L'apero
Récit érotique écrit par Passionbondage [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'apero
M. attendait tranquillement que R. revienne. Il était parti en début de soirée pour rencontrer un des ses amis avec qui il était en affaire. Il ne devait plus tarder maintenant. Le son caractéristique des notifications de textos la sortit de sa semi-léthargie.
<< suis en panne. Loïc me ramène >>
M. n’était pas inquiète, elle savait que son homme maîtrisait ce genre de situation, il était du genre débrouillard. Elle ne connaissait pas son ami Loïc, et essaya presque instinctivement de l'imaginer. Le prénom lui inspirait bien sur, la Bretagne et ses grands espaces . Des images de marins au long cours lui revenait… Blond, cheveux bouclés, yeux bleus et teint hâlé. Elle sourit, lorsqu'il s'agissait d'homme, son imagination n'avait décidément que peu de limites.
Elle se leva, se décidant à leur préparer un petit plateau “apéritif”. M.aimait recevoir, elle était sociable et prenait beaucoup de plaisir à s'occuper de ses invités. Et il était bien naturel qu'elle montre à l'ami de R. Combien elle lui était reconnaissante de lui ramener son homme. Un souvenir agréable lui revint tout en préparant le plateau, elle se rappela que la dernière fois qu'elle avait préparé un apéritif pour R., cela s'était terminé par une séquence particulièrement torride. R. l'avait mené sur des chemins encore inconnus, il lui avait murmurer des horreurs au creux de l'oreille qui l'avaient rendue folle de désir et de plaisir. Comme si son corps avait été séparé de sa tête et comme si les mots qu'elle entendait avaient déclenché des orgasmes en elle sans même qu'elle ne les comprenne.
Elle installa sur la table du salon, trois coupes et déposa une bouteille de champagne dans un seau à glace. Le plateau était prêt. Elle s'installa dans le fauteuil pour attendre, pianotant sans conviction sur son portable. Elle portait un tee shirt blanc et avait enfilé, après sa douche, un jean en guise de pyjama. Elle songea à se changer mais il était déjà trop tard. Les deux petits chiens de la maison, Chouchou et Springles aboyaient pour faire la fête à leur maître et son ami qui venait d'entrer dans la cour. Elle voulut sortir les accueillir mais, comme elle était pieds nus elle patienta sur sur le pas de la porte fenêtre.
R. et son ami s'approchèrent en riant. M.fut un peu étonnée de voir la complicité qui semblait unir les deux hommes. Elle fut surprise aussi car Loïc ne ressemblait en rien au loup de mer qu'elle avait imaginé.
C'était un homme d'une trentaine d'années, grand, au corps longiligne avec une beauté presque féminine. Ces yeux, allumés par le rire, étaient d'un bleu presque transparent qui contrastait avec cheveux d'un noir intense. Sans pouvoir l'expliquer, M.se sentit troublée. Il lui semblait que l'arrivée des deux hommes avait chargé l’atmosphère d'une sensualité impalpable mais bien réelle.
R. prit M. délicatement dans ses bras et déposa un baiser tendre sur ses lèvres.
“ vous avez l'air bien joyeux tous les deux, que vous arrive t il ?” osa M.
R. la regarda un instant fixement. Elle frissonna.
“ j'expliquais juste à Loïc que l'on trouve ici les apéritifs les plus amusants et les plus…. chauds que l'on puisse imaginer”
M. ne sût quoi répondre. Elle se détourna et attrapa la bouteille de champagne pour se donner une constance. Son regard croisa celui de Loïc qui semblait amusé par la situation.
“ Tu devrais me laisser m'occuper de cela” dit R. en attrapant la bouteille “ et mets nous une jolie musique”.
M. le regarda incrédule car cette expression avait une signification bien particulière entre eux et lorsque R. lui demandait une “jolie” musique, c'était pour qu'elle serve de support à un effeuillage complet.
Il lui sourit, lui indiquant qu'elle avait bien compris.
Elle s'installa dans le fauteuil de cuir brun situé en face du canapé dans lequel les deux garçons avait trouvé place. R.ouvrit la bouteille et servit le champagne pendant que M. choisissait un morceau sur son téléphone. La musique diffusée par l'enceinte sans fil envahit la pièce.
