L'appel de mon Dominant
Récit érotique écrit par Horizon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'appel de mon Dominant
J’avais reçus l’appel un peu plus tôt dans la journée, j’étais encore à la fac quand mon portable a sonné. Mon dominant souhaite que je vienne pour un dîner avec deux amis à lui, des hommes que je ne connais pas mais, comme mon Dominant, plus âgés que moi.
Il y a environ six mois, j’ai accepté de signer un contrat avec lui, je devais lui être disponible en tout temps, docile, à l’écoute et par-dessus tout répondre à ses demandes. Si je le satisfaisais, il était gentil, doux, et attentionné avec moi mais, dans le cas contraire, il me punissait. Ça n’est arrivé qu’une fois, suite à un appel d’un autre Dominant voulant me posséder, ayant cru que je ne lui étais pas exclusive, il était devenu fou de rage et m’avait puni de coup de canne sur les fesses. Il n’aime pas me punir de cette manière, généralement il se contente de me priver d’orgasme si je le déçois. Je n’ai pas à me plaindre, il me satisfait comme aucun autre homme et de mon côté je m’efforce de donner vie à tous ses fantasmes. Il exige toujours une tenue pour un de nos rendez-vous, ainsi que des fringues de rechange car il ne me laisse jamais repartir chez moi, je dors sur place, dans son lit, en sécurité et surtout à sa disposition pour ses envies nocturnes.
Ce soir, il souhaite une tenue d’écolière et je sais exactement comment je vais me présenter à lui ; je dois mettre le paquet car ses amis sont des Dominants eux aussi et, pour mon maître, leurs montrer que sa soumise est meilleure que la leur est important. J’ai peur, si je ne suis pas à la hauteur, il me punira et aura honte de moi, je risque de le perdre et je ne le veux pas. Je dois admettre que c’est un plaisir de relever ce défis, j’ai entendue parler de leurs soumises et être meilleure qu’elles et surtout être enviée par leurs Dominants sera une fierté pour mon maître et moi. Ma tenue doit être parfaite, mon comportement exemplaire et surtout je dois être assez endurante pour satisfaire les désirs de mon Dominant lors de cette soirée.
Une fois rentrée chez moi, je me précipite, j’ai une heure pour me préparer sans fausses notes ; d’abord une douche, je me rase soigneusement les jambes, les aisselles, le pubis et le sexe, je me lave avec un savon sentant le caramel et un shampoing à la vanille. Je me sèche et sélectionne ma tenue, une minijupe très courte écossaise rouge, un string en dentelle et des bas autoportants noirs, une chemise blanche que j’attache juste en dessous de ma poitrine pour laisser apparaître mon ventre, soutenir mes seins et les cacher juste au-dessus du téton laissant un grand décolleté plongeant, enfin, je chausse mes bottines noire à talon plein.
Le maquillage à présent, un peu de fond de teint pour harmoniser, du blush rose sur les pommettes pour rafraîchir, du crayon, eye liner et mascara pour mes yeux verts et enfin du rouge à lèvre rouge vif. Mes cheveux courts ne me permettent pas de faire des couettes mais je les laisse naturel car, étant épais, mon Dominant aime s’en saisir pour diverses choses. Pour finir, je fourre dans un sac le nécessaire pour le lendemain, j’attrape ma veste en cuir et m’en vais.
Je sonne à la porte, mon maître ouvre, j’ai la tête baissée, il la relève de sa main pour me poser un baiser chaste et rapide sur mes lèvres. Ses invités ne sont pas encore arrivés, je m’assois sur le canapé du salon, il me sert un verre de vin blanc frais et sucré, on parle de tout et de rien avant qu’il me briffe pour la soirée :
- Bon écoutes, je pense que tu sais pourquoi mes amis viennent ce soir.
- Oui, répondis-je
- Ce mois-ci j’ai été chez chacun d’entres eux, ils nous ont, tous deux, présenté leurs soumises, c’est à mon tour de te présenter et de te mettre à l’épreuve, ainsi soit docile, toi-même et tout ira bien. Tu as compris ?
- Oui monsieur
- Bien ma belle, tu es sublime ce soir, va dans la chambre maintenant déposer tes affaires et tu descendras quand je te le dirais. A ce moment-là tu seras notre distraction et nous allons tous les trois jouer avec toi.
A ce moment-là je m’inquiète, je n’ai jamais eu plusieurs partenaires, je ne les connais pas, et si je n’étais pas à la hauteur ?
- Ne t’inquiètes pas ma belle, reprend –il, je dirigerais toute la soirée, fixerais les limites et veillerais à ce qu’ils soient respectueux avec toi et qu’ils ne franchissent pas tes limites. Ça ira ?
- Oui monsieur…
- Bien, maintenant montes et attends que je t’appel.
Je me lève, attrape mon sac et me diriges vers l’escalier quand il m’interpelle :
- Hé attends ! j’allais oublier prends ça et portes les, c’est un cadeau de ma part. A toute à l’heure bébé.
Je prends le paquet et monte en vitesse. La chambre est vaste, un lit double est au centre de la pièce, à gauche se trouve la salle de bain composer d’une grande douche, d’un lavabo surmonté d’étagère et d’un miroir, à droite se trouve le dressing. J’y déposes mes affaires et m’assois sur le lit moelleux. Je regarde attentivement la boite avant de l’ouvrir ; à l’intérieur se trouve des boules de geisha, deux billes en métal reliées par un fil, dans chacune de ces billes se trouve une autre bille plus lourde qui bouge à chaque mouvements ce qui provoque des contractions du vagin et un plaisir prolongé.
Hum… je n’ai jamais utilisé ce genre de gadget. Je vais dans la salle de bain, retire mon string, humidifie les billes avec de l’eau tiède, je place la première en moi, puis la seconde, je les pousse loin pour qu’elles ne tombent pas et je remets mon string en prenant soin de dissimuler la ficelle qui permet de les retirer.
