L’APPARTEMENT - histoire érotique

Histoire banale qui doit être arrivée à bon nombre de couples après un achat inconsidéré…

Marié depuis trois ans, connaissant mon mari depuis six, Victor, trente ans qui depuis l’achat de notre appartement à un léger embonpoint lié au stress car nous avons eu plus grand œil que ventre et les traites à payer l’angoisse.
Nous l’avons acheté, parce que les encouragements de mon père devant nous aider tous les mois, rien n’était assez beau pour sa petite fille unique et chérie.
Pendant un an, la moitié des traites ont été couvertes avec les chèques qu’il m’envoyait tous les mois.
Ce qu’il a oublié de nous dire, c’est que l’année suivante le soir du premier de l’An, il décide de rejoindre le royaume des cieux alors qu’il dansait dans les bras de ma belle-mère.
Il faut reconnaître que d’avoir épousé une jeune femme de trente ans sa cadette, c’était vivre dangereusement surtout que tout le temps où ils ont été chez nous, les parties de jambes en l’air étaient ininterrompues toutes les nuits.
Au quinze du mois qui a suivi, nous avons désespérément attendu le chèque, dans un premier temps nous avons pensé que ma belle-mère avait eu un empêchement.
Oui, je suis tellement stressé que j’ai oublié de dire que mon père avait épousé notre petite-nièce.
Mon père avait eu pitié d’elle, depuis la mort de tous les siens sur la route du soleil un mois de juillet. Nous restions, la seule famille qu’elle eût.
Je l’avais rencontré à une ou deux fêtes de famille, mais cette petite-cousine était issue d’une branche qui nous ignorait.
Le deuxième mois, je suis allé la rencontrer.

• Victoire, tu rigoles, si j’ai épousé ce vieux, ton vieux, c’est que je savais qu’il avait une grave maladie de cœur qu’il vous avait caché.
C’est à l’hôpital où il était allé faire des examens que je l’ai croisé et que j’ai appris son mal.
Il était dans la salle d’attente d’un cardiologue, je me suis renseignée près d’une collègue.
Six mois plus tard il m’épousait.

Elle m’explique cela sans pudeur allant même jusqu’à me dire que pour être sûre que l’héritage lui tombe dans les mains rapidement, elle s’est fait baiser tous les jours par ce vieux pervers qui n’avait de cesse de vouloir la sodomiser.
Marié avec clause chez le notaire, j’apprends par là même occasion qu’il m’a déshéritée et que tout est pour elle.

Comme on a l’habitude de dire, les emmerdes volent en escadrille, huit jours plus tard Victor était victime d’un accident du travail en voulant faire le zouave sur un mur pendant sa pause en pensant nous rapporter de l’argent en pariant avec ses copains qu’il était capable de marcher sur le mur d’enceinte à cinq mètres du sol sur une dizaine de mètres. Sa chute lui a fracturé les deux jambes.
Sans compter qu’il s’est éclaté les bijoux de famille à la limite de se retrouver castra et avec des prévisions d’immobilité pendant plusieurs mois.
Il doit pisser dans un haricot et je vous épargne le reste.
Mais le plus embêtant c’est qu’un responsable la vue et qu’il vient d’être licencié pour faute grave sans indemnité.
La fin de nos espoirs de garder notre bien mieux même, perdre tout ce que nous avons investi.
Dans la nuit, j’en arrive à penser très fort pour que ma belle-mère ait une crise cardiaque voire se retrouve sous un camion en rentrant de son service de nuit étant devenue maintenant sa seule héritière.
Au petit matin, repue de manque de sommeil, j’ai eu beau regarder le téléphone, il est resté muet refusant de m’apporter une bonne nouvelle.
En allant à mon travail l’idée me vient de demander au chef du personnel de mon entreprise de composant électronique si je peux avoir une avance sur salaire.
J’ai l’espoir de gagner du temps et qu’entre-temps un miracle se produise.

• Bonjour monsieur, est-il possible d’avoir une avance sur salaire ?
• Le directeur est seul habilité à faire ces avances, je vais lui demander de vous recevoir.
Je vous tiens au courant.

