L'apprenti
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'apprenti
Comme à chaque rentrée de septembre, mon mari recevait un apprenti boulanger qu’il formait durant une année.
La boulangerie tournait bien, au prix d’un travail acharné et d’heures passées à la boutique au dépend de notre vie familiale. Heureusement, depuis l’année dernière nous avions pu embaucher une vendeuse à mi-temps, ce qui me dégageait du temps pour gérer la maison et les enfants.
Etant fermés le lundi, c’est le mardi que l’apprenti se présenta vers 9 heures à la boutique. Il s’appelait Esteban et son physique de brun ténébreux trahissait ses origines ibériques. Il était grand pour son âge et râblé comme le sont les gens du bâtiment. « Bonjour Madame, je suis Esteban et je viens pour l’apprentissage. L’école m’a dit de venir à 9 heures ». « Bonjour Esteban. Je m’appelle Béatrice. Suis-moi, je vais te présenter à ton nouveau patron. » Nous nous dirigeâmes vers l’arrière de la boutique où se trouve le labo et le fournil. « Christian, c’est pour toi ».
C’est ainsi que débuta l’histoire.
Les jours passaient. Esteban était ponctuel, toujours de bonne humeur, appliqué. On avait l’impression qu’il était là depuis des années. Nous avions l’habitude de boire un café vers 10 heures. Ce jour-là, quelques jours avant la Toussaint, tandis que mon mari discutait dans le laboratoire avec son ouvrier, je surpris le regard d’Esteban sur mes jambes. Ce jour-là, j’avais mis une jupe beige s’arrêtant au-dessus des genoux sur des collants couleur chair. J’ai toujours été fière de mes jambes. Le regard de ce jeune homme déclencha un trouble en moi. Il faut dire que ma vie sexuelle est d’une pauvreté déprimante. Mon mari vit à contre-temps, horaires de boulanger obligent, et en plus, sa libido semble s’estomper avec le temps. Nos rapports se résumant à quelques va et vient hâtifs qui me laissent à chaque fois sur ma faim.
Le lendemain, je choisis une jupe un peu plus courte, fendue derrière, des bas gris auto-fixant, un soutien-gorge pigeonnant destiné à mettre ma poitrine en relief sous un sage chemisier que je pourrais déboutonner un peu au besoin. J’avais envie de plaire. A la pause de 10 heures, je fis en sorte de me placer en face d’Esteban. Ses yeux me fixaient discrètement, s’attardant sur ma poitrine et mes jambes. De mon côté, je ne manquais pas de détailler sa silhouette musclée. Je me sentais discrètement excitée par ce manège, pour le moment encore sage, mais chargé d’un érotisme larvé. L’après-midi, à la maison, n’y tenant plus, je retroussai ma jupe, abaissai ma culotte et me masturbai en pensant à lui, debout dans la cuisine, appuyée contre l’évier.
Le jour suivant, habillée comme la veille, je gagnais la boutique sous une pluie battante. Esteban arriva juste après moi, trempé comme une soupe. Son scooter était tombé en panne et il avait fini les trois derniers kilomètres à pied. Il grelottait. Le poussant dans l’arrière-boutique, je lui demandais de se déshabiller et lui tendis une serviette pour se sécher. Je lui expliquais que je ramènerais ses affaires à la maison à midi, les mettrais au sèche-linge afin qu’il puisse rentrer chez lui. J’ajoutais qu’au besoin je le ramènerais chez lui en voiture s’il ne trouvait personne. J’allais chercher des vêtements de travail que je conservais à l’arrière de la boutique pour le cas où mon mari en ait besoin. Je revenais vers l’arrière-boutique. Esteban avait enlevé ses vêtements. Son caleçon était trempé. « Enlève-le, tu vas attraper froid sinon, et mouiller tes vêtements de travail. « Esteban hésitait. Sans réfléchir, sans doute parce que l’envie de le voir nu me tenaillait, je m’accroupis face à lui et, saisissant le caleçon froid et mouillé, le tirai vers le bas. Il souleva un pied après l’autre pour que je l’en débarrasse.