En retournant sur le lit, je les sens en moi, c’est étrange comme sensation mais agréable chaque geste provoque un ressentit différent plus ou moins intense. Je tends l’oreille : en bas sa s’agite, mon Dominant doit tout préparer pour son repas et la démonstration, puis, après environ une demis heure, j’entends des voix d’hommes, les invités sont là. Je reste un bon moment dans la chambre avant que mon maître vienne me chercher, il est beau, il porte un smoking noir à cravate, il n'est cependant pas coiffé ni rasé ce qui lui donne un air négligé que j’adore.
- C’est l’heure ma belle, portes tu mon cadeau
- Oui monsieur
- Montres-moi, tournes toi et baisses toi.
Je m’exécute et il m’inflige une petite mais sec fessé qui me fait frémir, hum c’est agréable toute la région se trouvant sous mon nombril se met en éveil.
- Bien, maintenant suis moi et n’oublies pas, soit parfaite.
Il passe devant, je le suis, tête haute l’air fière dans ma tenue d’écolière, dos droit, les boules bougent en moi ce qui me force à faire de longs pas pour limiter mes mouvements. Nous nous dirigeons vers le salon, en face de nous, le canapé de cuir blanc, deux hommes de l’âge de mon maître y sont assis, devant ce canapé, une table en verre où sont disposés des verres ainsi que des amuses gueules, à notre gauche la cheminé qui est, pour l’occasion, allumée enfin à quelques pas de la table en verre, des chaines surmontées de menottes sont suspendues au plafond et descendent à un mètre du sol.
Je me stoppe devant la table, droite et digne, les bras le long du corps. Mon Dominant se place à côté de moi et tout en me désignant s’exclame ;
- Messieurs, permettez-moi de vous présenter ma soumise, Lika. Lika, je te présente Alexis et Baptiste, deux Dominants, soit polie salut les
- Bonsoir, dis-je poliment avec un hochement de tête
- Bonsoir, répondirent les deux hommes
Ils sont tous deux vêtus d’un smoking, Alexis est assez grand et musclé, il a les cheveux blonds en batailles et est raser de près, de toute évidence c’est un homme prenant grand soin de lui, Baptiste, quant à lui, est plus maigre, ses cheveux sont assez longs mais soigneusement coiffés. Ces deux hommes ont du charme c’est sûr. Ils me dévisagent un moment de la tête aux pieds, je reste droite sans bouger et sans trop les fixer. C’est Alexis qui finit par parler le premier :
- Elle n’est pas très grande ta soumise
- Mais il faut avouer qu’elle a un physique attirant, ajoute Baptiste
- C’est vrais, reprend Alexis, et regarde-moi ses petits seins et ce petit cul on en boufferait
- Messieurs s’il vous plait, reprend mon maître, je vous rappel les règles concernant ma soumise ; premièrement, ma soumise est mienne elle n’obéira qu’à moi et à moi seul donc elle ne fera uniquement ce que je lui dirai de faire. Deuxièmement, aucun de vous ne pourra honorer un de ses orifices sans que je l’ai honoré avant, de même que je suis le seul à pouvoir éjaculer en elle. Troisièmement, ma soumise à des limites dont je vous ai fait part précédemment et il vous est demandé de la traiter avec respect et de ne pas dépasser ces limites. Voilà, je vous en prie messieurs prenez un verre et mangez on aura tout le temps de jouir de ce petit corps.
Suite à ce discours, il se dirige vers le canapé et prend place entre les deux autres, je me place à genoux en face de la table, les mains croisées, en attendant les directives…
Ils parlent, boivent, grignotent, je regarde mes mains et les écoute, ils discutent de leurs soumises et les comparent. Leslie, la soumise d’Alexis, est grande, blonde et très disciplinée quand à Elisabeth, la soumise de Baptiste, elle est brune aux cheveux long et à la peau mâte, très douce et très belle. Mon maître vante mon caractère borné et impulsive mais aussi mon savoir-faire et ma dévotion à son plaisir. Les regards vont et viennent sur moi, on me jauge tout en savourant cet apéritif dînatoire.
- Lika, s’exprime mon dominant, vas donc à la cuisine chercher le plateau de toast !
- Oui monsieur
Je me lève pour me diriger vers la cuisine et revient avec un lourd plateau, les boules de geisha teintent en moi, il me faut une grande concentration pour ne pas gémir. Je fais le tour de la table afin de servir les invités tout en gardant la tête baissée. Alexis profite de mon passage pour me palper rapidement les fesses :
- Elle a peut-être soif ta soumise, s’exprime-t-il
- Surement, répond mon maître, tu as soif Lika ?
- Oui monsieur, dis-je timidement
- Viens t’asseoir alors juste là
A ces mots, il se lève pour me laisser s’asseoir entre les deux hommes, je prends place et croise mes jambes en gardant mes mains poser sur mes cuisses. Aussitôt, les regards se dirigent sur mes jambes et ma poitrine, mon Dominant se saisit d’un verre et vient derrière le canapé juste derrière moi :
- Lèves la tête, ouvres la bouche et fermes tes yeux.
Je renverse ma tête, yeux clos, je sens sur mes lèvres le contact froid du verre et l’odeur du vin blanc m’emplie les narines. Le vin se déverse lentement dans ma bouche, hum il est sucré, frais et exquis. Des mains commencent à effleurer ma peau à la base de mon cou, à descendre vers mes seins et à jouer avec mes tétons qui commencent à se raidir sous le tissu. D'un coups, le vin est versé trop vite dans ma bouche pour que j’arrive à l’avaler, il coule sur mon menton et mes joue, longeant mon cou et dégoulinant jusqu'entre mes seins.
- Oups, messieurs, il semblerait que ma soumise se soit un peu tachée, c’est si dommage de gâcher du si bon vin.
Il passe sa langue lentement dans mon cou et remonte jusqu'à mes lèvres en suivant une ligne que le vin a dessiné sur ma peau.