La conversation s'engagea tranquillement, autour de la panne de voiture. M. écoutait surtout les garçons en buvant doucement son champagne. L'alcool aidant, elle se sentait plongée dans une atmosphère douce et cotonneuse. Elle se laissait bercer par la mélodie, fermant les yeux sans entendre vraiment ce que disaient les garçons.
“ Mon amour, et si tu nous montrais l'effet que la musique peut avoir sur toi ”
M. ne fut même pas étonnée par la proposition de R.. Elle se leva, augmenta le volume de l'enceinte et commença à danser langoureusement. Son corps ondulait au son du blues. Les deux hommes la regardaient en échangeant par moment des sourires complices. R. se leva et vint se coller a elle dans son dos. Ils dansaient serrés l'un à l'autre, les mains de R. passèrent sous le tee-shirt de M.. Elle le laissa faire, les doigts sur ses tétons la firent vibrer doucement. Lorsque R. lui retira son haut, son regard croisa celui de Loïc. Il les regardait fixement. Elle se laissait porter par la musique. R. s'éloigna comme pour mieux la regarder. Elle caressa ses seins d'elle même. L'ambiance devenait torride.
Elle glissa sa main droite dans son jean tandis que R. venait de rejoindre Loïc sur le canapé. Elle se branlait maintenant, son indécence l'excitait. R. fut le premier à sortir son sexe, son ami l’imitant presque aussitôt. La vue des deux membres tendus lui firent perdre la tête. Elle ouvrit son jean et réussit à l'enlever sans jamais s'arrêter de danser. Elle tournait, se tordait, caressant les uns après les autres son sexe et ses seins. Elle plongea son regard dans celui de son homme, le défiant, essayant de deviner jusqu'où irait ce jeu. Elle le vit alors déplacer sa main vers le sexe de ami. Il saisit la bite tendue et commença à le branler. Loïc le regarda avec un étrange sourire au lèvres puis à son se mit à caresser le membre de R..
M. les observait, bouche ouverte. Sa main branlait frénétiquement son clitoris et son excitation monta encore d'un cran lorsqu'elle vit que leur invité du soir se pencher sur la verge de R. et la prendre en bouche. Il ne semblait pas en être à son coup d'essai et M. se demanda même si c'était la première fois que ces deux là faisaient cela ensemble. Elle s'approcha du canapé, s'agenouilla et se mit à sucer Loïc. Il se laissa faire avec un grognement de satisfaction étouffé par le membre qu'il était lui-même en train d’engloutir.
Les deux hommes se déshabillèrent mutuellement avant de reprendre leur position.
R. avait posé sa main sur la tête de M. faisant pénétré le sexe de Loïc plus profondément encore. La scène était d'une lubricité incroyable. M. se détourna de l'entrejambe de Loïc pour venir joindre sa bouche à celle de leur nouvel ami. Ils léchaient maintenant tous les deux ce sexe gonflé avec avidité. Elle descendit jusqu'au couilles, y promenant sa langue avec délice. Ses doigts allant titiller l'anus de Loïc.
Il se tortillait sous la caresse cherchant sans doute à la rendre plus profonde encore.
“viens, allonge toi” dis R. à M.. Elle obéit docilement. Il prit la main de Loïc et le guida pour l'installer au dessus d'elle en position de soixante neuf. Tandis qu'il se délectait de son sexe, elle goba sa bite, le nez dans ses couilles rasées. Ses mains posées sur fesses, elle ouvrit les yeux et vit le membre de R.,recouvert d'une capote, prêt à défoncer le cul de leur ami. Elle le voulait, rien ne l'excitait plus que d'imaginer le sexe de son homme pénétrer dans ce trou si ouvert et si offert.
Il le pénétra presque sans effort renforçant l'idée que M. se faisait des expériences passées de Loïc. La vue de cette bite labourant ce cul à quelques centimètres de son visage lui déclencha un orgasme fulgurant, elle sentit sa mouille jaillir de son vagin comme du sperme aurait jailli d'un pénis.
Elle n'eut que le temps de reprendre ses esprits avant de sentir le sexe de Loïc gonfler encore entre ses lèvres. Instinctivement, elle ouvrit encore plus grand sa bouche pour recevoir le foutre qui arrivait dans sa gorge en grandes saccades. R. retira sa queue du cul de l'invité, ôta son préservatif.
