L'apprenti 2

- Par l'auteur HDS Passud -
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : L'apprenti 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'apprenti 2
Henri se concentre comme il peut sur son travail, il ne veut pas penser à la nuit de la veille.

Il se déteste d'avoir succombé à ses pulsions.
La réalité des faits lui est revenue, dès le matin, au moment d'évacuer ses besoins naturels.
Avoir du sperme dans l'anus n'est pas habituel pour lui.

Il n'en veut pas à Bernard, conscient que s'il avait vraiment résisté, il n'en serait pas là.
Donc, malgré lui, il doit assumer ce penchant pour le sexe masculin.

Ce qui est nouveau, c'est cette première expérience, avec un homme bien plus âgé que lui !
C'est bien plus excitant, il a adoré se faire posséder par Bernard, même son physique banal est pour beaucoup dans cette sensation, qui le saisit à nouveau quand il y repense.

Et cette queue ! Il la revoit sans cesse devant ses yeux, cette pensée le fait bander !
Elle est tellement plus épaisse et longue que celles des adolescents de ses jeux passés.
Il doit résister à l'envie de se branler, ce qui n'est pas simple.

L'heure du repas arrive, Bernard vient aider Henri à terminer sa tache.

"Dépêches-toi de ranger, minot ! On va manger au routier du coin ! Et on revient à 14 h !".

Dans l'auto, au retour du restaurant, le maçon voit bien que le garçon est ailleurs.

"Ca va pas ? Tu repenses à hier soir ! Tu m'en veux ?".
"Euh, oui, j'y repense, mais non, je ne t'en veux pas ! J'ai pas vraiment dis non !".
"C'est vrai ! Mais y a rien de grave ! Y a plein de mec qui baisent entre eux ! On se fait du bien ! Y a pas de mal !".
"Oui, après tout, je crois que je vais le prendre comme ça ! T'as raison !".
"Et, ça te dirait de recommencer ? On est ensemble pour la semaine ! Ce sera entre nous !".
"Euh,... je sais pas ! ... Oh, allez zut ! Pourquoi pas !".
"Bon ! Super ! J'ai une idée !".

L'homme s'arrête en bordure de route, puis prend un chemin retiré.
Il se soulève le bassin et se dénude le bas ventre en disant au garçon:

"Tiens, regardes ! Je bande déjà ! Tu voudrais pas me sucer ? Je te laisse faire !".

Henri, hésite quelques secondes, puis devant cet engin de plaisir, qui l'a tellement comblé de bonheur, la veille, il cède et commence à le masturber.

Son visage s'approche lentement de la grosse verge dure, il l'englobe de ses lèvres.
Il se met à bander presque instantanément, lorsqu'il ressent les premiers enfoncements du gros gland contre le fond de sa gorge.

"Hummm ! C'est bon, minot ! Tu suces bien ! Ils te l'ont dit tes potes ?".
"Mmm, non, mais je crois que j'aime encore plus, le faire avec toi, c'est pour ça !".
"Ah bon, elle te plait ma bite, alors !".
"Oui, elle m'excite, j'ai eu envie de te sucer toute la matinée !".
"Fallait venir me voir ! J'aurai pas dis non ! Ouhhh ! Oh c'est bon !".

Henri salive abondamment sur la grosse verge du maçon, à force de mouvements amples et vicieux.
Ses doigts accompagnent le coulissement de sa bouche avec frénésie.
L'homme est submergé par le plaisir que lui procure le jeune garçon.
Henri lui fait ressentir, malgré lui, la passion qu'il a en le suçant encore et encore.
Les râles de Bernard répondent aux gémissements de plaisir buccal du garçon.
Leur bonheur est commun.

"Oh putain ! Minot ! Arhhhhhhhhhh ! Je vais cracher mon foutre ! Tiens ! avales tout !".

L'homme a peur qu'Henri retire sa bouche, il le maintient enfoncé avec puissance sur sa verge, pendant qu'il lui insémine la gorge.

Ce n'est pas la première fois qu'Henri avale du sperme, mais celui du maçon est bien plus fort en gout, il est plus abondant et épais aussi.
Il reprend son souffle par le nez, et est obligé d'ingurgiter le foutre chaud et gluant, à plusieurs reprises.

"Oh, Henri ! Si tu savais comme j'aime jouir dans ta bouche, c'est aussi bon que ton cul ! Arghhh ! Putain !".

A la fin d'une longue éjaculation, Henri relève lentement son visage, il regarde avec satisfaction le sexe de Bernard, vidé de son jus.

"Ca t'as plu ? Minot ?".
"Oui, c'est excitant ! Surtout ici ! On aurait pu nous voir ! C'est encore plus vicieux !".
"Bon ! Si je suis en forme, je te baiserai ce soir !".
"Euh, t'es pas obligé ! J'ai pas encore l'habitude de ça ! Tu sais !".
"Pourtant, vu comme t'as taché le drap ! T'as vraiment aimé te faire enculer, minot !".
"Tu peux employer un autre mot ! Tout ça, c'est un peu trop rapide pour moi !".
"Si tu veux !".

