L’arroseur arrosé 2/3

- Par l'auteur HDS Chirlasuelta -
Auteur femme.
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Récit libertin : L’arroseur arrosé 2/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’arroseur arrosé 2/3
Après notre baise dans le jacuzzi, on vide le frigo, mais il reste encore plein de nourriture délicieuse. Ce week-end m’excite particulièrement, car je fais des choses qu’avec Andrea, on n’aurait jamais fait. Comme rester tous nus et manger sur le lit. Pendant qu’on grignote des chips et on boit du bon vin, on se rend compte que sur le chevet, il y a un caméscope relié à une grande télé, et un mot écrit qu’Océane s’occupe de lire.

— « Agrémentez votre séjour d’un peu de piquant ! Vous trouverez des vidéos des clients précédents pour pimenter votre séjour. Si vous le désirez, laissez une vidéo pour les prochains clients. Si vous ne voulez pas vous enregistrer, vous pouvez simplement voir votre ébat sur grand écran. » Et puis il y a les instructions. Ouh ! C’est excitant. On se mate un truc ?

Je ne fais pas à temps à répondre qu’Océane allume la télé et suit les instructions pour trouver les vidéos enregistrées. Elle cherche un peu dans la longue liste, il y a plein de vidéos de couples, de gays ou de lesbiennes, même des orgies. Mais Océane semble chercher une vidéo en particulier et, finalement, en lance une datant d’il y trois mois.

C’est un black avec une jolie brune masquée allongée sur le lit. Le black la rejoint et commence à caresser la fille très chaudement. La bite du type est un monstre, et je vois qu’Océane s’excite en grignotant les chips. L’homme écarte les jambes de la brune et commence à lui pistonner la chatte des doigts, en premier plan. Je suis un peu surpris du fait d’avoir l’impression de connaître la fille qui, dans la vidéo, commence à sucer très chaudement son amant. La jolie a la bouche déjà bien remplie rien que du gland de la grosse bitte. Mais elle se donne beaucoup de peine pour bien le pomper et très profondément.

Si la vidéo débute comme une vidéo amateure, maintenant, c’est un vrai porno et je commence à bander. Le black retourne la fille dans tous les sens et la pénètre en faveur de caméra, faisant un close-up sur la chatte où le chibre s’enfile avec grande difficulté en écartant les chairs de la brune qui peine à toute la prendre. Le type pistonne bien profondément la chatte qui se relâche lentement. Après quelques positions où on a une bonne visuelle sur le con bourré de la bite noire, il la met en levrette, le visage vers la caméra. La fille hoquette pendant qu’il s’enfile à nouveau en elle, très profondément. Le doute m’assaillit à nouveau quand je vois les seins de la fille pendre et se balancer sous les assauts du type. Et puis, je vois son expression. Je la connais. Je connais cette expression. Elle grince des dents et aspire l’air pour puis lancé un petit cri aigu.

— La pute !
— Ah oui, elle sait s’y prendre…
— Mais non la pute, c’est ta sœur ! La salope…

Je suis rouge de rage et Océane semble ne pas comprendre. Je bondis sur mes pieds, et si j’avais bandé, maintenant ma queue s’est bien ramollie. Océane me regarde. Je m’approche de la télé pour mieux voir et je n’ai aucun doute : c’est Andrea.

— La michto là… C’est ta salope de sœur qui se prend la queue du Black. La grosse pute, je vais la défoncer.

Océane a une drôle d’expression sur son visage. Je n’y fais pas attention tout de suite, mais elle a l’air de feindre la surprise et d’être réellement très amusée par cette découverte. Pour moi, ça remet en question deux ans d’une relation où je donne tout et je ne reçois rien. Surtout niveau sexe.

— La connasse de garce ! Elle me dit que ma queue est trop grosse pour la levrette et que ça lui fait gonfler le ventre. La salope. Et entre temps elle se fait défoncé la chatte par une matraque.