- Humm, c’est un délice, susurre-t-il, messieurs je vous en prie goûtez, elle a une peau si sucrée et avec le vin c’est absolument divin.
Baptiste commence, il suce une goutte tombée sur mon sein gauche tout en caressant mes jambes, puis Alexis lèche la longue traînée partant d’entre mes sein à ma bouche. C’est terriblement excitant d’être à la mercis de tous ces hommes et les boules à l’intérieur de moi me font mouiller. Les mains et les langues s’agitent sur moi, on suce et goûte mon corps afin de laper tout le vin s’y trouvant, on me caresse les jambes, le ventre, les cuisses, les seins mais aucun d'entres eux ne touchent mon sexe.
Alexis écarte ma chemise pour en sorti un sein avant de s’exclamer :
- Merde, elle n’a pas de soutif ! quelle coquine si ça ce n’est pas un appel au désir ! Tu veux te faire désirer ma belle ?
- Oui monsieur, répondis-je en m’empourprant.
Baptiste fait à son tour sortir mon autre sein de la chemise, il les palpe et tire sur les tétons. Alexis se met à sucer durement et à le mordiller mon sein, je ne peux retenir un gémissement. Les deux hommes s’acharnent sur ma poitrine tandis que mon Dominant, toujours debout derrière moi, nous observe en se caressant.
- Tournes toi, ordonne-t-il, mets toi face à moi !
J’obéis, montant mes genoux sur l’assise du canapé et mes bras sur le dossier, mes seins toujours nus se balancent dans le vide suivant mes mouvements et ma jupe remontent sur mes hanches dévoilant mes fesses et mon string déjà humide.
Mon maître baisse sa braguette et sort son membre déjà dur et dressé, il passe sa main sous mon visage avant de m’ordonner de le prendre en bouche. J’ouvre mes lèvres, d’un grand geste il enfonce son pénis de toute sa longueur dans ma gorge, ce qui me donne un haut de cœur et me fait tousser. Les deux hommes nous regardent l’air amusés, un d’entres eux me fesse, ce qui m’arrache un gémissement de surprise. Les mains de mon Dominant entourent ma tête pour la maintenir tandis qu’il me baise la bouche pendant que ses confrères me caressent les fesses, pincent mes tétons, les sucent et caressent mon sexe à travers le string. C’est horrible, je mouille énormément excitée par ce traitement, par les boules de geisha, par toutes ces sensations, j’ai envie de jouir.
Je sens quelque chose de dur derrière moi, un des deux hommes se branle entre mes fesses tout en les malaxant, l’autre joue toujours avec ma poitrine et lui afflige des petites claques avec sa bite durcit. Mon Dominant, quant à lui, va de plus en plus loin dans ma gorge et de plus en plus vite, j’ai du mal à reprendre mon souffle, son érection est si impressionnante qu’elle m’étouffe presque, des larmes perlent sur mes joues et ses allers retours profonds me font baver et tousser. On attrape ma main et on la referme sur un membre dur, un des hommes désire que je le branle, je m’exécute en montant et descendant ma main lentement mais fermement augmentant petit à petit la pression de mes doigts. L’autre resserre l’étreinte de mes fesses autour de son membre, je les sens tous les trois durcir de plus en plus. Au bout d’un moment, Alexis jouis sous les caresses que je lui fais, s’en suit Baptiste qui répand sa semence sur mes fesses et enfin mon maître qui éjacule au plus profond de ma gorge me forçant à avaler.
Je reprends mon souffle, les deux hommes se rhabillent ainsi que mon Dominant :
- Alors messieurs, s’exclame-t-il, comment avez-vous trouvé cette petite mise en bouche ?
- Il faut avouer qu’elle est douée de ses mains la petite, répond Alexis
- Et ses fesses sont un véritable plaisir, enchérie Baptiste.
- Bien messieurs, continuons le repas, en attendant, je vais m’occuper de préparer Lika pour le dessert.
Après avoir ramené les plats sur la table, mon Dominant pose en face de celle-ci une chaise et m’ordonne de m’y asseoir. Il me menotte les poignées derrière le dossier avant de passer ma chemise sous mes seins afin de les découvrir entièrement. Les deux hommes observent chacun de ses gestes, je me sens gênée d’être ainsi dévoilée mais l’excitation prend le dessus. Enfin, il sort de sa poche un petit vibro, qu’il attache de manière à ce qu’il touche mon clitoris à travers le tissu de mon string, il le met en marche avant de retourner sur le canapé.
Le dîner me semble être une éternité, le vibro n’est pas assez fort pour m’emmener à la jouissance, et, mêlé aux contractions due aux boules de geisha, je suis bloquée à la limite de l’orgasme. Je mouille abondamment en laissant échapper de temps en temps un gémissement de plaisir.
- Messieurs, reprend mon dominant, il est temps de passer au dessert et aux jouissances.
Il s’avance vers moi, me détache, m’enlève le vibro et m’entraîne vers les chaînes suspendues au plafond. Il m’y attache, je me retrouve suspendue, ventre vers le sol, à un mètre de haut. Il s’empare de mon string, le jette à terre et enlève les boules de geisha avant de s’enfoncer rapidement et avec force en moi :
- Hummmm, messieurs, c’est un vrais délice on y rentre tout seul avec toute cette mouille.
Effectivement, à ma grande surprise, je n’ai ressenti aucune douleur, Il commence à faire de petits mouvements lents et réguliés, j’aime quand il fait ça, ça m’excite au plus haut point. Alexis se lève et se place devant ma tête, et, empoignant sont sexe durcit, me le fourre dans la bouche tout en malaxant mes seins. C’est terriblement bon de se sentir sans défenses et à la mercis de ces hommes, mon Dominant accélère ses mouvements de manière violente, chacun de ses coups de rein enfonce sa bite plus loin en moi et celle d’Alexis au plus profond de ma gorge. Baptiste reste sur le canapé tout en se branlant à la vue de cette scène. Je prends un pied fou et sens que je vais bientôt jouir. Tout en me pilonnant, mon Dominant caresse d’un doigt mon anus avant de l’enfoncer en moi et de décrire des cercles avec. C’est trop de sensation j’explose dans un orgasme intense rependant un peu de mouille sur le sol. Mon maître suit en éjaculant abondamment, Alexis lui, se retire avant de jouir.