Ils rentrent pour reprendre leur activité.
Henri est toujours excité de sa fellation, il se cache un moment pour se branler.
La force de son éjaculation, l'étonne, mais révèle qu'il a aimé ce moment entre hommes.

Ce qui lui fait peur, c'est le comportement de Bernard, il ne sait pas comment réagir à ses clins d'œil.
Il a été surpris aussi, quand il s'est fait palper le cul par le maçon, avec cette phrase:

"T'as un beau cul, tu sais !".

Il doit se rendre à l'évidence, il va encore se faire sodomiser par le quarantenaire.
Il a éjaculé en se faisant écarteler les parois anales, par sa verge, c'est vrai !
Mais la largeur de sa grosse bite, lui fait encore peur, bien plus épaisse que celle du jeune garçon qui l'a possédé, la première fois.

Mais pour l'heure, il doit chasser cette pensée et reprendre sa tâche.

Le retour à l'hôtel est bienvenu, les deux complices sont un peu fatigués et très sales.
Chacun prend sa douche en toute intimité, mais Henri n'arrive pas à s'empêcher de reluquer la bite de Bernard lors de sa sortie, de la salle d'eau.

Ils vont se détendre à l'extérieur, devant un verre, puis vont se restaurer.
Quand ils reviennent à l'hôtel, il est plus de 21 h.

Bernard allume la TV, et se dévêt devant Henri pour s'allonger en slip sur son lit.
Henri réfléchit, puis fais de même, se disant qu'après tout, ils connaissent tout de l'anatomie de l'autre, à présent.

Ils sont pris par l'action du film d'aventure, et échangent quelques commentaires.
La suite du programme ne les intéressent guère, Bernard éteint l'appareil.

Ils discutent un moment, de tout et de rien, puis Bernard se caresse en pensant qu'Henri ne le voit pas.
Excité, il demande:

"Tu as aimé me sucer, tout à l'heure ?".
"Oui ! Tu le sais !".
"Et avaler mon sperme aussi ?".
"Euh... oui, aussi !".

Bernard se lève et s'approche du jeune garçon pour lui caresser les cheveux et le torse.

"Je vais pas arriver à dormir ! Si on s'amusait encore ? Regardes, je bande encore ! Tu veux pas en profiter ?".
"Bernard ! Ca fait beaucoup ! Je..., je... Mmm ! Mmmmmmmmmmmm !".

Le maçon vient de lui attirer le visage sur sa bite.
Il écarte ses mains et constate que le jeune garçon n'a plus besoin de se faire prier.
Bernard se fait pomper la queue avec délice, il laisse courir ses mains sur le corps du jeune homme.
Il lui ôte son caleçon.

"T'as pas besoin de ça ! Il fait trop chaud et t'es plus beau sans !".

L'homme salive entre ses doigts, il humidifie l'anus d'Henri, plusieurs fois.
Puis, il attrape le garçon par les fesses pour le placer en travers du lit.

"Bernard ! Je sais pas ! Fais doucement ! S'il te plait !".
"Oui, mon chéri ! T'inquiètes pas, je ferai attention ! On va se faire du bien, tu verras !".

Son sexe pousse lentement contre l'œillet du jeune garçon.
Henri sent son anus qui s'écartèle déjà, mais il est encore loin d'accepter la présence de Bernard.

"Ouhhhfff ! T'es gros Bernard ! Ta queue est trop large ! Arhhhhhhh !".
"On y est arrivé hier, ça va rentrer encore ! Je suis pas pressé !".

L'homme se retire et crache sur l'anus, un peu ouvert, du garçon, puis revient.
Henri constate que ce retour facilite la pénétration, son anus s'ouvre un peu plus.

"Arhhhhh ! C'est mieux quand tu fais ça, recommence encore ! Ohhhhhhh !".
Bernard s'exécute, après quatre tentatives, son gland passe enfin la collerette du jeune homme.

Henri gémit, puis râle, Bernard ne sais pas, si c'est du plaisir ou de la douleur.

"Ca va ? Je te fais mal ?".
"Arhhhhhhhh ! Non ! Ca va ! J'aime ! Je crois que tu peux bouger, maintenant !".

Bernard s'enfonce alors, entièrement dans son cul et entame une lente possession.

Henri se met à se crisper en serrant de ses mains, et mordant le matelas sous lui.

Son corps se fait balancer au rythme des assauts du maçon quarantenaire.
Plus il se fait posséder, plus le bruit de claquement contre ses fesses devient puissant.

"Oh, putain ! Chéri ! J'adore t'enculer ! C'est trop bon ! Dis moi que t'aime ça, toi aussi ! S'il te plait !".
"Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Oui ! J'aime ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh !".

