L’arroseur arrosé 1/3
Récit érotique écrit par Chirlasuelta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’arroseur arrosé 1/3
C’est deux ans que je suis en couple avec Andrea. C’est une relation que je sens un peu instable, surtout très déséquilibré. Je donne beaucoup, mais je reçois très peu. Cependant, je suis fou amoureux d’elle et pour notre anniversaire, je veux lui faire un cadeau sympa. Faisant un scroll rapide sur les réseaux sociaux pour m’endormir, je tombe sur une annonce qui attire mon attention. C’est un pack spécial pour deux personnes, un séjour de trois nuits dans un endroit sublime immergé dans la nature avec sauna privé, jacuzzi et piscine et sans aucun vis-à-vis ! Je me dis que ça serait super comme cadeau. Je fais un peu de calculs, on est mercredi et notre anniversaire tombe dimanche. En plus, on est tous les deux en congé à partir de ce week-end ! Le prix est un peu cher, mais je me décide quand même, certain que mon bébé va adorer.
Pendant que je remplis à la hâte le formulaire, réservant pour le samedi, je visualise déjà toutes les cochonneries qu’on va pouvoir s’accorder. Je m’excite particulièrement et quand le formulaire est terminé et que je débourse le 70 % de la somme, je bande déjà comme un âne. Quand j’essaye de faire part de mon envie à ma douce moitié, qui ronfle comme un porc, elle me lance un non-sec et se remet à dormir. Ce n'est pas grave, je me dis, on va récupérer pendant le week-end.
Le lendemain au soir, je rentre un peu plutôt et je prépare un bon petit dîner, pour lui annoncer le cadeau. Sauf qu’elle ne débarque qu’à 22 h après avoir ignoré mes appels. Elle regarde la table et me regarde et me lance un « oh » qui annule tous mes plans. À ce qu’il parait, elle a déjà mangé avec ses amies. Je garde la pêche, j’ai quand même envie de passer une bonne soirée. Je lui verse un verre de vin qu’elle prend, et elle s’installe sur le canapé, prête à lancer un film. Je la suis, et je comprends qu’elle n’a pas envie d’une soirée entre amoureux. Devant un film absurde qu’elle ne regarde même pas, car elle est plongée dans son téléphone, je me décide à lui dire du cadeau.
— Chérie, je t’ai fait un super cadeau pour notre anniv.
Le regard d’Andrea s’illumine. Elle m’offre un grand sourire. Ses yeux brillent de mille feux.
— C’est les louboutins que je voulais, c’est ça ? Oh, je suis tellement excitée…
Je reste un peu déconcerté, mais je garde mon sourire. Elle m’enlace et m’embrasse. Je sens qu’elle descend la main sur mon entrejambe et commence à me masser. Je râle de plaisir. Finalement, je baise, je me dis ! La température monte rapidement et elle fait sortir ma bite qu’elle branle. Quand elle s’apprête finalement pour me pomper, je lui dis que le cadeau ce ne sont pas les chaussures. Dès que je lui révèle la nature du cadeau et lui montre les photos de l’endroit son visage devient subitement sombre et je comprends que la tempête va bientôt se déchaîner.
— Ça ne va pas toi ? Il n’y pas question, tu annules ! C’est depuis six mois que je te dis que je veux les louboutins et toi du dépense l’argent pour un putain de week-end ?
— C’est mieux qu’une paire de chaussures que tu vas oublier dans le placard après trois jours.
La soirée entre amoureux vire rapidement en une bagarre presque sanguinaire. Elle crie, je crie, elle m’insulte, je l’insulte, elle me dit d’annuler, je saisis le téléphone et je me rends compte que je ne peux pas annuler, car ils ne remboursent pas. Sur ce, elle rentre dans la chambre et claque la porte. Après quelques secondes, j’entends un rire nerveux, presque satanique. Elle sort, le sac du sex-shop à la main. J’avais pris des petits jouets coquins pour le week-end, pour pimenter notre séjour. Le regard d’une psychopathe, elle commence à me lancer le gode et la lingerie à la figure.
— C’est ça ton cadeau hein… baiser ? Je ne suis qu’un objet sexuel ! Tu voulais le week-end pour me tenir deux jours les jambes en l’air comme une garce ?
— Oui et alors, peut-être, je le mérite aussi ? On baise une fois par mois. Et madame a mal à la tête, et madame est fatiguée, elle a mal au dos, elle a mal au con, et cette position me dérange…
— T’es un gros fils de pute… Achètes toi une poupée gonflable et ramène-la avec toi pour le week-end ! Moi, je rentre chez ma mère !
Elle fait sa valise et elle sort pendant qu’on se lance encore des injures. Au lendemain, j’appelle la propriétaire du bungalow, mais impossible de se faire rembourser. Alors je commence à demander à droite et à gauche si quelqu’un voulait m’accompagner. Du week-end en amoureux, c’est devenu un week-end entre potes. Mais personne n’est disponible, tout le monde à déjà des plans. Un pote me traite même d’homo pour lui avoir proposé d’aller dans un endroit pareil. J’arrive à vendredi soir, et je n’ai toujours personne qui m’accompagne. Je décide de rattraper avec Andrea, je l’appelle et après que je sens qu’à peu près, on fait la paix, je lui demande de partir avec moi. Elle me traite de fils de pute et raccroche. Pendant que je désespère en disant que j’ai jeté une grosse somme d’argent par la fenêtre pour une connasse, j’entends la notification d’un message. Je suis surpris de voir que c’est Océane, la sœur d’Andrea. Elle m’écrit : « Coucou Luc. J’ai su de ma sœur… Je voulais savoir si t’allais bien. » Je réponds par un ça va et puis elle m’écrit qu’elle avait su de l’embrouille et du cadeau, et elle me demande si j’ai trouvé quelqu’un avec qui partir. Je réponds que non. Elle m’écrit : « Je viendrai avec plaisir si tu veux. Je n'ai rien de prévu ce we. »
Je reste très surpris par la proposition d’Océane. On a un bon rapport, je l’aime bien, elle est sympa et moins folle que sa sœur. Mais de là, à partir avec elle, je coince un peu. En voyant que je ne réponds pas, cette fois, elle m’envoie un audio.
— Je pourrais payer la moitié. J’ai besoin d’un petit peu de relax et d’un bon sauna !
J’hésite. Déjà qu’elle a une sœur psychopathe, je me demande comment elle va réagir. Sûrement, elle me tuera. Je lui demande si Andrea le sait.
— Pas besoin qu’elle le sache. Elle sort avec ses copines.
