L'arrivée d'Anne au Château (2/5)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'arrivée d'Anne au Château (2/5)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (2/5)-
Je fais connaissance avec les quatre hommes, qui, je l'apprends à ce moment là, vont s'amuser avec moi tout le week-end, le Maître étant absent pour le moment m'a en effet prêté à eux pour me dresser pendant 48 heures. D’abord, je découvre Walter, le domestique, c’est celui que j'ai sucé en premier et qui m'a posé le gode. Il est grand mince très « anglais » par son flegme apparent mais assuré au regard froid et impassible, brun, bien monté avec un regard bleu perçant. Le deuxième, Alexandre, le conducteur grand, châtain aux yeux noisette est celui qui m'impressionne le plus par son immense corps d’athlète . Ils semblent amis. Les deux autres, prénommés Jérome et Serge sont plutôt des hommes de main mais bien aussi membrés il faut l’avouer. Jérome est un beau noir, ce que je n'avais pas remarqué dans la pénombre du couloir. Après cette séance mémorable, ils me laissent récupérer une petite heure dans un cachot, juste sur un matelas, sans me laisser libre pour autant : ils prennent garde de m'attacher à un anneau scellé au mur avec une chaîne assez longue, reliée à mon nouveau collier de chienne qui lui-même se verrouille avec un petit cadenas : même les mains libres, je ne risque pas de l'enlever ! Je garde aussi le gode en permanence en moi ceinturé par une lanière de cuir, qui me gêne un peu pour me déplacer dans cette cellule ou je traîne ma chaîne qui mesure environ de 2 mètres…Je suis tellement épuisée d'émotions que je m'endors ensuite presque instantanément.
Il est 22 heures, je suis partie depuis seulement que 2 heures de chez moi ! Je suis réveillée à 23 h 30 par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir sa bite pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir : au bout de quelques minutes, il attrape la chaîne reliée à mon collier, la détache de l’anneau et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le gode planté en moi. J'arrive dans une salle que je ne connais pas encore (je saurais plus tard, qu’elle est située au rez-de-chaussée du donjon).
Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un cercueil vertical. Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir qu’il me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans pouvoir bouger du tout, prisonnière dans cet espace réduit ou je ne tiens que debout. Walter referme la caisse me laissant ainsi enfermée une dizaine de minutes. Puis j'entends des gens qui commencent à arriver. Manifestement il y a du monde, des voix d'hommes et de femmes, ça rit, ça discute.
Puis je sens une main qui s'insinue dans ma cage par l'un des trous : je comprends alors ce qui va m'arriver ! En quelques minutes, mon corps est pris d'assaut : des mains inconnues me palpent, s'insinuent dans mes moindres recoins sans que je puisse y opposer la plus petite résistance : on me pince les seins, on les tire, on vrille mes tétons, des doigts pénètrent dans ma bouche, puis dans ma chatte, plusieurs doigts venant de plusieurs mains… Je comprend ensuite pourquoi Walter a laissé le gode me dilater aussi longtemps : je sens une main qui tente de s'insérer entière dans mon vagin, par le trou positionné pile en face de mon sexe me forçant à écarter les jambes autant que je le peux pour tenter de faciliter la pénétration, car j'ai bien compris qu'il ne sert à rien de résister, mes mouvements désespérés pour échapper aux pénétrations ne font qu'exciter mes agresseurs. Je suis trempée tellement cette situation m’excite La main enduite de gel va et vient, s'enfonçant à chaque fois plus profondément. Je gémis comme une petite chienne, le fist me fait peur car je n'y ai jamais goûté auparavant : comme pour mon anus, je suis trop serrée. Enfin on me force un grand coup et je sens la main disparaître en moi puis le poing se fermer dans mes entrailles. Commence alors un va et vient puissant, qui me dilate comme jamais. Je crie, je me cale comme je peux dans le noir de la caisse contre la paroi de bois pour résister aux puissants mouvements. Je sens confusément une autre main qui me branle le clitoris, mais toutes les sensations se mélangent, douleur et plaisir, peur et excitation… Soudain je suis terrassée par une jouissance intense, la deuxième de la soirée. Celui qui me prend ainsi doit le sentir car la main ralentit puis se retire. Je ne sens plus que la douleur de mes entrailles trop élargies pour leur capacité. Je dégouline, ma mouille me coule le long des jambes, j'ai le souffle court et le cœur qui bat trop fort. Mais on ne me laisse pas de répit : maintenant c'est mon petit trou qui intéresse les explorateurs… Je sens un doigt se poser contre ma rondelle et je devine que ce soir je serai pénétrée par tous mes orifices, que cela me plaise ou pas J'entend des coups de fouet et des cris : manifestement, une autre soumise passe un mauvais quart d'heure.
