L'Apprentissage de LEA
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'Apprentissage de LEA
Il fait chaud, nous sommes allongés, nus sur nos serviettes de bain, sur une très grande plage, du sud-ouest.
Ma femme et moi faisons du naturisme, nous choisissons toujours des endroits, tranquilles à l’écart du monde. Ou nous pouvons au gré de nos envies, nous câliner, nous caresser faire l’amour.
Nous c’est Catherine et Alain.
Elle 52 ans, 160 cm, 60kg, une jolie poitrine, des fesses bien rondes, sur des jambes galbées surtout avec des talons). Un visage aux grands yeux verts, une bouche bien dessinée, cheveux frisé coupés au carré, châtain. Coquette et féminine, elle aime s’habiller classe et un peu sexy.
Elle apprécie les regards appuyés des hommes.
Moi 58 ans, 168cm, 74kg, cheveux court poivre et sel.
Cette année nous avons pris nos vacances en septembre, il fait super beau mais il y a vraiment peu de monde sur la plage. Il est 18h, exceptionnellement, nous sommes arrivés tard, Nous avons décidé de rester jusqu’au coucher du soleil. Nous nous sommes installés en lisière de plage et des buissons un peu hauts, qui à de rares endroits, protègent du soleil.
En arrivant nous nous sommes baignés, comme souvent, ma femme, m’a excité, en enserrant ma taille avec ses jambes, en collant et frottant son pubis contre le mien. Mon sexe raidi est à l’entrée de sa grotte. Mais elle refuse la pénétration, elle profite de mon ventre pour se donner du plaisir.
Au moment où elle va jouir, pour ne pas faire trop de bruits, elle me donne un baiser langoureux. Elle laisse, passer son orgasme, sa tête sur mon épaule, puis elle se détache de moi, fait quelques brasses et retourne sous le parasol.
Après quelques minutes, de nage, ou je calme mon érection, je la rejoins.
Elle me demande de lui mettre de la crème solaire dans le dos, immédiatement je m’exécute.
Je verse sur les épaules et le dos. Je m’applique à faire pénétrer, en massant doucement et lentement, des épaules au bas du dos. J’appuie un peu plus fort, je monte et je descends.
Elle a les yeux fermés, elle soupire. Au 20 -ème aller-retour environ, mes mains, ne s’arrêtent pas aux reins, mais passent sur les fesses jusque derrière les genoux. Je remonte jusqu’aux reins, revient sur les fesses que je masse lentement, une par une. Je descends
Elle a les yeux fermés, elle soupire. Au 20 eme aller-retour environ, mes mains, ne s’arrêtent pas aux reins, mais passent sur les fesses jusque derrière les genoux. Je remonte jusqu’aux reins revient sur les fesses que je masse lentement, une par une. Je descends sur l’extérieur des cuisses, remonte par l’intérieur, mais bloque, car elle a les jambes serrées. Je repars sur les fesses, après avoir repris un peu de crème solaire. Tout en massant les deux globes, je glisse un doigt. D’abord, juste sur sa rosette, et progressivement, sur son sexe jusqu’au clitoris.
Je remonte le long de la raie, malaxe les rondeurs, et revient, en appuyant toujours un peu plus fort.
Elle ne bouge pas, juste imperceptiblement, elle écarte les cuisses, pour me laisser un peu de place. Maintenant mes doigts passent lentement de son anus à son clitoris. Juste un effleurement.
De nouveau, mais plus nettement ses jambes s’ouvrent. Pour moi c’est une invitation.
Mon majeur s’arrête et caresse son petit bouton, pendant que mon pouce pénètre son intimité, que je découvre très humide. Elle resserre les cuisses, me bloquant la main. Juste mon majeur bouge sur son clitoris. Elle gémit, tout à coup elle relève sa croupe, le front sur le sol, cambrée au maximum.
Elle passe sa main droite sous son ventre et vient se masturber. N’étant plus utile de ce côté-là je me mets à genou, et remplace mon pouce, par deux doigts, que je fais aller et venir dans son sexe de plus en plus mouillé. Après quelques minutes à ce régime, elle jouit en se mordant le poignet pour ne pas ameuter les autres vacanciers, précaution inutile, car durant ces instants intenses, j’avais jeté un œil autour de nous, pour découvrir des voyeurs éventuels, mais personne à l’horizon.