J’hésite toujours et puis je me dis que ça ne peut pas être méchant. Océane joue très bien au poker et elle est très drôle. C’est comme un pote, mais dans le corps d’une bombasse. Et en plus, je vais récupérer la moitié de la somme dépensée ! Je tape rapidement la réponse : « Marché conclu. »
À neuf heures le lendemain, Océane débarque chez moi très ponctuelle, très souriante et dans une mise très provocante. C’est une jolie brune, elle ressemble beaucoup à sa sœur, mais elle a des formes beaucoup plus généreuses. Elle a de longues jambes et elle est toujours bien bronzée. On bavarde un peu en prenant un café, elle part aux toilettes et à 9 h 30 exactes, on est déjà dans la voiture. Rien que la ponctualité me fait monter au septième ciel, avec Andrea, on ne serait parti qu’à plus de 10 h. Durant le trajet on rit beaucoup en écoutant de la musique. Cependant, j’ai du mal à ne pas couler un œil sur ses jambes. Elle a mis une toute petite robe à fleurs, et dans la voiture le tissu remonte presque jusqu’à ses slips. Des fois, j’arrive même à les voir. Je comprends que le week-end sera sympa, mais ça va être dur, dur pour moi. Et quand je dis dur, je sais de quoi je parle.
Arrivés à la propriété, une belle "cougar" au décolleté vertigineux, nous attend. L’endroit est vraiment au milieu de nulle part, mais c’est un vrai éden. On entre par le portail que la dame nous ouvre, et je gare la voiture dans un parking privé au milieu des canes. Mais pas de bungalow en vue. On prend nos valises et on suit la dame le long d’un sentier en descendant des marches au milieu d’arbres immenses et de végétation presque exotique. Finalement, on débarque sur une magnifique piscine ronde au milieu de bananiers. Océane lâche un woh de surprise. Effectivement, même les photos ne rendent pas honneur à l’endroit.
Un peu plus loin de la piscine, un bungalow aux énormes vitrages. Sous un large porche, je vois le jacuzzi et à gauche un petit salon d’extérieur. Quand on rentre, l’espace n’est pas énorme mais assez large. C’est une seule pièce, et il y a un grand lit king-size trônant au milieu, juste en face du vitrage. Les serviettes ont été arrangées en forme de cygne, entourées de pétales de rose. Sur la gauche, il y a une kitchenette et sur le banc en marbre, je vois deux coupes de champagne ainsi qu’une magnifique corbeille de fruits. Sur le mur de droite, il y a l’entrée pour le sauna et à côté les toilettes. La dame ouvre le frigo qui est rempli de nourriture et de boissons de tout genre, ainsi qu’une grande bouteille de champagne bien frais, et tout est inclus dans le prix ! Océane est en extase, et je suis très surpris aussi.
Puis, mon regard est attiré par une sorte de harnais qui pend du plafond dans un coin du bungalow. Je comprends à quoi ça sert… Merci les pornos ! Je regarde avec plus d’attention et je vois une sorte de commode où se trouve des fouets, des menottes en fourrure, des masques, et puis je me rends compte des petits tableaux érotiques accrochés sur les murs. Je comprends mieux pourquoi ils avaient écrit "interdit au moins de 18 ans". C’est une sorte de sex-bungalow. Je me sens triste pour toutes les cochonneries qu’on aurait pu s’accorder avec Andrea, mais aussi très fâché avec elle pour ne pas être venue, et mal à l’aise par rapport à Océane que je ne vais tout de même pas baiser. La dame nous explique le fonctionnement du sauna et du jacuzzi, je règle le 30 % qu’il reste, elle nous salue et s’en va.
— Alors… par quoi on commence ? Lance Océane. J’ai hâte d’essayer le sauna, mais aussi le jacuzzi. Ou alors on se pique une tête en premier ?
Effectivement, il fait un peu chaud et la piscine est bien alléchante. On tranche pour la piscine et toute contente, elle commence à fouiller dans son trolley en jetant sur le lit ses vêtements. Je sursaute, ou plutôt ma queue sursaute, quand elle fait sortir ses strings. Ça va être dur, dur, dur…
— Ah, merde, j’ai oublié mon maillot. Ça ne te dérange pas si je me baigne en sous-vêtements ?
— C’est comme un maillot.
Océane est très contente et retire sa robe sous mes yeux. C’est bon… Il est dur. J’avais entrevu ses slips, mais putain ! Elle porte un complet soutien et tanga en dentelle rose. En riant, elle sautille hors du bungalow vers la piscine, m’accordant ainsi la vue sur ses fesses toutes rondes et bien abondante. Je savais qu’elle était belle, mais j’étais loin de l’imaginer aussi belle. Je souffle un moment et je la suis, la regardant plonger tête la première dans l’eau de la piscine. Elle émerge et me lance un regard que j’ai l’impression être très aguicheur.
— L’eau est magnifique. Allez, viens !
J’hésite, elle me lance un autre viens. Je finis par plonger aussi. Une fois dans l’eau froide, Océane viens vers moi comme un requin et à ma plus grande surprise elle se lance sur moi et me traîne sous l’eau. Tous les deux, en bas, je suis certain de sentir sa poitrine sur mon bras. Je suis persuadé qu’elle frotte son corps contre le mien exprès. Nous émergeons et elle commence à rigoler pendant que je tousse. Elle m’éclabousse comme une enfant, je ne réagis pas, elle répète et je comprends qu’elle veut jouer. Je me défais de ma honte et on commence à jouer comme des enfants. Son corps se frotte à moi, je sens ses seins sur mon torse, mon dos. Ses jambes des fois me ceinturent, et je ne sais pas si elle fait exprès ou pas, mais elle frôle plus d’une fois ma queue. Après un bon moment, les choses se calment et je flotte en profitant de l’ombre des arbres.
— On mange un coup et on se fait un bon sauna. Qu’est-ce que t’en penses ?
Je hoche la tête, et toute excitée, elle se dirige vers les escaliers et sors de la piscine. La position qu’elle prend pour sortir me permet de voir toute sa marchandise. Je ne peux me retenir de regarder ses fesses qui s’écartent, j’ai l’impression de voir son fion, mais par contre, je vois clairement le tissu qui moule parfaitement son con. Le tissu mouillé est devenu assez transparent et je discerne le dessin de sa vulve. Elle se tourne vers moi et j’ai vraiment du mal à ne pas bander. Le soutien-gorge complètement trempé se colle sur ses seins et maintenant, je vois l’ombre de ses auréoles et ses tétons raides étirant le tissu. Je la laisse partir en premier, je ne peux pas sortir en montrant mon érection.
Je la rejoins peu après. Elle a déjà allumé le sauna et quand je rentre, elle sort des toilettes une serviette autour du corps. On prend une bouteille de vin et on grignote quelque chose. J’ai l’impression que sous la serviette elle ne porte rien et une forte envie me saisit de la lui retirer. Peu après on rentre dans le sauna. À l’intérieur, on s’installe un en face de l’autre, la vapeur est assez épaisse et la chaleur très opprimante. On discute un peu et puis on profite de la chaleur, les yeux fermés, pendant qu’on commence à suer. Je la sens se remuer, soupirer. J’ouvre un œil et je la vois déplier la serviette.
