauté BDSM, de Maître des Maîtres… Sur les bords extérieurs de chaque marche se trouvait un des esclaves mâles du Cheptel, totalement dénudé à l’exception d’un minuscule pagne carré de 20 cm de côté qui servait à cacher pour l’instant la cage de chasteté qui comprimait sa queue réduite à l’état de nouille tout en maintenant ses testicules en tension. Cette double colonne d’esclaves MDE faisait une haie d’honneur que le Roi Soleil lui-même n’avait pas pu s’offrir dans ses grandes réceptions à Versailles, n’ayant à ses côtés lorsqu’il montait les marches que la Cour composée de courtisans aussi véreux les uns que les autres et de courtisanes qui n’espéraient que de pouvoir finir dans la couche du Roi pour les faveurs qu’elles en retireraient par la suite. Les esclaves MDE étaient tous là de leur plein gré, ravis et particulièrement heureux d’avoir la chance de pouvoir servir de leur mieux le Châtelain, et espérant pouvoir rester longtemps à Ses Nobles pieds pour n’avoir en tête que la satisfaction pleine et entière du Dominant de renom qui avait accepté de les prendre sous Son Joug…
Sous les regards plus qu’intéressés de tous les Invités qui applaudissaient encore et encore, le Noble s’arrêta au pied des marches de l’estrade dressée à son intention, juste à l’aplomb de ce qui était Sa place réservée surplombant toute la salle de spectacle, mais surtout toute l’assemblée qu’il avait réuni pour venir fêter à Ses côtés Son anniversaire mais aussi par la même occasion, un autre anniversaire à fêter. C’est pour cet autre anniversaire que Monsieur le Marquis d’Evans obtint le silence de la foule d’un simple geste afin de prendre la parole sur un ton clair afin que tous entendent … Et c’est donc debout qu’Il déclara :
- 1000 ! … Oui mes amis, vous tous, qui pour certains sont venus de très loin, vous avez bien entendu 1000 ! Outre mon anniversaire fêté ce soir tous ensemble, c’est aussi le 1000 ème récit qui vient d’être publié de Ma fameuse Saga des esclaves ! Et ce soir je veux aussi fêter cet évènement ! Alors que la fête commence !…
(A suivre …)
Personne, hormis Monsieur le Marquis d’Evans, ne savait ce qui était au programme mais la soirée anniversaire qui allait suivre commençait sous les meilleurs hospices… Le Noble en tenue d’apparat de Marquis de l’époque prérévolutionnaire, claqua dans Ses mains. Sa prestance naturelle en imposait encore plus dans ce costume qui semblait être sorti d’un autre siècle, sauf qu’il paraissait neuf et étincelant de broderies rehaussées de fil d’or. En réalité le Noble à fait refaire sur mesure le même costume que portait un de ses ancêtres sur un magnifique portait d’un tableau de 1788 (lire les Origines de la Saga des esclaves …) où le Marquis d’Evans de l’époque avait posé de longues heures, face à l’artiste peintre, debout dans son bureau au décor style Louis XVI.
- Je vois que tout le monde est là, eh bien nous pouvons y aller !..... Walter et Marie, descendez voir si Ma Limousine est déjà sortie devant le Perron, ainsi que la camionnette qui doit transporter Mes cabots sur laquelle devrait être attelée la remorque pour Mon quadrige de chevaux à deux pattes. Normalement, le reste de la meute MDE doit déjà être rendue sur place pour une petite et unique répétition avant le spectacle auquel nous nous rendons…
Les deux compères habituels du Château se regardèrent un peu étonnés de voir que tout semblait avoir été orchestré par le Maître des Lieux, sans même qu’ils n’aient eu conscience que quelque chose se tramait dans leur dos, eux qui étaient habitués à tout organiser et surveiller entre les Nobles murs du Légendaire Château du Marquis d’Evans, tandis qu’ils ne s’étaient absentés dans leurs chambres personnelles que peu de temps pour se vêtir avec les costumes de cosaques que Monsieur le Marquis avait fait livrer à leurs intentions. Walter emboita le pas à Marie pour se diriger vers la sortie et il aperçut, au bas des marches, soumise Emeline MDE, l’assistante professionnelle particulière du Châtelain, qui s’activait pour faire se placer les derniers véhicules qui devaient quitter la demeure. Le Châtelain ajouta, s’adressant ensuite à celles et ceux de son cheptel qu’IL avait fait venir dans le Grand Hall d’entrée, tous de fidèles esclaves MDE de longue date qui avaient été sélectionnés pour accompagner le Maître et surtout pour être là et servir de décors au moment de Son arrivée à la soirée costumée qu’IL avait voulu théâtraliser au maximum, histoire de donner d’entrée le ton D/s auquel IL tenait tant.
