L'appel de Jamel.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 132 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plaisir39 ont reçu un total de 660 555 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 369 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'appel de Jamel.
"Salut Patrick, c'est Jamel, t'es seul?""Oh, Jamel, ça fait plaisir, oui, ma copine viens de partir, tu veux quoi ?".
"Ca te dit qu'on se voit ce soir?".
"C'est possible, pas souci".
"Tu la vois demain aussi?".
"Oui en après midi, pourquoi?".
"Je reste pour dormir, ça te déranges pas? Comme ça, on s'amusera plus longtemps!".
J'ai déjà, des signes d'envie dans mon cul, le simple fait de lui parler me donne des nœuds dans l'estomac.
"Non, au contraire, tu as raison!".
"Par contre, j'aimerai que tu sois un peu plus démonstratif!".
"C'est à dire?".
"Demandes-le moi, plus gentiment!".
"Euh, s'il te plait?".
"T'es une salope, ou pas! Allez plus gentiment!".
Son délire me trouble, mais j'ai vraiment envie qu'il vienne me baiser.
"Jamel, tu peux venir me baiser, s'il te plais!".
"Bon, je vais raccrocher, je crois pas que t'es motivé!".
"Non, Jamel, attends! euh!".
"Alors?".
"Jamel, j'ai besoin que tu viennes me détruire mon cul de salope!".
"Hummmmm, je bande déjà, prépares toi, j'arrive!".
Je passe vite sous la douche et pratique un lavement anal.
J'attends mon futur amant en fermant les fenêtres et écoutant de la musique pour me détendre avant la tempête Jamel.
Une heure après, on frappe à la porte, j'ouvre étonné.
"Jamel, t'as pas sonné en bas?".
"Non, quelqu'un sortait, j'en ai profité!".
Je tire les rideaux de la fenêtre donnant sur la cour intérieure et les escaliers, pour avoir plus d'intimité.
La table de ma cuisine se trouve juste devant.
Je me tourne vers lui, et m'approche en lui touchant la queue à travers son pantalon.
"Qu'est-ce tu veux?".
"Que tu me baises!'.
"Je vais partir!".
"Non, que tu me casses le cul, désolé!".
"J'aime mieux ça! fous toi à poil!".
Je lui obéis, il sort son gros engin en se masturbant.
Un à un, mes vêtements tombent au sol, pendant que je ne quitte pas des yeux son énorme membre, que je désire comme une salope.
"Viens me sucer, je veux que tu bouffes tout, même mes couilles! D'accord?".
Je me baisse pour le sucer.
"J'ai pas eu de réponse? D'accord?".
"Oui, Jamel!".
"Voilà! Ouvres la bouche salope!".
Son gros pieu m'écartèle les lèvres et viens cogner au fond de ma gorge, il me maintient par le haut du crâne et me défonces la bouche.
J'ai des reculs d'étouffements, il me provoque un afflux de salive. Je ne reconnais pas le Jamel qui ne disait presque rien avec Marc, quand ils me baisaient ensemble.
Il recule ma tête et me cogne sa bite partout sur le visage, en m'obligeant à lui répondre.
"Qu'est-ce que t'es?".
"Une salope!".
"Que ça?".
"Non, je suis ta pute, ta chienne, je veux que tu me déchires le cul, ça fait mal, mais il est à toi!".
"Voila ce que je veux entendre, ça c'est bon! Bouffes-moi les couilles maintenant!".
"Oui, Jamel!".
Ses testicules sont avalés l'un après l'autre, léchés avec vice, puis il me défonce encore la gorge pendant quelques minutes.
"Enlève ce qu'il y a sur la table, je vais te casser le cul".
J'enlève un à un les quelques verres et couverts.
"Dépêches toi, sinon, je me casse! Tu la veux ma queue dans le cul?".
Je me presse en répondant:"Oui, je la veux! j'en ai trop envie!".
Une fois que la table est vide, il me dit:"Allonges-toi dessus, le cul vers moi!".
Je m'allonge, mon ventre est collé sur la table, le contact est très froid.
Il écarte mes cuisses pour que mon cul soit à la hauteur parfaite pour sa queue.