Saisissant la serviette, j’entrepris de le sécher. Je commençai par les fesses que je sentais fermes sous mes mouvements décidés. J’avais en face de mon visage sa verge assoupie qui reposait sur ses bourses. Heureusement, la boutique était vide. J’entrepris de le sécher devant. Je sentais son cylindre de chair à travers la serviette. Je le séchais vigoureusement et dû arrêter avec regret. Je retirais la serviette. Sa verge avait pris de la vigueur et pointait à présent horizontalement, continuant de grossir, décalottant à mesure le gland violacé. Un violent trouble m’envahissait. Une envie folle d’avancer mes lèvres vers ce spectre de chair. Sans m’en rendre compte, j’avais écarté mes cuisses, ce mouvement faisant retrousser ma jupe et dévoilant le liseré de la bande élastique de mes bas. Quant à ma chatte, elle baignait dans une humidité coupable. Je me relevai, quittant à regret la vision du sexe bandé. Nos regards se croisèrent. Esteban me fixait avec intensité. Jetant un coup d’œil vers l’arrière, vérifiant que ni mon mari ni l’ouvrier n’étaient à proximité, il me prit par les hanches, écrasant son corps nu contre le mien, sa bouche picorant mon cou. Je sentais avec une précision terrifiante la dureté de son sexe en érection contre mon ventre. Il imprimait des mouvements de va et vient mimant le coït. Dans un geste fou, il retroussa ma jupe, tira ma culotte vers le bas et frotta son gland contre ma vulve. Depuis deux ans, j’avais le sexe épilé. Le contact de nos deux sexes affola Esteban qui se libéra rapidement en longs jets crémeux qui inondèrent mon ventre et coulèrent sur mes cuisses. J’osais alors m’accroupir, saisissant sa verge encore raide entre mes mains et la lécha pour en débarrasser les dernières gouttes de sa semence. Je gardais son sexe dans ma bouche. Il ne débandait pas. La clochette de la porte teinta. Je me redressai, le cœur battant la chamade, remit avec peine de l’ordre dans ma tenue et retournai dans la boutique. Je servis la cliente. Esteban avait mis les vêtements secs, et sans un mot, était parti rejoindre le fournil. La matinée égrena ses heures lentement. A onze heures, ma vendeuse arriva pour prendre le relai. Je pris les affaires d’Esteban pour les sécher. Je reviendrais vers seize heures pour assurer la fin de la journée. Arrivée à la maison, je résistai à l’envie de me masturber, pourtant je sentais mon excitation et mon sexe était trempé.
La fin de la journée approchait. Mon mari était rentré vers quinze heures et son ouvrier peu avant dix-huit heures. Bernard, l’ouvrier, avait proposé à Esteban de le ramener mais celui-ci lui avait répondu que sa sœur viendrait le récupérer avant dix-neuf heures. J’étais déçue, j’avais espéré prolonger un moment avec lui dans l’intimité de la voiture. Dix-neuf heures allaient bientôt sonner. Je m’étonnais de ce que sa sœur ne soit pas encore arrivée. Esteban me sourit et me dit qu’il ne l’avait pas appelée et qu’il se souvenait de la proposition que je lui avais faite le matin de le ramener. Nous fermions à vingt heures. Je décidais, devant l’absence de clients, de fermer une demi-heure plus tôt. Je demandais à Esteban de m’aider à ranger les pâtisseries au frigo. Pendant ce temps, je passais rapidement un coup de balai.