Océane est complètement nue devant moi. Je bande, je bande fortement et c’est plus fort que moi. Océane s’allonge sur le dos et je l’épie pendant qu’elle caresse ses seins. Je me demande si elle le fait exprès ou si elle pense que je dors ou que la vapeur est assez épaisse pour cacher son corps. Mais elle ne peut pas être tellement stupide. Je chevauche les jambes pour cacher ma queue bandante qui pour peu ne sort pas de la serviette. Imperturbable, elle caresse ses seins doucement, lentement, s’attardant sur les tétons. Je vais bientôt succomber, mais je ne peux pas faire ça à Andrea. Quand Océane descend une main d’un geste très érotique vers sa chatte, je me racle la gorge. Ça ne l’arrête pas et elle masse gentiment son pubis bien épilé. Si elle continue, je ne vais pas tenir longtemps. Finalement, elle rabat la serviette sur elle et se met debout. En soupirant, elle s’adresse à moi d’une voix faible et très sensuelle.
— Il fait trop chaud ici. Je vais au jacuzzi, tu viens ?
— Ouais, je reste encore un petit moment.
Océane s’en va et je soupire. C’est un bon coup, mais je ne vais pas tromper Andrea avec sa propre sœur. Je sens par contre que les choses vont dégénérer tôt ou tard, surtout avec ce harnais qui pend dans un coin de la chambre. Je me retiens un moment et je sors du sauna. Je remets mon maillot et, le regard bas, je vais vers le jacuzzi.
— Finalement ! Je croyais que t’allais plus sortir !
Je regarde Océane et je cligne des yeux. Que quelqu’un me pince, je dois rêver ! Océane est au milieu du jacuzzi, à genoux, elle a fait sortir le champagne. Ce qui me laisse bouche bée, c’est ce qu’elle porte. C’est le complet que j’ai acheté pour Andrea. Une sorte de corset en dentelle rouge et des strings. Océane a une poitrine beaucoup plus généreuse qu’Andrea et le corset la lui compriment fortement. Ses seins coulent de tous les côtés et ne tiennent pas en place. C’est assez transparent pour que je voie assez nettement ses tétons. Le reste est caché par les bulles d’eau. Océane a un regard très aguicheur, un sourire sensuel aux lèvres. Elle me regarde et je suis certain qu’elle voit la bosse au milieu de mes jambes. Devant mon visage surpris, elle rigole.
— C’est pour le complet ? Elle demande. Je l’ai trouvé dans vos toilettes. J’adore le rouge. Allez, rentre.
Une fois que j'entre dans l’eau, elle me tend une coupe de champagne et elle trinque avec moi. Je la regarde sourire et puis couler dans l’eau tiède, soupirant de plaisir. Jamais je n’aurais pensé que le séjour aurait viré de la sorte. Je sais ce qu’elle cherche, jamais, cependant, elle ne m’a fait comprendre à un moment donné qu’elle avait un intérêt pour moi. Je ne sais pas quoi faire. J’ai envie de la prendre et d’un côté, j’ai envie de partir. C’est quand même assez hard de tromper Andrea avec sa sœur. Océane au lieu est très à l’aise, profite des bulles qui doivent sûrement lui caresser le sexe, et elle sirote son champagne très calmement. Puis, elle saisit son téléphone et s’approche de moi.
— On se fait un selfie ? Pour garder le souvenir !
Elle s’assoit sur mon entrejambe, me donnant le dos. Je sens ses fesses bien se presser sur ma queue et c’est certain qu’elle a dû bien sentir mon érection. Elle rigole et nous prend en photo deux ou trois fois. Je pense qu’elle va partir, mais elle reste, elle reste et se presse encore plus sur moi. Elle met de la musique et pose le téléphone. La musique est très sexy, musique de baise, je me dis. C’est inévitable que je vais succomber, c’est depuis trop de temps que je ne baise pas et Océane est vraiment la bombasse de tous les fantasmes masculins.
— Tu ne rigoles jamais sur les photos toi ? On dirait que t’as vu un fantôme.
— Je… C’est que…
Je balbutie, car je cherche à retenir mes râles de plaisir. Océane à commencer à se frotter sur moi tellement fort que ma queue se coince dans sa raie du cul et je sens clairement sa chatte. Je comprends que c’était le but de ses frottements. Très nonchalamment, elle reste dans cette position et boit son champagne. Puis, elle commence à s’onduler sur moi. Elle me branle, carrément, de ses fesses. Le message est bien clair.
— Tu sais Luc, tu as préparé un cadeau magnifique à Andrea et… et elle préfère chercher ailleurs.
— Chercher ailleurs ?
— Peut-être, il ne faudrait pas que je te dise.
— Tu me dis quoi ? De quoi tu parles ?
— Laisse tomber.
Océane fait pour s’en aller, mais je la retiens et je la presse sur ma queue. Je sens que c’est ce qu’elle voulait, et je suis surpris du petit soupir voluptueux qu’elle se fait échapper. Elle saisit les mains que j’ai posées sur ses hanches pour la retenir et elle les fait remonter vers sa poitrine. Océane lance des soupirs très sensuels, et rapidement, je me retrouve les mains sur ses seins. Océane me fait masser sa poitrine. Elle sait que je ne peux pas me retenir, elle le sait très bien. J’ai l’impression qu’elle connaît tous les secrets de sa sœur et moi, et qu’elle connaît tous mes fantasmes.
Si j’avais des appréhension à tromper Andrea, à présent je m’en fou carrément. Pour baiser avec Andrea faut prendre rendez-vous presque, au lieu qu’Océane s’offre totalement à moi. Je sens qu’elle a fortement envie que je la baise et je me demande si ce n’avait pas été le but depuis le début. Elle n’a plus besoin d’adresser mes mains, je lui masse la poitrine toute douce et fondante. Je savoure la sensation délicate de ses seins mous dans mes mains, malgré l’aspérité de la dentelle, pendant qu’elle savoure le plaisir de mes caresses. Son bassin ondule sur ma queue doucement, la caressant de ses fesses et elle s’allonge sur moi, complètement relâchée. Elle soupire de plaisir et elle lance des petits gémissements. Sa langue vient lécher mes lèvres, je ne résiste pas à cette invitation, et je l’embrasse avec beaucoup de passion. Nos langues se rencontrent et se tressent l’une à l’autre très érotiquement.
Après un moment que je pelote ses seins et qu’on s’embrasse, elle s’éloigne. Je la regarde se mettre debout dans des gestes chargés d’érotisme. Elle sourit largement, le regard très explicite. Je vois le string rouge fendre sa chatte en deux, le fil bien caché au milieu. Se léchant les lèvres elle m’offre un petit strip-tease très chaud. Excité à bout, la queue bandante comme jamais, je savoure le spectacle qu’Andrea ne m’a jamais offert. Jamais je n’aurais pensé qu’Océane était tellement cochonne, la différence entre les deux sœurs est abyssale, et Océane est même plus sexy que sa sœur.