Encore une fois je restais sur ma faim, car très vite, après avoir repris ses esprits elle s’endormit. Moi-même je somnolais quelques minutes. Sorti de ma torpeur par des bruits feutrés.
J’ouvre les yeux, et je vois un jeune couple, se mettre à côté de nous.
Lui (en souriant) : excusez-nous de vous déranger, mais c’est le seul endroit, ou l’on peut s’abriter du soleil, avant plusieurs centaines de mètres, et mon amie (montrant la jeune fille de la main) à une peau tellement sensible, que nous avons préféré ne pas prendre de risque.
Moi (en matant cette jeune beauté) : vous avez bien fait, mais vous savez qu’ici c’est une plage naturiste, pas de textile interdit.
Lui : nous ignorions, (regardant son amie), qu’est-ce que l’on fait ?
Elle : j’ai trop envie de me baignerEt elle fait glisser son maillot de bain, dévoilant, un corps de rêve, aux seins ronds et bien fermes, des jambes fines et musclées. Un cul légèrement bombé et un sexe complétement lisse.
Lui aussi est bien foutu, corps d’athlète, musclé, un fessier arrondi, et musclé et un sexe de bonne taille au repos.
Pendant qu’ils nagent, ma femme se réveille, je lui explique, que nous avons des invités, qui profitent de l’ombre de notre emplacement. Qu’ils sont jeunes et qu’ils sont amis.
Quand ils reviennent, ils saluent ma femme, s’excusent encore de leur intrusion dans notre petit coin, et la discussion commence. Ils s’appellent Léa et Dimitri. Ils ont 15 ans d’écart, lui 34 ans, elle 19. Lui travaille à Hong-Kong, dans la finance, elle vient d’avoir son BAC, elle va faire médecine.
Il est un ami proche de sa famille, ils se connaissent depuis toujours. Elle le considère un peu comme son grand frère. Depuis qu’elle est en âge de comprendre, elle lui demande de lui faire découvrir la vraie vie. Elle a été très couvée par ses parents qui avaient toujours peur pour elle.
Il lui avait promis qu’à ses 18 ans, il l’emmènerait en vacances, mais l’année dernière il n’avait pas pu, donc il l’emmenait pour ses 19 ans. Elle lui avait promis qu’elle lui donnerait sa virginité, mais ça s’était passé autrement.
Elle précisa : ce fut une expérience ni bonne ni mauvaise, mais spéciale quand même.
C’était grâce à lui, qu’elle était sur cette plage aujourd’hui Dimitri avait su convaincre ses parents. Et en rigolant, ils dirent aussi qu’ils avaient commencé à rattraper le temps en devenant amants. Mais Léa précisa qu’elle souhaitait avoir de nouvelles expériences, et que Dimitri était là pour la guider.
Ma femme qui allongée sur le ventre avait écouté leur récit demanda tout à coup : Léa racontez nous votre dépucelage, que l’on puisse se faire une idée.
Dimitri (en la regardant dans les yeux). Vas y raconte leurs, c’est un bon début vers le dévergondage que tu souhaites.
Lea : le jour des résultats du Bac, je suis allée au lycée en voiture, avec un copain de classe et son père, ami de mon père. Une foi les résultats connus, et les effusions passées, le père de Gregory, téléphone à mes parents, pour les inviter le soir même à fêter ça chez eux autour de la piscine. Charles : tout est arrangé, tu viens dès maintenant à la maison, tu rentreras avec tes parents après la petite fête. Tu vas pouvoir profiter de la piscine.
Moi : heureusement que j’ai amené mon maillot de bainCharles : jolie comme tu es, nous n’aurions pas été gênés par ta nudité.
Arrivés chez mes amis, Greg va s'éclipse ainsi que son père, qui dit avoir 2 à 3 choses à faire avant de préparer le barbecue.
Charles : mets-toi à l'aise au bord de la piscine, Greg vient tout de suiteDiscrètement je me change, je mets un maillot 2 pièces, noir, qui pour le soutien-gorge s'attache avec une boucle sur la nuque, et la culotte avec 2 nœuds sur les côtés.
Je me baigne et toujours seule je m'allonge au soleil sur un transat. sur le ventre.
Tout à coup je sens une caresse sur mon dos, j'ouvre les yeux, je tourne la tête et je vois Grégory tout sourire.