Je vais pour prendre mon téléphone et appeler la grosse pute pour lui décharger toute ma haine, mais Océane me saisit les mains et elle colle son corps au mien. Son geste est très sensuel et je comprends où elle veut arriver. Ses mains coulent vers mon sexe, elle le caresse doucement, s’attardant sur mes couilles épaisses. Je sens l’excitation monter rapidement. Je me tourne vers elle et elle s’agenouille devant moi. Ses mains empoignent mon sexe et le branle doucement. Je ne peux retenir mon excitation et ma queue commence à prendre des formes dans les mains d’Océane.

— Oublis-la ! C’est moi qui suis avec toi maintenant et tu peux me faire tout ce que tu veux, défonce moi la chatte toi aussi, j’ai juste envie que tu me baises comme il le faut.

Ses mots m’excite encore plus et maintenant ma queue est bien en érection. Je commence à soupirer de plaisir et quand elle m'embrasse le gland, j’oublie tout et je la laisse faire. Océane embrasse longuement la queue, s’attarde sur le gland et s’occupe de mes couilles. Je la vois très chaude, et elle exprime son désir et son plaisir par des petits couinements. Rapidement, elle se met le gland dans la bouche et le suce délicatement. La fellation est très excitante, elle sait s’y prendre avec les queues dans la bouche. Toute ma bite disparaît dans sa gorge, très profondément. Pendant qu’elle me donne du plaisir, elle me regarde de façon très sensuelle, très orgueilleuse de l’expression d’extase qui se dessine sur mon visage. Je râle de plaisir à cette gorge profonde, c’est une première fois pour moi. Elle retire la verge et me branle rapidement en y crachant dessus. Je me crois dans un film porno quand elle commence à se gifler de ma queue.

— Mm, Luc… J’adore ta queue.
— T’aimes la sucer ?
— Beaucoup. Regarde la télé…

Je me tourne vers l’écran télé et je me vois la queue dans la main d’Océane qu’elle remet rapidement en bouche. Je n’avais pas fait attention qu’elle avait dirigée la caméra vers nous et elle avait lancé l’enregistrement. Ça m’excite encore plus.

— Fait-moi ce que tu veux !

Les choses se déchaînent rapidement, surtout à cause de la rage que je ressens en pensant qu’Andrea se donne beaucoup de plaisir pendant qu’elle me tient au régime, à peine, je réussis à me faire sucer pour quelques minutes. Mais maintenant que sa sœur s’offre complètement à moi, qu’elle me pompe comme une vraie pro et se propose de faire ce qu’Andrea ne fait pas, je ne vais pas perdre l’occasion. Je besogne sa bouche sans aucune poésie, sa tête dans les mains, bien creusant les reins. La salive nappe mon sexe et mes couilles, et elle se laisse faire en couinant. Après un bon moment, elle se met debout.

— Amusons-nous un peu…

Océane saisit la caméra et la positionne en face du harnais. Je comprends ce qu’elle veut faire et je suis très partant. Je la rejoins et je l’aide à monter sur cette sorte de balançoire. Je sécurise les ceintures à ses jambes, ses bras et à son corps. C’est beaucoup de travail, mais mon excitation ne fait que s’accroître. J’actionne une poulie en tirant sur une chaîne et Océane se décolle rapidement du sol. Quand sa chatte est à hauteur de ma queue, je l’arrête. C’est un spectacle exceptionnel. Océane a les jambes bien écartées, allongée dans l’air, les lanières de cuir qui fendent sa chair, son con s’ouvre devant mes yeux ainsi que son fion. Je commence à me branler et je m’approche d’elle qui, haletante, m’attend.

Je caresse rapidement son corps, je m’attarde un peu sur ses seins que je pelote et puis je me positionne entre ses cuisses. Je caresse sa fente toute mouillée, elle commence déjà à couiner. La position est vraiment chaude, je n'en ai vu que dans des pornos. La main sur son con, j’écarte un peu ses chairs et j’observe avec grand plaisir son clitoris bien érigé et le trou que j’ai limé dans le jacuzzi. Elle a un con bien étroit. En la regardant, je titille son clitoris de l’index, et elle se tord de plaisir crispant les mains sur les chaînes qui la soulèvent. Je force plus sur son bout de chair, et elle ahane très chaudement. Mon doigt coulisse à l’intérieur, je sape sa chatte rapidement et retourne sur son clitoris.