- Quant à vous, Mes chiens et chiennes qui m’appartenez et qui avez eu l’honneur d’être choisis pour rester à Mes côtés, sachez que nous quittons le Château pour sortir dans le grand monde Lyonnais et qu’encore plus que d’habitude, je compte sur vous pour Me rendre fier et faire honneur à la stricte éducation D/s que Je daigne prendre le temps de vous inculquer depuis des semaines, des mois et pour certains même depuis des années.
Monsieur le Marquis d’Evans descendit avec noblesse, suivi de Ses quatre femelles costumées qu’IL fit exceptionnellement s’assoir dans la limousine à Ses côtés pour qu’elles ne froissent pas tout de suite leurs belles robes longues de soie et velours bleu royal. Sous la directive de soumise Emeline MDE, les quatre chiens MDE qui ne se déplaçaient qu’à quatre pattes grimpèrent à l’arrière de la camionnette, bien contents de s’apercevoir que le plancher en avait été tapissé d’une couche de mousse recouverte d’une moquette ce qui allait ménager leurs genoux pendant toute la durée du voyage, au lieu de se retrouver la rotule à même la tôle de carrosserie. Quant aux quatre « pony-boys » costumés de la tête aux pieds ressemblant grosso-modo à des chevaux, au détail près qu’ils étaient toujours bipèdes, grimpèrent dans le van à chevaux dont le sol était recouvert de paille fraiche. Ils furent autorisés à s’assoir sur la paille pour le trajet qui devait malgré tout durer une bonne heure en partant du cœur du Beaujolais.
Il ne restait plus au Château que quelques gardes ainsi que tous les esclaves du Cheptel qui avaient été punis pendant les dernières 48 heures puisque, de surcroît, ils n’avaient pas eu le droit de pouvoir participer à la soirée. En outre, ils devaient profiter de l’occasion pour faire le grand nettoyage et le curetage de tous les box de l’écurie et des chenils qui resteraient vides jusqu’au petit matin… Le convoi prit la direction du Grand Lyon, avec à sa tête la somptueuse Limousine dans laquelle venait de prendre place à l’avant, à côté du chauffeur de service, soumise Emeline MDE, tenant entre ses mains un dossier complet relatant le déroulement de la soirée qui avait été planifiée avec une précision d’horloger. A l’arrière, Monsieur le Marquis d’Evans qui était entouré du couple de cosaques costumés que formaient Walter et Marie, et de Ses quatre femelles : soumise Vanessa MDE, soumise Laïs MDE, esclave Aphrodite MDE et esclave Phryné MDE. Personne, pas même les deux fidèles domestiques qui avaient eu la chance d’apprendre qu’ils étaient les Invités personnels du Noble et qu’ils n’avaient qu’à se laisser conduire pour une fois les yeux fermés, n’aurait osé ouvrir la bouche et questionner le Châtelain pour connaître la destination finale du voyage qui se passait sans encombre malgré les quelques récurrents embouteillages…
A l’arrivée, devant le grand cabaret « Entrez-Vous ! » de Lyon qui avait été privatisé pour la soirée, se trouvaient de nombreuses personnes toutes masquées et déguisées avec des costumes distingués et variés. Certains avaient déjà rejoint la salle à l’intérieur, mais il restait encore pas mal de monde dehors qui avait prévu d’attendre l’hôte-organisateur de cette réception exceptionnelle, Celui dont le nom était sur toutes les lèvres de ceux qui avaient été triés sur le volet et conviés à cette soirée qui s’annonçait comme particulièrement festive, orgiaque et savoureusement D/s. L’arrivée de la superbe limousine noire ne passa donc pas inaperçue et chacun attendit que Monsieur le Marquis d’Evans en soit sorti pour applaudir avec admiration ce Dominant que tous ici présents reconnaissait comme le plus grand parmi les grands de la communauté des Maîtres D/s.
