L'arrivée de Myna au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'arrivée de Myna au Château
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Voici une nouvelle histoire dans la Saga, écrite avec brio par Myna, membre de mon site que je remercie.En accord avec elle, j'en écrirai des suites.
- L'arrivée de Myna au château (Prologue)-
La berline noire aux vitres fumées des deux côtés avançait inexorablement vers son nouveau destin. La jeune femme se remémorait ce qui l'avais amené à cela.
Elle était l'enfant unique d'un riche couple. Étant eux même enfants uniques, son père espérait un garçon pour premier né. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Aussi, il ne rechigna pas lorsque sa mère demanda à ce que l'enfant soit envoyée dans le pensionnat où elle même avait été éduquée.
Cette séparation n'avait marquée la petite fille que par le fait qu'il lui avait fallu quitter sa nourrice qui s'était occupée d'elle depuis sa naissance. Ses parents ne s'étaient jamais vraiment souciés d'elle, trop de mondanités pour l'une, trop de travail pour l'autre.
Le pensionnat pour jeunes filles où elle fut amené l'année de ses sept ans était dirigée par une jeune directrice à l'allure très sévère (une éternelle robe style 1900 de couleur noire, renforçait cet air). Et sévère, cette directrice l'était. Chaque incartade, bêtises, mauvaises notes, tout était sévèrement réprimandé. Le pensionnat avait les meilleurs résultats scolaires du pays et Madame la Directrice tenait à ce qu'il en soit ainsi, tant que durerait sa présence en ces murs.
Pendant sa scolarité, ses parents décédèrent dans un terrible accident, ce fut la seule information que lui donna leur notaire, lors de l'annonce. Il l'emmena lui même aux funérailles et la ramena ensuite au pensionnat. Là il lui fit savoir qu'elle héritait par le fait d'une grande fortune, que selon le souhait de ses parents dans leur testament, elle ne toucherait que le jour où elle se marierait. Il continuerait à gérer cette fortune en son nom. Les décisions concernant son éducation seraient remises entre les mains de sa directrice qui avait carte blanche.
Sa scolarité se déroula à peu près normalement (à un détail près que l'adolescente qu'elle était devenue, n’avait plus aucune autorisation de sortie, plus de sortie les mercredi après-midi, plus de sortie les weekends, ni les vacances. Elle passait donc son temps à la bibliothèque très fournie de l'établissement). La fin de dernière année et la majorité légale s'étaient profilés avec inquiétude. On avait expliqué à la jeune femme qu'elle n'atteindrait sa majorité que lorsqu'elle serait mariée. Elle entendait ses camarades de classes lui expliquer leur futur rentrée à l'université ou ce qu'elles allaient faire après les vacances d'été.
Durant ce même été, elle avait intégré une nouvelle section de l'établissement avec quelques autres élèves. Au revoir leurs chambres particulières, bonjour la chambrée avec sa longue rangée de lit.
Chaque matin, la directrice réveillait ses jeunes élèves en personne. Elles passaient à la douche sous son regard impitoyable, la femme n'hésitait d'ailleurs pas à intervenir si elle jugeait que les jeunes filles s'y prenaient mal (il valait donc mieux ne pas lui en donner l'occasion car on ressortait le corps complètement rougi). Venait ensuite l'inspection minutieuse de leur anatomie. Elle tenait à ce que ses élèves soient parfaitement épilées et qu'elles apprennent à s'entretenir.
Le matin des cours dit normaux nous étaient dispensés, tant théoriques que pratiques. La directrice voulait nourrir leur esprit et leur apprendre à tenir un foyer, comme sied à leur rang, et en prévision de leur mariage futurs. L'après-midi était consacré à l'apprentissage du devoir conjugal.
Cet état de fait a duré une année environ.
Ce matin là, elle avait été convoquée dans le bureau de ma directrice, un peu avant le début des cours. Elle la fit asseoir.
"Myna, je vous ai convoquée ce matin pour vous parler de votre avenir. Ici je ne peux pas vous en apprendre plus. Ma sœur jumelle est gouvernante... dans un autre établissement. Elle a parlé de vous à son employeur. Monsieur le Marquis d'Evans a accepté de vous prendre sous son égide. Vous avez donc une demi-heure pour préparer vos affaires et me rejoindre dans le hall. Vous déposerez votre uniforme sur votre lit, vous y trouverez une tenue à votre intention. Vous pouvez disposer. N'oubliez pas, dans trente minutes dans le hall."
Elle remercia comme le voulait le règlement et se dirigea vers son dortoir. Elle était abasourdie. Elle allait devoir partir. Elle allait devoir quitter cet endroit qui était devenu sa maison au fil du temps.
Elle trouvait effectivement une tenue sur son lit, elle devait avoir été déposée durant le petit déjeuner. Elle déposa ses maigres possessions dans sa vieille valise. Ensuite Elle se déshabilla, plia soigneusement son uniforme sur son lit et enfila sa nouvelle tenue. Elle se composait de bas blancs, d'une jupe noire et d'un chemisier blanc. Elle se chaussa avec les chaussures fournies. Et enfin enfila le manteau. La jeune fille attrapa sa valise et sortie une dernière fois de son dortoir. Elle ne croisa aucune de ses camarades. Vu l'heure, elles devaient être en cours. De toutes les façons elles n'avaient plus accès au dortoir après le petit déjeuner et tant pis si l'une d'elle avait oublié un livre ou un cahier, elle serait punie pour son inattention.
La directrice attendait déjà dans le hall.
"Il était temps, j'ai failli vous attendre. Une voiture vas vous emmené à votre nouvel établissement."
Elle tendit une lettre cachetée de cire aux armes de l'école.
"Vous remettrez ceci à votre nouveau... Hum... directeur. N'oubliez pas surtout. Vous avez reçu la meilleure éducation possible, faites honneur à notre maison"
La directrice poussa celle qui était maintenant son ancienne élève dehors et ferma la porte.