A dix-neuf heures trente, nous montions dans ma voiture. Je m’aperçus alors qu’Estéban ne s’était pas changé et avait gardé ses vêtements de travail. Je réalisais alors qu’il était nu sous son pantalon et sa chemise. « Prenez la direction de C. « m’indiqua-t-il. Je m’engageai sur la petite route. Deux kilomètres plus loin, la route s’engageait dans la forêt. Esteban me fixait, je sentais le désir dans ses yeux. Il posa une main sur mon genou. Une bosse conséquente déformait le devant de son pantalon. N’y tenant plus, je freinai et m’engageai dans un petit chemin, arrêtant la voiture une centaine de mètres plus loin. Je tournai la tête vers lui. Esteban m’attira à lui, forçant ma bouche avec sa langue. Sa main droite s’insinua entre mes cuisses, crocheta ma culotte, deux doigts s’enfonçant en moi. Je défis fébrilement les boutons de sa chemise, dévoilant son torse imberbe, mes doigts cherchèrent ses têtons, les agaçant, les pinçant. A tâtons sa main gauche chercha la molette réglant le siège. Il la trouva et le recula. Me saisissant il m’attira vers lui. J’enjambais le pommeau de vitesse et je m’assis sur lui, à genoux. Dans ce mouvement ma jupe s’était retroussée. Il passa ses mains sous ma jupe, empoignant mes fesses. Je fouillais dans son pantalon, branlant sa verge tendue. En nous contorsionnant, il arriva à retirer ma culotte et moi à le débarrasser de son pantalon. Il défit les boutons de mon chemisier et dégrafa mon soutien-gorge. Je surveillais l’heure, le temps passait et je ne pouvais pas trop trainer. Je me laissais glisser sur sa verge, m’empalant dessus, nouant mes bras autour de son cou. Comme un fou, il se mit à aller et venir en moi faisant claquer son ventre contre le mien. Je ne sais comment, nous nous retrouvâmes sur la banquette arrière, nus. Il me prenait avec la fougue de sa jeunesse, comme si sa vie dépendait de chacun de ses coups de boutoir. L’orgasme me surprit brutalement, je m’agitais comme un pantin désarticulé. Esteban continuait sa sarabande me labourant de son sexe bandé, m’embrassant avec passion. Je le sentais en moi, il me remplissait toute. Il était endurant, bien d’avantage que mon mari. « Vas y donne, donne-moi ta semence…. Oh oui…c’est tellement bon…continue…vas plus fort…. Baise-moi…Vas-y …jouis…jouis en moi…. » Je balbutiais des mots sans suite. Soudain il se crispa et s’écroula sur moi, le corps rempli de spasmes. Je sentais son sexe tressauter en moi. Nous nous détachâmes à regret. Nous nous habillâmes rapidement, les membres endoloris par l’intense cavalcade. Le reste du trajet fut silencieux. Je le déposai près de chez lui et rentrai à la maison. Prétextant avoir froid, je m’éclipsai sous la douche. Heureusement, mon mari était fatigué, nous dînâmes rapidement et il partit se coucher. Je regardai la télé, ou plutôt la télé me regarda. J’avais l’esprit ailleurs.
Le lendemain, Esteban arriva à la boutique comme si de rien n’était. Il me salua poliment. Plus rien ne se passa entre nous pendant toute la durée de son stage. Peut-être était-ce mieux ainsi ?
La boulangerie tournait bien, au prix d’un travail acharné et d’heures passées à la boutique au dépend de notre vie familiale. Heureusement, depuis l’année dernière nous avions pu embaucher une vendeuse à mi-temps, ce qui me dégageait du temps pour gérer la maison et les enfants.
Etant fermés le lundi, c’est le mardi que l’apprenti se présenta vers 9 heures à la boutique. Il s’appelait Esteban et son physique de brun ténébreux trahissait ses origines ibériques. Il était grand pour son âge et râblé comme le sont les gens du bâtiment. « Bonjour Madame, je suis Esteban et je viens pour l’apprentissage. L’école m’a dit de venir à 9 heures ». « Bonjour Esteban. Je m’appelle Béatrice. Suis-moi, je vais te présenter à ton nouveau patron. » Nous nous dirigeâmes vers l’arrière de la boutique où se trouve le labo et le fournil. « Christian, c’est pour toi ».
C’est ainsi que débuta l’histoire.
Les jours passaient. Esteban était ponctuel, toujours de bonne humeur, appliqué. On avait l’impression qu’il était là depuis des années. Nous avions l’habitude de boire un café vers 10 heures. Ce jour-là, quelques jours avant la Toussaint, tandis que mon mari discutait dans le laboratoire avec son ouvrier, je surpris le regard d’Esteban sur mes jambes. Ce jour-là, j’avais mis une jupe beige s’arrêtant au-dessus des genoux sur des collants couleur chair. J’ai toujours été fière de mes jambes. Le regard de ce jeune homme déclencha un trouble en moi. Il faut dire que ma vie sexuelle est d’une pauvreté déprimante. Mon mari vit à contre-temps, horaires de boulanger obligent, et en plus, sa libido semble s’estomper avec le temps. Nos rapports se résumant à quelques va et vient hâtifs qui me laissent à chaque fois sur ma faim.