C’est au tour de Baptiste d’approcher, il agrippe mes cheveux et enfonce son pénis dans ma gorge brutalement manquant de peu de m’étouffer. Je sens Alexis me caresser les fesses et la chatte, du sperme coule le long de mes cuisses, je mouille toujours autant, il caresse mes lèvres de part en part avec son gland avant de me pénétrer. Aïe, là j’ai eu mal, il a une érection impressionnante et chacun de ses mouvements tend mon vagin et tape contre le fond. J’ai mal mais pas tant que ça, mon Dominant, resté à l’écart caresse mon clitoris tout en se branlant pour redonner vigueur à son organe. Je me fais baiser par la bouche et le sexe, leurs mouvements sont parfaitement synchronisés. Malgré la violence des coups de rein d’Alexis, je fais de mon mieux pour sucer Baptiste, ce dernier se retire in extrémis pour se rependre sur mon dos. Alexis se retire, ce mec à une endurance incroyable, il n’a toujours pas jouis malgré la pipe et le fait de me prendre.
Je suis essoufflée, le fait d’être suspendue tire sur mes membres et me fatigue, je suis secouée de spasmes due à des petits orgasmes répétés. Tous mes sens sont au garde à vous et mon corps est hypersensible. Mon maître se place derrière moi, entre mes jambes, il écarte mes fesse dévoilant ainsi ma chatte humide par un mélange de sperme et de mouille et mon anus. Il s’exclame :
- Messieurs, cet orifice est à moi, tel est la dernière limite car même si je vous partage ma soumise la sodomie restera mon exclusivité.
Il me caresse avec sa bite du sexe à l’anus afin de bien lubrifier pour faciliter la pénétration puis, il me pénètre lentement, délicatement afin d’habituer mon corps à cette pénétration qui autrefois me répugnait. Une fois mon anus bien dilaté par les légers allers et retours, mon Dominant accélère et va plus loin et plus vite. Son corps percute mes fesses et je sens ses testicules me claquer à chaque fois qu’il s’enfonce en moi. Pendant que je me fais sauvagement sodomiser, Alexis me caresse le clitoris du pouce tout en insérant des doigts en moi. Ce traitement dure jusqu'à ce que j’ai de nouveau un puissant orgasme suivi mon Dominant qui se raidit et jouis une troisième fois au plus profond de moi. Je me sens à la fois souillée, gênée et comblée, j’adore ça.
Mon Dominant me détache, j’ai peine à tenir sur mes jambes, elles sont engourdies et mes poignets sont endoloris.
- Regardes ma belle, Baptiste est tout seul sur le canapé, si tu allais lui montrer à quel point tu es douée de ton corps ?
Je n’avais même pas remarqué qu’il était reparti s’asseoir. Doucement j’avance vers lui, grimpe sur ses genoux face à lui et guide son organe vers mon sexe avant de l’enfoncer ce qui lui arrache un gémissement de plaisir. M’agrippant au dossier du canapé je fais bouger circulairement mes hanches au rythme des claques que Baptiste sème sur mes fesses. Je sens mon maître s’approcher derrière moi et me soulever pour enfoncer son engin, une nouvelle fois, dans mes fesses, quelle sensation ! Je ne m’étais jamais fait doublement pénétrer, c’est à la fois douloureux et bon, tout mon intérieur est tendu à l’extrême. Ils synchronisent leur mouvement si bien qu’ils me remplissent au point de parfois me faire geindre de douleur entre deux gémissements de plaisir.
Bientôt Alexis nous rejoins, et, se plaçant à genoux à côté de moi, me met sa bite dans la bouche. C’est le cas de le dire, je me fais prendre de tous les côtés, excité par ce fait, j’accélère les mouvements de haut en bas tout en laissant Alexis baiser ma bouche. Il finit par rejeter ma tête en arrière afin de répartir sa semence sur mes seins, Baptiste le suit de peu laissant mon Dominant me porter en me tenant les cuisses écarté et son engin dans mon cul pour qu’il puisse se répandre sur ma jupe et mes jambes. Finalement mon maître jouis une dernière fois en moi avant de se retirer laissant des coulées de sperme longer mes cuisses et tacher mes bas.
Je suis épuisée, engourdie et souillée. Mon maître me regarde avec fierté et ses amis sourient en se rhabillant l’air satisfait.
- Messieurs, je vous laisse vous rhabiller tandis que je raccompagne ma soumise dans sa chambre, dit leurs au revoir Lika.
- Au revoir messieurs et merci
- Bonne fille, aller monte dans ta chambre je te suis.
Une fois retournée dans la chambre, mon dominant ferme la porte et me regarde :
- Tu as été parfaite, je suis fière de toi, maintenant va prendre une douche et repose toi je viendrai te rejoindre une fois la soirée terminée.
Il pose un baiser chaste sur mes lèvres avant de redescendre. La douche me fait un bien fou, me refroidit et me détend, j’ai terriblement sommeil, je m’enfonce sous les draps doux et moelleux avant de sombrer dans un profond sommeil.
Le soleil vient me réveiller en douceur, mince ! Je suis courbaturée, déjà le matin ? Je n’ai même pas senti mon Dominant me rejoindre cette nuit. D'ailleurs il n’est pas là. A côté de moi, sur la table de chevet, je trouve un plateau avec du thé, des croissants et du jus d’orange le tout avec un petit mot :
« Pardonne moi j’ai dû partir, j’avais un imprévu, tu as été exemplaire hier et j’ai le plaisir de t’annoncer que tu as été déclarée comme la meilleure des soumises de nous trois, je suis fière de toi, repose toi, à mon retour tu auras une surprise »
Un sourire se dessine sur mes lèvres, je suis fière et il est fière, je prends tranquillement mon petit déjeuné avant de me recoucher en attendant mon cher et tendre maître.