Le chauffeur avait ouvert la porte du véhicule noir et elle était montée. Les vitres étaient fumées des deux côtés, impossible de voir à l'intérieur, mais impossible de voir ce qu'il se passait à l'extérieur. Les parties avant et arrière étaient également séparées par une vitre fumée.
Le roulis provoqué par le véhicule la fit s'endormir. Elle ne se réveilla que lorsque la voiture s'arrêta avant de reprendre sa route plus lentement sur une allée de gravillons, pour finalement se stopper définitivement. Elle patienta, ne sachant pas ce qu'elle devait faire. Le chauffeur ouvrit finalement la portière et l'aida à sortir.
Elle avait devant les yeux un immense château, comme elle n'en avait vu que dans ses livres. Sur le perron l'attendais la copie conforme de sa directrice. Même tenue, même air sévère.
"Bonjour Myna. Je suis Mademoiselle Marie, Gouvernante des femelles. Suis-moi, tu vas rencontrer Monsieur le Marquis."
Ce tutoiement et l'expression qu'elle avait utilisé surprirent la jeune femme mais elle n'en dit rien, se contentent de suivre le pas de la Gouvernante. Myna pensa un instant donner la lettre, elle la sortie à cet effet. Elle rougit fugitivement, elle l'avait fourré dans sa poche et l'enveloppe s'était froissée. Qu'allait-on lui dire? Mais après tout la Directrice lui avait demandé de la remettre au Directeur, mais peut-être qu'il n'était pas au courant pour cette lettre. Elle la fourra à nouveau dans sa poche.
Les murs des couloirs qu'elles traversèrent étaient couverts de magnifiques tapisseries et de tableaux représentant de grands hommes et femmes.
Chemin faisant elles croisèrent un homme à l'allure tout aussi sévère que la gouvernante. Cette dernière la lui présenta comme Monsieur Walter le Superviseur des mâles.
Toutes deux se stoppèrent devant une lourde porte en chêne. La femme la poussa et fit entrer Myna.
"Attend ici, ne bouge pas, Monsieur le Marquis va arriver."
La femme la laissa là, seule…
Myna était là. Attendant aussi sagement que possible. Elle observait ce qui se trouvait autour d’elle.
Les meubles de la pièce étaient de riche facture. Un grand bureau, encore plus grand et plus beau que celui de son ancienne directrice. Le siège capitonné, fait du même bois que le bureau invitait au travail, mais également à la réflexion. Des étagères couvraient des murs, elles ployaient presque sous le poids des livres et des manuscrits qui s’y trouvaient.
Myna commençais à avoir envie de se balancer d'une jambe sur l'autre lorsque une porte dérobée qu'elle n'avait pas remarqué s'ouvrit. Un homme grand et fort bien bâti entra et s'installa devant le bureau. Tout dans sa manière d’être, dans sa tenue, respirait l’autorité. Il ne dit rien et l'observa un moment. Instinctivement, Myna baissa les yeux.
"Je suis le Marquis d’Evans, ne t'a t'on rien demandé de me remettre ?"
Myna sursauta, elle avait oublié la lettre. Elle la sorti de sa poche, la lissa discrètement en rougissant et la posa sur le bureau. L'homme la regarda d’un sourire carnassier, il l’avait vu la cacher par l’écran de surveillance, mais il la punirait plus tard pour cet affront. Sir d’Evans décacheta et la lu, faisant encore attendre la jeune femme.
Enfin il la posa.
"J'ai lu que l'on t'avais formée à l'art du devoir conjugal, que tu es plutôt bonne élève mais que tu as besoin d'être fermement dirigée. Je vois que tu viens tout juste d'être majeure, je m'occuperais personnellement de ton éducation."
Il se tut un instant, puis repris.
"Je suis ton nouveau Maître, et tu devras me traiter comme tel"
Myna avais du mal à comprendre ce qu’on lui disait. Par sur la forme naturellement, mais sur le fond. Son Maître ?
L'homme se leva et fit le tour de son bureau, observant l'air abasourdi de sa nouvelle esclave. Il croisa les bras sur sa poitrine, toujours son sourire carnassier sur les lèvres.
"Déshabilles-toi !"
Myna ôta son manteau et le posa sur une chaise près d'elle.
"Déshabilles-toi !"
La jeune fille le regarda interloquée. Sans qu'elle ne la vit venir, une gifle la fit basculer.
"Lorsque je donne un ordre, tu obéis ! Maintenant déshabilles-toi, je te veux nue devant moi, immédiatement !"
Myna se releva, les larmes aux yeux et s'exécuta.
Lorsqu'elle fut nue, elle tenta de cacher maladroitement son sexe avec ses mains, ses longs cheveux cachant déjà sa poitrine.
"Ne te cache jamais devant moi, ni devant quiconque dans cette maison. Pour t'y aider, croise tes doigts derrière ta nuque, devant tes cheveux. A présent, met-toi à genoux, écartes-les"
Il la guida au fur et à mesure du bout de sa cravache. Lorsqu'elle fut bien en place, il lui expliqua que c'était la position qu'elle devait prendre lorsqu'on lui ordonnerait de patienter.
Ceci fait, il fit résonner une cloche, et un maître d'hôtel entra.
"Monsieur le Marquis désire quelque chose?" "James, faites venir Viktor, je vous prie." "Bien Monsieur. Je dois vous informer que esclave64MDE et esclaveNatachaMDE, ont été pris ensemble par un des cuisiniers"
L'homme resta impassible en façade mais Myna le vit serrer ses points, et cela lui fit peur.
"Où sont-ils?" "Séparés dans un cachot. Madame le Gouvernante et Monsieur le Superviseurs veulent savoir s'ils doivent faire quelque chose." "Pas tout de suite, laissez-les où ils sont un moment, faites les venir dans ma chambre en fin d'après-midi. David est-il là ? " "Non, Monsieur David n’est pas encore rentré. Monsieur le Superviseur a dit qu’il ne rentrerait que pour le dîner.