“venez, vite, venez” hurla-t-il
Les deux autres se mirent à genoux, bouche ouverte, tandis qu'il se branlait furieusement. Il partagea ses giclées entre les deux, couvrant leurs visages d'un jus blanchâtre.
<< suis en panne. Loïc me ramène >>
M. n’était pas inquiète, elle savait que son homme maîtrisait ce genre de situation, il était du genre débrouillard. Elle ne connaissait pas son ami Loïc, et essaya presque instinctivement de l'imaginer. Le prénom lui inspirait bien sur, la Bretagne et ses grands espaces . Des images de marins au long cours lui revenait… Blond, cheveux bouclés, yeux bleus et teint hâlé. Elle sourit, lorsqu'il s'agissait d'homme, son imagination n'avait décidément que peu de limites.
Elle se leva, se décidant à leur préparer un petit plateau “apéritif”. M.aimait recevoir, elle était sociable et prenait beaucoup de plaisir à s'occuper de ses invités. Et il était bien naturel qu'elle montre à l'ami de R. Combien elle lui était reconnaissante de lui ramener son homme. Un souvenir agréable lui revint tout en préparant le plateau, elle se rappela que la dernière fois qu'elle avait préparé un apéritif pour R., cela s'était terminé par une séquence particulièrement torride. R. l'avait mené sur des chemins encore inconnus, il lui avait murmurer des horreurs au creux de l'oreille qui l'avaient rendue folle de désir et de plaisir. Comme si son corps avait été séparé de sa tête et comme si les mots qu'elle entendait avaient déclenché des orgasmes en elle sans même qu'elle ne les comprenne.
Elle installa sur la table du salon, trois coupes et déposa une bouteille de champagne dans un seau à glace. Le plateau était prêt. Elle s'installa dans le fauteuil pour attendre, pianotant sans conviction sur son portable. Elle portait un tee shirt blanc et avait enfilé, après sa douche, un jean en guise de pyjama. Elle songea à se changer mais il était déjà trop tard. Les deux petits chiens de la maison, Chouchou et Springles aboyaient pour faire la fête à leur maître et son ami qui venait d'entrer dans la cour. Elle voulut sortir les accueillir mais, comme elle était pieds nus elle patienta sur sur le pas de la porte fenêtre.
R. et son ami s'approchèrent en riant. M.fut un peu étonnée de voir la complicité qui semblait unir les deux hommes. Elle fut surprise aussi car Loïc ne ressemblait en rien au loup de mer qu'elle avait imaginé.
C'était un homme d'une trentaine d'années, grand, au corps longiligne avec une beauté presque féminine. Ces yeux, allumés par le rire, étaient d'un bleu presque transparent qui contrastait avec cheveux d'un noir intense. Sans pouvoir l'expliquer, M.se sentit troublée. Il lui semblait que l'arrivée des deux hommes avait chargé l’atmosphère d'une sensualité impalpable mais bien réelle.
R. prit M. délicatement dans ses bras et déposa un baiser tendre sur ses lèvres.
“ vous avez l'air bien joyeux tous les deux, que vous arrive t il ?” osa M.
R. la regarda un instant fixement. Elle frissonna.
“ j'expliquais juste à Loïc que l'on trouve ici les apéritifs les plus amusants et les plus…. chauds que l'on puisse imaginer”
M. ne sût quoi répondre. Elle se détourna et attrapa la bouteille de champagne pour se donner une constance. Son regard croisa celui de Loïc qui semblait amusé par la situation.
“ Tu devrais me laisser m'occuper de cela” dit R. en attrapant la bouteille “ et mets nous une jolie musique”.
M. le regarda incrédule car cette expression avait une signification bien particulière entre eux et lorsque R. lui demandait une “jolie” musique, c'était pour qu'elle serve de support à un effeuillage complet.
Il lui sourit, lui indiquant qu'elle avait bien compris.
Elle s'installa dans le fauteuil de cuir brun situé en face du canapé dans lequel les deux garçons avait trouvé place. R.ouvrit la bouteille et servit le champagne pendant que M. choisissait un morceau sur son téléphone. La musique diffusée par l'enceinte sans fil envahit la pièce.
La conversation s'engagea tranquillement, autour de la panne de voiture. M. écoutait surtout les garçons en buvant doucement son champagne. L'alcool aidant, elle se sentait plongée dans une atmosphère douce et cotonneuse. Elle se laissait bercer par la mélodie, fermant les yeux sans entendre vraiment ce que disaient les garçons.