"Attends-moi!".
Il va dans ma chambre pour récupérer mon gel silicone.
Il s'en couvre le membre, puis mon anus.
Il pose une main sur le haut de mon cul.
"Allez, je veux que tu le réclames!".
"Casses-moi le cul, Jamel, j'en peux plus! s'il te plais!".
"J'arrive salope!".
Il pousse par à-coups, mais j'avais oublié que toute les autres fois, Marc avait préparé le terrain.
J'ai l'impression d'avoir un piston énorme qui cherche à se faire un trou dans un endroit trop serré, en va et viens permanents.
"Arrhhh, arrhhh, arrhhh, arrhhh, Jamel, tu me déchires!".
"Ta gueule, sale pute!".
Il devient plus dominateur et vulgaire, mais je suis allé trop loin pour m'arrêter.
Je passe une main pour le retenir un peu en essayant de laisser le temps à mon anus de s'ouvrir un peu plus.
"Hep, enlèves moi cette main!".
Il me frappe la fesse droite, puis écarte les deux lobes de mon cul en étirant mon anus.
Ca aide son gland à dépasser mon œillet et à faire coulisser son énorme membre dans mon cul en un mouvement destructeur.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrr, Jamel, Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
"C'est pas encore assez profond ça, tiens!".
Il donne un coup violent dans mon anus, mon corps projette la table contre le mur de la fenêtre.
"arhhrrrrrrrr!".
Tout de suite après, il me burine sauvagement.
"Jamel, t'es fou, arrrrrrrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr".
Au bout de quelques minutes de ce supplice, la douleur s'estompe et la pénétration devient agréable.
"Oh, Jamel, déchires-moi, défonces moi, démontes-moi, casses-moi le cul, oui, il est à toi! Aarhhrrrrrrrrhhh!".
Je prends un plaisir énorme, le bord de la table me fait mal aux cuisses, tant il me plaque puissamment contre elle.
Mes bras sont pendants de chaque coté de la table, je ne suis plus qu'une poupée sexuelle humaine déchirée analement par un homme au sexe énorme.
Un deuxième orgasme entame sa progression, en m'annonçant encore des tremblements.
Très vite, le phénomène prend de l'ampleur et je râle de plaisir, avec la bouche ouverte au maximum.
Mes jambes ne s'arrêtes plus de trembloter. je suis pris de spasmes.
A part des râles interminables, je n'ai même plus la force de dire que je jouis.
Jamel sort de mon cul, et dégage le rideau de la fenêtre.
"Jamel, non! arhhhhhhhhhhhh".
"Ta gueule, y en aura peut être un qui te verras te faire enculer, sale pute!".
Son énorme membre reprend mon cul d'un coup et il me démonte encore sans retenue.
Notre partie de sexe sauvage dure presque une demi-heure.
Excité par notre manque d'intimité, il montre enfin des signes de plaisir.
J'ai, depuis 2 minutes, encore connu un énorme orgasme anal, Jamel se met à grogner comme une bête tout en se déchainant en moi.
"Jamel, chhht! Moins fort! S'il te plais, arhhhhhhhhhhhh".
"Grrrrrrrrrrrrrrr, rrrrrrrrrrrrrrrrrrr, ahhhh, ouais, oh putain, je te rempli le fion salope!".
"Arhhhhhhhhhhh,arhhhhhhhhhhhh".
Son gros sexe est saisi de spasmes d'éjection de sperme.
Il se vide en moi comme un homme contre un urinoir.
Ca me parait interminable, je guette si des voisins passent dans le couloir, par chance, ce ne sera pas le cas.
J'imagine la vue qu'ils auraient, moi étalé sur un table nu, avec le cul offert et écartelé par un homme large et puissant, comme sa bite.
En reculant son gros sexe, il m'ordonne:"Viens me lécher la queue, salope!".
Il va s'allonger sur mon lit, en surélevant sa tête avec des coussins pour me regarder faire.
Je me place en travers et le lave consciencieusement avec ma langue.
Ma toilette buccale dure 5 bonnes minutes.
"Allez viens là, c'est bon, tu m'as bien lavé la bite! Et toi t'es content?".