"Bien, je vous remercie James. Dès que Monsieur le Directeur des Mâles rentrera, faites lui dire que je souhaite le voir. IMMÉDIATEMENT ! "
Sir d’Evans n’avait pas crié. Son ton était néanmoins sans appel.
Le valet acquiesça et se retira. Le Maître retourna à son bureau et le silence s'installa. Il ne s'occupa plus de la jeune fille, comme si elle n'avait jamais été là.
Après un long moment, on toqua à la porte et un jeune homme entra.
"Ah Viktor, je vous attendais. Monsieur le Superviseur vous juge prêt. Je vous présente donc Myna, elle sera votre protégée."
Le Maître se tourna vers la jeune fille.
"Myna, voici ton valet Viktor. Il prendra soin de toi en dehors de nos séances. Tu lui dois autant de respect que pour n'importe quel membre de cette maison."
Le Maître fit se relever la jeune fille avant de remettre une cravache entre les mains du jeune valet. Celui-ci sembla s'en émouvoir et remercia avant de demander à la jeune esclave de le suivre. Au moment où ils allaient passer la porte, Viktor se tourna vers Myna.
"Remercie !"
Myna s'acquitta et pour sa peine elle reçu un coup de cravache sur l'arrière des cuisses. Mais le Maître intervint en sa faveur :
"Allons Viktor, soyez indulgent, elle n'a pas encore été formée"
Viktor détestait être pris en faute, surtout par Monsieur le Marquis, mais il garda constance et se contenta de lui faire répéter la formule de remerciement qu'on attendait d'elle. Viktor entraîna la jeune esclave à sa suite, lui enjoignant de bien garder son regard baissé et les mains derrière la nuque. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher de jeter des regards discrets autour d'elle, tandis qu'ils traversaient un long couloir. Elle ne put que remarquer les niches dans lesquels on pouvait voir tantôt de grandes croix en bois, tantôt de grandes statues d'Apollon avec des phallus apparents.
Le valet et sa protégée passèrent dans une salle. Elle était occupée par des jeunes femmes et hommes tous nus, accompagnés de leurs valets attitrés. Certains étaient accrochés aux murs, d'autres allongés sur de hautes tables, certains jeunes hommes patientaient dans la position d'attente qu'on lui avait enseigné. Leurs verges étaient dressées et leur valet les tapotait avec le bout de leurs cravaches.
"Ici, les esclaves apprennent à se contrôler. Les mâles doivent apprendre à rester dresser aussi longtemps que le souhaite les Maîtres." Expliqua le valet.
Viktor l'emmena dans la salle suivante. Une salle de sport. Une esclave courait sur un tapis de course sous les encouragements d'un professeur.
Il lui montra le réfectoire, naturellement il était vide. Myna se demanda pourquoi les tables étaient si basses. Cependant, elle n'osa pas poser la question. Après tout, elle aurait bien la réponse tôt ou tard.
Ils montèrent un immense escalier qui se divisait en deux partis. Ils empruntèrent le côté gauche. Viktor lui expliqua que celui de droite menait à la salle commune et aux cellules des mâles. Ils entrèrent dans une grande pièce où se trouvaient des sofas, des tables, des massages, des tables basses garnis de coupes de fruits, de carafes d'eau, de jus de fruit.
Viktor la fit pénétrer dans une petite pièce. Il lui demanda de patienter le temps qu'il tire les rideaux. La pièce était petite mais propre. Il y avait un lit, un bureau avec sa chaise. Il y avait également une petite salle d'eau comportant une douche de plein pied, un lavabo et un WC.
"Le ménage et l'entretien est fait par des femmes de chambre, et ou des esclaves punis. Cependant ton lit doit être fait tous les matins et rien ne doit traîner sur le bureau. Si tu as des serviettes de bains usagés, tu te dois de les placer dans le panier prévu à cet effet"
L'homme s'assit sur la chaise.
"Avant que tu n'ailles rencontrer le médecin, il y a une dernière chose. Je suis là pour toi, je vais m'occuper de toi, te soigner, te chérir même. Cependant, j'ai aussi carte blanche pour te punir si l'envi m'en prend ou si tu le mérite, ou même à la demande de ton Maître."
Viktor observa un instant sa protégée, puis il reprit :
"D'ailleurs, en parlant de punition, je t'en dois une. Tout à l'heure, à cause de toi, j'ai été repris par Sir d’Evans, et j'ai horreur de ça !"
"Mais..."
"Silence ! Approche !"
Viktor attrapa la main de la jeune fille et la fit basculer sur ses genoux.
"Puisque c'est ta première punition, je ne vais pas être trop sévère avec toi, cependant, il ne sert à rien d'essayer de t'y soustraire"
Viktor, passa sa main sur les cheveux de la jeune femme. Ses yeux commençaient à s'humidifier d'anticipation. Elle senti la main caresser chacun de ses lobes, puis soudain le coup résonna dans la pièce, rapidement suivi par d'autres. Très vite, ses fesses se mirent à chauffer et à rougir. Machinalement elle essaya de placer ses mains pour empêcher, mais l'homme, bien plus fort qu'elle les lui agrippa et les bloqua dans son dos.
Après ce qui lui paru être une éternité, la punition s'arrêta. Il l'allongea sur le lit, lui recommandant de patienter. Myna ne pu s'empêcher de laisser ses pleurs sortir, cachant sa tête sur ses bras repliés.
Viktor revint et s'agenouilla près d'elle, relevant ses cheveux.
"Allons, allons, ce n'était pas si terrible. Calmes-toi, tu vas avoir les yeux bouffis. Je vais te masser avec un onguent apaisant, tu verras cela te fera du bien. Ensuite, nous irons voir le médecin"
Effectivement, le massage et l'onguent combinés lui firent du bien. Elle en profita pour se reposer de ses émotions.
Ce moment de félicité s'arrêta trop tôt à son goût elle ne put retenir un gémissement de réprobation. L'homme lui attrapa les cheveux et releva la tête pour qu'elle le regarde.