— Mm oui… Ah! Tu vas me faire jouir…

J’écarte au maximum les lèvres de son con et je lui lèche la fente en sa totalité. Je sens que ses muscles se crispent. Je m’attarde sur son clitoris, ça l’exalte encore plus et je sens qu’elle veut se balancer vers moi. J’avale ce petit bout de chair avec beaucoup de plaisir et des doigts, je vais m’amuser dans son con que j’étire, ainsi que son anus. Quand je lui touche ce dernier, elle est encore plus en extase et me lance des oui très explicites, qui me poussent à y insérer un doigt que le fion accepte facilement. Faisant ventouse, j’aspire son clitoris sauvagement, ses muscles se raidissent et elle commence à crier plus fort pendant que je pistonne son cul d’un doigt.

— Oh oui, oui… Je vais jouir ! Oui !

Je continue l’aspiration et rapidement, je sens son orgasme. Je vois le trou de sa chatte frémir et se resserrer en spasme, son clitoris s’enfler et pulser et un joli petit flot de mouille en sortir.

— Ah, oui… Ah… Fouette-moi, Luc. Fouette-moi comme une chienne.

Je suis très surpris, mais très excité. Je m’approche de la commode et je regarde un peu les jeux fournis par le bungalow. Dans des tiroirs, il y a des godes de toutes tailles, ainsi que des plug et d’autre petits jeux coquin. Je saisis un plug avec une queue-de-renard qui m’amuse particulièrement. Je prends aussi un martinet en cuir noir. C’est tout nouveau pour moi, mais je vais bien m’amuser. Je vois dans le regard d’Océane qu’elle est très excité par mon choix. Je me dédie en premier au plug. J’ai senti le relâchement total de son anus sur mon doigt, et d’après son regard, je comprends qu’elle est très contente de ce premier choix.

— Tu aimes par le cul ?
— J’adore !
— Alors étirons-le un peu pour le préparer.

Elle hoche la tête avec beaucoup de plaisir. Je pointe le plug à son anus et je m’assure que la caméra est bien placée pour saisir cette pénétration. Je commence à exercer des petites pressions, le bout du plug semble rebondir sur son œillet bien froissé. Elle ahane de plaisir. Lentement, un petit bout disparaît et je continue de la même façon pendant que je me branle gentiment. Le cul se relâche peu à peu et accepte le plug épais que j’ai choisi sans besoin d’aucune lubrification. Une fois que je sens que le fion va accepter sans soucis la largeur du jouet, je pousse de façon constante et il glisse avec quelque résistance, mais malgré tout assez facilement. Océane cri de plaisir très fortement au passage lent du plug qui dilate largement son fion. Imperturbable, je pousse toujours et le plug entre complètement, happé par son trou qui se resserre rapidement à la base. Océane, qui a crié pendant tout le processus, est en extase et la mouille, maintenant, coule abondamment de son con. Je regarde la petite queue en fourrure noire qui pend de ses fesses et je suis très excité.

— Tu veux que je te fouette ?
— Mm oui… Fouette-moi.

Je saisis le fouet et je donne un petit coup sur ses seins. Océane hoquette et me lance un gémissement de plaisir. Je répète un peu plus fort, les lanières frappent sur ses seins et son ventre, je vois les marque rouge que les lanières laisse sur la peau, mais le cri de plaisir qu’elle lance m’incite à continuer. Je la fouette à nouveau, et les lanières progressivement descendant dangereusement vers sa fourche.

— Tu aimes ?
— Plus fort !

Je me prépare pour un autre coup, et le cuir cette fois frappe avec plus de violence sur son bas-ventre, les marque sont très claires. La douleur qu’elle ressent doit accroître son plaisir, car la mouille sort encore plus abondante de son con. Elle m’incite à continuer et je ne me fais pas prier, je prends un plaisir malade à la fouetter. Le coup suivant impacte sur sa chatte, sûrement sur son clitoris aussi et le cri qu’elle lance est perçant, la laissant sans souffle et sans voix. Mais je sais qu’elle aime. Je répète deux ou trois fois et sa fente devient bien rouge mais luisante de cyprine. Je suis à bout de l’excitation. Je retourne le fouet et je l'insère d’un coup dans son con. Le manche du fouet n’est pas très épais, mais la rudesse de la pénétration la fait crier plus fortement. Je lime un peu sa chatte et quand je le fais sortir il est brillant de mouille. Je le lui mets dans la bouche et elle le suce avec beaucoup de plaisir.