Il y a environ six mois, j’ai accepté de signer un contrat avec lui, je devais lui être disponible en tout temps, docile, à l’écoute et par-dessus tout répondre à ses demandes. Si je le satisfaisais, il était gentil, doux, et attentionné avec moi mais, dans le cas contraire, il me punissait. Ça n’est arrivé qu’une fois, suite à un appel d’un autre Dominant voulant me posséder, ayant cru que je ne lui étais pas exclusive, il était devenu fou de rage et m’avait puni de coup de canne sur les fesses. Il n’aime pas me punir de cette manière, généralement il se contente de me priver d’orgasme si je le déçois. Je n’ai pas à me plaindre, il me satisfait comme aucun autre homme et de mon côté je m’efforce de donner vie à tous ses fantasmes. Il exige toujours une tenue pour un de nos rendez-vous, ainsi que des fringues de rechange car il ne me laisse jamais repartir chez moi, je dors sur place, dans son lit, en sécurité et surtout à sa disposition pour ses envies nocturnes.
Ce soir, il souhaite une tenue d’écolière et je sais exactement comment je vais me présenter à lui ; je dois mettre le paquet car ses amis sont des Dominants eux aussi et, pour mon maître, leurs montrer que sa soumise est meilleure que la leur est important. J’ai peur, si je ne suis pas à la hauteur, il me punira et aura honte de moi, je risque de le perdre et je ne le veux pas. Je dois admettre que c’est un plaisir de relever ce défis, j’ai entendue parler de leurs soumises et être meilleure qu’elles et surtout être enviée par leurs Dominants sera une fierté pour mon maître et moi. Ma tenue doit être parfaite, mon comportement exemplaire et surtout je dois être assez endurante pour satisfaire les désirs de mon Dominant lors de cette soirée.
Une fois rentrée chez moi, je me précipite, j’ai une heure pour me préparer sans fausses notes ; d’abord une douche, je me rase soigneusement les jambes, les aisselles, le pubis et le sexe, je me lave avec un savon sentant le caramel et un shampoing à la vanille. Je me sèche et sélectionne ma tenue, une minijupe très courte écossaise rouge, un string en dentelle et des bas autoportants noirs, une chemise blanche que j’attache juste en dessous de ma poitrine pour laisser apparaître mon ventre, soutenir mes seins et les cacher juste au-dessus du téton laissant un grand décolleté plongeant, enfin, je chausse mes bottines noire à talon plein.
Le maquillage à présent, un peu de fond de teint pour harmoniser, du blush rose sur les pommettes pour rafraîchir, du crayon, eye liner et mascara pour mes yeux verts et enfin du rouge à lèvre rouge vif. Mes cheveux courts ne me permettent pas de faire des couettes mais je les laisse naturel car, étant épais, mon Dominant aime s’en saisir pour diverses choses. Pour finir, je fourre dans un sac le nécessaire pour le lendemain, j’attrape ma veste en cuir et m’en vais.
Je sonne à la porte, mon maître ouvre, j’ai la tête baissée, il la relève de sa main pour me poser un baiser chaste et rapide sur mes lèvres. Ses invités ne sont pas encore arrivés, je m’assois sur le canapé du salon, il me sert un verre de vin blanc frais et sucré, on parle de tout et de rien avant qu’il me briffe pour la soirée :
- Bon écoutes, je pense que tu sais pourquoi mes amis viennent ce soir.
- Oui, répondis-je
- Ce mois-ci j’ai été chez chacun d’entres eux, ils nous ont, tous deux, présenté leurs soumises, c’est à mon tour de te présenter et de te mettre à l’épreuve, ainsi soit docile, toi-même et tout ira bien. Tu as compris ?
- Oui monsieur
- Bien ma belle, tu es sublime ce soir, va dans la chambre maintenant déposer tes affaires et tu descendras quand je te le dirais. A ce moment-là tu seras notre distraction et nous allons tous les trois jouer avec toi.
A ce moment-là je m’inquiète, je n’ai jamais eu plusieurs partenaires, je ne les connais pas, et si je n’étais pas à la hauteur ?
- Ne t’inquiètes pas ma belle, reprend –il, je dirigerais toute la soirée, fixerais les limites et veillerais à ce qu’ils soient respectueux avec toi et qu’ils ne franchissent pas tes limites. Ça ira ?
- Oui monsieur…
- Bien, maintenant montes et attends que je t’appel.
Je me lève, attrape mon sac et me diriges vers l’escalier quand il m’interpelle :
- Hé attends ! j’allais oublier prends ça et portes les, c’est un cadeau de ma part. A toute à l’heure bébé.
Je prends le paquet et monte en vitesse. La chambre est vaste, un lit double est au centre de la pièce, à gauche se trouve la salle de bain composer d’une grande douche, d’un lavabo surmonté d’étagère et d’un miroir, à droite se trouve le dressing. J’y déposes mes affaires et m’assois sur le lit moelleux. Je regarde attentivement la boite avant de l’ouvrir ; à l’intérieur se trouve des boules de geisha, deux billes en métal reliées par un fil, dans chacune de ces billes se trouve une autre bille plus lourde qui bouge à chaque mouvements ce qui provoque des contractions du vagin et un plaisir prolongé.
Hum… je n’ai jamais utilisé ce genre de gadget. Je vais dans la salle de bain, retire mon string, humidifie les billes avec de l’eau tiède, je place la première en moi, puis la seconde, je les pousse loin pour qu’elles ne tombent pas et je remets mon string en prenant soin de dissimuler la ficelle qui permet de les retirer.