"Jamais, tu entends, jamais, tu ne doit montrer ton désaccord ou ton mécontentement. Tu as compris?"
"Oui"
"Tu n'es vraiment pas éduquée, ma parole ! J'ai un prénom ce me semble. Quand le Maître te posera une question tu diras Oui Maître, ou Non Maître, ou encore Comme il vous plaira Maître. Tu dois montrer ton respect. As-tu bien compris cette fois?"
"Oui"
Sans qu'elle s'y attende, le coup de cravache vins la cueillir sur ses fesses encore meurtris.
"Oui qui?"
"Oui, Viktor. Pardon Viktor"
L'homme croisa les bras sur sa poitrine et l'observa un moment. Il passa l'ongle sur la zébrure et souris avant de reprendre un air sérieux.
"Allons dépêche toi, nous allons voir le médecin, et il a horreur d'attendre.
Viktor mena sa protégée dans une pièce qu'elle n'avait encore jamais vue. Il y avait là une table d'examen, une armoire à dossier et un bureau.
Ce dernier la fit mettre en position d'attente et lui ordonna de patienter jusqu'à ce que le médecin arrive.
Viktor sorti. L'esclave n'eus pas à attendre longtemps pour que la porte s'ouvre à nouveau. Un homme grand avec des cheveux poivre et sel fit son entrée.
"Voici donc notre petite nouvelle. Lève-toi et installe toi sur la table"
Myna s'exécuta sous les yeux de l'homme.
"Je vois que tu n'as pas été très sage..."Myna rougis sous la remarque, elle avait espéré qu'il ne remarquerait pas la zébrure.
Elle n'était pas encore habituée à ce qu'on l'observe et elle fit un énorme effort pour ne pas se cacher. Pendant qu'elle s'installait, le médecin se plaça à son bureau pour lire un dossier.
"Ton ancienne directrice a fait suivre ton dossier médical. Pas de soucis, de maladies, tes vaccins sont à jour. Cela ma semble parfait."
Il se leva, enfila des gants en caoutchouc, et s'approcha d'elle avant de reprendre :
"A présent, je vais t'examiner. Ne t'inquiète pas, je ne te ferais pas mal. Je vais juste vérifier que tout vas bien."
Il commença son examen, sans attendre une réaction de l'esclave.
"Bien je vois que tu es encore vierge. Monsieur le Marquis sera heureux de l'apprendre. A présent, je vais te placer un implant de ma conception dans le bras. Tous les esclaves de cette maison en ont un. Celui ci a plusieurs fonctions. Il empêchera tes mes menstruations, tu sera protégée contre d'éventuelles maladies ou grossesses et accessoirement il contient une puce qui permettra de te retrouver s'il te venait l'étrange idée de t'enfuir"
Le médecin s'exécuta. Il lui fit une piqure anesthésiante dans le bras, avant de lui injecter l'implant à l'aide d'une grosse seringue dont l'aiguille était creuse. Lorsqu'il sorti l'aiguille, une goutte de sang perla et il posa un coton qu'il scotcha avec un sparadrap.
Il la fit descendre et la fit se remettre à genoux et fit appeler son valet via un interphone. Dans la foulée, Viktor entra.
"Je vous la rend, Viktor. Elle est en parfaite santé. "
"Je vous remercie Docteur. Allons Myna remercie comme il faut. Je ne devrais pas avoir à te le demander"
Myna rougis sous la remarque et s’exécuta.
"Je vous remercie de vous être occupé de moi, Docteur. "
"Une dernière chose. Je viens ici une fois par semaine sauf urgence. Si tu ressens le besoin de me voir, tu as juste à en faire la demande à ton Maître ou à ton valet. Ici on ne te fera pas saigner volontairement. Si une punition devait en arriver là, elle sera interrompue immédiatement. "
"Je vous remercie Docteur"
Viktor ramena la jeune fille à sa chambre. Une chambrière apporta un plateau avec un déjeuner.
"J’ai obtenu exceptionnellement l’autorisation pour que tu déjeune dans ta chambre. Après fera une petite sieste, la première séance avec ton maître peut être éprouvante. Il faut que tu te repose. "
Myna mangea son frugal repas avec appétit. Lorsqu’elle eu finit, Viktor la fit s’allonger et la couvrit avec une légère couverture.
"Ne croit pas que l’on te fait une confiance aveugle. Ta cellule est équipée de caméra à capteurs thermique. S’il te venait l’idée de te caresser je serait obligé de te punir et de t’attacher. Tu ne voudrais pas être punie, n’est ce pas ? "
"Non Viktor"
Myna s’allongea et l’homme sortit la laissant dans le noir. Elle ne put s’empêcher de se mettre à penser, mais bien vite elle s’endormit. Un léger somnifère avait été rajouté à sa nourriture.
La nouvelle esclave eut l’impression de n’avoir dormi que cinq minutes lorsque Viktor vint la réveiller. Il la fit passer sous la douche, il l’a sécha, la parfuma légèrement. Il l’allongea sur une table de massage installée là, il vérifia que son épilation fut parfaite. Il coiffa ses longs cheveux, et décida de les laisser libre. Il pensa un instant la maquiller, mais il la préféra au naturel. Si le Maître souhaitait un maquillage léger, il le lui dirait. Quand il l’a jugea prête, il la fit mettre en position.
Cette fois-ci, il ne la ramena pas au bureau. Myna était attendu dans la chambre du Maître. Il sentait l’effervescence au château, cette même effervescence prenait tous les esclaves lorsqu’ils sentaient qu’une punition exemplaire allait tomber. Et être pris à forniquer attirait une punition exemplaire.
Il toqua à la porte, le Maître des lieux autorisa l’entrée. Il poussa Myna à l’intérieur. Il n’entra pas, mais par l’entrebâillement il pu apercevoir le dos musculeux marqué des armoiries des deux lions redressés sur les pattes arrières (arme d’appartenance du Marquis d'Evans) de esclave64MDE et le dos secoué de sanglots de la jeune femme esclaveNatachaMDE ...