J’ai attendu deux jours avant qu’il m’appelle à mon bureau pour me dire que le directeur me recevrait à dix-huit heures après mon travail.
Pas sympa, il va falloir que je rentre plus tard et Victor va trouver le temps long, l’infirmière devant venir à dix-neuf heures pour sa toilette avant que je le fasse souper.
Je m’habille toujours strict pour éviter la convoitise des hommes et éviter les conflits pouvant dégénérer.

• Bonjour madame, vous avez demandé à me voir.
• Oui, mon mari et moi avons des gros soucis en ce moment et j’aurais voulu avoir une avance sur mon salaire.
• Pouvez-vous m’expliquer ce qui vous arrive ?

Me voilà partie dans des explications oubliant de lui dire pourquoi Victor avait été licencié, j’invoque des restrictions budgétaires et une réduction du personnel.

• Et vous croyez que c’est avec une avance sur salaire que vous allez régler votre problème.
Vous croyez qu’il va, être facile, de trouver huit cents euros justes avec des avances.
Si je vous donne ce que vous demandez, je suis sûr de vous retrouver assise sur cette même chaise à pleurer un peu plus d’avance le mois prochain.
Revenez demain soir à la même heure d’ici là j’aurais essayé de trouver une solution pour régler définitivement votre problème.

Une fois de plus, toute la nuit, je pense à ce qu’il va inventer pour que je trouve huit cents euros par mois.
J’évite de parler à Victor de ma démarche j’aurais tout le loisir de lui dire après que j’aurai appris ce qu’il me propose.
En plus, je me suis fait enguirlander, car j’étais revenu en retard.
J’ai beau chercher un motif pour le lendemain, mais aucune idée ne vient, ce soir il va encore râler.
À l’heure prévue je me retrouve sur la chaise, les jambes bien serrées comme si j’avais peur qu’il ne me demande d’écarter les cuisses contre son argent.

• Pour ce moi-ci j’ai eu l’idée de vous donner les huit cents euros demandés avec un petit supplément pour que vous vous habilliez beaucoup plus sexy, j’ai horreur que mes employées soient habillées comme des vieilles filles.

Et il pousse devant moi une liasse de billets.
J’avance ma main et les saisies, qui pouvait penser que ma vie venait de basculer.

• Vous pouvez partir, j’ai encore du travail, fermez la porte derrière vous.

En entrant chez moi dans la rue je sers les billets de peur de les perdre, nous venons de gagner un mois et en plus je peux tout garder, car il me suffit d’ouvrir mon armoire pour trouver toutes les tenues possibles que j’adorais acheter du temps de notre opulence.
Lorsque je rentre Victor va râler alors je passe ma main entre ses deux plâtres et je lui prends la bite voulant simplement lui faire une petite branlette sympathique.
Il hurle au bout de quelques secondes, même sans érection, je le fais souffrir.

Pendant un mois jusqu’au quinze suivant je croise mon patron plusieurs fois et il a l’air d’apprécier l’effort vestimentaire que j’ai fait.
Arrivé dans son bureau, je m’assieds et il fait celui qui est indifférent.
Il pousse une liasse devant lui.

• Écarte les cuisses pour ces mille euros.

On y est, il faut payer, il va me sauter sur son bureau.
Je fais ce qu’il me demande entièrement dans la nasse et à sa merci.

• C’est bien ce que je pensais, tu mets une petite culotte, enlève là.

Le tutoiement depuis quelques minutes ne me dit rien qui vaille.
Je l’enlève lui montrant par là même ma chatte entièrement épilée au laser.
Là encore, c’est pour mon anniversaire que Victor m’a payé le laser, ce qui me serait interdit de faire maintenant vu l’argent qu’il a investi pour que je retrouve ma chatte de jeune fille.

• Pose là sur mon bureau et revient demain avant de partir déposer celle du jour et récupérer celle-là pour la laver.

Au moment où je sors, je le vois porter ma culotte à son nez.
Demain, il en aura pour ses mille euros.
Je frappe et j’entre déposer le petit bout de lingerie.
J’ai le temps de le voir la prendre et la porter à son nez. Un mouvement d’étonnement se montre sur son visage.
Je dois dire que l’orgasme que j’ai eu dans les toilettes à me branler afin de déposer le maximum de sécrétion odorante dessus doit être surprenante pour un homme aimant sentir les culottes des femmes.
Pendant un mois, j’ai pris mon pied avant de lui déposer mon bout de tissu qu’il attrape et qu’il renifle sans perdre de temps.