Bernard ne veut pas être le seul à éjaculer, il caresse la queue d'Henri en l'enculant.
Le jeune garçon remplace les doigts du maçon, afin de mieux se masturber.
Il se cambre à l'extrême pour se donner à fond au maçon quarantenaire.

Le plaisir est trop puissant, il ne peut s'empêcher d'éjaculer sur le drap en se faisant éclater l'anus.

"Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Bernard ! C'est trop fort, je joui ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".

L'orgasme pénien du jeune garçon est très long à retomber, son plaisir anal le prolonge.

Le corps d'Henri se relâche, il se laisse posséder sans discontinuer par le maçon qui est encore loin de son orgasme, étant donné sa première jouissance, quelques heures plus tôt.

"Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Bernard ! Joui ! S'il te plait ! Pourquoi, tu es aussi long, ce soir ?".
"Désolé ! Mon petit ! Ca va arriver ! Ne t'inquiètes pas ! Putain, ce que j'aime ça ! Je prend mon pied !".

Henri serre les dents, malgré son impatience, il ressent un plaisir nouveau, bien plus fort qu'avec son premier amant, d'un jour !

"Oh, Putain Bernard ! Tu me tues, mais c'est bon ! Arghhhhhhhhh !".
"C'est vrai ? Tu aimes te faire enculer ?".
"Arhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii !".
"Ohrrrrrrrrrrhhhhhhh ! Chéri, je vais jouir ! Je peux te remplir le cul ?".
"Oui, comme hier, oui ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhgggggggggg ! Arhhhhhhhgggggg ! Pffffffffffff ! Aahhhhhhhhhh !".

Bernard claque le cul du jeune garçon et se déverse en se cramponnant avec force dans son anus.

Au milieu de sa longue éjaculation, il pousse le corps du garçon pour s'écraser sur lui, afin de se vider plus aisément.
Ils mêlent leurs gémissements de plaisir, pendant un moment hors du temps.

Lentement, Bernard se relève, il fixe sa grosse bite enfoncée dans l'anus de jeune garçon.

"Hummm ! J'adore ton cul, chéri ! Il m'a bien fait jouir ! Si tu savais comme je suis bien dedans !".
"Ohhhhh ! Tu me promets que tu le garderas pour toi ! C'est vrai ?".
"Bien sûr ! Moi non plus, je veux pas qu'on dise que je suis un pédé ! Je veux pas qu'on sache que je baise un mec ! C'est comme ça ! On est tous hypocrite ! On l'a tous fait, mais peu l'admettent !".
"Ok ! Merci ! Ca me rassure !".

Bernard va se laver la bite, puis c'est au tour du garçon, qui se vide l'anus du sperme du maçon, après une douche rapide.

Les deux larrons dorment ensuite d'un sommeil profond.

La nouveauté et le coté interdit de leur relation les pousse à beaucoup d'écarts sexuels.
Devant l'évidence de la fin de leur histoire, ils profitent d'un arrêt sur l'autoroute, au retour.
C'est Henri qui réclame:

"Bernard, il faut que tu m'encules, une dernière fois ! On sait pas, si on pourra encore le faire, après !".
"Oui, moi aussi, j'en ai envie ! T'as raison !".

Puis, en proie au désir, pendant les semaines qui suivirent, le maçon s'est décidé à donner son adresse au jeune garçon.

"Je vis seul, tu le sais, j'aimerai bien te revoir pour ce que tu penses ! Mais, sois discret ! Les gens ne doivent pas savoir !".
"Merci, Bernard, moi aussi, j'arrête pas d'y penser ! Je passerai ce soir, et dès que je peux, après !".
Bernard s'amusait de voir son jeune amant se faire attendre par sa petite amie, chaque soir.
Il s'enorgueillit intérieurement, de le baiser à l'insu de tous !
Leur relation a duré le temps du séjour de Bernard dans la ville, c'est à dire, plusieurs années.

Les avis des lecteurs

Malheureusement, le site ne gère que la publication des histoires (au compte goutte ! Mon dernier récit sera publié en Avril 2024 !) et pas les commentaires ! J'arrête d'écrire ici, bonne continuation ! Je ne vous manquerai pas, il y en a beaucoup d'autres !
PS: bizarre qu'on ne puisse pas supprimer un compte !

SVP, évitez les commentaires pédophiles !

Histoire Erotique
Trop bien cette histoire, dommage qu'elle se soit terminée . J'ai adoré tout, ça m'a rappelé mon histoire avec mon beau curé, monté comme un âne, j'avais onze ans, je ne l'ai jamais oublié .

La description de la fellation est extra : c'est ce que je ressens lorsque je suce un partenaire et qu'il gicle dans ma bouche. Très belle et bonne sodo également. Merci



Texte coquin : L'apprenti 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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