(à suivre ...)
Voici une nouvelle histoire dans la Saga, écrite avec brio par Myna, membre de mon site que je remercie.En accord avec elle, j'en écrirai des suites.
- L'arrivée de Myna au château (Prologue)-
La berline noire aux vitres fumées des deux côtés avançait inexorablement vers son nouveau destin. La jeune femme se remémorait ce qui l'avais amené à cela.
Elle était l'enfant unique d'un riche couple. Étant eux même enfants uniques, son père espérait un garçon pour premier né. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Aussi, il ne rechigna pas lorsque sa mère demanda à ce que l'enfant soit envoyée dans le pensionnat où elle même avait été éduquée.
Cette séparation n'avait marquée la petite fille que par le fait qu'il lui avait fallu quitter sa nourrice qui s'était occupée d'elle depuis sa naissance. Ses parents ne s'étaient jamais vraiment souciés d'elle, trop de mondanités pour l'une, trop de travail pour l'autre.
Le pensionnat pour jeunes filles où elle fut amené l'année de ses sept ans était dirigée par une jeune directrice à l'allure très sévère (une éternelle robe style 1900 de couleur noire, renforçait cet air). Et sévère, cette directrice l'était. Chaque incartade, bêtises, mauvaises notes, tout était sévèrement réprimandé. Le pensionnat avait les meilleurs résultats scolaires du pays et Madame la Directrice tenait à ce qu'il en soit ainsi, tant que durerait sa présence en ces murs.
Pendant sa scolarité, ses parents décédèrent dans un terrible accident, ce fut la seule information que lui donna leur notaire, lors de l'annonce. Il l'emmena lui même aux funérailles et la ramena ensuite au pensionnat. Là il lui fit savoir qu'elle héritait par le fait d'une grande fortune, que selon le souhait de ses parents dans leur testament, elle ne toucherait que le jour où elle se marierait. Il continuerait à gérer cette fortune en son nom. Les décisions concernant son éducation seraient remises entre les mains de sa directrice qui avait carte blanche.
Sa scolarité se déroula à peu près normalement (à un détail près que l'adolescente qu'elle était devenue, n’avait plus aucune autorisation de sortie, plus de sortie les mercredi après-midi, plus de sortie les weekends, ni les vacances. Elle passait donc son temps à la bibliothèque très fournie de l'établissement). La fin de dernière année et la majorité légale s'étaient profilés avec inquiétude. On avait expliqué à la jeune femme qu'elle n'atteindrait sa majorité que lorsqu'elle serait mariée. Elle entendait ses camarades de classes lui expliquer leur futur rentrée à l'université ou ce qu'elles allaient faire après les vacances d'été.
Durant ce même été, elle avait intégré une nouvelle section de l'établissement avec quelques autres élèves. Au revoir leurs chambres particulières, bonjour la chambrée avec sa longue rangée de lit.
Chaque matin, la directrice réveillait ses jeunes élèves en personne. Elles passaient à la douche sous son regard impitoyable, la femme n'hésitait d'ailleurs pas à intervenir si elle jugeait que les jeunes filles s'y prenaient mal (il valait donc mieux ne pas lui en donner l'occasion car on ressortait le corps complètement rougi). Venait ensuite l'inspection minutieuse de leur anatomie. Elle tenait à ce que ses élèves soient parfaitement épilées et qu'elles apprennent à s'entretenir.
Le matin des cours dit normaux nous étaient dispensés, tant théoriques que pratiques. La directrice voulait nourrir leur esprit et leur apprendre à tenir un foyer, comme sied à leur rang, et en prévision de leur mariage futurs. L'après-midi était consacré à l'apprentissage du devoir conjugal.
Cet état de fait a duré une année environ.
Ce matin là, elle avait été convoquée dans le bureau de ma directrice, un peu avant le début des cours. Elle la fit asseoir.
"Myna, je vous ai convoquée ce matin pour vous parler de votre avenir. Ici je ne peux pas vous en apprendre plus. Ma sœur jumelle est gouvernante... dans un autre établissement. Elle a parlé de vous à son employeur. Monsieur le Marquis d'Evans a accepté de vous prendre sous son égide. Vous avez donc une demi-heure pour préparer vos affaires et me rejoindre dans le hall. Vous déposerez votre uniforme sur votre lit, vous y trouverez une tenue à votre intention. Vous pouvez disposer. N'oubliez pas, dans trente minutes dans le hall."
Elle remercia comme le voulait le règlement et se dirigea vers son dortoir. Elle était abasourdie. Elle allait devoir partir. Elle allait devoir quitter cet endroit qui était devenu sa maison au fil du temps.
Elle trouvait effectivement une tenue sur son lit, elle devait avoir été déposée durant le petit déjeuner. Elle déposa ses maigres possessions dans sa vieille valise. Ensuite Elle se déshabilla, plia soigneusement son uniforme sur son lit et enfila sa nouvelle tenue. Elle se composait de bas blancs, d'une jupe noire et d'un chemisier blanc. Elle se chaussa avec les chaussures fournies. Et enfin enfila le manteau. La jeune fille attrapa sa valise et sortie une dernière fois de son dortoir. Elle ne croisa aucune de ses camarades. Vu l'heure, elles devaient être en cours. De toutes les façons elles n'avaient plus accès au dortoir après le petit déjeuner et tant pis si l'une d'elle avait oublié un livre ou un cahier, elle serait punie pour son inattention.
La directrice attendait déjà dans le hall.
"Il était temps, j'ai failli vous attendre. Une voiture vas vous emmené à votre nouvel établissement."
Elle tendit une lettre cachetée de cire aux armes de l'école.
"Vous remettrez ceci à votre nouveau... Hum... directeur. N'oubliez pas surtout. Vous avez reçu la meilleure éducation possible, faites honneur à notre maison"
La directrice poussa celle qui était maintenant son ancienne élève dehors et ferma la porte.