Des gémissements s'échappent de plusieurs endroits de la grande pièce, je devine que je ne suis pas la seule ce soir dont on s'occupe des orifices… Pendant que je tends l'oreille, un pouce et un majeur s'insèrent en moi, un dans le vagin et un dans mon petit cul, bien serré pourtant. Les deux doigts se serrent ensuite rythmiquement, et je les sens se rejoindre à travers ma fine paroi de peau qui sépare mon vagin de mon anus. Mon excitation qui retombait remonte, surtout qu'une autre main, féminine il me semble vu son toucher, me caresse le clitoris sensuellement, comme pour me faire oublier la morsure de la dilatation causée par le fist. Je me sens prête à jouir une troisième fois mais la caresse merveilleuse s'arrête à ce moment là, me laissant pantelante et trempée. Puis l'intrus change, à nouveau je sens d'autres doigts me pénétrer la chatte, puis le cul, je suis progressivement dilatée de partout : je sens confusément qu'on m'introduit trois doigts dans l'anus et que ma rondelle commence à en souffrir car elle arrive à ses limites, tout comme mon sexe élargit de force tout à l'heure. Je dois de nouveau sucer 4 ou 5 hommes à tour de rôle par le trou de la caisse placé juste devant ma bouche et encore une fois, je suis forcée à tout avaler. Enfin la soirée se termine, les visiteurs s'en vont, le calme revient.
La porte de la caisse s'ouvre. Je cligne des yeux et je vois l'heure : 3 heures du matin, j'ai passé 3 heures trente dans ma prison à trous à mettre mes orifices à disposition des visiteurs. Soudain apparaît celui qui m'a ouvert la caisse, Walter Je suis soulagée de le voir, enfin un visage familier dans cette ambiance étrange qui me fait perdre mes repères depuis quelques heures. " Tu es une bonne pute " Me dit-il d’une voix froide. Je ne peux qu'osciller de la tête, j'aurai trop de choses à lui demander, des questions à lui poser… Il me regarde sans broncher, puis me caresse la joue et me dit sur le même ton " j'espère que les amis du Maître te plaisent, tu verras, tu vas découvrir plein de choses avec eux ". Puis il me détache enfin les poignets. Pour le première fois de la soirée, je suis entièrement libre de mes mouvements, ni entravée ni attachée mais pas pour longtemps.
Ne sachant pas quoi penser je reste immobile puis on me ramène dans ma cellule. Dix minutes après Walter m'apporte de l'eau, et je suis autorisée à manger, à même mon matelas dans mon cachot de nouveau attachée à la chaîne scellée au mur, le repas qu’on m’a donc apporté et je suis laissé seule. Pendant ce temps les hommes boivent un dernier verre et discutent de la soirée dans le grand salon. Manifestement je suis la seule soumise du château. Cette grande demeure est vide à part eux 4 et moi. L’autre soumise que j’ai entendu crier a dû venir et repartir avec les invités J'entends Alexandre parler de moi, j'attrape quelques mots dans la discussion que je comprends mal. " soumission "… "Double pénétration "… "Dilatation" …" dressage "… Cela suffit à me faire appréhender et à la fois à me faire mouiller, car je me doute bien qu'ils parlent de la suite du programme….