Grégory : tu aimes les caressesMoi : oui beaucoup, tes mains sont doucesSes mains sont de plus en plus hardies, maintenant elles vont de ma nuque au creux de mes reins. il défait mon soutien-gorge, et ses doigts frôlent ma culotte. je suis prête je me dis que je vais perdre va virginité ce soir. J'y ai souvent pensé, j'aime beaucoup Grégory, il est doux et semble savoir comment faire.
Je me retourne, je lui souris, nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, nos langues se cherchent.
Moi (m'écartant) : et ton père il peut arriver à tout instant ?
Grégory : non je l'ai vu partir en voiture pour les courses nous sommes seuls.
Nos corps se rapprochent, il me caresse les seins, il s'allonge sur moi, je sens son sexe bien raide sur mon ventre. Il prend ma bouche, je lui rends son baisé. Il me caresse maladroitement le clitoris. Essaie d'écarter ma culotte en même temps qu’il baisse son slip de bain. Je suis mal à l'aise, je ne veux pas le vexer et en même temps je voudrais que ça se passe bien.
Je sens le moment de la pénétration arriver, quand tout à coup, je sens sur mon sexe et sur mes cuisses un liquide chaud et gluant. il vient de jouir, tellement il était excité. Penaud il se lève, s'excuse bêtement et part en courant vers la maison en me disant je reviens.
Je reste là, allongée, seins nus, cuisses écartées, couvertes de sperme. Moi, qui ne savais pas ce que c'était je suis servie. je me lève, me débarrasse de ma culotte souillée, je prends une douche au pool house et je reviens m'étendre en espérant qu'il revienne vite avant son père. je me suis presque endormie, je sens que l'on pose quelque chose sur mes yeux, au toucher je reconnais un foulard de soie.
Moi : Grégory que faits tu ?
Greg : chuuuuuutMoi : tu ne veux pas que je te vois me faire l'amour ?
Greg : chuuuutJe me tais, je trouve ça excitant, ses mains passent en douceur, sur mon corps, mes jambes, remontent, le long de mes cuisses, que je garde serrées. Puis repartent. A chaque tour, la pression est plus forte sur mes cuisses, qui s’écartent inexorablement, pour finir par laisser passer, un doigt qui vient se poser, directement sur mon clitoris. Je le sens tout gonflé, j’ai exactement la même sensation que quand je me masturbe. Je sens l’humidité gagner mon intimité.
J’approche une main, mais je reçois une petite claque, qui me fait comprendre que je dois me laisser faire.
Je sens que l’on m’écarte les cuisses, puis il me fait plein de petits bisous, pour venir poser ses lèvres sur mon sexe. Je sursaute, je sens sa langue, passer délicatement sur mes grandes lèvres. Descendre, remonter, en appuyant de plus en plus fort à chaque passage. Pour finir par s’arrêter sur mon clitoris. Il l’aspire le suce, le mordille. Je vais jouir, jamais je n’ai ressenti ça. Je m’entends gémir.
Puis soudain il s’arrête. Je sens que l’on me tire sur les jambes. Il amène mon bassin au bord du transat, m’écarte les jambes. Et j’ai une petite douleur. Il vient de me pénétrer. Il me prend par les hanches, et commence de lent va et vient. Je commence à de nouveau ressentir du plaisir, quand il se retire. Je suis une nouvelle fois frustrée. Mais très vite il revient. Il est moins doux, il tâtonne pour me pénétrer, j’ai l’impression qu’il est moins gros. Ses coups de reins sont plus saccadés. Il a du mal à me tenir les hanches.
Ce n’est pas le même homme, ils sont au moins deux, je commence à avoir peur. D’un coup de poignet j’arrache le foulard.
Et je me trouve face à Grégory qui est en train de me baiser. Sur le côté je tourne la tête, et je me trouve face au sexe de Charles. Il me prend la tête entre ses mains, surprise j’ouvre la bouche, et il enfonce son sexe bien raide, jusqu’à la garde. Il se ser de ma bouche comme d’un sexe. Je suffoque, je pleure et très rapidement il gicle dans ma gorge.de longs jets chauds, j’en avale une partie, une autre reste sur ma langue, alors que le reste coule de mes lèvres.
Au même moment Grégory se vide au fond de mon ventre, avec un râle de plaisir. Là encore le sperme chaud coule à flots.
Ensuite tout le monde est allé sous la douche, mes parents sont arrivés, la soirée est passée.
