L'arrivée d'Anne au Château (1/5)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'arrivée d'Anne au Château (1/5)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (1/5)-
Anne a toujours été très attirée par la soumission, mais c’est sa rencontre avec son Maître (il se reconnaîtra) qui lui a enfin donner la chance de devenir une véritable soumise. Alors voici son témoignage de son vécu de chienne :
D’abord, je me présente, alors je ne suis pas très grande, cheveux claires, quelques petites rondeurs et avec mon caractère impulsif, j'ai toujours refusé de me plier devant un homme. Il m'a fallu rencontrer mon Maître pour découvrir enfin les délices de la soumission qui recèlent en moi depuis très longtemps dans mon esprit et mes fantasmes. Ce Maître sait être doux mais aussi très dur et il sait me mettre entièrement à sa merci.
Ma soumission a commencé un soir, quand je lui ai parlé de mon fantasme d'être attachée et possédée par plusieurs hommes, sans pouvoir me défendre. Il m'a écouté et n'a rien dit mais quelques jours plus tard, un soir, alors que j'étais dans mon bain, chez moi bien tranquille, attendant le retour de mon mari. J'habite à la campagne et je ne ferme jamais la porte à clé. Soudain je sursaute violemment car un homme vient d'entrer dans ma salle de bain mais ce n'est pas mon mari, d’où ma crainte d’un cambrioleur. Il est grand, châtain, avec des yeux noisette et le regard froid. Il m'ordonne de me lever, de sortir de la baignoire et de me tenir debout devant lui. Il rajoute qu'il est envoyé par mon Maître.
J'aperçois deux autres hommes tout aussi grands, tapis dans le couloir. Donc il m’est impossible de fuir… Très gênée, je sors nerveusement du bain et m'immobilise devant lui frissonnant par le changement de température. Il m'essuie rapidement, sans aucun sourire, impassible mais aussi sans aucun geste déplacé malgré la situation et sa retenue me surprend. Je vais comprendre progressivement ce qui m'arrive, pour le moment je suis sous le choc et la surprise, ce qui commence par me faire discrètement mouiller .Quand je suis quasi-sèche, il m'entraîne dans ma chambre, suivi par les deux autres hommes que je distingue mal car ils se trouvent toujours dans la pénombre du couloir. Ces derniers sortent attendre dehors. L'homme châtain (j'apprendrais ensuite qu'il s'appelle Alexandre) me dit d’une voix neutre et laconique " habille toi ". Je choisi alors un petit chemisier et une robe courte, il semble satisfait de mon choix. Je n'ai ni soutien gorge ni culotte, il m'interdit d'en mettre. Puis il me bande les yeux et m'ordonne de mettre les mains derrière le dos. Je sens qu'on me passe des menottes dans le dos, ça y est je ne peux vraiment plus rien faire. Je suis soumise entièrement à mon " visiteur ". Maintenant que je suis aveuglée, il m'entraîne dehors. Il fait frais pour un soir d'été, je frissonne encore.
On me fait monter dans une voiture, et je me retrouve encadrée par les deux autres hommes. Je ne risque pas de me sauver ! Je devine que le grand type châtain prend le volant et nous partons. Puis je l’entends dire : " Jérome, Serge, préparez là "… Et ce sera le seul ordre qu'il donnera. Immédiatement je sens qu'on déboutonne mon chemisier, et que quatre mains puissantes m'écartent les cuisses sans ménagement et remontent ma jupe. Une main indiscrète force le passage entre mes jambes et me touche, suivi d'un commentaire sans appel " tu mouilles petite salope, ça te plait on dirait … " Effectivement je suis trempée et ce n'est pas le contact d'une main d'homme sur mon sexe qui va me calmer ! Cette main indiscrète frôle mon clitoris, puis descend plus bas et un doigt pénètre sans ménagement dans mon vagin. Je gémis. Le doigt s'insinue plus loin, bientôt suivi par un deuxième qui m'élargit. Je me tortille pour échapper à cette intrusion, mais sans plus de résultat que d'aider la main à progresser plus profond. Une voix me demande : " tu as l'habitude de te faire enculer, salope ? " pendant que la main continue de me fouiller. " Non …! " Je commence à être vraiment effrayée. Je n'ai essayé qu'une fois la sodomie et elle m'a laissé un souvenir cuisant. Il semble que même avec du gel et de la patience, que je sois vraiment serrée de ce coté là… " tu t'y feras petite garce !". Et comme pour appuyer ces dires, je sens la main qui me pénètre se retirer puis descendre plus bas vers mes fesses et me chatouiller ma petite rondelle. Je me contracte de toutes mes forces, la main s'arrête là heureusement. Pendant ce temps, une autre main déboutonne mon chemisier et me titille les seins, les pinçant assez rudement. Les 2 bouts en sont durs et gonflés. Je sens qu'on me pose une petite pince sur chaque tétons, et qu'elles sont reliées ensemble par une chaînette qui bat entre mes seins. Les petites pointes des pinces, indolores au début me rentrent progressivement dans la chair et finissent par me lancer, me rappelant à chaque seconde que je suis maintenant à la disposition des hommes qui m'entourent.