Le chauffeur avait ouvert la porte du véhicule noir et elle était montée. Les vitres étaient fumées des deux côtés, impossible de voir à l'intérieur, mais impossible de voir ce qu'il se passait à l'extérieur. Les parties avant et arrière étaient également séparées par une vitre fumée.
Le roulis provoqué par le véhicule la fit s'endormir. Elle ne se réveilla que lorsque la voiture s'arrêta avant de reprendre sa route plus lentement sur une allée de gravillons, pour finalement se stopper définitivement. Elle patienta, ne sachant pas ce qu'elle devait faire. Le chauffeur ouvrit finalement la portière et l'aida à sortir.
Elle avait devant les yeux un immense château, comme elle n'en avait vu que dans ses livres. Sur le perron l'attendais la copie conforme de sa directrice. Même tenue, même air sévère.
"Bonjour Myna. Je suis Mademoiselle Marie, Gouvernante des femelles. Suis-moi, tu vas rencontrer Monsieur le Marquis."
Ce tutoiement et l'expression qu'elle avait utilisé surprirent la jeune femme mais elle n'en dit rien, se contentent de suivre le pas de la Gouvernante. Myna pensa un instant donner la lettre, elle la sortie à cet effet. Elle rougit fugitivement, elle l'avait fourré dans sa poche et l'enveloppe s'était froissée. Qu'allait-on lui dire? Mais après tout la Directrice lui avait demandé de la remettre au Directeur, mais peut-être qu'il n'était pas au courant pour cette lettre. Elle la fourra à nouveau dans sa poche.
Les murs des couloirs qu'elles traversèrent étaient couverts de magnifiques tapisseries et de tableaux représentant de grands hommes et femmes.
Chemin faisant elles croisèrent un homme à l'allure tout aussi sévère que la gouvernante. Cette dernière la lui présenta comme Monsieur Walter le Superviseur des mâles.
Toutes deux se stoppèrent devant une lourde porte en chêne. La femme la poussa et fit entrer Myna.
"Attend ici, ne bouge pas, Monsieur le Marquis va arriver."
La femme la laissa là, seule…
Myna était là. Attendant aussi sagement que possible. Elle observait ce qui se trouvait autour d’elle.
Les meubles de la pièce étaient de riche facture. Un grand bureau, encore plus grand et plus beau que celui de son ancienne directrice. Le siège capitonné, fait du même bois que le bureau invitait au travail, mais également à la réflexion. Des étagères couvraient des murs, elles ployaient presque sous le poids des livres et des manuscrits qui s’y trouvaient.
Myna commençais à avoir envie de se balancer d'une jambe sur l'autre lorsque une porte dérobée qu'elle n'avait pas remarqué s'ouvrit. Un homme grand et fort bien bâti entra et s'installa devant le bureau. Tout dans sa manière d’être, dans sa tenue, respirait l’autorité. Il ne dit rien et l'observa un moment. Instinctivement, Myna baissa les yeux.
"Je suis le Marquis d’Evans, ne t'a t'on rien demandé de me remettre ?"
Myna sursauta, elle avait oublié la lettre. Elle la sorti de sa poche, la lissa discrètement en rougissant et la posa sur le bureau. L'homme la regarda d’un sourire carnassier, il l’avait vu la cacher par l’écran de surveillance, mais il la punirait plus tard pour cet affront. Sir d’Evans décacheta et la lu, faisant encore attendre la jeune femme.
Enfin il la posa.
"J'ai lu que l'on t'avais formée à l'art du devoir conjugal, que tu es plutôt bonne élève mais que tu as besoin d'être fermement dirigée. Je vois que tu viens tout juste d'être majeure, je m'occuperais personnellement de ton éducation."
Il se tut un instant, puis repris.
"Je suis ton nouveau Maître, et tu devras me traiter comme tel"
Myna avais du mal à comprendre ce qu’on lui disait. Par sur la forme naturellement, mais sur le fond. Son Maître ?
L'homme se leva et fit le tour de son bureau, observant l'air abasourdi de sa nouvelle esclave. Il croisa les bras sur sa poitrine, toujours son sourire carnassier sur les lèvres.
"Déshabilles-toi !"
Myna ôta son manteau et le posa sur une chaise près d'elle.
"Déshabilles-toi !"
La jeune fille le regarda interloquée. Sans qu'elle ne la vit venir, une gifle la fit basculer.
"Lorsque je donne un ordre, tu obéis ! Maintenant déshabilles-toi, je te veux nue devant moi, immédiatement !"
Myna se releva, les larmes aux yeux et s'exécuta.
Lorsqu'elle fut nue, elle tenta de cacher maladroitement son sexe avec ses mains, ses longs cheveux cachant déjà sa poitrine.
"Ne te cache jamais devant moi, ni devant quiconque dans cette maison. Pour t'y aider, croise tes doigts derrière ta nuque, devant tes cheveux. A présent, met-toi à genoux, écartes-les"
Il la guida au fur et à mesure du bout de sa cravache. Lorsqu'elle fut bien en place, il lui expliqua que c'était la position qu'elle devait prendre lorsqu'on lui ordonnerait de patienter.
Ceci fait, il fit résonner une cloche, et un maître d'hôtel entra.
"Monsieur le Marquis désire quelque chose?" "James, faites venir Viktor, je vous prie." "Bien Monsieur. Je dois vous informer que esclave64MDE et esclaveNatachaMDE, ont été pris ensemble par un des cuisiniers"
L'homme resta impassible en façade mais Myna le vit serrer ses points, et cela lui fit peur.
"Où sont-ils?" "Séparés dans un cachot. Madame le Gouvernante et Monsieur le Superviseurs veulent savoir s'ils doivent faire quelque chose." "Pas tout de suite, laissez-les où ils sont un moment, faites les venir dans ma chambre en fin d'après-midi. David est-il là ? " "Non, Monsieur David n’est pas encore rentré. Monsieur le Superviseur a dit qu’il ne rentrerait que pour le dîner.