Je n’ai pas revu mes deux amants Ma femme : tu n’as pas eu d’orgasme, mais tu as éprouvé quand même un certain plaisir,Léa : oui j’aurais pu avoir une jouissance s’ils ne s’étaient pas arrêtés en cours de route.
Ma femme : en attendant ils ont bien profité de ton corps, et ton récit à bien plu à mon mari qui bande comme un taureau.
Les 3 paires d’yeux se posent sur mon sexe qui il est vrai est bien dure.
Moi : ton anatomie qui ne me laisse pas insensible, ton récit, plus Catherine qui m’a allumé déjà 2 fois, tout ça à suffit pour me mettre dans cet étatCatherine (en rigolant) je vais en profiter ce soirLéa : (en regardant ma femme) : vous permettez que je soulage votre mari ?
Et sans attendre la réponse, Léa, qui était restée allongée durant tout son récit, se met sur le ventre, puis en remontant d’abord sa croupe, se met à quatre pattes. Et comme un félin, se rapproche de moi.
Je bande comme un fou, je suis à moitié allongé, le dos appuyer sur un petit fauteuil de plage.
J’attends qu’elle soit très près de moi, pour écarter les jambes et lui présenter mon sexe.
Toujours à quatre pattes, elle ignore mon offrande, pose sa bouche sur mon nombril, et remonte en me faisant une multitude de bisous, et en frottant son corps contre le mien. Je suis complétement électrisé par ce corps chaud à la peau si douce.
Arrivée sur mon menton, ses lèvres effleurent les miennes, mais très vite, elle redescend, en me léchant, le cou, la poitrine, le ventre, ou elle ignore mon sexe tendu, qui attend sa bouche.
Au troisième allé et retour, ne tenant plus, quand son visage arrive au niveau du mien, je prends sa nuque de la main gauche, et l’embrasse fougueusement. Dans le même temps, mon bras droit, lui enserre la taille, et la force à se plaquer contre moi.
Dans cette position, elle est obligée de se mettre à genou. Nos pubis se retrouvent l’un contre l’autre, et mon sexe et à l’entrée de son sexe. D’un simple coup de reins je la pénètre. Je constate qu’elle est déjà très chaude et humide.
Notre baiser est à la fois tendre et fougueux. Enfoncé au plus profond de son ventre je ne bouge pas. Seules mes mains lui caressent le dos, de la nuque aux fesses. Léa me serre très fort et frotte imperceptiblement son pubis contre le mien, elle se donne du plaisir. Après avoir jouit doucement, ses lèvres se séparent des miennes, et en me faisant des bisous, elle descend le long de mon torse, mon ventre, pour venir gober mon sexe encore raide. Elle commence à me sucer, je sens sa langue, qui joue avec mon gland. Elle me lèche la queue, en descendant jusqu’aux bourses, qu’elle embrasse. Puis toujours avec sa langue, elle remonte au gland. Elle le serre entre ses lèvres, pendant que sa langue le lèche comme une glace. Je sens mon plaisir monter, j’ouvre les yeux.
Je vois Dimitri la queue dans la main, venir à genou entre les jambes de ma femme, qui les cuisses écartées, nous regarde sans faire attention à lui. Surprise elle sursaute mais ne refuse pas son offre.
En la voyant, s’ouvrir pour ce jeune homme en rut, qui sans hésitation la pénètre dans un râle très rauque, je ne peux plus retenir mon plaisir, et je gicle dans la bouche de Léa, qui se fait un devoir de me nettoyer entièrement.
Puis elle vient me donner un baiser, ou elle me rend quelques millilitres de la semence qui avait rempli sa gorge. Elle se colla contre moi, et nous avons regardé, Cathy et Dimitri faire l’amour. La position du missionnaire, les jambes repliées sur le ventre, les cuisses bien ouvertes, que ma femme tient avec ses mains. Lui appuyé sur ses poings, fait soit de lent va et vient soit des rapides. On voit très bien le sexe luisant de mouille, plonger dans le ventre de sa maitresse. Le clapotis et les couilles qui tapent contre les fesses, accompagnent les gémissements des deux baiseurs.
Très vite, leur plaisir monte, et dans la même seconde, ils jouissent dans un concert de plaintes qui ne laissent aucun doute sur leur origine.
Une fois que tout le monde à repris ses esprits, nous nous séparons et nous donnant RDV, le lendemain au même endroit. Nous avons passé ainsi nos derniers jours de vacances bien agréables.