Nous roulons un bon moment, pendant que l'on continue à me caresser, manifestement pour m'exciter, sans pour autant me laisser jouir. J'ai le clito en feu je me sens devenir comme une petite chienne prête à céder à toutes les demandes. C'est manifestement ce qu'ils veulent obtenir car je n'oppose plus aucune résistance à une situation qui pourtant n'a rien de normal ! Soudain la voiture s'arrête, et j’entends dire « Nous voici au château ! » on me débarque sans ménagement puis on me dirige en me tenant fermement sous les bras. J’entends une lourde porte s’ouvrir après avoir monté des escaliers. Puis je sens un carrelage sous mes chaussures à talons, nous sommes entrés dans le château. A la résonance des pas, je devine une immense pièce d’entrée. Je sens qu'un autre homme approche. On me laisse plantée là, à moitié nue, pendant que je me sens inspectée, épiée par des yeux dont j'ignore à qui ils appartiennent. L'homme soulève ma jupe et me découvre sans culotte Puis le verdict tombe : " Jolie chatte, le Maître appréciera’’ Puis on m’installe et m’attache sur une table de gynécologie.
On me pose aussi un collier de chienne autour du cou, qu'on attache de façon à ce que je ne puisse pas me redresser. Satisfait du résultat manifestement, l'homme (j’ai su après qu’il était le domestique répondant au nom de Walter) propose tranquillement aux autres de se servir un verre pendant qu'il s'occupe de moi. Je frémis, et toujours les yeux bandés en me demandant ce qu'il va bien pouvoir m'arriver… Je le sens rapidement : un gode de bonne taille enduit de gel vient se poser contre mon sexe et me pénètre puissamment sans que je puisse me débattre. On le fixe avec des chaînettes assez serrées, une qui passe entre mes fesses et une autour de la taille, pour qu'il reste bien en place. Il s'enfonce profondément en moi et me dilate bien plus largement que n'importe quel sexe. Ensuite on me tourne la tête et je sens un sexe d'homme se présenter à mes lèvres : il faut que je suce. J'ouvre docilement la bouche et je commence à pomper l'homme bien membré, qui s'enfonce dans ma bouche comme il lui plait. Je ne peux pas bouger, il règle la profondeur de sa pénétration à son goût, même si je m'étrangle. Je sens qu'il m'empoigne par les cheveux afin de se branler dans ma bouche comme un vulgaire trou. Je fais de mon mieux pour me serrer autour de sa queue, je le titille avec ma langue, lui lèche le gland, puis les couilles qu'il me présente ensuite. La scène émoustille manifestement les autres hommes car je sens des mains courir sur mon corps, tirant sur les chaînettes toujours fixées sur mes seins et poussant pour m'enfoncer le gode encore plus profond si c'est possible…
Puis une bouche se pose sur mon clitoris, écartant un peu la chaîne qui tient le gode et commence à me chatouiller délicieusement. S'en est trop, je jouis brutalement, violemment. Les spasmes de mon vagin se serrent autour du gode toujours profondément planté en moi. Le rythme du va et vient dans ma bouche s'accélère, je sens que l'homme va jouir dans ma gorge. Je n’aime pas trop le goût du sperme, ça m’écoeure et malgré mon obéissance à mon homme, je n'arrive pas à l'avaler. Là je suis bien obligée, le type me décharge un jet crémeux dans le fond de la gorge et me tient la tête jusqu'à ce que j'ai tout avalé jusqu'à la moindre goutte. Il est manifestement au courant de ma résistance car il rajoute " là, tu y prendras vite goût petite garce, du sperme tu vas en gober "… Effectivement, il est immédiatement remplacé par une autre bite, qui me prend la bouche avec la même énergie que la première. Je dois tous les sucer à tour de rôle, et c'est 4 décharges que je prends dans la gorge et que je dois avaler sans sourciller. Mon excitation retombe, je ne sens plus que mes liens bien serrés, le gode enfoncé en moi qui me dilate, ma chatte sans poils au contact de l'air frais et leurs bites dans ma gorge. Quand le dernier a enfin joui, on me détache et enfin on m'enlève mon bandeau, puis les pinces à sein. Je me lève difficilement : le gros gode toujours planté en moi me gêne dans mes mouvements...
