L'arrêt de bus

- Par l'auteur HDS Davidson -
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'arrêt de bus Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'arrêt de bus
Agnès, la trentaine, avait dû laisser sa voiture en révision, une pièce à changer, des délais de livraison, firent qu'elle avait dû s'arranger avec son copain qui viendrait la chercher sur le coup des dix sept heures.
Pour des raisons de facilités ils avaient optés comme lieu de rendez vous, pour un abri - bus en face d'une station service désaffectée. L'abri bus fournissait une protection en cas de pluie, et la piste d'accès à la station service une facilité de stationnement.
Ce jour là elle portait une jupe très moulante et un blouson de cuir. Il y avait une demi douzaine de personnes sous l'abri bus. Elle sentit nettement que quelqu'un lui caressait les fesses, elle se déplaça légèrement, au bout de quelques secondes les caresses reprirent; le bus arriva et les personnes de l'abri bus grimpèrent dans le véhicule; sauf l'individu derrière elle qui lui caressait les fesses avec insistance.
Elle entendit une voix lui murmurer tout près de l'oreille "Alors grosse salope, on ne monte pas dans le bus pour continuer à se faire toucher le cul?" Elle se déplaça et répondit sans se retourner "Non, on vient me chercher!" Les caresses reprirent avec plus d'intensité et la voix ajouta "Moi je crois que c'est parce que tu aimes ça et que tu as la chatte qui mouille!"; et effectivement elle sentait bien son entre jambe s'humidifier. Les caresses étaient très précises et vigoureuses; elle trouvait la situation amusante et excitante.
La voiture de son copain apparut enfin et s'engagea sur la piste d'accès de la station service où elle s'arrêta. Agnès immédiatement traversa la rue pour la rejoindre, avant de monter dans le véhicule elle jeta un coup d'oeil sur l'homme de l'abri bus, un mec frisé, brun, au physique quelconque.
Elle raconta l'incident à son copain qui trouva la chose amusante.
Rentrés chez eux ils firent l'amour, excités par cette histoire. Elle dût bien s'avouer que cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas joui comme ça, et que la séance de l'abri bus avait constitué des préliminaires très efficaces.
Le lendemain elle attendait dans l'abri bus, toujours avec son petit blouson de cuir, mais avec une jupe plissée. Il y avait à peu près le même nombre de personnes. Les mains se posèrent sur ses fesses et la voix lui murmura "Alors prête pour la suite?"; elle ne répondit pas, se contentant de ne pas changer de place. Les mains la palpait franchement. Lorsque le bus arriva et que les autres personnes furent montées, les mains se glissèrent sous la jupe, elle portait des collants, une des mains s'infiltra entre ses cuisses et entrepri de lui masser le pubis. Elle ne pu s'empêcher d'écarter légèrement les pieds, il y avait bien trois à quatre doigts qui lui massaient le sexe.
Elle eut peur qu'il perçoive toute la cyprine qui s'écoulait de son vagin. "Tu aimes ça salope!" lui dit la voix, elle voulu tourner la tête pour lui répondre mais la bouche de l'homme se posa sur la commissure de sa bouche, la langue essayant de forcer l'entrée. Elle dégagea son visage en se remettant face à la route, mais en laissant ses fesses et son entre jambe disponibles.
La voiture de son copain arriva, elle la rejoignit presque en courant. Elle lui raconta de nouveau l'incident. Il éclata de rire en lui disant "tu sais comment s'appelle cet arrêt de bus?", devant la réponse négative il enchaina "du nom du quartier, les Olives, et sais tu ce que signifie faire une olive, dans le langage populaire local? c'est enfoncer une phalange dans l'anus de l'autre, et l'arrêt de bus s'appelle Les Olives!"Arrivés chez eux ils firent de nouveau l'amour, et elle jouit d'une façon intense. Il n'y avait aucun doute les préliminaires de l'abri bus l'excitait excessivement.