"Oui!""Oui, quoi?".
"Tu m'as bien cassé le cul!".
Le délire retombe presqu'aussitôt, on discute tranquillement, puis au bout d'un moment, il voit que je ne suis pas à l'aise.
"Qu'est-ce qu'il y a?".
"Je dois rejeter ce que tu m'as mis dans le cul!".
"Viens là!".
Il me force à sortir du lit debout avec les jambes écartées. puis écarte mes fesses.
"Vas y!".
"Jamel c'est gênant!".
"Dépêches toi!".
Le sperme encore chaud, grâce à mon cul, sort par flots successifs.
Le jus va s'écraser au sol, sur les tommettes, les rejets ne sont pas précis, et ils me polluent l'intérieur des jambes en coulant.
"Encore!".
Je pousse plusieurs fois pour faire descendre la semence qu'il m'a insérée profondément.
Une grosse dose de sécrétions anales s'ajoute au foutre de Jamel.
Jamel prend un paquet de mouchoirs en papier et m'essuie le cul, puis les jambes.
J'apprécie, sa toilette, il efface les traces du passage de sa bite dans mon cul.
On retourne sur le lit sans nettoyer le sol.
Nous parlons de sexe très longtemps, des copains qui m'ont baisé, de Marc et du capitaine, il me parle de quelques unes de ses victimes.
Puis vers 22h 30, il m'attire vers sa queue et me pousse à lui faire une longue fellation.
Sa queue est bandée a l'extrême, il me tourne sur le ventre, couché sur le lit et me pénètre, peu à peu en s'appuyant de tout son corps, sur moi.
En quelques poussées, il écartèle mon anus, et s'enfonce profondément.
"Arhhhhhhhhhh, Jamel, tu me déchires le cul encore, arhhhhhhhhhhh!".
Il se déchaine presque aussitôt, le lit fait un mouvement de trampoline sous ses assauts.
Il m'arrache un orgasme au bout de quelques minutes délicieuses.
Puis il se place à mes cotés et me demande:"Viens te démonter sur moi! Montres moi comme t'aimes ça!".
Je le monte comme un cheval et dirige son gros pieu vers mon anus, puis appuie de toutes mes forces pour m'empaler""Arhhhhhhhhh, oh putain, ça fait toujours cet effet de déchirement, oh mon pauvre cul!".
"Allez bouges salope!".
Je me défonces comme une chienne en chaleur, sans retenue, mon corps est devenu un énorme masturbateur.
Les orgasmes s'enchainent.
"J'en peux plus Jamel!""Encore, baises moi la bite!".
Mon visage est déformé par les grimaces.
"Ouais, continues, tu bouges bien salope!".
Cinq minutes après cette parole, il annonce:"Oh, ouais, t'arrêtes pas, ça monte!".
Je ne veux pas le perdre et continue sans accélérer, ni ralentir, ma défonce anale.
"Ouais, plus vite maintenant!".
Je me déchaine comme une pute, folle de sexe.
"Arrhh, Ouais, argggg, grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, grrrrrrrrrrrrrrrrr!".
Mon cul s'écrase en mouvements violents sur son ventre, sa queue me déchire l'anus en éjaculant sa semence au rythme de mes écrasements sur lui.
Je le vois se pâmer de plaisir, puis vient le moment ou il envoie ses mains sous mes fesses pour m'arrêter.
"Stop, arrêtes! Tu m'as vidé! ouffff, c'était trop bon, t'es une vraie bonne pute!".
Je prend ça comme un compliment, puis m'affale à ses cotés, épuisé.
Je sens le contact d'une main sur mes fesses. j'ouvre les yeux, c'est Jamel qui me caresse.
Je réalise qu'on est le matin.
"Ca va?" me demande Jamel.
"Ouais, un peu mal au cul, et toi?".
"Moi génial, je me suis régalé hier, donc, tout va bien!".
"Tu veux un petit déjeuner, ça te vas un café? J'ai du chocolat aussi, si tu veux!".
"Un café, et des tartines de pain confiture, ça ira!".
Je vais dans la cuisine, tire les rideaux en repensant à la veille, et nous petit déjeunons, nus l'un à coté de l'autre sur cette table ou je me suis fais défoncé.