Mais nous n’avons jamais eu de nouvelles par la suite.
Ma femme et moi faisons du naturisme, nous choisissons toujours des endroits, tranquilles à l’écart du monde. Ou nous pouvons au gré de nos envies, nous câliner, nous caresser faire l’amour.
Nous c’est Catherine et Alain.
Elle 52 ans, 160 cm, 60kg, une jolie poitrine, des fesses bien rondes, sur des jambes galbées surtout avec des talons). Un visage aux grands yeux verts, une bouche bien dessinée, cheveux frisé coupés au carré, châtain. Coquette et féminine, elle aime s’habiller classe et un peu sexy.
Elle apprécie les regards appuyés des hommes.
Moi 58 ans, 168cm, 74kg, cheveux court poivre et sel.
Cette année nous avons pris nos vacances en septembre, il fait super beau mais il y a vraiment peu de monde sur la plage. Il est 18h, exceptionnellement, nous sommes arrivés tard, Nous avons décidé de rester jusqu’au coucher du soleil. Nous nous sommes installés en lisière de plage et des buissons un peu hauts, qui à de rares endroits, protègent du soleil.
En arrivant nous nous sommes baignés, comme souvent, ma femme, m’a excité, en enserrant ma taille avec ses jambes, en collant et frottant son pubis contre le mien. Mon sexe raidi est à l’entrée de sa grotte. Mais elle refuse la pénétration, elle profite de mon ventre pour se donner du plaisir.
Au moment où elle va jouir, pour ne pas faire trop de bruits, elle me donne un baiser langoureux. Elle laisse, passer son orgasme, sa tête sur mon épaule, puis elle se détache de moi, fait quelques brasses et retourne sous le parasol.
Après quelques minutes, de nage, ou je calme mon érection, je la rejoins.
Elle me demande de lui mettre de la crème solaire dans le dos, immédiatement je m’exécute.
Je verse sur les épaules et le dos. Je m’applique à faire pénétrer, en massant doucement et lentement, des épaules au bas du dos. J’appuie un peu plus fort, je monte et je descends.
Elle a les yeux fermés, elle soupire. Au 20 -ème aller-retour environ, mes mains, ne s’arrêtent pas aux reins, mais passent sur les fesses jusque derrière les genoux. Je remonte jusqu’aux reins, revient sur les fesses que je masse lentement, une par une. Je descends
Elle a les yeux fermés, elle soupire. Au 20 eme aller-retour environ, mes mains, ne s’arrêtent pas aux reins, mais passent sur les fesses jusque derrière les genoux. Je remonte jusqu’aux reins revient sur les fesses que je masse lentement, une par une. Je descends sur l’extérieur des cuisses, remonte par l’intérieur, mais bloque, car elle a les jambes serrées. Je repars sur les fesses, après avoir repris un peu de crème solaire. Tout en massant les deux globes, je glisse un doigt. D’abord, juste sur sa rosette, et progressivement, sur son sexe jusqu’au clitoris.
Je remonte le long de la raie, malaxe les rondeurs, et revient, en appuyant toujours un peu plus fort.
Elle ne bouge pas, juste imperceptiblement, elle écarte les cuisses, pour me laisser un peu de place. Maintenant mes doigts passent lentement de son anus à son clitoris. Juste un effleurement.
De nouveau, mais plus nettement ses jambes s’ouvrent. Pour moi c’est une invitation.
Mon majeur s’arrête et caresse son petit bouton, pendant que mon pouce pénètre son intimité, que je découvre très humide. Elle resserre les cuisses, me bloquant la main. Juste mon majeur bouge sur son clitoris. Elle gémit, tout à coup elle relève sa croupe, le front sur le sol, cambrée au maximum.
Elle passe sa main droite sous son ventre et vient se masturber. N’étant plus utile de ce côté-là je me mets à genou, et remplace mon pouce, par deux doigts, que je fais aller et venir dans son sexe de plus en plus mouillé. Après quelques minutes à ce régime, elle jouit en se mordant le poignet pour ne pas ameuter les autres vacanciers, précaution inutile, car durant ces instants intenses, j’avais jeté un œil autour de nous, pour découvrir des voyeurs éventuels, mais personne à l’horizon.
Encore une fois je restais sur ma faim, car très vite, après avoir repris ses esprits elle s’endormit. Moi-même je somnolais quelques minutes. Sorti de ma torpeur par des bruits feutrés.