Ce mois-ci que va-t-il me demander, qu’est-ce que son esprit pervers va-t-il inventer ?
Le jeu commence à m’intéresser de plus en plus.
Mes branlettes deviennent trop routinières et moins marante.

• Victoire, voici deux mille euros, je veux simplement que tu m’organises une visite à ton mari sans ta présence.

Donner, deux mille euros pour obtenir quelque chose qu’il pouvait avoir gratuitement, c’est vraiment un grand malade.
Le lendemain, je lui apporte ma réponse.

• Monsieur, mon mari vous recevra demain à vingt heures, il aura trois quarts d’heure à vous consacrer, car à neuf heures il regarde Paris Saint-Germain en championnat.
• Sans problème, viens dans mon bureau avant pour me conduire.

Il est bien gentil le patron, mais va-t-il me payer mes heures supplémentaires, bien sûr, mes deux mille euros que je lui ai extorqués couvrent bien ce petit inconvénient.

Le lendemain, j’ai le plaisir de monter dans la voiture de monsieur le PDG dans le parking. Le chef du personnel qui me voit manque d’avaler le chapeau même si sa tête est nue.
Arrivé au bas de notre immeuble, je le fais entrer avec le code d’accès, je le conduis à notre étage où j’ouvre notre porte lui donnant le chemin à suivre pour retrouver mon mari.

• À tout à l’heure, je vais faire tris quart d’heure de marche, cela remplacera mon jogging.
• Va sans crainte, je fermerais derrière moi en partant.

De savoir qu’il sera parti à mon retour me rassérène, marcher trois quarts d’heure en talons hauts massacre mes pieds, mais dès que j’entre, chaussures enlevées, je suis soulagée.

• Entre Victoire, Victor et moi on t’attendait.

La facture est là devant moi, monsieur le PDG est assis nu sur la chaise face au lit où mon mari est couché.

• Avance, tu peux avoir confiance, nous sommes tombés d’accord avec Victor et il accepte que tu fasses l’amour avec moi devant lui.
Regarde simplement en te voyant je bande et cela depuis le premier jour où le chef du personnel m’a fait savoir qu’il t’avait embauché.
Mais, si j’avais voulu t’avoir dans mon bureau, j’aurais pu, tu es prête à tout pour garder ce bel appartement et je te comprends depuis que je l’ai visité pendant ta promenade.
Mais j’ai un problème que nous allons résoudre.
Lorsque j’avais seize ans, j’ai emmené une jeune fille chez mes parents.
Je lui ai fait l’amour tout l’après-midi et à l’heure du goutté j’ai voulu que nous allions dans la cuisine.
En me relevant j’ai vu ma mère assise sur une chaise comme je le suis en ce moment et qui nous avait regardé baiser.
Depuis ce jour, chaque fois que je lève des filles, il m’est impossible de les satisfaire.
J’ai compris où était mon blocage avec une vieille voisine chez qui son mari m’a invité à venir prendre un verre et que j’ai sauté dans la cuisine, car il nous regardait étant lui-même impuissant à cause de son embonpoint.
En voyant vos problèmes et en réfléchissant je suis en l’état de les résoudre moyennent quelques jours de baise devant ton mari qui a compris votre intérêt et qui est d’accord.
Déshabille-toi !

Je suis médusé, mais si Victor est d’accord depuis son accident à part mes branlettes une bonne bite me manque pourquoi refuserais-je de prendre un peu de plaisir surtout que le sexe de mon homme s’il est réparable pour le moment m’est inutile.
Alors, j’enlève mes affaires et telle Jeanne allant vers son bûché je m’avance et je m’agenouille devant celui qui va devenir mon maître.
Au moment où je vais la prendre en main et en bouche, j’entends un timide.

• Non.

C’est la dernière fois que j’entendrais la voix de mon mari qui cessera de parler à partir du moment ou avec délectation regardant mon futur amant dans les yeux ma langue remonte la veine saillante que mon PDG à dessus.