Puis, je vais sous la douche, Jamel me rejoint, à nouveau excité et en pleine forme.
Il ne résiste pas à me casser le cul encore une fois pendant vingt longues minutes.
Je me suis masturbé, en contrôlant la montée de mon plaisir.
Je voulais absolument jouir avec lui, dès que ça montait, je lâchais ma queue.
A ce petit jeu, j'ai perdu, avec bonheur.
Au lieu de débander comme souvent quand on m'encule, mon érection à tenu jusqu'à mon éjaculation "sans les mains" sous les à-coups déchirants de Jamel qui m'a rejoint, une trentaine de secondes après.
"Humm, je m'en lasse pas, j'adore te casser le cul, ma petite salope, encore plus, le matin, il est encore plus agréable".
"Oh, putain Jamel! J'aimerai que tu me démontes tous les jours, tellement, j'adore ça aussi!"Il nettoie les traces de son forfait sur sa queue, puis rentre chez lui, comblé par sa salope, comme il aimait m'appeler.
Quand à moi, je me suis à nouveau affalé sur mon lit, avec le cul éclaté et l'intérieur plein de foutre, c'est pas grave, je penserai, plus tard, à ce détail et aux traces de notre orgie sur le sol.
C'était notre dernière fois, et c'est bien dommage!
Marc est revenu, peu de temps après, Jamel lui avait raconté notre nuit de sexe.
"Ca va, tu t'es bien fait démonté? D'après Jamel!".
"Oui, j'avoue, j'adore me faire casser le cul par lui, c'est ta faute! T'avais bien une idée derrière la tête en me le présentant".
"Ben, c'est mon ami, j'ai pensé que vous aimeriez baiser ensemble".
"Humm, t'as eu raison, c'est le cas, mais on va plus pouvoir se voir, même le soir, ma copine va être en vacances scolaires et je viens de rencontrer un nouveau copain qui finit son service militaire à l'arsenal, il m'a demandé de l'héberger, le temps qu'il se trouve un appart sur la ville".
"Il te baise aussi?".
"Non, je baise pas avec tout le monde! Il sait pas que je suis bi!".
"Ca te dit qu'on se voit ce soir?".
"C'est possible, pas souci".
"Tu la vois demain aussi?".
"Oui en après midi, pourquoi?".
"Je reste pour dormir, ça te déranges pas? Comme ça, on s'amusera plus longtemps!".
J'ai déjà, des signes d'envie dans mon cul, le simple fait de lui parler me donne des nœuds dans l'estomac.
"Non, au contraire, tu as raison!".
"Par contre, j'aimerai que tu sois un peu plus démonstratif!".
"C'est à dire?".
"Demandes-le moi, plus gentiment!".
"Euh, s'il te plait?".
"T'es une salope, ou pas! Allez plus gentiment!".
Son délire me trouble, mais j'ai vraiment envie qu'il vienne me baiser.
"Jamel, tu peux venir me baiser, s'il te plais!".
"Bon, je vais raccrocher, je crois pas que t'es motivé!".
"Non, Jamel, attends! euh!".
"Alors?".
"Jamel, j'ai besoin que tu viennes me détruire mon cul de salope!".
"Hummmmm, je bande déjà, prépares toi, j'arrive!".
Je passe vite sous la douche et pratique un lavement anal.
J'attends mon futur amant en fermant les fenêtres et écoutant de la musique pour me détendre avant la tempête Jamel.
Une heure après, on frappe à la porte, j'ouvre étonné.
"Jamel, t'as pas sonné en bas?".
"Non, quelqu'un sortait, j'en ai profité!".
Je tire les rideaux de la fenêtre donnant sur la cour intérieure et les escaliers, pour avoir plus d'intimité.
La table de ma cuisine se trouve juste devant.
Je me tourne vers lui, et m'approche en lui touchant la queue à travers son pantalon.
"Qu'est-ce tu veux?".
"Que tu me baises!'.
"Je vais partir!".
"Non, que tu me casses le cul, désolé!".
"J'aime mieux ça! fous toi à poil!".