(A suivre...)
Je fais connaissance avec les quatre hommes, qui, je l'apprends à ce moment là, vont s'amuser avec moi tout le week-end, le Maître étant absent pour le moment m'a en effet prêté à eux pour me dresser pendant 48 heures. D’abord, je découvre Walter, le domestique, c’est celui que j'ai sucé en premier et qui m'a posé le gode. Il est grand mince très « anglais » par son flegme apparent mais assuré au regard froid et impassible, brun, bien monté avec un regard bleu perçant. Le deuxième, Alexandre, le conducteur grand, châtain aux yeux noisette est celui qui m'impressionne le plus par son immense corps d’athlète . Ils semblent amis. Les deux autres, prénommés Jérome et Serge sont plutôt des hommes de main mais bien aussi membrés il faut l’avouer. Jérome est un beau noir, ce que je n'avais pas remarqué dans la pénombre du couloir. Après cette séance mémorable, ils me laissent récupérer une petite heure dans un cachot, juste sur un matelas, sans me laisser libre pour autant : ils prennent garde de m'attacher à un anneau scellé au mur avec une chaîne assez longue, reliée à mon nouveau collier de chienne qui lui-même se verrouille avec un petit cadenas : même les mains libres, je ne risque pas de l'enlever ! Je garde aussi le gode en permanence en moi ceinturé par une lanière de cuir, qui me gêne un peu pour me déplacer dans cette cellule ou je traîne ma chaîne qui mesure environ de 2 mètres…Je suis tellement épuisée d'émotions que je m'endors ensuite presque instantanément.
Il est 22 heures, je suis partie depuis seulement que 2 heures de chez moi ! Je suis réveillée à 23 h 30 par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir sa bite pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir : au bout de quelques minutes, il attrape la chaîne reliée à mon collier, la détache de l’anneau et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le gode planté en moi. J'arrive dans une salle que je ne connais pas encore (je saurais plus tard, qu’elle est située au rez-de-chaussée du donjon).
Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un cercueil vertical. Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir qu’il me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans pouvoir bouger du tout, prisonnière dans cet espace réduit ou je ne tiens que debout. Walter referme la caisse me laissant ainsi enfermée une dizaine de minutes. Puis j'entends des gens qui commencent à arriver. Manifestement il y a du monde, des voix d'hommes et de femmes, ça rit, ça discute.
Puis je sens une main qui s'insinue dans ma cage par l'un des trous : je comprends alors ce qui va m'arriver ! En quelques minutes, mon corps est pris d'assaut : des mains inconnues me palpent, s'insinuent dans mes moindres recoins sans que je puisse y opposer la plus petite résistance : on me pince les seins, on les tire, on vrille mes tétons, des doigts pénètrent dans ma bouche, puis dans ma chatte, plusieurs doigts venant de plusieurs mains… Je comprend ensuite pourquoi Walter a laissé le gode me dilater aussi longtemps : je sens une main qui tente de s'insérer entière dans mon vagin, par le trou positionné pile en face de mon sexe me forçant à écarter les jambes autant que je le peux pour tenter de faciliter la pénétration, car j'ai bien compris qu'il ne sert à rien de résister, mes mouvements désespérés pour échapper aux pénétrations ne font qu'exciter mes agresseurs. Je suis trempée tellement cette situation m’excite La main enduite de gel va et vient, s'enfonçant à chaque fois plus profondément. Je gémis comme une petite chienne, le fist me fait peur car je n'y ai jamais goûté auparavant : comme pour mon anus, je suis trop serrée. Enfin on me force un grand coup et je sens la main disparaître en moi puis le poing se fermer dans mes entrailles. Commence alors un va et vient puissant, qui me dilate comme jamais. Je crie, je me cale comme je peux dans le noir de la caisse contre la paroi de bois pour résister aux puissants mouvements. Je sens confusément une autre main qui me branle le clitoris, mais toutes les sensations se mélangent, douleur et plaisir, peur et excitation… Soudain je suis terrassée par une jouissance intense, la deuxième de la soirée. Celui qui me prend ainsi doit le sentir car la main ralentit puis se retire. Je ne sens plus que la douleur de mes entrailles trop élargies pour leur capacité. Je dégouline, ma mouille me coule le long des jambes, j'ai le souffle court et le cœur qui bat trop fort. Mais on ne me laisse pas de répit : maintenant c'est mon petit trou qui intéresse les explorateurs… Je sens un doigt se poser contre ma rondelle et je devine que ce soir je serai pénétrée par tous mes orifices, que cela me plaise ou pas J'entend des coups de fouet et des cris : manifestement, une autre soumise passe un mauvais quart d'heure.