Derrière lui se positionnèrent tout de suite, car elle venait d’en recevoir l’ordre, ses quatre femelles en robe d’O. Leur cou était ceint d’un collier en or ajusté, formé d’un large cercle qui semblait n’avoir aucune ouverture comme s’il avait été scellé, ad vitam aeternam, à même la peau de chaque soumise et esclave. Chaque collier était gravé des Nobles Initiales MDE du Maître propriétaire qui étaient faites d’incrustations sculptées en lapis-lazuli serties dans le précieux métal. Sur le devant de ces parures d’apparat qui ressemblaient bien peu aux plus vulgaires colliers de chien en cuir que les esclaves du Cheptel portaient habituellement pour faire les tâches et corvées quotidiennes qui leur incombaient au Château, pendait un gros anneau d’or épais en forme de « O », dans lequel était accrochée une lourde chaine en or à maille de forçat. Les soumises et esclaves portaient sur les yeux un masque les faisant ressembler à une chouette, imitant celui que la célèbre « O », sous la plume de Pauline Réage, portait lors de son arrivée remarquée au bal masqué chez le gouverneur. Monsieur le Marquis se retourna pour remonter leurs robes longues à pans coupés qu’il fixa au niveau de la taille, en laissant à l’arrière totalement dégagé leur postérieur portant les trois Initiales incrustées du Maître au fer rouge. Entre les deux lobes fessiers, au creux de la fente intime, chacun pouvait entrapercevoir le cabochon aux Armoiries de la Famille des Evans qui terminait le plug enfoncé dans leur rondelle étroite. La robe ainsi retroussée à la taille laissait également apparaître sur l’avant un pubis parfaitement glabre qui surplombait deux lèvres intimes déjà scintillantes de l’humidité qui régnait dans les cavernes intimes de chaque dominée, si heureuse d’avoir été sélectionnée et particulièrement excitée de pouvoir accompagner le Maître Vénéré en personne. Elles allaient toutes les quatre pieds nus, portant aux poignets et aux chevilles de larges bracelets de cuir lisse noir d’où pendaient de gros anneaux qui ne demandaient qu’à être utilisés...
Pendant ce temps-là, soumise Emeline MDE avait positionné le quadrige de chevaux-humains juste quelque mètres devant le Châtelain, après les avoir préparés en leur ajustant un mors entre les dents et en positionnant le harnachement traditionnel des « pony-boys » autour du visage d’où partaient quatre longes de cuir qu’elle tenait fermement entre ses mains afin de pouvoir les diriger ensemble en tirant dessus (un coup pour avancer, deux coups brefs pour ralentir, deux coups longs pour s’arrêter). Walter et Marie avaient quant à eux pris en mains les laisses des quatre chiens-mâles à raison de deux chacun, après les avoir prévenus qu’ils avaient intérêt à suivre leurs bottes de très près s’ils ne voulaient pas tâter de la cravache plus tôt et plus fortement que prévu. Un peu comme un cortège princier, Monsieur le Marquis s’avança lentement au milieu de la foule enthousiaste dont les regards commençaient à ne plus savoir où donner de la tête, ne voulant rater aucun détail de la parade colorée qui avait su mêler, avec le bon goût et l’immense savoir-faire du Noble, une connotation fortement D/s par derrière le côté costumé et masqué, qui était la consigne imposée à tous les Invités. Le seul qui ne portait pas de masque, à la fois pour se démarquer de la masse, mais aussi parce qu’IL était le seul qui était forcément connu de tous ne pouvait être que le Noble Châtelain dont la réputation mondiale dans le monde de la Domination/soumission n’était plus à faire autant dans la région Lyonnaise qu’au-delà en tous points de l’Hexagone, et même à l’étranger. Les applaudissements ne faisaient qu’augmenter au fur et à mesure que les Invités s’entassaient pour découvrir Le Marquis d’Evans avançant majestueusement, entouré de ceux qui formaient pour la soirée sa suite rapprochée...