Le lendemain, je choisis une jupe un peu plus courte, fendue derrière, des bas gris auto-fixant, un soutien-gorge pigeonnant destiné à mettre ma poitrine en relief sous un sage chemisier que je pourrais déboutonner un peu au besoin. J’avais envie de plaire. A la pause de 10 heures, je fis en sorte de me placer en face d’Esteban. Ses yeux me fixaient discrètement, s’attardant sur ma poitrine et mes jambes. De mon côté, je ne manquais pas de détailler sa silhouette musclée. Je me sentais discrètement excitée par ce manège, pour le moment encore sage, mais chargé d’un érotisme larvé. L’après-midi, à la maison, n’y tenant plus, je retroussai ma jupe, abaissai ma culotte et me masturbai en pensant à lui, debout dans la cuisine, appuyée contre l’évier.
Le jour suivant, habillée comme la veille, je gagnais la boutique sous une pluie battante. Esteban arriva juste après moi, trempé comme une soupe. Son scooter était tombé en panne et il avait fini les trois derniers kilomètres à pied. Il grelottait. Le poussant dans l’arrière-boutique, je lui demandais de se déshabiller et lui tendis une serviette pour se sécher. Je lui expliquais que je ramènerais ses affaires à la maison à midi, les mettrais au sèche-linge afin qu’il puisse rentrer chez lui. J’ajoutais qu’au besoin je le ramènerais chez lui en voiture s’il ne trouvait personne. J’allais chercher des vêtements de travail que je conservais à l’arrière de la boutique pour le cas où mon mari en ait besoin. Je revenais vers l’arrière-boutique. Esteban avait enlevé ses vêtements. Son caleçon était trempé. « Enlève-le, tu vas attraper froid sinon, et mouiller tes vêtements de travail. « Esteban hésitait. Sans réfléchir, sans doute parce que l’envie de le voir nu me tenaillait, je m’accroupis face à lui et, saisissant le caleçon froid et mouillé, le tirai vers le bas. Il souleva un pied après l’autre pour que je l’en débarrasse.
Saisissant la serviette, j’entrepris de le sécher. Je commençai par les fesses que je sentais fermes sous mes mouvements décidés. J’avais en face de mon visage sa verge assoupie qui reposait sur ses bourses. Heureusement, la boutique était vide. J’entrepris de le sécher devant. Je sentais son cylindre de chair à travers la serviette. Je le séchais vigoureusement et dû arrêter avec regret. Je retirais la serviette. Sa verge avait pris de la vigueur et pointait à présent horizontalement, continuant de grossir, décalottant à mesure le gland violacé. Un violent trouble m’envahissait. Une envie folle d’avancer mes lèvres vers ce spectre de chair. Sans m’en rendre compte, j’avais écarté mes cuisses, ce mouvement faisant retrousser ma jupe et dévoilant le liseré de la bande élastique de mes bas. Quant à ma chatte, elle baignait dans une humidité coupable. Je me relevai, quittant à regret la vision du sexe bandé. Nos regards se croisèrent. Esteban me fixait avec intensité. Jetant un coup d’œil vers l’arrière, vérifiant que ni mon mari ni l’ouvrier n’étaient à proximité, il me prit par les hanches, écrasant son corps nu contre le mien, sa bouche picorant mon cou. Je sentais avec une précision terrifiante la dureté de son sexe en érection contre mon ventre. Il imprimait des mouvements de va et vient mimant le coït. Dans un geste fou, il retroussa ma jupe, tira ma culotte vers le bas et frotta son gland contre ma vulve. Depuis deux ans, j’avais le sexe épilé. Le contact de nos deux sexes affola Esteban qui se libéra rapidement en longs jets crémeux qui inondèrent mon ventre et coulèrent sur mes cuisses. J’osais alors m’accroupir, saisissant sa verge encore raide entre mes mains et la lécha pour en débarrasser les dernières gouttes de sa semence. Je gardais son sexe dans ma bouche. Il ne débandait pas. La clochette de la porte teinta. Je me redressai, le cœur battant la chamade, remit avec peine de l’ordre dans ma tenue et retournai dans la boutique. Je servis la cliente. Esteban avait mis les vêtements secs, et sans un mot, était parti rejoindre le fournil. La matinée égrena ses heures lentement. A onze heures, ma vendeuse arriva pour prendre le relai. Je pris les affaires d’Esteban pour les sécher. Je reviendrais vers seize heures pour assurer la fin de la journée. Arrivée à la maison, je résistai à l’envie de me masturber, pourtant je sentais mon excitation et mon sexe était trempé.