Des gémissements s'échappent de plusieurs endroits de la grande pièce, je devine que je ne suis pas la seule ce soir dont on s'occupe des orifices… Pendant que je tends l'oreille, un pouce et un majeur s'insèrent en moi, un dans le vagin et un dans mon petit cul, bien serré pourtant. Les deux doigts se serrent ensuite rythmiquement, et je les sens se rejoindre à travers ma fine paroi de peau qui sépare mon vagin de mon anus. Mon excitation qui retombait remonte, surtout qu'une autre main, féminine il me semble vu son toucher, me caresse le clitoris sensuellement, comme pour me faire oublier la morsure de la dilatation causée par le fist. Je me sens prête à jouir une troisième fois mais la caresse merveilleuse s'arrête à ce moment là, me laissant pantelante et trempée. Puis l'intrus change, à nouveau je sens d'autres doigts me pénétrer la chatte, puis le cul, je suis progressivement dilatée de partout : je sens confusément qu'on m'introduit trois doigts dans l'anus et que ma rondelle commence à en souffrir car elle arrive à ses limites, tout comme mon sexe élargit de force tout à l'heure. Je dois de nouveau sucer 4 ou 5 hommes à tour de rôle par le trou de la caisse placé juste devant ma bouche et encore une fois, je suis forcée à tout avaler. Enfin la soirée se termine, les visiteurs s'en vont, le calme revient.
La porte de la caisse s'ouvre. Je cligne des yeux et je vois l'heure : 3 heures du matin, j'ai passé 3 heures trente dans ma prison à trous à mettre mes orifices à disposition des visiteurs. Soudain apparaît celui qui m'a ouvert la caisse, Walter Je suis soulagée de le voir, enfin un visage familier dans cette ambiance étrange qui me fait perdre mes repères depuis quelques heures. " Tu es une bonne pute " Me dit-il d’une voix froide. Je ne peux qu'osciller de la tête, j'aurai trop de choses à lui demander, des questions à lui poser… Il me regarde sans broncher, puis me caresse la joue et me dit sur le même ton " j'espère que les amis du Maître te plaisent, tu verras, tu vas découvrir plein de choses avec eux ". Puis il me détache enfin les poignets. Pour le première fois de la soirée, je suis entièrement libre de mes mouvements, ni entravée ni attachée mais pas pour longtemps.
Ne sachant pas quoi penser je reste immobile puis on me ramène dans ma cellule. Dix minutes après Walter m'apporte de l'eau, et je suis autorisée à manger, à même mon matelas dans mon cachot de nouveau attachée à la chaîne scellée au mur, le repas qu’on m’a donc apporté et je suis laissé seule. Pendant ce temps les hommes boivent un dernier verre et discutent de la soirée dans le grand salon. Manifestement je suis la seule soumise du château. Cette grande demeure est vide à part eux 4 et moi. L’autre soumise que j’ai entendu crier a dû venir et repartir avec les invités J'entends Alexandre parler de moi, j'attrape quelques mots dans la discussion que je comprends mal. " soumission "… "Double pénétration "… "Dilatation" …" dressage "… Cela suffit à me faire appréhender et à la fois à me faire mouiller, car je me doute bien qu'ils parlent de la suite du programme….
(A suivre...)
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