En retournant sur le lit, je les sens en moi, c’est étrange comme sensation mais agréable chaque geste provoque un ressentit différent plus ou moins intense. Je tends l’oreille : en bas sa s’agite, mon Dominant doit tout préparer pour son repas et la démonstration, puis, après environ une demis heure, j’entends des voix d’hommes, les invités sont là. Je reste un bon moment dans la chambre avant que mon maître vienne me chercher, il est beau, il porte un smoking noir à cravate, il n'est cependant pas coiffé ni rasé ce qui lui donne un air négligé que j’adore.
- C’est l’heure ma belle, portes tu mon cadeau
- Oui monsieur
- Montres-moi, tournes toi et baisses toi.
Je m’exécute et il m’inflige une petite mais sec fessé qui me fait frémir, hum c’est agréable toute la région se trouvant sous mon nombril se met en éveil.
- Bien, maintenant suis moi et n’oublies pas, soit parfaite.
Il passe devant, je le suis, tête haute l’air fière dans ma tenue d’écolière, dos droit, les boules bougent en moi ce qui me force à faire de longs pas pour limiter mes mouvements. Nous nous dirigeons vers le salon, en face de nous, le canapé de cuir blanc, deux hommes de l’âge de mon maître y sont assis, devant ce canapé, une table en verre où sont disposés des verres ainsi que des amuses gueules, à notre gauche la cheminé qui est, pour l’occasion, allumée enfin à quelques pas de la table en verre, des chaines surmontées de menottes sont suspendues au plafond et descendent à un mètre du sol.
Je me stoppe devant la table, droite et digne, les bras le long du corps. Mon Dominant se place à côté de moi et tout en me désignant s’exclame ;
- Messieurs, permettez-moi de vous présenter ma soumise, Lika. Lika, je te présente Alexis et Baptiste, deux Dominants, soit polie salut les
- Bonsoir, dis-je poliment avec un hochement de tête
- Bonsoir, répondirent les deux hommes
Ils sont tous deux vêtus d’un smoking, Alexis est assez grand et musclé, il a les cheveux blonds en batailles et est raser de près, de toute évidence c’est un homme prenant grand soin de lui, Baptiste, quant à lui, est plus maigre, ses cheveux sont assez longs mais soigneusement coiffés. Ces deux hommes ont du charme c’est sûr. Ils me dévisagent un moment de la tête aux pieds, je reste droite sans bouger et sans trop les fixer. C’est Alexis qui finit par parler le premier :
- Elle n’est pas très grande ta soumise
- Mais il faut avouer qu’elle a un physique attirant, ajoute Baptiste
- C’est vrais, reprend Alexis, et regarde-moi ses petits seins et ce petit cul on en boufferait
- Messieurs s’il vous plait, reprend mon maître, je vous rappel les règles concernant ma soumise ; premièrement, ma soumise est mienne elle n’obéira qu’à moi et à moi seul donc elle ne fera uniquement ce que je lui dirai de faire. Deuxièmement, aucun de vous ne pourra honorer un de ses orifices sans que je l’ai honoré avant, de même que je suis le seul à pouvoir éjaculer en elle. Troisièmement, ma soumise à des limites dont je vous ai fait part précédemment et il vous est demandé de la traiter avec respect et de ne pas dépasser ces limites. Voilà, je vous en prie messieurs prenez un verre et mangez on aura tout le temps de jouir de ce petit corps.
Suite à ce discours, il se dirige vers le canapé et prend place entre les deux autres, je me place à genoux en face de la table, les mains croisées, en attendant les directives…
Ils parlent, boivent, grignotent, je regarde mes mains et les écoute, ils discutent de leurs soumises et les comparent. Leslie, la soumise d’Alexis, est grande, blonde et très disciplinée quand à Elisabeth, la soumise de Baptiste, elle est brune aux cheveux long et à la peau mâte, très douce et très belle. Mon maître vante mon caractère borné et impulsive mais aussi mon savoir-faire et ma dévotion à son plaisir. Les regards vont et viennent sur moi, on me jauge tout en savourant cet apéritif dînatoire.
- Lika, s’exprime mon dominant, vas donc à la cuisine chercher le plateau de toast !
- Oui monsieur
Je me lève pour me diriger vers la cuisine et revient avec un lourd plateau, les boules de geisha teintent en moi, il me faut une grande concentration pour ne pas gémir. Je fais le tour de la table afin de servir les invités tout en gardant la tête baissée. Alexis profite de mon passage pour me palper rapidement les fesses :
- Elle a peut-être soif ta soumise, s’exprime-t-il
- Surement, répond mon maître, tu as soif Lika ?
- Oui monsieur, dis-je timidement
- Viens t’asseoir alors juste là
A ces mots, il se lève pour me laisser s’asseoir entre les deux hommes, je prends place et croise mes jambes en gardant mes mains poser sur mes cuisses. Aussitôt, les regards se dirigent sur mes jambes et ma poitrine, mon Dominant se saisit d’un verre et vient derrière le canapé juste derrière moi :
- Lèves la tête, ouvres la bouche et fermes tes yeux.
Je renverse ma tête, yeux clos, je sens sur mes lèvres le contact froid du verre et l’odeur du vin blanc m’emplie les narines. Le vin se déverse lentement dans ma bouche, hum il est sucré, frais et exquis. Des mains commencent à effleurer ma peau à la base de mon cou, à descendre vers mes seins et à jouer avec mes tétons qui commencent à se raidir sous le tissu. D'un coups, le vin est versé trop vite dans ma bouche pour que j’arrive à l’avaler, il coule sur mon menton et mes joue, longeant mon cou et dégoulinant jusqu'entre mes seins.
- Oups, messieurs, il semblerait que ma soumise se soit un peu tachée, c’est si dommage de gâcher du si bon vin.
Il passe sa langue lentement dans mon cou et remonte jusqu'à mes lèvres en suivant une ligne que le vin a dessiné sur ma peau.
- Humm, c’est un délice, susurre-t-il, messieurs je vous en prie goûtez, elle a une peau si sucrée et avec le vin c’est absolument divin.