(A suivre...)
Anne a toujours été très attirée par la soumission, mais c’est sa rencontre avec son Maître (il se reconnaîtra) qui lui a enfin donner la chance de devenir une véritable soumise. Alors voici son témoignage de son vécu de chienne :
D’abord, je me présente, alors je ne suis pas très grande, cheveux claires, quelques petites rondeurs et avec mon caractère impulsif, j'ai toujours refusé de me plier devant un homme. Il m'a fallu rencontrer mon Maître pour découvrir enfin les délices de la soumission qui recèlent en moi depuis très longtemps dans mon esprit et mes fantasmes. Ce Maître sait être doux mais aussi très dur et il sait me mettre entièrement à sa merci.
Ma soumission a commencé un soir, quand je lui ai parlé de mon fantasme d'être attachée et possédée par plusieurs hommes, sans pouvoir me défendre. Il m'a écouté et n'a rien dit mais quelques jours plus tard, un soir, alors que j'étais dans mon bain, chez moi bien tranquille, attendant le retour de mon mari. J'habite à la campagne et je ne ferme jamais la porte à clé. Soudain je sursaute violemment car un homme vient d'entrer dans ma salle de bain mais ce n'est pas mon mari, d’où ma crainte d’un cambrioleur. Il est grand, châtain, avec des yeux noisette et le regard froid. Il m'ordonne de me lever, de sortir de la baignoire et de me tenir debout devant lui. Il rajoute qu'il est envoyé par mon Maître.
J'aperçois deux autres hommes tout aussi grands, tapis dans le couloir. Donc il m’est impossible de fuir… Très gênée, je sors nerveusement du bain et m'immobilise devant lui frissonnant par le changement de température. Il m'essuie rapidement, sans aucun sourire, impassible mais aussi sans aucun geste déplacé malgré la situation et sa retenue me surprend. Je vais comprendre progressivement ce qui m'arrive, pour le moment je suis sous le choc et la surprise, ce qui commence par me faire discrètement mouiller .Quand je suis quasi-sèche, il m'entraîne dans ma chambre, suivi par les deux autres hommes que je distingue mal car ils se trouvent toujours dans la pénombre du couloir. Ces derniers sortent attendre dehors. L'homme châtain (j'apprendrais ensuite qu'il s'appelle Alexandre) me dit d’une voix neutre et laconique " habille toi ". Je choisi alors un petit chemisier et une robe courte, il semble satisfait de mon choix. Je n'ai ni soutien gorge ni culotte, il m'interdit d'en mettre. Puis il me bande les yeux et m'ordonne de mettre les mains derrière le dos. Je sens qu'on me passe des menottes dans le dos, ça y est je ne peux vraiment plus rien faire. Je suis soumise entièrement à mon " visiteur ". Maintenant que je suis aveuglée, il m'entraîne dehors. Il fait frais pour un soir d'été, je frissonne encore.
On me fait monter dans une voiture, et je me retrouve encadrée par les deux autres hommes. Je ne risque pas de me sauver ! Je devine que le grand type châtain prend le volant et nous partons. Puis je l’entends dire : " Jérome, Serge, préparez là "… Et ce sera le seul ordre qu'il donnera. Immédiatement je sens qu'on déboutonne mon chemisier, et que quatre mains puissantes m'écartent les cuisses sans ménagement et remontent ma jupe. Une main indiscrète force le passage entre mes jambes et me touche, suivi d'un commentaire sans appel " tu mouilles petite salope, ça te plait on dirait … " Effectivement je suis trempée et ce n'est pas le contact d'une main d'homme sur mon sexe qui va me calmer ! Cette main indiscrète frôle mon clitoris, puis descend plus bas et un doigt pénètre sans ménagement dans mon vagin. Je gémis. Le doigt s'insinue plus loin, bientôt suivi par un deuxième qui m'élargit. Je me tortille pour échapper à cette intrusion, mais sans plus de résultat que d'aider la main à progresser plus profond. Une voix me demande : " tu as l'habitude de te faire enculer, salope ? " pendant que la main continue de me fouiller. " Non …! " Je commence à être vraiment effrayée. Je n'ai essayé qu'une fois la sodomie et elle m'a laissé un souvenir cuisant. Il semble que même avec du gel et de la patience, que je sois vraiment serrée de ce coté là… " tu t'y feras petite garce !". Et comme pour appuyer ces dires, je sens la main qui me pénètre se retirer puis descendre plus bas vers mes fesses et me chatouiller ma petite rondelle. Je me contracte de toutes mes forces, la main s'arrête là heureusement. Pendant ce temps, une autre main déboutonne mon chemisier et me titille les seins, les pinçant assez rudement. Les 2 bouts en sont durs et gonflés. Je sens qu'on me pose une petite pince sur chaque tétons, et qu'elles sont reliées ensemble par une chaînette qui bat entre mes seins. Les petites pointes des pinces, indolores au début me rentrent progressivement dans la chair et finissent par me lancer, me rappelant à chaque seconde que je suis maintenant à la disposition des hommes qui m'entourent.