J’ouvre les yeux, et je vois un jeune couple, se mettre à côté de nous.
Lui (en souriant) : excusez-nous de vous déranger, mais c’est le seul endroit, ou l’on peut s’abriter du soleil, avant plusieurs centaines de mètres, et mon amie (montrant la jeune fille de la main) à une peau tellement sensible, que nous avons préféré ne pas prendre de risque.
Moi (en matant cette jeune beauté) : vous avez bien fait, mais vous savez qu’ici c’est une plage naturiste, pas de textile interdit.
Lui : nous ignorions, (regardant son amie), qu’est-ce que l’on fait ?
Elle : j’ai trop envie de me baignerEt elle fait glisser son maillot de bain, dévoilant, un corps de rêve, aux seins ronds et bien fermes, des jambes fines et musclées. Un cul légèrement bombé et un sexe complétement lisse.
Lui aussi est bien foutu, corps d’athlète, musclé, un fessier arrondi, et musclé et un sexe de bonne taille au repos.
Pendant qu’ils nagent, ma femme se réveille, je lui explique, que nous avons des invités, qui profitent de l’ombre de notre emplacement. Qu’ils sont jeunes et qu’ils sont amis.
Quand ils reviennent, ils saluent ma femme, s’excusent encore de leur intrusion dans notre petit coin, et la discussion commence. Ils s’appellent Léa et Dimitri. Ils ont 15 ans d’écart, lui 34 ans, elle 19. Lui travaille à Hong-Kong, dans la finance, elle vient d’avoir son BAC, elle va faire médecine.
Il est un ami proche de sa famille, ils se connaissent depuis toujours. Elle le considère un peu comme son grand frère. Depuis qu’elle est en âge de comprendre, elle lui demande de lui faire découvrir la vraie vie. Elle a été très couvée par ses parents qui avaient toujours peur pour elle.
Il lui avait promis qu’à ses 18 ans, il l’emmènerait en vacances, mais l’année dernière il n’avait pas pu, donc il l’emmenait pour ses 19 ans. Elle lui avait promis qu’elle lui donnerait sa virginité, mais ça s’était passé autrement.
Elle précisa : ce fut une expérience ni bonne ni mauvaise, mais spéciale quand même.
C’était grâce à lui, qu’elle était sur cette plage aujourd’hui Dimitri avait su convaincre ses parents. Et en rigolant, ils dirent aussi qu’ils avaient commencé à rattraper le temps en devenant amants. Mais Léa précisa qu’elle souhaitait avoir de nouvelles expériences, et que Dimitri était là pour la guider.
Ma femme qui allongée sur le ventre avait écouté leur récit demanda tout à coup : Léa racontez nous votre dépucelage, que l’on puisse se faire une idée.
Dimitri (en la regardant dans les yeux). Vas y raconte leurs, c’est un bon début vers le dévergondage que tu souhaites.
Lea : le jour des résultats du Bac, je suis allée au lycée en voiture, avec un copain de classe et son père, ami de mon père. Une foi les résultats connus, et les effusions passées, le père de Gregory, téléphone à mes parents, pour les inviter le soir même à fêter ça chez eux autour de la piscine. Charles : tout est arrangé, tu viens dès maintenant à la maison, tu rentreras avec tes parents après la petite fête. Tu vas pouvoir profiter de la piscine.
Moi : heureusement que j’ai amené mon maillot de bainCharles : jolie comme tu es, nous n’aurions pas été gênés par ta nudité.
Arrivés chez mes amis, Greg va s'éclipse ainsi que son père, qui dit avoir 2 à 3 choses à faire avant de préparer le barbecue.
Charles : mets-toi à l'aise au bord de la piscine, Greg vient tout de suiteDiscrètement je me change, je mets un maillot 2 pièces, noir, qui pour le soutien-gorge s'attache avec une boucle sur la nuque, et la culotte avec 2 nœuds sur les côtés.
Je me baigne et toujours seule je m'allonge au soleil sur un transat. sur le ventre.
Tout à coup je sens une caresse sur mon dos, j'ouvre les yeux, je tourne la tête et je vois Grégory tout sourire.