Baptiste commence, il suce une goutte tombée sur mon sein gauche tout en caressant mes jambes, puis Alexis lèche la longue traînée partant d’entre mes sein à ma bouche. C’est terriblement excitant d’être à la mercis de tous ces hommes et les boules à l’intérieur de moi me font mouiller. Les mains et les langues s’agitent sur moi, on suce et goûte mon corps afin de laper tout le vin s’y trouvant, on me caresse les jambes, le ventre, les cuisses, les seins mais aucun d'entres eux ne touchent mon sexe.
Alexis écarte ma chemise pour en sorti un sein avant de s’exclamer :
- Merde, elle n’a pas de soutif ! quelle coquine si ça ce n’est pas un appel au désir ! Tu veux te faire désirer ma belle ?
- Oui monsieur, répondis-je en m’empourprant.
Baptiste fait à son tour sortir mon autre sein de la chemise, il les palpe et tire sur les tétons. Alexis se met à sucer durement et à le mordiller mon sein, je ne peux retenir un gémissement. Les deux hommes s’acharnent sur ma poitrine tandis que mon Dominant, toujours debout derrière moi, nous observe en se caressant.
- Tournes toi, ordonne-t-il, mets toi face à moi !
J’obéis, montant mes genoux sur l’assise du canapé et mes bras sur le dossier, mes seins toujours nus se balancent dans le vide suivant mes mouvements et ma jupe remontent sur mes hanches dévoilant mes fesses et mon string déjà humide.
Mon maître baisse sa braguette et sort son membre déjà dur et dressé, il passe sa main sous mon visage avant de m’ordonner de le prendre en bouche. J’ouvre mes lèvres, d’un grand geste il enfonce son pénis de toute sa longueur dans ma gorge, ce qui me donne un haut de cœur et me fait tousser. Les deux hommes nous regardent l’air amusés, un d’entres eux me fesse, ce qui m’arrache un gémissement de surprise. Les mains de mon Dominant entourent ma tête pour la maintenir tandis qu’il me baise la bouche pendant que ses confrères me caressent les fesses, pincent mes tétons, les sucent et caressent mon sexe à travers le string. C’est horrible, je mouille énormément excitée par ce traitement, par les boules de geisha, par toutes ces sensations, j’ai envie de jouir.
Je sens quelque chose de dur derrière moi, un des deux hommes se branle entre mes fesses tout en les malaxant, l’autre joue toujours avec ma poitrine et lui afflige des petites claques avec sa bite durcit. Mon Dominant, quant à lui, va de plus en plus loin dans ma gorge et de plus en plus vite, j’ai du mal à reprendre mon souffle, son érection est si impressionnante qu’elle m’étouffe presque, des larmes perlent sur mes joues et ses allers retours profonds me font baver et tousser. On attrape ma main et on la referme sur un membre dur, un des hommes désire que je le branle, je m’exécute en montant et descendant ma main lentement mais fermement augmentant petit à petit la pression de mes doigts. L’autre resserre l’étreinte de mes fesses autour de son membre, je les sens tous les trois durcir de plus en plus. Au bout d’un moment, Alexis jouis sous les caresses que je lui fais, s’en suit Baptiste qui répand sa semence sur mes fesses et enfin mon maître qui éjacule au plus profond de ma gorge me forçant à avaler.
Je reprends mon souffle, les deux hommes se rhabillent ainsi que mon Dominant :
- Alors messieurs, s’exclame-t-il, comment avez-vous trouvé cette petite mise en bouche ?
- Il faut avouer qu’elle est douée de ses mains la petite, répond Alexis
- Et ses fesses sont un véritable plaisir, enchérie Baptiste.
- Bien messieurs, continuons le repas, en attendant, je vais m’occuper de préparer Lika pour le dessert.
Après avoir ramené les plats sur la table, mon Dominant pose en face de celle-ci une chaise et m’ordonne de m’y asseoir. Il me menotte les poignées derrière le dossier avant de passer ma chemise sous mes seins afin de les découvrir entièrement. Les deux hommes observent chacun de ses gestes, je me sens gênée d’être ainsi dévoilée mais l’excitation prend le dessus. Enfin, il sort de sa poche un petit vibro, qu’il attache de manière à ce qu’il touche mon clitoris à travers le tissu de mon string, il le met en marche avant de retourner sur le canapé.
Le dîner me semble être une éternité, le vibro n’est pas assez fort pour m’emmener à la jouissance, et, mêlé aux contractions due aux boules de geisha, je suis bloquée à la limite de l’orgasme. Je mouille abondamment en laissant échapper de temps en temps un gémissement de plaisir.
- Messieurs, reprend mon dominant, il est temps de passer au dessert et aux jouissances.
Il s’avance vers moi, me détache, m’enlève le vibro et m’entraîne vers les chaînes suspendues au plafond. Il m’y attache, je me retrouve suspendue, ventre vers le sol, à un mètre de haut. Il s’empare de mon string, le jette à terre et enlève les boules de geisha avant de s’enfoncer rapidement et avec force en moi :
- Hummmm, messieurs, c’est un vrais délice on y rentre tout seul avec toute cette mouille.
Effectivement, à ma grande surprise, je n’ai ressenti aucune douleur, Il commence à faire de petits mouvements lents et réguliés, j’aime quand il fait ça, ça m’excite au plus haut point. Alexis se lève et se place devant ma tête, et, empoignant sont sexe durcit, me le fourre dans la bouche tout en malaxant mes seins. C’est terriblement bon de se sentir sans défenses et à la mercis de ces hommes, mon Dominant accélère ses mouvements de manière violente, chacun de ses coups de rein enfonce sa bite plus loin en moi et celle d’Alexis au plus profond de ma gorge. Baptiste reste sur le canapé tout en se branlant à la vue de cette scène. Je prends un pied fou et sens que je vais bientôt jouir. Tout en me pilonnant, mon Dominant caresse d’un doigt mon anus avant de l’enfoncer en moi et de décrire des cercles avec. C’est trop de sensation j’explose dans un orgasme intense rependant un peu de mouille sur le sol. Mon maître suit en éjaculant abondamment, Alexis lui, se retire avant de jouir.