• Adrien a bien fait de te choisir, tu pompes comme une reine, je crois que je viens de récupérer une foutue salope, tu veux tout avaler.

Sur le coup j’ai du mal à comprendre qui est Adrien jusqu’au moment où je comprends que c’est son prénom.

• Non, je la veux avant en moi, chaque fois que j’allais dans ton bureau surtout lorsque tu savais que j’avais enlevé ma culotte bien odorante, j’espérais que tu allais me coucher sur ton bureau et me baiser comme la salope que je souhaite devenir pour toi.

J’abdique toute pudeur et tout cela devant celui qui m’a passé la bague au doigt.
Je me relève et sans perdre la moindre seconde, je m’assieds sur son sexe qui va devenir mon sexe.
Dès qu’il est en moi un orgasme me traverse électrisant nos corps.
Pour la première fois, je prends la bouche d’Adrien dans un baiser si profond que lorsqu’il me prend un sein tout en me laissant monter et descendre le long de sa verge une deuxième décharge me transperce.
Il finit par me prendre sous les cuisses me soulever et tout en continuant à me pénétrer, il vient me coucher auprès de celui que pour un appartement a accepté d’être cocu.
Dans les jours qui ont suivi, il a eu le temps de s’en apercevoir, je vis nue auprès de mon amant qui me prend plusieurs fois chaque fois que nous sommes de retour toujours dans la chambre.
Victor a même le droit à regarder ma première sodomie.
Étant en levrette, j’ai pu voir qu’il était très attentif à tout ce que je subissais, mais sans jamais avoir un mot plus haut que l’autre.
Pendant huit jours Adrien a été inexistant pour me baiser, car Victor avait été emmené à l’hôpital pour enlever ses plâtres.
À l’une de nos visites, j’ai eu le droit à une verge bien bandée dans l’anus sur le pied du lit après le passage de l’infirmière.
Après son retour, mon mari a pu remarcher avec un appareil à quatre pieds comme les personnes âgées mais seulement dans l’appartement.
Notre terrain de jeu s’est déplacé jusque dans la cuisine lorsqu’il venait manger.

Adrien est maintenant à demeure chez lui, car c’est lui qui paye tout.
Je suis devenu la grande salope que j’espérais devenir, mais le simple fait de baiser devant son ex-mari est-il suffisant ?
Son ex-mari car nous avons fait tous les papiers pour mon divorce au moment où j’ai appris que j’allais donner à l’élu de mon cœur une progéniture et qui a vu le jour quelques semaines plus tard.
À la vue de sa fille, un soir où j’allais l’entraîner dans la chambre près de Victor, mon retour de couches me permettant de nouveau de baiser, c’est seul à seul sur la table de la cuisine qu’il m’a pénétrée bandant comme un cerf.
Je pense que c’est ce jour-là que nous avons conçu notre fils.
Comme Victor devenait inutile la phobie d’Adrien ayant disparu nous lui avons proposé de le placer dans une maison spécialisée où rapidement une jeune infirmière l’a pris en pitié et c’est personnellement occupé de lui.

Jeune infirmière, vous allez penser qu’il a retrouvé ma cousine, mais ce serait une erreur.
Ma cousine est morte après qu’une fausse manœuvre avec une seringue lui fit attraper le virus dont tout le monde refuse de prononcer le nom.
Les tris machins ont été inefficaces et en moins de six mois, je me suis retrouvé avec Adrien à pleurer sur sa tombe.
Par moments j’ai l’impression qu’avec du retard mes prières ont été exaucées.
Enfin, l’employé qui se promenait sans culotte continue à le faire, mais est devenu en plus de madame là PDG madame le chef du personnel qui, choisit très spécifiquement le personnel sur des critères complètement différents de ceux de mon mari.
Régulièrement nous faisons des heures supplémentaires et il me prend enfin sur son bureau quand tous nos employés sont partis.
La fortune de mon père récupéré après la disparition de ma petite-cousine et belle-mère nous a permis de développer notre entreprise et surtout de rembourser l’intégralité d’un prêt que j’avais prise sur un appartement où nous habitons toujours.
Qui peut dire que la vie manque de piment…