Je lui obéis, il sort son gros engin en se masturbant.
Un à un, mes vêtements tombent au sol, pendant que je ne quitte pas des yeux son énorme membre, que je désire comme une salope.
"Viens me sucer, je veux que tu bouffes tout, même mes couilles! D'accord?".
Je me baisse pour le sucer.
"J'ai pas eu de réponse? D'accord?".
"Oui, Jamel!".
"Voilà! Ouvres la bouche salope!".
Son gros pieu m'écartèle les lèvres et viens cogner au fond de ma gorge, il me maintient par le haut du crâne et me défonces la bouche.
J'ai des reculs d'étouffements, il me provoque un afflux de salive. Je ne reconnais pas le Jamel qui ne disait presque rien avec Marc, quand ils me baisaient ensemble.
Il recule ma tête et me cogne sa bite partout sur le visage, en m'obligeant à lui répondre.
"Qu'est-ce que t'es?".
"Une salope!".
"Que ça?".
"Non, je suis ta pute, ta chienne, je veux que tu me déchires le cul, ça fait mal, mais il est à toi!".
"Voila ce que je veux entendre, ça c'est bon! Bouffes-moi les couilles maintenant!".
"Oui, Jamel!".
Ses testicules sont avalés l'un après l'autre, léchés avec vice, puis il me défonce encore la gorge pendant quelques minutes.
"Enlève ce qu'il y a sur la table, je vais te casser le cul".
J'enlève un à un les quelques verres et couverts.
"Dépêches toi, sinon, je me casse! Tu la veux ma queue dans le cul?".
Je me presse en répondant:"Oui, je la veux! j'en ai trop envie!".
Une fois que la table est vide, il me dit:"Allonges-toi dessus, le cul vers moi!".
Je m'allonge, mon ventre est collé sur la table, le contact est très froid.
Il écarte mes cuisses pour que mon cul soit à la hauteur parfaite pour sa queue.
"Attends-moi!".
Il va dans ma chambre pour récupérer mon gel silicone.
Il s'en couvre le membre, puis mon anus.
Il pose une main sur le haut de mon cul.
"Allez, je veux que tu le réclames!".
"Casses-moi le cul, Jamel, j'en peux plus! s'il te plais!".
"J'arrive salope!".
Il pousse par à-coups, mais j'avais oublié que toute les autres fois, Marc avait préparé le terrain.
J'ai l'impression d'avoir un piston énorme qui cherche à se faire un trou dans un endroit trop serré, en va et viens permanents.
"Arrhhh, arrhhh, arrhhh, arrhhh, Jamel, tu me déchires!".
"Ta gueule, sale pute!".
Il devient plus dominateur et vulgaire, mais je suis allé trop loin pour m'arrêter.
Je passe une main pour le retenir un peu en essayant de laisser le temps à mon anus de s'ouvrir un peu plus.
"Hep, enlèves moi cette main!".
Il me frappe la fesse droite, puis écarte les deux lobes de mon cul en étirant mon anus.
Ca aide son gland à dépasser mon œillet et à faire coulisser son énorme membre dans mon cul en un mouvement destructeur.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrr, Jamel, Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
"C'est pas encore assez profond ça, tiens!".
Il donne un coup violent dans mon anus, mon corps projette la table contre le mur de la fenêtre.
"arhhrrrrrrrr!".
Tout de suite après, il me burine sauvagement.
"Jamel, t'es fou, arrrrrrrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr, arhhrrrrrrrr".
Au bout de quelques minutes de ce supplice, la douleur s'estompe et la pénétration devient agréable.
"Oh, Jamel, déchires-moi, défonces moi, démontes-moi, casses-moi le cul, oui, il est à toi! Aarhhrrrrrrrrhhh!".
Je prends un plaisir énorme, le bord de la table me fait mal aux cuisses, tant il me plaque puissamment contre elle.
Mes bras sont pendants de chaque coté de la table, je ne suis plus qu'une poupée sexuelle humaine déchirée analement par un homme au sexe énorme.
Un deuxième orgasme entame sa progression, en m'annonçant encore des tremblements.
Très vite, le phénomène prend de l'ampleur et je râle de plaisir, avec la bouche ouverte au maximum.