C’est au tour de Baptiste d’approcher, il agrippe mes cheveux et enfonce son pénis dans ma gorge brutalement manquant de peu de m’étouffer. Je sens Alexis me caresser les fesses et la chatte, du sperme coule le long de mes cuisses, je mouille toujours autant, il caresse mes lèvres de part en part avec son gland avant de me pénétrer. Aïe, là j’ai eu mal, il a une érection impressionnante et chacun de ses mouvements tend mon vagin et tape contre le fond. J’ai mal mais pas tant que ça, mon Dominant, resté à l’écart caresse mon clitoris tout en se branlant pour redonner vigueur à son organe. Je me fais baiser par la bouche et le sexe, leurs mouvements sont parfaitement synchronisés. Malgré la violence des coups de rein d’Alexis, je fais de mon mieux pour sucer Baptiste, ce dernier se retire in extrémis pour se rependre sur mon dos. Alexis se retire, ce mec à une endurance incroyable, il n’a toujours pas jouis malgré la pipe et le fait de me prendre.
Je suis essoufflée, le fait d’être suspendue tire sur mes membres et me fatigue, je suis secouée de spasmes due à des petits orgasmes répétés. Tous mes sens sont au garde à vous et mon corps est hypersensible. Mon maître se place derrière moi, entre mes jambes, il écarte mes fesse dévoilant ainsi ma chatte humide par un mélange de sperme et de mouille et mon anus. Il s’exclame :
- Messieurs, cet orifice est à moi, tel est la dernière limite car même si je vous partage ma soumise la sodomie restera mon exclusivité.
Il me caresse avec sa bite du sexe à l’anus afin de bien lubrifier pour faciliter la pénétration puis, il me pénètre lentement, délicatement afin d’habituer mon corps à cette pénétration qui autrefois me répugnait. Une fois mon anus bien dilaté par les légers allers et retours, mon Dominant accélère et va plus loin et plus vite. Son corps percute mes fesses et je sens ses testicules me claquer à chaque fois qu’il s’enfonce en moi. Pendant que je me fais sauvagement sodomiser, Alexis me caresse le clitoris du pouce tout en insérant des doigts en moi. Ce traitement dure jusqu'à ce que j’ai de nouveau un puissant orgasme suivi mon Dominant qui se raidit et jouis une troisième fois au plus profond de moi. Je me sens à la fois souillée, gênée et comblée, j’adore ça.
Mon Dominant me détache, j’ai peine à tenir sur mes jambes, elles sont engourdies et mes poignets sont endoloris.
- Regardes ma belle, Baptiste est tout seul sur le canapé, si tu allais lui montrer à quel point tu es douée de ton corps ?
Je n’avais même pas remarqué qu’il était reparti s’asseoir. Doucement j’avance vers lui, grimpe sur ses genoux face à lui et guide son organe vers mon sexe avant de l’enfoncer ce qui lui arrache un gémissement de plaisir. M’agrippant au dossier du canapé je fais bouger circulairement mes hanches au rythme des claques que Baptiste sème sur mes fesses. Je sens mon maître s’approcher derrière moi et me soulever pour enfoncer son engin, une nouvelle fois, dans mes fesses, quelle sensation ! Je ne m’étais jamais fait doublement pénétrer, c’est à la fois douloureux et bon, tout mon intérieur est tendu à l’extrême. Ils synchronisent leur mouvement si bien qu’ils me remplissent au point de parfois me faire geindre de douleur entre deux gémissements de plaisir.
Bientôt Alexis nous rejoins, et, se plaçant à genoux à côté de moi, me met sa bite dans la bouche. C’est le cas de le dire, je me fais prendre de tous les côtés, excité par ce fait, j’accélère les mouvements de haut en bas tout en laissant Alexis baiser ma bouche. Il finit par rejeter ma tête en arrière afin de répartir sa semence sur mes seins, Baptiste le suit de peu laissant mon Dominant me porter en me tenant les cuisses écarté et son engin dans mon cul pour qu’il puisse se répandre sur ma jupe et mes jambes. Finalement mon maître jouis une dernière fois en moi avant de se retirer laissant des coulées de sperme longer mes cuisses et tacher mes bas.
Je suis épuisée, engourdie et souillée. Mon maître me regarde avec fierté et ses amis sourient en se rhabillant l’air satisfait.
- Messieurs, je vous laisse vous rhabiller tandis que je raccompagne ma soumise dans sa chambre, dit leurs au revoir Lika.
- Au revoir messieurs et merci
- Bonne fille, aller monte dans ta chambre je te suis.
Une fois retournée dans la chambre, mon dominant ferme la porte et me regarde :
- Tu as été parfaite, je suis fière de toi, maintenant va prendre une douche et repose toi je viendrai te rejoindre une fois la soirée terminée.
Il pose un baiser chaste sur mes lèvres avant de redescendre. La douche me fait un bien fou, me refroidit et me détend, j’ai terriblement sommeil, je m’enfonce sous les draps doux et moelleux avant de sombrer dans un profond sommeil.
Le soleil vient me réveiller en douceur, mince ! Je suis courbaturée, déjà le matin ? Je n’ai même pas senti mon Dominant me rejoindre cette nuit. D'ailleurs il n’est pas là. A côté de moi, sur la table de chevet, je trouve un plateau avec du thé, des croissants et du jus d’orange le tout avec un petit mot :
« Pardonne moi j’ai dû partir, j’avais un imprévu, tu as été exemplaire hier et j’ai le plaisir de t’annoncer que tu as été déclarée comme la meilleure des soumises de nous trois, je suis fière de toi, repose toi, à mon retour tu auras une surprise »
Un sourire se dessine sur mes lèvres, je suis fière et il est fière, je prends tranquillement mon petit déjeuné avant de me recoucher en attendant mon cher et tendre maître.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tré belle histoire de vie, la suite serait agréable à lire !