Océane se touche, elle se caresse, se tord, se tourne et retourne, se déhanche très lascivement au rythme de la musique. Je la regarde me donner le dos et descendre la fermeture éclair du corset lentement, pendant qu’elle déhanche, ondulant ses fesses rondes et bien juteuses. Elle se retourne vers moi et très lentement, pour augmenter mon excitation, elle enlève le corset qu’elle me lance de façon très sensuelle. Finalement, je vois clairement sa poitrine, ses seins tous beaux et généreux, les tétons bien raides qu’elle commence à caresser, les pinçant. Elle s’approche de moi et commence à m’offrir un petit ballet érotique. Je sais qu’elle veut que je la touche, que je la prenne. Mais j’hésite encore, je pense encore à Andrea. Océane doit comprendre ce qui se passe dans ma tête, et décide de prendre les choses encore plus en main.
Debout, elle approche dangereusement son bassin à mon visage. Maintenant, j’ai le nez à quelques centimètres de sa chatte. Entre temps, elle empoigne ses seins et commence à onduler le bassin vers mon visage au rythme de la musique dans des mouvements d’odalisque très chauds. Son bassin s’approche toujours plus, encore plus, jusqu’à ce que son pubis frôle mon nez. Je ne résiste plus, et je tire la langue qui, à la prochaine ondulation du bassin vers moi, va taper sur sa chatte. Océane glousse de plaisir et répète, jusqu’à ce qu’elle colle le bassin à mon visage et me permet de lécher avec grand plaisir sa chatte d’en haut le tissu du string. Je lèche un peu le tissu, mais beaucoup sa peau, et je cherche un peu jusqu’à aller toucher son clitoris. Océane aime beaucoup cette caresse et me laisse lui fouiller la chatte de ma langue qui va un peu plus loin vers son trou. Je sens déjà la mouille qui coule. Je me délecte intensément de sa belle fourche très chaude, aspirant son clitoris, et elle prend beaucoup de plaisir.
Océane s’éloigne un peu, et très sensuellement, elle retire ses strings que je saisis avant qu’elle ne les laisse tomber dans l’eau. Sa fourche est simplement magnifique. Elle se baisse, me retire le maillot et elle me chevauche. Mon sexe bandant vient cogner sur sa fente. Elle me caresse le torse, continuant à bouger au rythme de la musique. Je lui coince les strings entre les seins et puis les lui mets dans la bouche. Elle les suce avec beaucoup de plaisir. C’est une vraie. cochonne. Je saisis ses belles boules, prenant du plaisir à les pétrir sans plus de tissus au milieu. J’allonge ma langue vers ses tétons. J’y joue un moment et elle m’exprime son plaisir en s’oscillant plus rapidement sur ma queue, lançant des soupirs toujours plus rapides. Mon sexe est coincé entre les lèvres de son con bien chaud. Malgré l’eau, je sens clairement la mouille qui a une texture plus épaisse. Je commence à aspirer ses tétons et maintenant, les soupirs devienne des petits cris réguliers. Je peux clairement sentir son bouton s’enfler au passage de mon gland. J’aimerais bien voir le spectacle de ma queue écarter ses lèvres, mais je laisse les choses couler pour l’instant.
Je sens sa chatte se liquéfier, ses mouvements se faire rapides et je sais que ce n’est que question de seconde pour que mon gland bien enflé trouve la direction de son antre. Je reste un petit moment à avaler ses tétons et puis l’inévitable arrive. Dans les mouvements du bassin d’Océane et aidé par l’eau et les bulles, mon gland se fait saisir par ses chairs et glisse facilement dans son antre chaud. La sensation de l’eau qui nous caresse accroît l’excitation. Océane me lance un Ah de surprise et de plaisir, et sans que j’ai à bouger un petit doigt elle se fait glisser sur ma poutre. Lentement, elle se fait pénétrer. Je sens les parois de son vagin s’écarter au passage du gland, et rapidement, son pubis se colle au mien. Je suis totalement en elle, et elle en est très excité, je le ressens sur ma queue où son vagin se resserre en palpitant.
Océane vient m’embrasser très chaudement pendant que je commence à la pénétrer lentement. Elle glousse de plaisir, accompagnant mes mouvements. Je saisis ses fesses et la pénétration se fait plus rapide. C’est depuis tellement de temps que je ne baise pas, et Océane m’a tellement excité, que je ne tarderais pas à éjaculer. Je cherche quand même à me retenir pour la faire jouir en premier. Je sens qu’elle n’est pas loin. Océane s’appuie sur mes épaules, faisant retomber la tête en arrière et elle se déhanche rapidement. Je suis à bout. Puis finalement, Océane lance un long cri et je sens qu’elle jouit quand un flot de mouille incandescent nappe ma queue encore en elle. Je ne perds pas une seconde, et la pistonnant sauvagement pendant que l’eau nous éclabousse, je ne tarde pas à jouir aussi. Je grogne de plaisir et je m’apprête à retirer la queue pour décharger dehors, mais elle presse son pubis sur ma queue.
— Dedans ! Cream-pie !
Je ne me fais pas prier, et en tout cas, je n’ai plus le temps de me retirer. Je râle longuement de plaisir et le gland crache le foutre dans son con. L’éjaculation arrache des cris de plaisir à Océane qui se mord les lèvres. Je donne encore quelque petits coups de reins pour essorer le vit en beuglant de plaisir, et elle m’embrasse chaudement. On reste collé l’un à l’autre, se faisant cajoler par les bulles d’eau un long moment, jusqu’à ce que son con éjecte ma bitte ramollie, mais pas encore assouvie.
Elle s’assoit à mes côtés, se blottissant à moi et on boit le champagne. On discute normalement comme si rien n’était arrivé, puis, elle me lance un regard très explicite et elle coule une main vers ma bitte qui déjà prend des formes rien qu’en sentant sa main.
— T’as aimé le loup, je vois.
— J’ai adoré. Si j’étais à la place d’Andrea, je me ferais prendre chaque nuit. Avec une queue comme ça, on ne peut vouloir rien de plus.
Je suis certain qu’elle sait tout sur la vie sexuelle de sa sœur et moi. Et elle a les armes nécessaires pour me rendre fou. Elle continue à caresser ma queue et je ne tarde pas à bander. J’ai tout de même, bizarrement, un petit remord pour ce qu’on vient de faire.
— Tu sais qu’on n'aurait pas dû.
— On s’en fou, Luc. Relaxe-toi. Cet endroit est fait pour la baise et puis on ne fait rien de mal… On s’amuse juste un peu. Sans aucun engagement, et Andrea n’a pas besoin de le savoir. Ça sera notre petit secret.