Grégory : tu aimes les caressesMoi : oui beaucoup, tes mains sont doucesSes mains sont de plus en plus hardies, maintenant elles vont de ma nuque au creux de mes reins. il défait mon soutien-gorge, et ses doigts frôlent ma culotte. je suis prête je me dis que je vais perdre va virginité ce soir. J'y ai souvent pensé, j'aime beaucoup Grégory, il est doux et semble savoir comment faire.
Je me retourne, je lui souris, nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, nos langues se cherchent.
Moi (m'écartant) : et ton père il peut arriver à tout instant ?
Grégory : non je l'ai vu partir en voiture pour les courses nous sommes seuls.
Nos corps se rapprochent, il me caresse les seins, il s'allonge sur moi, je sens son sexe bien raide sur mon ventre. Il prend ma bouche, je lui rends son baisé. Il me caresse maladroitement le clitoris. Essaie d'écarter ma culotte en même temps qu’il baisse son slip de bain. Je suis mal à l'aise, je ne veux pas le vexer et en même temps je voudrais que ça se passe bien.
Je sens le moment de la pénétration arriver, quand tout à coup, je sens sur mon sexe et sur mes cuisses un liquide chaud et gluant. il vient de jouir, tellement il était excité. Penaud il se lève, s'excuse bêtement et part en courant vers la maison en me disant je reviens.
Je reste là, allongée, seins nus, cuisses écartées, couvertes de sperme. Moi, qui ne savais pas ce que c'était je suis servie. je me lève, me débarrasse de ma culotte souillée, je prends une douche au pool house et je reviens m'étendre en espérant qu'il revienne vite avant son père. je me suis presque endormie, je sens que l'on pose quelque chose sur mes yeux, au toucher je reconnais un foulard de soie.
Moi : Grégory que faits tu ?
Greg : chuuuuuutMoi : tu ne veux pas que je te vois me faire l'amour ?
Greg : chuuuutJe me tais, je trouve ça excitant, ses mains passent en douceur, sur mon corps, mes jambes, remontent, le long de mes cuisses, que je garde serrées. Puis repartent. A chaque tour, la pression est plus forte sur mes cuisses, qui s’écartent inexorablement, pour finir par laisser passer, un doigt qui vient se poser, directement sur mon clitoris. Je le sens tout gonflé, j’ai exactement la même sensation que quand je me masturbe. Je sens l’humidité gagner mon intimité.
J’approche une main, mais je reçois une petite claque, qui me fait comprendre que je dois me laisser faire.
Je sens que l’on m’écarte les cuisses, puis il me fait plein de petits bisous, pour venir poser ses lèvres sur mon sexe. Je sursaute, je sens sa langue, passer délicatement sur mes grandes lèvres. Descendre, remonter, en appuyant de plus en plus fort à chaque passage. Pour finir par s’arrêter sur mon clitoris. Il l’aspire le suce, le mordille. Je vais jouir, jamais je n’ai ressenti ça. Je m’entends gémir.
Puis soudain il s’arrête. Je sens que l’on me tire sur les jambes. Il amène mon bassin au bord du transat, m’écarte les jambes. Et j’ai une petite douleur. Il vient de me pénétrer. Il me prend par les hanches, et commence de lent va et vient. Je commence à de nouveau ressentir du plaisir, quand il se retire. Je suis une nouvelle fois frustrée. Mais très vite il revient. Il est moins doux, il tâtonne pour me pénétrer, j’ai l’impression qu’il est moins gros. Ses coups de reins sont plus saccadés. Il a du mal à me tenir les hanches.
Ce n’est pas le même homme, ils sont au moins deux, je commence à avoir peur. D’un coup de poignet j’arrache le foulard.
Et je me trouve face à Grégory qui est en train de me baiser. Sur le côté je tourne la tête, et je me trouve face au sexe de Charles. Il me prend la tête entre ses mains, surprise j’ouvre la bouche, et il enfonce son sexe bien raide, jusqu’à la garde. Il se ser de ma bouche comme d’un sexe. Je suffoque, je pleure et très rapidement il gicle dans ma gorge.de longs jets chauds, j’en avale une partie, une autre reste sur ma langue, alors que le reste coule de mes lèvres.
Au même moment Grégory se vide au fond de mon ventre, avec un râle de plaisir. Là encore le sperme chaud coule à flots.
Ensuite tout le monde est allé sous la douche, mes parents sont arrivés, la soirée est passée.
Je n’ai pas revu mes deux amants Ma femme : tu n’as pas eu d’orgasme, mais tu as éprouvé quand même un certain plaisir,Léa : oui j’aurais pu avoir une jouissance s’ils ne s’étaient pas arrêtés en cours de route.
