L'apprenti - histoire érotique

Henri est encore adolescent, il a de nombreuses aventures avec les filles, même si ses anciennes expériences avec d'autres garçons le tourmentent un peu.

Il espère que ceux qui y ont participé, garderont le secret de ces écarts homosexuels.
Mais c'est l'avantage, s'ils parlent, ils se dénoncent eux aussi !
Toutefois, il a revu l'un d'entre eux, il constate qu'il assume ouvertement son homosexualité.
Il s'arrange pour éviter de le revoir, et reprend sa vie de coureur de jupons.

Il est apprenti maçon, depuis deux ans, et va atteindre bientôt ses dix huit ans.
Pour les besoins d'un chantier, son patron lui propose d'accompagner un nouvel employé quarantenaire sur un immeuble, à plusieurs kilomètres.
S'il accepte, il devra dormir à l'hôtel !

"Ca va te faire une bonne expérience ! Mais tu peux refuser ! Je te filerai un petit billet en plus !".

A la fin de la journée, le jeune homme accepte la proposition.

Le jour venu, il monte dans le véhicule de Bernard, un maçon, âgé de 45 ans environ.
Le contact est assez froid, l'homme est buriné par le soleil, et parait antipathique.

Ils commencent timidement le chantier, le temps de prendre leurs marques.

Puis en fin d'après-midi, le maçon retrouve l'adresse de l'hôtel.
Il emmène Henri avec lui, Après une douche, les deux hommes vont diner dans un snack.
Mais, Henri comprend qu'il va dormir en présence du maçon !

Puis, ils rentrent vers 22h00, Bernard allume la télévision et cherche la chaine qui diffuse les films X.
Il se dénude le torse et s'allonge sur son lit une place.

Henri se décide à se déshabiller en gardant son caleçon, puis se couvre avec la couette.
Il mate le film avec son collègue, mais il a chaud et se découvre très vite.

Le maçon se soulève les fesses et se dénude entièrement, puis se couvre le sexe, avec un coin de couette.

Henri a eu le temps de remarquer son érection, et la main qui s'approche du sexe du maçon révèle qu'il ne se trompe pas !

L'ambiance est tendue. Bernard tente de détendre l'atmosphère.

"T'aimes les films de cul ?".
"Oui, j'aime bien de temps en temps, celui-là à l'air pas mal !".
"T'as raison ! J'adore les scènes de sodo ! T'as déjà enculé une fille ?".
"Oui ! Une fois !".
"Putain ! Ca c'est bon ! J'adore baiser un cul !".

Puis, un long silence s'installe, la chambre est remplie par les sons des scènes de sexe.
Henri devine que l'homme se branle discrètement.

Puis le film se termine, Bernard éteint la lumière et chacun essaie de trouver le sommeil.
Mais moins d'une heure après, le maçon vient se coller au jeune garçon.
Il lui dénude les fesses.

"Monsieur Bernard ! Qu'est-ce que vous faites ?".
"T'as pas envie de baiser, toi ? Laisses moi faire ! On a tous fait ça dans notre jeunesse ! Me fait pas croire que t'y as pas gouté !".

L'homme constate qu'Henri est aussi en érection.
Il lui caresse la queue, le garçon gémit.

"Tu vois, t'en as envie, toi aussi ! Laisses moi faire, on dira rien aux autres !".
"Mmmm ! Je...Je sais pas !".

L'homme a déjà attiré la main du garçon sur sa bite épaisse, il constate que le jeune garçon le branle lentement.

"T'as déja fait ça avec des jeunes de ton âge ! Non ?".
"Oui ! Mais c'était il y a longtemps !".
"Ca t'as plu ?".
"Si ! Je crois !".
"Moi, je suis sur, que t'as adoré ça !".

Il guide le garçon vers sa bite.
Henri retrouve cette délicieuse sensation, de sexe masculin entre ses lèvres.
Mais cette queue là, est bien plus épaisse, il aime davantage l'avoir dans sa bouche.

"Ohhhh ! Putain, minot ! Ca fait du bien ! Tu t'en sers bien de ta petite bouche !".

La fellation est assez courte, Bernard relève le jeune homme et se place derrière lui.

"Bernard ! S'il te plait, pas ça !".
"On te l'a jamais fait ?".
"Euh, ...une fois seulement !".
"T'as pas aimé ?".
"Je...je... euh ...si !".
"T'y repense souvent ! Pas vrai ?".
"Oui !".
"Ben ! Profites ! Je vais réaliser ton envie cachée !".
"Arghhh ! Doucement ! S'il te plait !".

L'homme salive sur ses doigts, puis enduit l'anus du garçon, plusieurs fois.
Il a besoin de plus de cinq minutes pour parvenir à, enfin, pénétrer Henri.

Dès qu'il touche les fesses du jeune homme, avec son pubis, il s'accroche à ses hanches et entame une possession anale.

"Arhhhhhh ! Bernard ! T'as une trop grosse queue ! Arhhhhhhh !".
"Tu vas t'habituer ! Tu verras ! Tu as mal ?".
"Arhhhhhh ! Non, mais c'est gros !".

L'homme amplifie ses enfoncements, lentement il se lubrifie la bite sur toute la longueur.
Il coulisse sans gêne à présent. Henri se met à gémir plus fort, en cambrant ses fesses sur le maçon.

"Alors ? Ca te plait ? Minot ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui !".

Bernard le couche sur le ventre et s'active avec fougue dans le cul du jeune garçon, qui malencontreusement se retrouve avec la queue coincée entre ses jambes et en érection.
Le maçon lui transperce l'anus sans vergogne, les cris de plaisir d'Henri, le surexcite.
Moins de dix minutes plus tard, il se vide de son éjaculation dans ses entrailles.

Il fixe le visage du jeune garçon, il a l'air épanoui, il se demande pourquoi.
Il s'appuie sur ses bras et se retire de son anus.

Il comprend alors qu'Henri a éjaculé entre ses cuisses, pendant qu'il l'enculait.

"Eh ! Je vois que t'as aimé ça ! Minot ! Bon, je te laisse dormir ! A demain matin !".
"Ahhh ! Fffffff ! Bonne nuit ! Bernard ! Tu diras rien, c'est vrai ?".
"Mais oui ! Mon petit ! Dors ! Demain, on a du boulot !".