"Bien, je vous remercie James. Dès que Monsieur le Directeur des Mâles rentrera, faites lui dire que je souhaite le voir. IMMÉDIATEMENT ! "
Sir d’Evans n’avait pas crié. Son ton était néanmoins sans appel.
Le valet acquiesça et se retira. Le Maître retourna à son bureau et le silence s'installa. Il ne s'occupa plus de la jeune fille, comme si elle n'avait jamais été là.
Après un long moment, on toqua à la porte et un jeune homme entra.
"Ah Viktor, je vous attendais. Monsieur le Superviseur vous juge prêt. Je vous présente donc Myna, elle sera votre protégée."
Le Maître se tourna vers la jeune fille.
"Myna, voici ton valet Viktor. Il prendra soin de toi en dehors de nos séances. Tu lui dois autant de respect que pour n'importe quel membre de cette maison."
Le Maître fit se relever la jeune fille avant de remettre une cravache entre les mains du jeune valet. Celui-ci sembla s'en émouvoir et remercia avant de demander à la jeune esclave de le suivre. Au moment où ils allaient passer la porte, Viktor se tourna vers Myna.
"Remercie !"
Myna s'acquitta et pour sa peine elle reçu un coup de cravache sur l'arrière des cuisses. Mais le Maître intervint en sa faveur :
"Allons Viktor, soyez indulgent, elle n'a pas encore été formée"
Viktor détestait être pris en faute, surtout par Monsieur le Marquis, mais il garda constance et se contenta de lui faire répéter la formule de remerciement qu'on attendait d'elle. Viktor entraîna la jeune esclave à sa suite, lui enjoignant de bien garder son regard baissé et les mains derrière la nuque. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher de jeter des regards discrets autour d'elle, tandis qu'ils traversaient un long couloir. Elle ne put que remarquer les niches dans lesquels on pouvait voir tantôt de grandes croix en bois, tantôt de grandes statues d'Apollon avec des phallus apparents.
Le valet et sa protégée passèrent dans une salle. Elle était occupée par des jeunes femmes et hommes tous nus, accompagnés de leurs valets attitrés. Certains étaient accrochés aux murs, d'autres allongés sur de hautes tables, certains jeunes hommes patientaient dans la position d'attente qu'on lui avait enseigné. Leurs verges étaient dressées et leur valet les tapotait avec le bout de leurs cravaches.
"Ici, les esclaves apprennent à se contrôler. Les mâles doivent apprendre à rester dresser aussi longtemps que le souhaite les Maîtres." Expliqua le valet.
Viktor l'emmena dans la salle suivante. Une salle de sport. Une esclave courait sur un tapis de course sous les encouragements d'un professeur.
Il lui montra le réfectoire, naturellement il était vide. Myna se demanda pourquoi les tables étaient si basses. Cependant, elle n'osa pas poser la question. Après tout, elle aurait bien la réponse tôt ou tard.
Ils montèrent un immense escalier qui se divisait en deux partis. Ils empruntèrent le côté gauche. Viktor lui expliqua que celui de droite menait à la salle commune et aux cellules des mâles. Ils entrèrent dans une grande pièce où se trouvaient des sofas, des tables, des massages, des tables basses garnis de coupes de fruits, de carafes d'eau, de jus de fruit.
Viktor la fit pénétrer dans une petite pièce. Il lui demanda de patienter le temps qu'il tire les rideaux. La pièce était petite mais propre. Il y avait un lit, un bureau avec sa chaise. Il y avait également une petite salle d'eau comportant une douche de plein pied, un lavabo et un WC.
"Le ménage et l'entretien est fait par des femmes de chambre, et ou des esclaves punis. Cependant ton lit doit être fait tous les matins et rien ne doit traîner sur le bureau. Si tu as des serviettes de bains usagés, tu te dois de les placer dans le panier prévu à cet effet"
L'homme s'assit sur la chaise.
"Avant que tu n'ailles rencontrer le médecin, il y a une dernière chose. Je suis là pour toi, je vais m'occuper de toi, te soigner, te chérir même. Cependant, j'ai aussi carte blanche pour te punir si l'envi m'en prend ou si tu le mérite, ou même à la demande de ton Maître."
Viktor observa un instant sa protégée, puis il reprit :
"D'ailleurs, en parlant de punition, je t'en dois une. Tout à l'heure, à cause de toi, j'ai été repris par Sir d’Evans, et j'ai horreur de ça !"
"Mais..."
"Silence ! Approche !"
Viktor attrapa la main de la jeune fille et la fit basculer sur ses genoux.
"Puisque c'est ta première punition, je ne vais pas être trop sévère avec toi, cependant, il ne sert à rien d'essayer de t'y soustraire"
Viktor, passa sa main sur les cheveux de la jeune femme. Ses yeux commençaient à s'humidifier d'anticipation. Elle senti la main caresser chacun de ses lobes, puis soudain le coup résonna dans la pièce, rapidement suivi par d'autres. Très vite, ses fesses se mirent à chauffer et à rougir. Machinalement elle essaya de placer ses mains pour empêcher, mais l'homme, bien plus fort qu'elle les lui agrippa et les bloqua dans son dos.
Après ce qui lui paru être une éternité, la punition s'arrêta. Il l'allongea sur le lit, lui recommandant de patienter. Myna ne pu s'empêcher de laisser ses pleurs sortir, cachant sa tête sur ses bras repliés.
Viktor revint et s'agenouilla près d'elle, relevant ses cheveux.
"Allons, allons, ce n'était pas si terrible. Calmes-toi, tu vas avoir les yeux bouffis. Je vais te masser avec un onguent apaisant, tu verras cela te fera du bien. Ensuite, nous irons voir le médecin"
Effectivement, le massage et l'onguent combinés lui firent du bien. Elle en profita pour se reposer de ses émotions.
Ce moment de félicité s'arrêta trop tôt à son goût elle ne put retenir un gémissement de réprobation. L'homme lui attrapa les cheveux et releva la tête pour qu'elle le regarde.
"Jamais, tu entends, jamais, tu ne doit montrer ton désaccord ou ton mécontentement. Tu as compris?"