Je ne dis rien et bizarrement, ses mots me rendent encore plus excité. Elle me sourit et continue à me branler. On se caresse un peu, pour garder haute la température. Je masse son clitoris, insérant de temps à autre un doigt dans son con encore rempli de foutre. Mais on ne baise pas tout de suite. C’est déjà le coucher de soleil et la baise nous a laissé un grand appétit. Et puis on a encore tout le temps pour profiter.
Pendant que je remplis à la hâte le formulaire, réservant pour le samedi, je visualise déjà toutes les cochonneries qu’on va pouvoir s’accorder. Je m’excite particulièrement et quand le formulaire est terminé et que je débourse le 70 % de la somme, je bande déjà comme un âne. Quand j’essaye de faire part de mon envie à ma douce moitié, qui ronfle comme un porc, elle me lance un non-sec et se remet à dormir. Ce n'est pas grave, je me dis, on va récupérer pendant le week-end.
Le lendemain au soir, je rentre un peu plutôt et je prépare un bon petit dîner, pour lui annoncer le cadeau. Sauf qu’elle ne débarque qu’à 22 h après avoir ignoré mes appels. Elle regarde la table et me regarde et me lance un « oh » qui annule tous mes plans. À ce qu’il parait, elle a déjà mangé avec ses amies. Je garde la pêche, j’ai quand même envie de passer une bonne soirée. Je lui verse un verre de vin qu’elle prend, et elle s’installe sur le canapé, prête à lancer un film. Je la suis, et je comprends qu’elle n’a pas envie d’une soirée entre amoureux. Devant un film absurde qu’elle ne regarde même pas, car elle est plongée dans son téléphone, je me décide à lui dire du cadeau.
— Chérie, je t’ai fait un super cadeau pour notre anniv.
Le regard d’Andrea s’illumine. Elle m’offre un grand sourire. Ses yeux brillent de mille feux.
— C’est les louboutins que je voulais, c’est ça ? Oh, je suis tellement excitée…
Je reste un peu déconcerté, mais je garde mon sourire. Elle m’enlace et m’embrasse. Je sens qu’elle descend la main sur mon entrejambe et commence à me masser. Je râle de plaisir. Finalement, je baise, je me dis ! La température monte rapidement et elle fait sortir ma bite qu’elle branle. Quand elle s’apprête finalement pour me pomper, je lui dis que le cadeau ce ne sont pas les chaussures. Dès que je lui révèle la nature du cadeau et lui montre les photos de l’endroit son visage devient subitement sombre et je comprends que la tempête va bientôt se déchaîner.
— Ça ne va pas toi ? Il n’y pas question, tu annules ! C’est depuis six mois que je te dis que je veux les louboutins et toi du dépense l’argent pour un putain de week-end ?
— C’est mieux qu’une paire de chaussures que tu vas oublier dans le placard après trois jours.
La soirée entre amoureux vire rapidement en une bagarre presque sanguinaire. Elle crie, je crie, elle m’insulte, je l’insulte, elle me dit d’annuler, je saisis le téléphone et je me rends compte que je ne peux pas annuler, car ils ne remboursent pas. Sur ce, elle rentre dans la chambre et claque la porte. Après quelques secondes, j’entends un rire nerveux, presque satanique. Elle sort, le sac du sex-shop à la main. J’avais pris des petits jouets coquins pour le week-end, pour pimenter notre séjour. Le regard d’une psychopathe, elle commence à me lancer le gode et la lingerie à la figure.
— C’est ça ton cadeau hein… baiser ? Je ne suis qu’un objet sexuel ! Tu voulais le week-end pour me tenir deux jours les jambes en l’air comme une garce ?
— Oui et alors, peut-être, je le mérite aussi ? On baise une fois par mois. Et madame a mal à la tête, et madame est fatiguée, elle a mal au dos, elle a mal au con, et cette position me dérange…
— T’es un gros fils de pute… Achètes toi une poupée gonflable et ramène-la avec toi pour le week-end ! Moi, je rentre chez ma mère !
Elle fait sa valise et elle sort pendant qu’on se lance encore des injures. Au lendemain, j’appelle la propriétaire du bungalow, mais impossible de se faire rembourser. Alors je commence à demander à droite et à gauche si quelqu’un voulait m’accompagner. Du week-end en amoureux, c’est devenu un week-end entre potes. Mais personne n’est disponible, tout le monde à déjà des plans. Un pote me traite même d’homo pour lui avoir proposé d’aller dans un endroit pareil. J’arrive à vendredi soir, et je n’ai toujours personne qui m’accompagne. Je décide de rattraper avec Andrea, je l’appelle et après que je sens qu’à peu près, on fait la paix, je lui demande de partir avec moi. Elle me traite de fils de pute et raccroche. Pendant que je désespère en disant que j’ai jeté une grosse somme d’argent par la fenêtre pour une connasse, j’entends la notification d’un message. Je suis surpris de voir que c’est Océane, la sœur d’Andrea. Elle m’écrit : « Coucou Luc. J’ai su de ma sœur… Je voulais savoir si t’allais bien. » Je réponds par un ça va et puis elle m’écrit qu’elle avait su de l’embrouille et du cadeau, et elle me demande si j’ai trouvé quelqu’un avec qui partir. Je réponds que non. Elle m’écrit : « Je viendrai avec plaisir si tu veux. Je n'ai rien de prévu ce we. »
Je reste très surpris par la proposition d’Océane. On a un bon rapport, je l’aime bien, elle est sympa et moins folle que sa sœur. Mais de là, à partir avec elle, je coince un peu. En voyant que je ne réponds pas, cette fois, elle m’envoie un audio.
— Je pourrais payer la moitié. J’ai besoin d’un petit peu de relax et d’un bon sauna !
J’hésite. Déjà qu’elle a une sœur psychopathe, je me demande comment elle va réagir. Sûrement, elle me tuera. Je lui demande si Andrea le sait.
— Pas besoin qu’elle le sache. Elle sort avec ses copines.
J’hésite toujours et puis je me dis que ça ne peut pas être méchant. Océane joue très bien au poker et elle est très drôle. C’est comme un pote, mais dans le corps d’une bombasse. Et en plus, je vais récupérer la moitié de la somme dépensée ! Je tape rapidement la réponse : « Marché conclu. »
À neuf heures le lendemain, Océane débarque chez moi très ponctuelle, très souriante et dans une mise très provocante. C’est une jolie brune, elle ressemble beaucoup à sa sœur, mais elle a des formes beaucoup plus généreuses. Elle a de longues jambes et elle est toujours bien bronzée. On bavarde un peu en prenant un café, elle part aux toilettes et à 9 h 30 exactes, on est déjà dans la voiture. Rien que la ponctualité me fait monter au septième ciel, avec Andrea, on ne serait parti qu’à plus de 10 h. Durant le trajet on rit beaucoup en écoutant de la musique. Cependant, j’ai du mal à ne pas couler un œil sur ses jambes. Elle a mis une toute petite robe à fleurs, et dans la voiture le tissu remonte presque jusqu’à ses slips. Des fois, j’arrive même à les voir. Je comprends que le week-end sera sympa, mais ça va être dur, dur pour moi. Et quand je dis dur, je sais de quoi je parle.