Mes jambes ne s'arrêtes plus de trembloter. je suis pris de spasmes.
A part des râles interminables, je n'ai même plus la force de dire que je jouis.
Jamel sort de mon cul, et dégage le rideau de la fenêtre.
"Jamel, non! arhhhhhhhhhhhh".
"Ta gueule, y en aura peut être un qui te verras te faire enculer, sale pute!".
Son énorme membre reprend mon cul d'un coup et il me démonte encore sans retenue.
Notre partie de sexe sauvage dure presque une demi-heure.
Excité par notre manque d'intimité, il montre enfin des signes de plaisir.
J'ai, depuis 2 minutes, encore connu un énorme orgasme anal, Jamel se met à grogner comme une bête tout en se déchainant en moi.
"Jamel, chhht! Moins fort! S'il te plais, arhhhhhhhhhhhh".
"Grrrrrrrrrrrrrrr, rrrrrrrrrrrrrrrrrrr, ahhhh, ouais, oh putain, je te rempli le fion salope!".
"Arhhhhhhhhhhh,arhhhhhhhhhhhh".
Son gros sexe est saisi de spasmes d'éjection de sperme.
Il se vide en moi comme un homme contre un urinoir.
Ca me parait interminable, je guette si des voisins passent dans le couloir, par chance, ce ne sera pas le cas.
J'imagine la vue qu'ils auraient, moi étalé sur un table nu, avec le cul offert et écartelé par un homme large et puissant, comme sa bite.
En reculant son gros sexe, il m'ordonne:"Viens me lécher la queue, salope!".
Il va s'allonger sur mon lit, en surélevant sa tête avec des coussins pour me regarder faire.
Je me place en travers et le lave consciencieusement avec ma langue.
Ma toilette buccale dure 5 bonnes minutes.
"Allez viens là, c'est bon, tu m'as bien lavé la bite! Et toi t'es content?".
"Oui!""Oui, quoi?".
"Tu m'as bien cassé le cul!".
Le délire retombe presqu'aussitôt, on discute tranquillement, puis au bout d'un moment, il voit que je ne suis pas à l'aise.
"Qu'est-ce qu'il y a?".
"Je dois rejeter ce que tu m'as mis dans le cul!".
"Viens là!".
Il me force à sortir du lit debout avec les jambes écartées. puis écarte mes fesses.
"Vas y!".
"Jamel c'est gênant!".
"Dépêches toi!".
Le sperme encore chaud, grâce à mon cul, sort par flots successifs.
Le jus va s'écraser au sol, sur les tommettes, les rejets ne sont pas précis, et ils me polluent l'intérieur des jambes en coulant.
"Encore!".
Je pousse plusieurs fois pour faire descendre la semence qu'il m'a insérée profondément.
Une grosse dose de sécrétions anales s'ajoute au foutre de Jamel.
Jamel prend un paquet de mouchoirs en papier et m'essuie le cul, puis les jambes.
J'apprécie, sa toilette, il efface les traces du passage de sa bite dans mon cul.
On retourne sur le lit sans nettoyer le sol.
Nous parlons de sexe très longtemps, des copains qui m'ont baisé, de Marc et du capitaine, il me parle de quelques unes de ses victimes.
Puis vers 22h 30, il m'attire vers sa queue et me pousse à lui faire une longue fellation.
Sa queue est bandée a l'extrême, il me tourne sur le ventre, couché sur le lit et me pénètre, peu à peu en s'appuyant de tout son corps, sur moi.
En quelques poussées, il écartèle mon anus, et s'enfonce profondément.
"Arhhhhhhhhhh, Jamel, tu me déchires le cul encore, arhhhhhhhhhhh!".
Il se déchaine presque aussitôt, le lit fait un mouvement de trampoline sous ses assauts.
Il m'arrache un orgasme au bout de quelques minutes délicieuses.
Puis il se place à mes cotés et me demande:"Viens te démonter sur moi! Montres moi comme t'aimes ça!".
Je le monte comme un cheval et dirige son gros pieu vers mon anus, puis appuie de toutes mes forces pour m'empaler""Arhhhhhhhhh, oh putain, ça fait toujours cet effet de déchirement, oh mon pauvre cul!".