“ Mon amour, et si tu nous montrais l'effet que la musique peut avoir sur toi ”
M. ne fut même pas étonnée par la proposition de R.. Elle se leva, augmenta le volume de l'enceinte et commença à danser langoureusement. Son corps ondulait au son du blues. Les deux hommes la regardaient en échangeant par moment des sourires complices. R. se leva et vint se coller a elle dans son dos. Ils dansaient serrés l'un à l'autre, les mains de R. passèrent sous le tee-shirt de M.. Elle le laissa faire, les doigts sur ses tétons la firent vibrer doucement. Lorsque R. lui retira son haut, son regard croisa celui de Loïc. Il les regardait fixement. Elle se laissait porter par la musique. R. s'éloigna comme pour mieux la regarder. Elle caressa ses seins d'elle même. L'ambiance devenait torride.
Elle glissa sa main droite dans son jean tandis que R. venait de rejoindre Loïc sur le canapé. Elle se branlait maintenant, son indécence l'excitait. R. fut le premier à sortir son sexe, son ami l’imitant presque aussitôt. La vue des deux membres tendus lui firent perdre la tête. Elle ouvrit son jean et réussit à l'enlever sans jamais s'arrêter de danser. Elle tournait, se tordait, caressant les uns après les autres son sexe et ses seins. Elle plongea son regard dans celui de son homme, le défiant, essayant de deviner jusqu'où irait ce jeu. Elle le vit alors déplacer sa main vers le sexe de ami. Il saisit la bite tendue et commença à le branler. Loïc le regarda avec un étrange sourire au lèvres puis à son se mit à caresser le membre de R..
M. les observait, bouche ouverte. Sa main branlait frénétiquement son clitoris et son excitation monta encore d'un cran lorsqu'elle vit que leur invité du soir se pencher sur la verge de R. et la prendre en bouche. Il ne semblait pas en être à son coup d'essai et M. se demanda même si c'était la première fois que ces deux là faisaient cela ensemble. Elle s'approcha du canapé, s'agenouilla et se mit à sucer Loïc. Il se laissa faire avec un grognement de satisfaction étouffé par le membre qu'il était lui-même en train d’engloutir.
Les deux hommes se déshabillèrent mutuellement avant de reprendre leur position.
R. avait posé sa main sur la tête de M. faisant pénétré le sexe de Loïc plus profondément encore. La scène était d'une lubricité incroyable. M. se détourna de l'entrejambe de Loïc pour venir joindre sa bouche à celle de leur nouvel ami. Ils léchaient maintenant tous les deux ce sexe gonflé avec avidité. Elle descendit jusqu'au couilles, y promenant sa langue avec délice. Ses doigts allant titiller l'anus de Loïc.
Il se tortillait sous la caresse cherchant sans doute à la rendre plus profonde encore.
“viens, allonge toi” dis R. à M.. Elle obéit docilement. Il prit la main de Loïc et le guida pour l'installer au dessus d'elle en position de soixante neuf. Tandis qu'il se délectait de son sexe, elle goba sa bite, le nez dans ses couilles rasées. Ses mains posées sur fesses, elle ouvrit les yeux et vit le membre de R.,recouvert d'une capote, prêt à défoncer le cul de leur ami. Elle le voulait, rien ne l'excitait plus que d'imaginer le sexe de son homme pénétrer dans ce trou si ouvert et si offert.
Il le pénétra presque sans effort renforçant l'idée que M. se faisait des expériences passées de Loïc. La vue de cette bite labourant ce cul à quelques centimètres de son visage lui déclencha un orgasme fulgurant, elle sentit sa mouille jaillir de son vagin comme du sperme aurait jailli d'un pénis.
Elle n'eut que le temps de reprendre ses esprits avant de sentir le sexe de Loïc gonfler encore entre ses lèvres. Instinctivement, elle ouvrit encore plus grand sa bouche pour recevoir le foutre qui arrivait dans sa gorge en grandes saccades. R. retira sa queue du cul de l'invité, ôta son préservatif.
“venez, vite, venez” hurla-t-il
Les deux autres se mirent à genoux, bouche ouverte, tandis qu'il se branlait furieusement. Il partagea ses giclées entre les deux, couvrant leurs visages d'un jus blanchâtre.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique récit, très excitant