— C’est bien, ma salope, suce le.
— Oui, mm… Baise-moi Luc !
— C’est moi qui décide.

Je la saisis des cheveux, et je la vois très enthousiaste de mes mots. La tête qui pend en arrière, elle comprend ce que je veux quand je la gifle de ma verge. Elle ouvre grandement la bouche et je m’insère en son intérieur. Dans cette position, je me glisse facilement dans sa gorge, elle accepte sans aucun souci ma queue gonflée et pulsant, et je commence à la besogner très sauvagement. Je sens mes couilles battre sur son nez et ses yeux, je vois clairement le passage de ma queue dans sa gorge qui s’étire, et elle émets des bruits de vraie garce. De temps à autre, je me retire lui laissant le temps de respirer et je m’enfile à nouveau. Ça m’excite trop et j’ai encore envie de goûter à son con et à son cul.

Entre ses cuisses, que le harnais garde extrêmement écartées, je tapote ma queue sur sa chatte. Je suis très amusé par la petite queue-de-renard qui pend de son cul. Lentement, je caresse sa fente de ma queue, et pendant que je me frotte à elle, je prends un malade plaisir à lui torturer le corps, et elle aime particulièrement le service que je lui offre. Je lui frappe les seins, je pince fortement ses tétons que je tords et retords, je la fesse et je la gifle, lui fourrant les doigts dans sa bouche qu’elle lèche goulûment en les suçant. Elle geint très fortement et je sais qu’elle n’attend que la pénétration. Le gland à l’orée de son vagin encore plus mouillé, je m’insère en elle très lentement. Si dans le jacuzzi, je ne pouvais pas voir ses chairs s’étirer au passage de ma queue, maintenant, j’ai une vue exceptionnelle. Son con s’écarte largement au passage de ma verge et je vois ses chairs l’englobé.

Je me glisse facilement, je la sens inondée de mouille, très chaude. La paroi est très fine et je sens le plug qui encombre ses boyaux, la sensation est des plus excitantes. Me délectant un moment à faire entre et sortir la queue de sa fente que j’élargis des mains, je commence à la pénétrer rapidement. Le harnais facilite les assauts, et je commence à la faire onduler sauvagement. Peu après je n’ai qu’à la pousser des bras, sans avoir à donner des coups de reins, pour que je l’enconne. Océane est simplement en extase, encore plus quand je commence à la fesser, et à taper sur son clitoris de mes doigts. Je beugle de plaisir, mes râles sont forts et intenses.

— T’aimes quand je te fesse, hein ma salope ?
— Oui ! Plus fort.
— Tu veux que je te défonce la chatte ?
— Oh oui, oui !

Je la fais basculer plus fort et elle retombe sur la verge rapidement et avec violence. À chaque coup violent, je lui demande si c’est assez fort et elle m’incite à la prendre avec plus de puissance à chaque fois. Je m’exécute et chaque pénétration se fait plus profonde et violente. Mes couilles tapent son périnée et la queue-de-renard me chatouille. L’ébat se fait rapidement d’une brutalité inouïe, c’est un orchestre de cris qui retentissent dans tout le bungalow et de clapotis obscènes. Océane joui deux ou trois fois, son visage est tout rouge. Je sais que le fait d’être ligotée, suspendue et incapable de bouger l’excite comme ça m’excite. Je ne suis pas loin de jouir, mais je me retiens.