"Allez bouges salope!".
Je me défonces comme une chienne en chaleur, sans retenue, mon corps est devenu un énorme masturbateur.
Les orgasmes s'enchainent.
"J'en peux plus Jamel!""Encore, baises moi la bite!".
Mon visage est déformé par les grimaces.
"Ouais, continues, tu bouges bien salope!".
Cinq minutes après cette parole, il annonce:"Oh, ouais, t'arrêtes pas, ça monte!".
Je ne veux pas le perdre et continue sans accélérer, ni ralentir, ma défonce anale.
"Ouais, plus vite maintenant!".
Je me déchaine comme une pute, folle de sexe.
"Arrhh, Ouais, argggg, grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, grrrrrrrrrrrrrrrrr!".
Mon cul s'écrase en mouvements violents sur son ventre, sa queue me déchire l'anus en éjaculant sa semence au rythme de mes écrasements sur lui.
Je le vois se pâmer de plaisir, puis vient le moment ou il envoie ses mains sous mes fesses pour m'arrêter.
"Stop, arrêtes! Tu m'as vidé! ouffff, c'était trop bon, t'es une vraie bonne pute!".
Je prend ça comme un compliment, puis m'affale à ses cotés, épuisé.
Je sens le contact d'une main sur mes fesses. j'ouvre les yeux, c'est Jamel qui me caresse.
Je réalise qu'on est le matin.
"Ca va?" me demande Jamel.
"Ouais, un peu mal au cul, et toi?".
"Moi génial, je me suis régalé hier, donc, tout va bien!".
"Tu veux un petit déjeuner, ça te vas un café? J'ai du chocolat aussi, si tu veux!".
"Un café, et des tartines de pain confiture, ça ira!".
Je vais dans la cuisine, tire les rideaux en repensant à la veille, et nous petit déjeunons, nus l'un à coté de l'autre sur cette table ou je me suis fais défoncé.
Puis, je vais sous la douche, Jamel me rejoint, à nouveau excité et en pleine forme.
Il ne résiste pas à me casser le cul encore une fois pendant vingt longues minutes.
Je me suis masturbé, en contrôlant la montée de mon plaisir.
Je voulais absolument jouir avec lui, dès que ça montait, je lâchais ma queue.
A ce petit jeu, j'ai perdu, avec bonheur.
Au lieu de débander comme souvent quand on m'encule, mon érection à tenu jusqu'à mon éjaculation "sans les mains" sous les à-coups déchirants de Jamel qui m'a rejoint, une trentaine de secondes après.
"Humm, je m'en lasse pas, j'adore te casser le cul, ma petite salope, encore plus, le matin, il est encore plus agréable".
"Oh, putain Jamel! J'aimerai que tu me démontes tous les jours, tellement, j'adore ça aussi!"Il nettoie les traces de son forfait sur sa queue, puis rentre chez lui, comblé par sa salope, comme il aimait m'appeler.
Quand à moi, je me suis à nouveau affalé sur mon lit, avec le cul éclaté et l'intérieur plein de foutre, c'est pas grave, je penserai, plus tard, à ce détail et aux traces de notre orgie sur le sol.
C'était notre dernière fois, et c'est bien dommage!
Marc est revenu, peu de temps après, Jamel lui avait raconté notre nuit de sexe.
"Ca va, tu t'es bien fait démonté? D'après Jamel!".
"Oui, j'avoue, j'adore me faire casser le cul par lui, c'est ta faute! T'avais bien une idée derrière la tête en me le présentant".
"Ben, c'est mon ami, j'ai pensé que vous aimeriez baiser ensemble".
"Humm, t'as eu raison, c'est le cas, mais on va plus pouvoir se voir, même le soir, ma copine va être en vacances scolaires et je viens de rencontrer un nouveau copain qui finit son service militaire à l'arsenal, il m'a demandé de l'héberger, le temps qu'il se trouve un appart sur la ville".
"Il te baise aussi?".
"Non, je baise pas avec tout le monde! Il sait pas que je suis bi!".
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plaisir39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...