"Oui"
"Tu n'es vraiment pas éduquée, ma parole ! J'ai un prénom ce me semble. Quand le Maître te posera une question tu diras Oui Maître, ou Non Maître, ou encore Comme il vous plaira Maître. Tu dois montrer ton respect. As-tu bien compris cette fois?"
"Oui"
Sans qu'elle s'y attende, le coup de cravache vins la cueillir sur ses fesses encore meurtris.
"Oui qui?"
"Oui, Viktor. Pardon Viktor"
L'homme croisa les bras sur sa poitrine et l'observa un moment. Il passa l'ongle sur la zébrure et souris avant de reprendre un air sérieux.
"Allons dépêche toi, nous allons voir le médecin, et il a horreur d'attendre.
Viktor mena sa protégée dans une pièce qu'elle n'avait encore jamais vue. Il y avait là une table d'examen, une armoire à dossier et un bureau.
Ce dernier la fit mettre en position d'attente et lui ordonna de patienter jusqu'à ce que le médecin arrive.
Viktor sorti. L'esclave n'eus pas à attendre longtemps pour que la porte s'ouvre à nouveau. Un homme grand avec des cheveux poivre et sel fit son entrée.
"Voici donc notre petite nouvelle. Lève-toi et installe toi sur la table"
Myna s'exécuta sous les yeux de l'homme.
"Je vois que tu n'as pas été très sage..."Myna rougis sous la remarque, elle avait espéré qu'il ne remarquerait pas la zébrure.
Elle n'était pas encore habituée à ce qu'on l'observe et elle fit un énorme effort pour ne pas se cacher. Pendant qu'elle s'installait, le médecin se plaça à son bureau pour lire un dossier.
"Ton ancienne directrice a fait suivre ton dossier médical. Pas de soucis, de maladies, tes vaccins sont à jour. Cela ma semble parfait."
Il se leva, enfila des gants en caoutchouc, et s'approcha d'elle avant de reprendre :
"A présent, je vais t'examiner. Ne t'inquiète pas, je ne te ferais pas mal. Je vais juste vérifier que tout vas bien."
Il commença son examen, sans attendre une réaction de l'esclave.
"Bien je vois que tu es encore vierge. Monsieur le Marquis sera heureux de l'apprendre. A présent, je vais te placer un implant de ma conception dans le bras. Tous les esclaves de cette maison en ont un. Celui ci a plusieurs fonctions. Il empêchera tes mes menstruations, tu sera protégée contre d'éventuelles maladies ou grossesses et accessoirement il contient une puce qui permettra de te retrouver s'il te venait l'étrange idée de t'enfuir"
Le médecin s'exécuta. Il lui fit une piqure anesthésiante dans le bras, avant de lui injecter l'implant à l'aide d'une grosse seringue dont l'aiguille était creuse. Lorsqu'il sorti l'aiguille, une goutte de sang perla et il posa un coton qu'il scotcha avec un sparadrap.
Il la fit descendre et la fit se remettre à genoux et fit appeler son valet via un interphone. Dans la foulée, Viktor entra.
"Je vous la rend, Viktor. Elle est en parfaite santé. "
"Je vous remercie Docteur. Allons Myna remercie comme il faut. Je ne devrais pas avoir à te le demander"
Myna rougis sous la remarque et s’exécuta.
"Je vous remercie de vous être occupé de moi, Docteur. "
"Une dernière chose. Je viens ici une fois par semaine sauf urgence. Si tu ressens le besoin de me voir, tu as juste à en faire la demande à ton Maître ou à ton valet. Ici on ne te fera pas saigner volontairement. Si une punition devait en arriver là, elle sera interrompue immédiatement. "
"Je vous remercie Docteur"
Viktor ramena la jeune fille à sa chambre. Une chambrière apporta un plateau avec un déjeuner.
"J’ai obtenu exceptionnellement l’autorisation pour que tu déjeune dans ta chambre. Après fera une petite sieste, la première séance avec ton maître peut être éprouvante. Il faut que tu te repose. "
Myna mangea son frugal repas avec appétit. Lorsqu’elle eu finit, Viktor la fit s’allonger et la couvrit avec une légère couverture.
"Ne croit pas que l’on te fait une confiance aveugle. Ta cellule est équipée de caméra à capteurs thermique. S’il te venait l’idée de te caresser je serait obligé de te punir et de t’attacher. Tu ne voudrais pas être punie, n’est ce pas ? "
"Non Viktor"
Myna s’allongea et l’homme sortit la laissant dans le noir. Elle ne put s’empêcher de se mettre à penser, mais bien vite elle s’endormit. Un léger somnifère avait été rajouté à sa nourriture.
La nouvelle esclave eut l’impression de n’avoir dormi que cinq minutes lorsque Viktor vint la réveiller. Il la fit passer sous la douche, il l’a sécha, la parfuma légèrement. Il l’allongea sur une table de massage installée là, il vérifia que son épilation fut parfaite. Il coiffa ses longs cheveux, et décida de les laisser libre. Il pensa un instant la maquiller, mais il la préféra au naturel. Si le Maître souhaitait un maquillage léger, il le lui dirait. Quand il l’a jugea prête, il la fit mettre en position.
Cette fois-ci, il ne la ramena pas au bureau. Myna était attendu dans la chambre du Maître. Il sentait l’effervescence au château, cette même effervescence prenait tous les esclaves lorsqu’ils sentaient qu’une punition exemplaire allait tomber. Et être pris à forniquer attirait une punition exemplaire.
Il toqua à la porte, le Maître des lieux autorisa l’entrée. Il poussa Myna à l’intérieur. Il n’entra pas, mais par l’entrebâillement il pu apercevoir le dos musculeux marqué des armoiries des deux lions redressés sur les pattes arrières (arme d’appartenance du Marquis d'Evans) de esclave64MDE et le dos secoué de sanglots de la jeune femme esclaveNatachaMDE ...
(à suivre ...)
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