Il y eut un mercredi, jour de repos, et donc jour sans abri bus. Puis le jour suivant, alors qu'elle portait un pantalon, les mains s'emparèrent de ses fesses et la voix lui dit "Alors bordille, tu n'es pas venue hier!" Elle tourna légèrement la tête avec l'intention de répondre "hier je ne travaillais pas!" Mais la bouche se posa sur ses lèvres et la langue pénétra dans sa bouche, elle se dégagea rapidement. Le bus arriva et l'abri bus se vida. Une main passa devant son bassin et fit descendre la fermeture éclair du pantalon, elle n'avait pas ses collants sous le pantalon, juste une petite culotte minuscule. Des doigts furent rapidement au contact de son sexe, glissant sous la culotte et écartant les grandes lèvres. Elle tenta de s'échapper en faisant une sorte de demi-tour, et elle se retrouva coincée dans l'angle de l'abri bus. C'était la première fois qu'elle se retrouvait face à l'individu. Il n'était même pas beau. Il l'attrapa par la nuque et lui lécha les lèvres avec sa langue, occupée à essayer d'échapper à ce baiser elle ne se rendit pas compte qu'un doigt lui pénétrait le vagin ,"tu es trempée salope!" lui dit l'homme qui semblait n'avoir qu'une vingtaine d'année. Elle voulu ouvrir la bouche pour dire "non!", et la langue la pénétra. Elle essayait de ne pas avoir de contact langue contre langue, mais l'activité du doigt dans son vagin la dépassait. Il devait y avoir deux doigts dans son vagin et le pouce sur son clitoris.
Lorsqu'elle parvint à se dégager elle put se rendre compte que la voiture de son copain était stationnée sur la piste de la station service. Elle traversa la route pratiquement en courant.
Elle raconta les choses à son copain (avec lequel elle fréquentait régulièrement les clubs libertins) et celui ci lui dit "oui, j'ai vu que vous aviez fait connaissance".
Et arrivés chez eux leur séance de sexe fut torride. Il lui dit "en fin de compte ce mec te fait plus bander qu'autre chose", et elle se rendit compte qu'elle ne pouvait pas répondre par la négative.
Le jour suivant elle ne portait pas son petit blouson de cuir mais une grosse veste longue; sous cette veste elle portait la jupe plissée et sous la jupe plissée elle portait des bas auto fixant.
La voix lui dit "Alors tu es habillée en mémé?", elle se retourna et lui fit face. Il n'était vraiment pas beau. Elle se contenta d'ouvrir les pans de sa veste en gardant les mains dans les poches. Il l'embrassa directement, et elle lui répondit avec sa langue. Une main s'était introduite sous sa jupe, constatant la présence des bas il lui dit "viens" et il l'entraina derrière un équipement urbain des télécom qui fournissait un abri visuel relatif. Il l'embrassa de nouveau et lui dit "Quittes ta culotte salope!", elle regarda autour d'elle, personne ne semblait leur prêter attention, elle fit descendre sa petite culotte, il s'en empara et la jeta par terre à quelques mètres en lui disant "A partir de maintenant tu n'en mettras plus"; il la fit s'appuyer contre l'équipement télécom, sortit son phallus, lui saisit une jambe sous le genou et la pénétra ainsi debout sur une seule jambe, l'autre jambe tenue à mi-hauteur, il la baisa avec ardeur, mais éjaculateur précoce, il éjacula dans son vagin avant qu'elle ne ressente les premiers frissons. Puis il l'embrassa de nouveau à pleine bouche et lui dit "maintenant je vais t'enculer!", il lui fit prendre appui contre l'équipement télécom, lui retroussa la jupe et la veste, il avait reprit son érection, il la pénétra brutalement et éjacula dans son anus en quelques aller - retour. Elle était totalement insatisfaite mais absolument excitée. Arrivée à la voiture de son copain, les cuisses et les fesses dégoulinant de sperme elle se jeta sur son sexe et lui fit une fellation pendant le trajet de retour. Arrivés au domicile ils firent l'amour comme des bêtes, elle eut un nombre d'orgasmes impressionnant aussi bien avec des pénétrations qu'avec des cunnilingus.
Le lundi suivant à l'abri bus, elle était avec ses bas et sa jupe plissée sous sa grosse veste, mais sans culotte; une des habituées de l'arrêt de bus s'approcha d'elle et lui dit "nous avons appris pour votre copain, c'est bien triste". Elle ne comprenait pas du tout de quoi cette inconnue voulait lui parler.
Devant son apparente incompréhension la dame lui tendit un journal local, un titre évoquait "Un drame aux Olives", elle lut l'article qui concernait l'attaque d'une bijouterie qui avait finit en face à face avec la police. L'un des malfaiteurs avait été abattu, en regardant bien la photo de mauvaise qualité elle put discerner le visage d'un mec vraiment pas beau; il ne viendrait plus à l'arrêt de bus.

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Texte coquin : L'arrêt de bus
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