Ma femme : en attendant ils ont bien profité de ton corps, et ton récit à bien plu à mon mari qui bande comme un taureau.
Les 3 paires d’yeux se posent sur mon sexe qui il est vrai est bien dure.
Moi : ton anatomie qui ne me laisse pas insensible, ton récit, plus Catherine qui m’a allumé déjà 2 fois, tout ça à suffit pour me mettre dans cet étatCatherine (en rigolant) je vais en profiter ce soirLéa : (en regardant ma femme) : vous permettez que je soulage votre mari ?
Et sans attendre la réponse, Léa, qui était restée allongée durant tout son récit, se met sur le ventre, puis en remontant d’abord sa croupe, se met à quatre pattes. Et comme un félin, se rapproche de moi.
Je bande comme un fou, je suis à moitié allongé, le dos appuyer sur un petit fauteuil de plage.
J’attends qu’elle soit très près de moi, pour écarter les jambes et lui présenter mon sexe.
Toujours à quatre pattes, elle ignore mon offrande, pose sa bouche sur mon nombril, et remonte en me faisant une multitude de bisous, et en frottant son corps contre le mien. Je suis complétement électrisé par ce corps chaud à la peau si douce.
Arrivée sur mon menton, ses lèvres effleurent les miennes, mais très vite, elle redescend, en me léchant, le cou, la poitrine, le ventre, ou elle ignore mon sexe tendu, qui attend sa bouche.
Au troisième allé et retour, ne tenant plus, quand son visage arrive au niveau du mien, je prends sa nuque de la main gauche, et l’embrasse fougueusement. Dans le même temps, mon bras droit, lui enserre la taille, et la force à se plaquer contre moi.
Dans cette position, elle est obligée de se mettre à genou. Nos pubis se retrouvent l’un contre l’autre, et mon sexe et à l’entrée de son sexe. D’un simple coup de reins je la pénètre. Je constate qu’elle est déjà très chaude et humide.
Notre baiser est à la fois tendre et fougueux. Enfoncé au plus profond de son ventre je ne bouge pas. Seules mes mains lui caressent le dos, de la nuque aux fesses. Léa me serre très fort et frotte imperceptiblement son pubis contre le mien, elle se donne du plaisir. Après avoir jouit doucement, ses lèvres se séparent des miennes, et en me faisant des bisous, elle descend le long de mon torse, mon ventre, pour venir gober mon sexe encore raide. Elle commence à me sucer, je sens sa langue, qui joue avec mon gland. Elle me lèche la queue, en descendant jusqu’aux bourses, qu’elle embrasse. Puis toujours avec sa langue, elle remonte au gland. Elle le serre entre ses lèvres, pendant que sa langue le lèche comme une glace. Je sens mon plaisir monter, j’ouvre les yeux.
Je vois Dimitri la queue dans la main, venir à genou entre les jambes de ma femme, qui les cuisses écartées, nous regarde sans faire attention à lui. Surprise elle sursaute mais ne refuse pas son offre.
En la voyant, s’ouvrir pour ce jeune homme en rut, qui sans hésitation la pénètre dans un râle très rauque, je ne peux plus retenir mon plaisir, et je gicle dans la bouche de Léa, qui se fait un devoir de me nettoyer entièrement.
Puis elle vient me donner un baiser, ou elle me rend quelques millilitres de la semence qui avait rempli sa gorge. Elle se colla contre moi, et nous avons regardé, Cathy et Dimitri faire l’amour. La position du missionnaire, les jambes repliées sur le ventre, les cuisses bien ouvertes, que ma femme tient avec ses mains. Lui appuyé sur ses poings, fait soit de lent va et vient soit des rapides. On voit très bien le sexe luisant de mouille, plonger dans le ventre de sa maitresse. Le clapotis et les couilles qui tapent contre les fesses, accompagnent les gémissements des deux baiseurs.
Très vite, leur plaisir monte, et dans la même seconde, ils jouissent dans un concert de plaintes qui ne laissent aucun doute sur leur origine.
Une fois que tout le monde à repris ses esprits, nous nous séparons et nous donnant RDV, le lendemain au même endroit. Nous avons passé ainsi nos derniers jours de vacances bien agréables.
Mais nous n’avons jamais eu de nouvelles par la suite.
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