Arrivés à la propriété, une belle "cougar" au décolleté vertigineux, nous attend. L’endroit est vraiment au milieu de nulle part, mais c’est un vrai éden. On entre par le portail que la dame nous ouvre, et je gare la voiture dans un parking privé au milieu des canes. Mais pas de bungalow en vue. On prend nos valises et on suit la dame le long d’un sentier en descendant des marches au milieu d’arbres immenses et de végétation presque exotique. Finalement, on débarque sur une magnifique piscine ronde au milieu de bananiers. Océane lâche un woh de surprise. Effectivement, même les photos ne rendent pas honneur à l’endroit.
Un peu plus loin de la piscine, un bungalow aux énormes vitrages. Sous un large porche, je vois le jacuzzi et à gauche un petit salon d’extérieur. Quand on rentre, l’espace n’est pas énorme mais assez large. C’est une seule pièce, et il y a un grand lit king-size trônant au milieu, juste en face du vitrage. Les serviettes ont été arrangées en forme de cygne, entourées de pétales de rose. Sur la gauche, il y a une kitchenette et sur le banc en marbre, je vois deux coupes de champagne ainsi qu’une magnifique corbeille de fruits. Sur le mur de droite, il y a l’entrée pour le sauna et à côté les toilettes. La dame ouvre le frigo qui est rempli de nourriture et de boissons de tout genre, ainsi qu’une grande bouteille de champagne bien frais, et tout est inclus dans le prix ! Océane est en extase, et je suis très surpris aussi.
Puis, mon regard est attiré par une sorte de harnais qui pend du plafond dans un coin du bungalow. Je comprends à quoi ça sert… Merci les pornos ! Je regarde avec plus d’attention et je vois une sorte de commode où se trouve des fouets, des menottes en fourrure, des masques, et puis je me rends compte des petits tableaux érotiques accrochés sur les murs. Je comprends mieux pourquoi ils avaient écrit "interdit au moins de 18 ans". C’est une sorte de sex-bungalow. Je me sens triste pour toutes les cochonneries qu’on aurait pu s’accorder avec Andrea, mais aussi très fâché avec elle pour ne pas être venue, et mal à l’aise par rapport à Océane que je ne vais tout de même pas baiser. La dame nous explique le fonctionnement du sauna et du jacuzzi, je règle le 30 % qu’il reste, elle nous salue et s’en va.
— Alors… par quoi on commence ? Lance Océane. J’ai hâte d’essayer le sauna, mais aussi le jacuzzi. Ou alors on se pique une tête en premier ?
Effectivement, il fait un peu chaud et la piscine est bien alléchante. On tranche pour la piscine et toute contente, elle commence à fouiller dans son trolley en jetant sur le lit ses vêtements. Je sursaute, ou plutôt ma queue sursaute, quand elle fait sortir ses strings. Ça va être dur, dur, dur…
— Ah, merde, j’ai oublié mon maillot. Ça ne te dérange pas si je me baigne en sous-vêtements ?
— C’est comme un maillot.
Océane est très contente et retire sa robe sous mes yeux. C’est bon… Il est dur. J’avais entrevu ses slips, mais putain ! Elle porte un complet soutien et tanga en dentelle rose. En riant, elle sautille hors du bungalow vers la piscine, m’accordant ainsi la vue sur ses fesses toutes rondes et bien abondante. Je savais qu’elle était belle, mais j’étais loin de l’imaginer aussi belle. Je souffle un moment et je la suis, la regardant plonger tête la première dans l’eau de la piscine. Elle émerge et me lance un regard que j’ai l’impression être très aguicheur.
— L’eau est magnifique. Allez, viens !
J’hésite, elle me lance un autre viens. Je finis par plonger aussi. Une fois dans l’eau froide, Océane viens vers moi comme un requin et à ma plus grande surprise elle se lance sur moi et me traîne sous l’eau. Tous les deux, en bas, je suis certain de sentir sa poitrine sur mon bras. Je suis persuadé qu’elle frotte son corps contre le mien exprès. Nous émergeons et elle commence à rigoler pendant que je tousse. Elle m’éclabousse comme une enfant, je ne réagis pas, elle répète et je comprends qu’elle veut jouer. Je me défais de ma honte et on commence à jouer comme des enfants. Son corps se frotte à moi, je sens ses seins sur mon torse, mon dos. Ses jambes des fois me ceinturent, et je ne sais pas si elle fait exprès ou pas, mais elle frôle plus d’une fois ma queue. Après un bon moment, les choses se calment et je flotte en profitant de l’ombre des arbres.
— On mange un coup et on se fait un bon sauna. Qu’est-ce que t’en penses ?
Je hoche la tête, et toute excitée, elle se dirige vers les escaliers et sors de la piscine. La position qu’elle prend pour sortir me permet de voir toute sa marchandise. Je ne peux me retenir de regarder ses fesses qui s’écartent, j’ai l’impression de voir son fion, mais par contre, je vois clairement le tissu qui moule parfaitement son con. Le tissu mouillé est devenu assez transparent et je discerne le dessin de sa vulve. Elle se tourne vers moi et j’ai vraiment du mal à ne pas bander. Le soutien-gorge complètement trempé se colle sur ses seins et maintenant, je vois l’ombre de ses auréoles et ses tétons raides étirant le tissu. Je la laisse partir en premier, je ne peux pas sortir en montrant mon érection.
Je la rejoins peu après. Elle a déjà allumé le sauna et quand je rentre, elle sort des toilettes une serviette autour du corps. On prend une bouteille de vin et on grignote quelque chose. J’ai l’impression que sous la serviette elle ne porte rien et une forte envie me saisit de la lui retirer. Peu après on rentre dans le sauna. À l’intérieur, on s’installe un en face de l’autre, la vapeur est assez épaisse et la chaleur très opprimante. On discute un peu et puis on profite de la chaleur, les yeux fermés, pendant qu’on commence à suer. Je la sens se remuer, soupirer. J’ouvre un œil et je la vois déplier la serviette.