Nous roulons un bon moment, pendant que l'on continue à me caresser, manifestement pour m'exciter, sans pour autant me laisser jouir. J'ai le clito en feu je me sens devenir comme une petite chienne prête à céder à toutes les demandes. C'est manifestement ce qu'ils veulent obtenir car je n'oppose plus aucune résistance à une situation qui pourtant n'a rien de normal ! Soudain la voiture s'arrête, et j’entends dire « Nous voici au château ! » on me débarque sans ménagement puis on me dirige en me tenant fermement sous les bras. J’entends une lourde porte s’ouvrir après avoir monté des escaliers. Puis je sens un carrelage sous mes chaussures à talons, nous sommes entrés dans le château. A la résonance des pas, je devine une immense pièce d’entrée. Je sens qu'un autre homme approche. On me laisse plantée là, à moitié nue, pendant que je me sens inspectée, épiée par des yeux dont j'ignore à qui ils appartiennent. L'homme soulève ma jupe et me découvre sans culotte Puis le verdict tombe : " Jolie chatte, le Maître appréciera’’ Puis on m’installe et m’attache sur une table de gynécologie.
On me pose aussi un collier de chienne autour du cou, qu'on attache de façon à ce que je ne puisse pas me redresser. Satisfait du résultat manifestement, l'homme (j’ai su après qu’il était le domestique répondant au nom de Walter) propose tranquillement aux autres de se servir un verre pendant qu'il s'occupe de moi. Je frémis, et toujours les yeux bandés en me demandant ce qu'il va bien pouvoir m'arriver… Je le sens rapidement : un gode de bonne taille enduit de gel vient se poser contre mon sexe et me pénètre puissamment sans que je puisse me débattre. On le fixe avec des chaînettes assez serrées, une qui passe entre mes fesses et une autour de la taille, pour qu'il reste bien en place. Il s'enfonce profondément en moi et me dilate bien plus largement que n'importe quel sexe. Ensuite on me tourne la tête et je sens un sexe d'homme se présenter à mes lèvres : il faut que je suce. J'ouvre docilement la bouche et je commence à pomper l'homme bien membré, qui s'enfonce dans ma bouche comme il lui plait. Je ne peux pas bouger, il règle la profondeur de sa pénétration à son goût, même si je m'étrangle. Je sens qu'il m'empoigne par les cheveux afin de se branler dans ma bouche comme un vulgaire trou. Je fais de mon mieux pour me serrer autour de sa queue, je le titille avec ma langue, lui lèche le gland, puis les couilles qu'il me présente ensuite. La scène émoustille manifestement les autres hommes car je sens des mains courir sur mon corps, tirant sur les chaînettes toujours fixées sur mes seins et poussant pour m'enfoncer le gode encore plus profond si c'est possible…
Puis une bouche se pose sur mon clitoris, écartant un peu la chaîne qui tient le gode et commence à me chatouiller délicieusement. S'en est trop, je jouis brutalement, violemment. Les spasmes de mon vagin se serrent autour du gode toujours profondément planté en moi. Le rythme du va et vient dans ma bouche s'accélère, je sens que l'homme va jouir dans ma gorge. Je n’aime pas trop le goût du sperme, ça m’écoeure et malgré mon obéissance à mon homme, je n'arrive pas à l'avaler. Là je suis bien obligée, le type me décharge un jet crémeux dans le fond de la gorge et me tient la tête jusqu'à ce que j'ai tout avalé jusqu'à la moindre goutte. Il est manifestement au courant de ma résistance car il rajoute " là, tu y prendras vite goût petite garce, du sperme tu vas en gober "… Effectivement, il est immédiatement remplacé par une autre bite, qui me prend la bouche avec la même énergie que la première. Je dois tous les sucer à tour de rôle, et c'est 4 décharges que je prends dans la gorge et que je dois avaler sans sourciller. Mon excitation retombe, je ne sens plus que mes liens bien serrés, le gode enfoncé en moi qui me dilate, ma chatte sans poils au contact de l'air frais et leurs bites dans ma gorge. Quand le dernier a enfin joui, on me détache et enfin on m'enlève mon bandeau, puis les pinces à sein. Je me lève difficilement : le gros gode toujours planté en moi me gêne dans mes mouvements...
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