Le Châtelain organisateur de la réception privée avait fait installer en fond de salle une estrade surélevée d’où il pourrait présider la soirée avec en léger contrebas à sa droite son fidèle majordome, Walter, et à sa gauche, Marie, la toute autant fidèle cuisinière. Les deux domestiques étaient presque gênés d’être ainsi mis à l’honneur aux côtés du Noble, mais loin d’oser s’en plaindre, ils se contentèrent d’apprécier la marque d’estime et de reconnaissance de leur patron, pour lesquels ils se sentaient prêts tant l’un que l’autre à donner leurs existences, s’il l’avait fallu. Des marches permettaient de monter jusqu’à la plateforme sur laquelle reposait un immense large fauteuil baroque qui servirait de trône pour la soirée à Celui que tous qualifiaient, au sein de la communauté BDSM, de Maître des Maîtres… Sur les bords extérieurs de chaque marche se trouvait un des esclaves mâles du Cheptel, totalement dénudé à l’exception d’un minuscule pagne carré de 20 cm de côté qui servait à cacher pour l’instant la cage de chasteté qui comprimait sa queue réduite à l’état de nouille tout en maintenant ses testicules en tension. Cette double colonne d’esclaves MDE faisait une haie d’honneur que le Roi Soleil lui-même n’avait pas pu s’offrir dans ses grandes réceptions à Versailles, n’ayant à ses côtés lorsqu’il montait les marches que la Cour composée de courtisans aussi véreux les uns que les autres et de courtisanes qui n’espéraient que de pouvoir finir dans la couche du Roi pour les faveurs qu’elles en retireraient par la suite. Les esclaves MDE étaient tous là de leur plein gré, ravis et particulièrement heureux d’avoir la chance de pouvoir servir de leur mieux le Châtelain, et espérant pouvoir rester longtemps à Ses Nobles pieds pour n’avoir en tête que la satisfaction pleine et entière du Dominant de renom qui avait accepté de les prendre sous Son Joug…
Sous les regards plus qu’intéressés de tous les Invités qui applaudissaient encore et encore, le Noble s’arrêta au pied des marches de l’estrade dressée à son intention, juste à l’aplomb de ce qui était Sa place réservée surplombant toute la salle de spectacle, mais surtout toute l’assemblée qu’il avait réuni pour venir fêter à Ses côtés Son anniversaire mais aussi par la même occasion, un autre anniversaire à fêter. C’est pour cet autre anniversaire que Monsieur le Marquis d’Evans obtint le silence de la foule d’un simple geste afin de prendre la parole sur un ton clair afin que tous entendent … Et c’est donc debout qu’Il déclara :
- 1000 ! … Oui mes amis, vous tous, qui pour certains sont venus de très loin, vous avez bien entendu 1000 ! Outre mon anniversaire fêté ce soir tous ensemble, c’est aussi le 1000 ème récit qui vient d’être publié de Ma fameuse Saga des esclaves ! Et ce soir je veux aussi fêter cet évènement ! Alors que la fête commence !…
(A suivre …)
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