Océane est complètement nue devant moi. Je bande, je bande fortement et c’est plus fort que moi. Océane s’allonge sur le dos et je l’épie pendant qu’elle caresse ses seins. Je me demande si elle le fait exprès ou si elle pense que je dors ou que la vapeur est assez épaisse pour cacher son corps. Mais elle ne peut pas être tellement stupide. Je chevauche les jambes pour cacher ma queue bandante qui pour peu ne sort pas de la serviette. Imperturbable, elle caresse ses seins doucement, lentement, s’attardant sur les tétons. Je vais bientôt succomber, mais je ne peux pas faire ça à Andrea. Quand Océane descend une main d’un geste très érotique vers sa chatte, je me racle la gorge. Ça ne l’arrête pas et elle masse gentiment son pubis bien épilé. Si elle continue, je ne vais pas tenir longtemps. Finalement, elle rabat la serviette sur elle et se met debout. En soupirant, elle s’adresse à moi d’une voix faible et très sensuelle.
— Il fait trop chaud ici. Je vais au jacuzzi, tu viens ?
— Ouais, je reste encore un petit moment.
Océane s’en va et je soupire. C’est un bon coup, mais je ne vais pas tromper Andrea avec sa propre sœur. Je sens par contre que les choses vont dégénérer tôt ou tard, surtout avec ce harnais qui pend dans un coin de la chambre. Je me retiens un moment et je sors du sauna. Je remets mon maillot et, le regard bas, je vais vers le jacuzzi.
— Finalement ! Je croyais que t’allais plus sortir !
Je regarde Océane et je cligne des yeux. Que quelqu’un me pince, je dois rêver ! Océane est au milieu du jacuzzi, à genoux, elle a fait sortir le champagne. Ce qui me laisse bouche bée, c’est ce qu’elle porte. C’est le complet que j’ai acheté pour Andrea. Une sorte de corset en dentelle rouge et des strings. Océane a une poitrine beaucoup plus généreuse qu’Andrea et le corset la lui compriment fortement. Ses seins coulent de tous les côtés et ne tiennent pas en place. C’est assez transparent pour que je voie assez nettement ses tétons. Le reste est caché par les bulles d’eau. Océane a un regard très aguicheur, un sourire sensuel aux lèvres. Elle me regarde et je suis certain qu’elle voit la bosse au milieu de mes jambes. Devant mon visage surpris, elle rigole.
— C’est pour le complet ? Elle demande. Je l’ai trouvé dans vos toilettes. J’adore le rouge. Allez, rentre.
Une fois que j'entre dans l’eau, elle me tend une coupe de champagne et elle trinque avec moi. Je la regarde sourire et puis couler dans l’eau tiède, soupirant de plaisir. Jamais je n’aurais pensé que le séjour aurait viré de la sorte. Je sais ce qu’elle cherche, jamais, cependant, elle ne m’a fait comprendre à un moment donné qu’elle avait un intérêt pour moi. Je ne sais pas quoi faire. J’ai envie de la prendre et d’un côté, j’ai envie de partir. C’est quand même assez hard de tromper Andrea avec sa sœur. Océane au lieu est très à l’aise, profite des bulles qui doivent sûrement lui caresser le sexe, et elle sirote son champagne très calmement. Puis, elle saisit son téléphone et s’approche de moi.
— On se fait un selfie ? Pour garder le souvenir !
Elle s’assoit sur mon entrejambe, me donnant le dos. Je sens ses fesses bien se presser sur ma queue et c’est certain qu’elle a dû bien sentir mon érection. Elle rigole et nous prend en photo deux ou trois fois. Je pense qu’elle va partir, mais elle reste, elle reste et se presse encore plus sur moi. Elle met de la musique et pose le téléphone. La musique est très sexy, musique de baise, je me dis. C’est inévitable que je vais succomber, c’est depuis trop de temps que je ne baise pas et Océane est vraiment la bombasse de tous les fantasmes masculins.
— Tu ne rigoles jamais sur les photos toi ? On dirait que t’as vu un fantôme.
— Je… C’est que…
Je balbutie, car je cherche à retenir mes râles de plaisir. Océane à commencer à se frotter sur moi tellement fort que ma queue se coince dans sa raie du cul et je sens clairement sa chatte. Je comprends que c’était le but de ses frottements. Très nonchalamment, elle reste dans cette position et boit son champagne. Puis, elle commence à s’onduler sur moi. Elle me branle, carrément, de ses fesses. Le message est bien clair.
— Tu sais Luc, tu as préparé un cadeau magnifique à Andrea et… et elle préfère chercher ailleurs.
— Chercher ailleurs ?
— Peut-être, il ne faudrait pas que je te dise.
— Tu me dis quoi ? De quoi tu parles ?
— Laisse tomber.
Océane fait pour s’en aller, mais je la retiens et je la presse sur ma queue. Je sens que c’est ce qu’elle voulait, et je suis surpris du petit soupir voluptueux qu’elle se fait échapper. Elle saisit les mains que j’ai posées sur ses hanches pour la retenir et elle les fait remonter vers sa poitrine. Océane lance des soupirs très sensuels, et rapidement, je me retrouve les mains sur ses seins. Océane me fait masser sa poitrine. Elle sait que je ne peux pas me retenir, elle le sait très bien. J’ai l’impression qu’elle connaît tous les secrets de sa sœur et moi, et qu’elle connaît tous mes fantasmes.
Si j’avais des appréhension à tromper Andrea, à présent je m’en fou carrément. Pour baiser avec Andrea faut prendre rendez-vous presque, au lieu qu’Océane s’offre totalement à moi. Je sens qu’elle a fortement envie que je la baise et je me demande si ce n’avait pas été le but depuis le début. Elle n’a plus besoin d’adresser mes mains, je lui masse la poitrine toute douce et fondante. Je savoure la sensation délicate de ses seins mous dans mes mains, malgré l’aspérité de la dentelle, pendant qu’elle savoure le plaisir de mes caresses. Son bassin ondule sur ma queue doucement, la caressant de ses fesses et elle s’allonge sur moi, complètement relâchée. Elle soupire de plaisir et elle lance des petits gémissements. Sa langue vient lécher mes lèvres, je ne résiste pas à cette invitation, et je l’embrasse avec beaucoup de passion. Nos langues se rencontrent et se tressent l’une à l’autre très érotiquement.
Après un moment que je pelote ses seins et qu’on s’embrasse, elle s’éloigne. Je la regarde se mettre debout dans des gestes chargés d’érotisme. Elle sourit largement, le regard très explicite. Je vois le string rouge fendre sa chatte en deux, le fil bien caché au milieu. Se léchant les lèvres elle m’offre un petit strip-tease très chaud. Excité à bout, la queue bandante comme jamais, je savoure le spectacle qu’Andrea ne m’a jamais offert. Jamais je n’aurais pensé qu’Océane était tellement cochonne, la différence entre les deux sœurs est abyssale, et Océane est même plus sexy que sa sœur.