Je retire la pine du con et je vois le ravage qu’elle a laissé. Son con est un trou béant, pulsant et humide. Je tire sur des chaînes et je cherche à la faire tourner. Ça me prend un petit peu de temps, mais j’y arrive et ça en vaut la peine. Océane est à présent les fesses à l’air, toujours les jambes bien écartées et la poitrine légèrement plus haute par rapport à sa croupe, me facilitant ainsi de lui torturer les seins tout en la pénétrant. Le plug toujours dans le cul, la queue en fourrure lui sort des fesses et lui donne un aspect de renarde très sensuelle. Je saisis le fouet et je fouette ses fesses bien grasses qui tremblent sous les assauts du cuir. Sa peau rougit rapidement et Océane halète fortement. Je saisis le plug et sans trop de douceur, je l’arrache à son fion qui résiste. Le plug sort et laisse le trou qui se referme lentement, mais pas complètement. Le geste arrache un cri aigu à Océane suivi par un oui qu’elle roule longuement.

Je regarde dans la télé, et je me sens une star dans un film porno. Je sais que je n’ai pas besoin de lubrifié ma queue pour la sodomiser, mais je fais quelques aller-retour dans son con. J’adresse le gland sur le fion et j’y fais pénétrer la queue dégoulinante de mouille. Le plug a fait son job et son fion est bien relâché, mais tout de même très étroit. La respiration d’Océane se fait désordonnée, mais me laisse faire. Je me glisse lentement et quand j’ai la queue à moitié dans son étui étroit, je commence à l’enculer rapidement. Son fion ne tarde pas à se relâcher complètement et après quelques pénétrations, je peux l’enculer jusqu’à la garde. Le fouet toujours dans la main, j’insère le manche dans sa chatte, et Océane en est très enthousiaste. Le fouet dans la chatte, ma queue dans son cul, elle crie comme une vraie garce.

— Ah, oui ! Défonce-moi, encule-moi fort.
— T’aimes les grosses queues hein ?
— Oui ! Oui ! Ah, mmm… Oh oui, plus fort !!

J’obéis, et je l’encule férocement. Le trou est béant et sa chatte est une fontaine de mouille. Pendant que je l’encule et je la masturbe du fouet, je nous regarde dans la télé et ce que je vois est encore meilleur que la réalité. Les seins d’Océane se chahutent rapidement. Je coince le fouet dans sa chatte qui le saisit, et je me dédis à torturer ses seins. Je les serre tellement fort qu’ils deviennent tous blancs. Ses tétons entre les doigts, je les écrase et les tire. L’excitation s’accroît, elle jouit et je m’apprête à jouir aussi. Je retire ma queue du cul et la lui mets dans le con qu’entre temps à éjecter le fouet. Je baise un moment son con et je me remets dans le cul rapidement. Le traitement fait grimper Océane aux rideaux. Elle me crie, la bouche grande ouverte, et les yeux roulés en arrière. Je continue comme ça un moment et je sens la foutre se déverser de ma verge et gicler de mon gland férocement dans son con en premier. Je grogne comme un animal tellement l’éjaculation est forte.

— Oh oui ! Remplis-moi… Remplis-moi !

Je me retire du con tout en éjaculant et je m’insère dans le cul pour le lui bourrer de spermes aussi. Je lui remplis les trous pendant qu’elle tremble de plaisir à la sensation chaude du foutre se déferler dans ses trous ravagés. Quand je sens que continuer à pénétrer commence à faire mal, et que j’ai essoré mon vit même de la toute dernière goutte de foutre, je me retire et je regarde le spectacle. Ses trous ont des contractions un peu involontaire et un peu volontaire, et à chaque contraction des flots de mouille et de sperme coulent, gouttant sur le sol. Je me sens dans un vrai porno !

Fatigués de cette baise digne des plus grands noms de stars du porno, on s’écroule sur le lit, non pas sans quelques petites caresses. J’ai vite oublié Andrea, je m’occuperais d’elle en rentrant à la maison. Déjà, je visualise le plan, on fera la paix, je vais la baiser une dernière fois et cette fois, je vais lui ravager le con comme l’avait fait le black pour puis lui mettre les valises hors de la porte. Sauf que les plans ne vont pas comme je les avais imaginés, mais allaient prendre une tournure encore meilleure.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'apprécie beaucoup ta façon d'aborder différents angles de la sexualité, à croire qu'il y a une certaine expérience personnelle derrière tes récits.



Texte coquin : L’arroseur arrosé 2/3
Histoire sexe : Une rose rouge
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