La fin de la journée approchait. Mon mari était rentré vers quinze heures et son ouvrier peu avant dix-huit heures. Bernard, l’ouvrier, avait proposé à Esteban de le ramener mais celui-ci lui avait répondu que sa sœur viendrait le récupérer avant dix-neuf heures. J’étais déçue, j’avais espéré prolonger un moment avec lui dans l’intimité de la voiture. Dix-neuf heures allaient bientôt sonner. Je m’étonnais de ce que sa sœur ne soit pas encore arrivée. Esteban me sourit et me dit qu’il ne l’avait pas appelée et qu’il se souvenait de la proposition que je lui avais faite le matin de le ramener. Nous fermions à vingt heures. Je décidais, devant l’absence de clients, de fermer une demi-heure plus tôt. Je demandais à Esteban de m’aider à ranger les pâtisseries au frigo. Pendant ce temps, je passais rapidement un coup de balai.
A dix-neuf heures trente, nous montions dans ma voiture. Je m’aperçus alors qu’Estéban ne s’était pas changé et avait gardé ses vêtements de travail. Je réalisais alors qu’il était nu sous son pantalon et sa chemise. « Prenez la direction de C. « m’indiqua-t-il. Je m’engageai sur la petite route. Deux kilomètres plus loin, la route s’engageait dans la forêt. Esteban me fixait, je sentais le désir dans ses yeux. Il posa une main sur mon genou. Une bosse conséquente déformait le devant de son pantalon. N’y tenant plus, je freinai et m’engageai dans un petit chemin, arrêtant la voiture une centaine de mètres plus loin. Je tournai la tête vers lui. Esteban m’attira à lui, forçant ma bouche avec sa langue. Sa main droite s’insinua entre mes cuisses, crocheta ma culotte, deux doigts s’enfonçant en moi. Je défis fébrilement les boutons de sa chemise, dévoilant son torse imberbe, mes doigts cherchèrent ses têtons, les agaçant, les pinçant. A tâtons sa main gauche chercha la molette réglant le siège. Il la trouva et le recula. Me saisissant il m’attira vers lui. J’enjambais le pommeau de vitesse et je m’assis sur lui, à genoux. Dans ce mouvement ma jupe s’était retroussée. Il passa ses mains sous ma jupe, empoignant mes fesses. Je fouillais dans son pantalon, branlant sa verge tendue. En nous contorsionnant, il arriva à retirer ma culotte et moi à le débarrasser de son pantalon. Il défit les boutons de mon chemisier et dégrafa mon soutien-gorge. Je surveillais l’heure, le temps passait et je ne pouvais pas trop trainer. Je me laissais glisser sur sa verge, m’empalant dessus, nouant mes bras autour de son cou. Comme un fou, il se mit à aller et venir en moi faisant claquer son ventre contre le mien. Je ne sais comment, nous nous retrouvâmes sur la banquette arrière, nus. Il me prenait avec la fougue de sa jeunesse, comme si sa vie dépendait de chacun de ses coups de boutoir. L’orgasme me surprit brutalement, je m’agitais comme un pantin désarticulé. Esteban continuait sa sarabande me labourant de son sexe bandé, m’embrassant avec passion. Je le sentais en moi, il me remplissait toute. Il était endurant, bien d’avantage que mon mari. « Vas y donne, donne-moi ta semence…. Oh oui…c’est tellement bon…continue…vas plus fort…. Baise-moi…Vas-y …jouis…jouis en moi…. » Je balbutiais des mots sans suite. Soudain il se crispa et s’écroula sur moi, le corps rempli de spasmes. Je sentais son sexe tressauter en moi. Nous nous détachâmes à regret. Nous nous habillâmes rapidement, les membres endoloris par l’intense cavalcade. Le reste du trajet fut silencieux. Je le déposai près de chez lui et rentrai à la maison. Prétextant avoir froid, je m’éclipsai sous la douche. Heureusement, mon mari était fatigué, nous dînâmes rapidement et il partit se coucher. Je regardai la télé, ou plutôt la télé me regarda. J’avais l’esprit ailleurs.
Le lendemain, Esteban arriva à la boutique comme si de rien n’était. Il me salua poliment. Plus rien ne se passa entre nous pendant toute la durée de son stage. Peut-être était-ce mieux ainsi ?
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