Océane se touche, elle se caresse, se tord, se tourne et retourne, se déhanche très lascivement au rythme de la musique. Je la regarde me donner le dos et descendre la fermeture éclair du corset lentement, pendant qu’elle déhanche, ondulant ses fesses rondes et bien juteuses. Elle se retourne vers moi et très lentement, pour augmenter mon excitation, elle enlève le corset qu’elle me lance de façon très sensuelle. Finalement, je vois clairement sa poitrine, ses seins tous beaux et généreux, les tétons bien raides qu’elle commence à caresser, les pinçant. Elle s’approche de moi et commence à m’offrir un petit ballet érotique. Je sais qu’elle veut que je la touche, que je la prenne. Mais j’hésite encore, je pense encore à Andrea. Océane doit comprendre ce qui se passe dans ma tête, et décide de prendre les choses encore plus en main.
Debout, elle approche dangereusement son bassin à mon visage. Maintenant, j’ai le nez à quelques centimètres de sa chatte. Entre temps, elle empoigne ses seins et commence à onduler le bassin vers mon visage au rythme de la musique dans des mouvements d’odalisque très chauds. Son bassin s’approche toujours plus, encore plus, jusqu’à ce que son pubis frôle mon nez. Je ne résiste plus, et je tire la langue qui, à la prochaine ondulation du bassin vers moi, va taper sur sa chatte. Océane glousse de plaisir et répète, jusqu’à ce qu’elle colle le bassin à mon visage et me permet de lécher avec grand plaisir sa chatte d’en haut le tissu du string. Je lèche un peu le tissu, mais beaucoup sa peau, et je cherche un peu jusqu’à aller toucher son clitoris. Océane aime beaucoup cette caresse et me laisse lui fouiller la chatte de ma langue qui va un peu plus loin vers son trou. Je sens déjà la mouille qui coule. Je me délecte intensément de sa belle fourche très chaude, aspirant son clitoris, et elle prend beaucoup de plaisir.
Océane s’éloigne un peu, et très sensuellement, elle retire ses strings que je saisis avant qu’elle ne les laisse tomber dans l’eau. Sa fourche est simplement magnifique. Elle se baisse, me retire le maillot et elle me chevauche. Mon sexe bandant vient cogner sur sa fente. Elle me caresse le torse, continuant à bouger au rythme de la musique. Je lui coince les strings entre les seins et puis les lui mets dans la bouche. Elle les suce avec beaucoup de plaisir. C’est une vraie. cochonne. Je saisis ses belles boules, prenant du plaisir à les pétrir sans plus de tissus au milieu. J’allonge ma langue vers ses tétons. J’y joue un moment et elle m’exprime son plaisir en s’oscillant plus rapidement sur ma queue, lançant des soupirs toujours plus rapides. Mon sexe est coincé entre les lèvres de son con bien chaud. Malgré l’eau, je sens clairement la mouille qui a une texture plus épaisse. Je commence à aspirer ses tétons et maintenant, les soupirs devienne des petits cris réguliers. Je peux clairement sentir son bouton s’enfler au passage de mon gland. J’aimerais bien voir le spectacle de ma queue écarter ses lèvres, mais je laisse les choses couler pour l’instant.
Je sens sa chatte se liquéfier, ses mouvements se faire rapides et je sais que ce n’est que question de seconde pour que mon gland bien enflé trouve la direction de son antre. Je reste un petit moment à avaler ses tétons et puis l’inévitable arrive. Dans les mouvements du bassin d’Océane et aidé par l’eau et les bulles, mon gland se fait saisir par ses chairs et glisse facilement dans son antre chaud. La sensation de l’eau qui nous caresse accroît l’excitation. Océane me lance un Ah de surprise et de plaisir, et sans que j’ai à bouger un petit doigt elle se fait glisser sur ma poutre. Lentement, elle se fait pénétrer. Je sens les parois de son vagin s’écarter au passage du gland, et rapidement, son pubis se colle au mien. Je suis totalement en elle, et elle en est très excité, je le ressens sur ma queue où son vagin se resserre en palpitant.
Océane vient m’embrasser très chaudement pendant que je commence à la pénétrer lentement. Elle glousse de plaisir, accompagnant mes mouvements. Je saisis ses fesses et la pénétration se fait plus rapide. C’est depuis tellement de temps que je ne baise pas, et Océane m’a tellement excité, que je ne tarderais pas à éjaculer. Je cherche quand même à me retenir pour la faire jouir en premier. Je sens qu’elle n’est pas loin. Océane s’appuie sur mes épaules, faisant retomber la tête en arrière et elle se déhanche rapidement. Je suis à bout. Puis finalement, Océane lance un long cri et je sens qu’elle jouit quand un flot de mouille incandescent nappe ma queue encore en elle. Je ne perds pas une seconde, et la pistonnant sauvagement pendant que l’eau nous éclabousse, je ne tarde pas à jouir aussi. Je grogne de plaisir et je m’apprête à retirer la queue pour décharger dehors, mais elle presse son pubis sur ma queue.
— Dedans ! Cream-pie !
Je ne me fais pas prier, et en tout cas, je n’ai plus le temps de me retirer. Je râle longuement de plaisir et le gland crache le foutre dans son con. L’éjaculation arrache des cris de plaisir à Océane qui se mord les lèvres. Je donne encore quelque petits coups de reins pour essorer le vit en beuglant de plaisir, et elle m’embrasse chaudement. On reste collé l’un à l’autre, se faisant cajoler par les bulles d’eau un long moment, jusqu’à ce que son con éjecte ma bitte ramollie, mais pas encore assouvie.
Elle s’assoit à mes côtés, se blottissant à moi et on boit le champagne. On discute normalement comme si rien n’était arrivé, puis, elle me lance un regard très explicite et elle coule une main vers ma bitte qui déjà prend des formes rien qu’en sentant sa main.
— T’as aimé le loup, je vois.
— J’ai adoré. Si j’étais à la place d’Andrea, je me ferais prendre chaque nuit. Avec une queue comme ça, on ne peut vouloir rien de plus.
Je suis certain qu’elle sait tout sur la vie sexuelle de sa sœur et moi. Et elle a les armes nécessaires pour me rendre fou. Elle continue à caresser ma queue et je ne tarde pas à bander. J’ai tout de même, bizarrement, un petit remord pour ce qu’on vient de faire.
— Tu sais qu’on n'aurait pas dû.
— On s’en fou, Luc. Relaxe-toi. Cet endroit est fait pour la baise et puis on ne fait rien de mal… On s’amuse juste un peu. Sans aucun engagement, et Andrea n’a pas besoin de le savoir. Ça sera notre petit secret.
Je ne dis rien et bizarrement, ses mots me rendent encore plus excité. Elle me sourit et continue à me branler. On se caresse un peu, pour garder haute la température. Je masse son clitoris, insérant de temps à autre un doigt dans son con encore rempli de foutre. Mais on ne baise pas tout de suite. C’est déjà le coucher de soleil et la baise nous a laissé un grand appétit. Et puis on a encore tout le temps pour profiter.
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Superbe histoire il ont bien fait d'en profiter
Dé-li-cieux ...
Encore !
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