L'art d'interrompre les communications téléphoniques interminables.
Récit érotique écrit par Aperto libro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'art d'interrompre les communications téléphoniques interminables.
Il y a quelques années de cela, je n'avais pas de portable et maman me téléphonait pendant des heures.
Dimitri était un compagnon charmant, mais supportait difficilement que maman nous prenne autant de temps. Je pense qu'il était un peu jaloux. Alors, quand la demi-heure était passée, il venait contre moi, relevait ma jupe, faisait glisser ma culotte quand j'en avais une, l'ôtait, se mettait à genoux et m'entreprenait avec sa langue.
Chose étrange, alors qu'il me faut d’habitude pas mal de temps pour parvenir à jouir dans cette position, dans cette circonstance, le plaisir me secouait au bout d'une ou deux minutes. Me connaissant bien, après un premier orgasme, Dimitri passait à la vitesse supérieure en glissant un ou deux doigts en moi. Et là, je ne pouvais plus parler !
Les fois où j'ai tenté de prolonger la conversation, maman me demanda si j'étais souffrante !
Un jour, j'ai crié et j'ai dû raconter que le chat de la voisine était entré et m'avait griffée…
Il m'est aussi arrivé d'avoir eu une crise de fou rire, quand Dimitri me pencha en avant et entra son sexe entièrement dans le mien. Il poussa son ventre contre mes fesses et me fit tellement remuer, que je n'arrivai plus à tenir le combiné… J'ai raccroché sans embrasser maman.
Deux mois plus tard, Dimitri m'offrit un week-end à l'île de Ré.
Le dimanche matin, nous en étions à prendre une douche ensemble, pour effacer les parfums d'une nuit très mouvementée. Alors qu'il me savonnait tendrement les seins, son portable sonna. Il sortit de la douche sans s'essuyer.
C'était son frère… L'idée me vint immédiatement.
Je sortis également de la douche et vins m'agenouiller à ses pieds.
Son frère est le plus bavard des hommes que je connaisse. Sans détour, j’empoignai son sexe et découvris le gland le plus que je pus. Me prit soudain l’envie de lui donner un baiser inoubliable. J'engloutis entièrement son sexe mou, au point d’en serrer la base avec mes dents. L'audace me fit alors entreprendre une chose, que je n'avais jamais osée avec lui. Je suivis sa raie des fesses de mon majeur. Je me souviens encore m’être dite en moi-même : « je vais t'enculer ! »
J'ai essayé de faire pénétrer mon index. Comme ça ne glissait pas, je plongeai mon doigt dans mon vagin. Le ressortant tout luisant, je le présentai délicatement à l'entrée convoitée. Et là, presque avec rage, comme si j'avais à me venger de quelques caresses pas toujours à mon goût, je poussai mon doigt le plus loin possible. Aussitôt, son sexe grandit et durcit. À chacun de mes coups de langues, je sentais son anus enserrer mon doigt. J'entendis Dimitri presque haletant, répondre à son frère : « Non, non, elle est encore couchée ».
Ce jour-là, je compris pourquoi on dit pomper, quand on fait une fellation.
J'y mis toute mon énergie. Le portable roula sous le meuble de la télé. Dimitri poussa des cris et déversa dans ma bouche une telle quantité de sperme, qui ne laissait absolument pas présumer avoir durant la nuit, été aspergée plusieurs fois. Dimitri extirpa ensuite lui-même mon doigt de ses fesses.
Heureuse et fière, j'eus l'impression que désormais, nous étions unis plus intimement.
Dimitri était un compagnon charmant, mais supportait difficilement que maman nous prenne autant de temps. Je pense qu'il était un peu jaloux. Alors, quand la demi-heure était passée, il venait contre moi, relevait ma jupe, faisait glisser ma culotte quand j'en avais une, l'ôtait, se mettait à genoux et m'entreprenait avec sa langue.
Chose étrange, alors qu'il me faut d’habitude pas mal de temps pour parvenir à jouir dans cette position, dans cette circonstance, le plaisir me secouait au bout d'une ou deux minutes. Me connaissant bien, après un premier orgasme, Dimitri passait à la vitesse supérieure en glissant un ou deux doigts en moi. Et là, je ne pouvais plus parler !
Les fois où j'ai tenté de prolonger la conversation, maman me demanda si j'étais souffrante !
Un jour, j'ai crié et j'ai dû raconter que le chat de la voisine était entré et m'avait griffée…
Il m'est aussi arrivé d'avoir eu une crise de fou rire, quand Dimitri me pencha en avant et entra son sexe entièrement dans le mien. Il poussa son ventre contre mes fesses et me fit tellement remuer, que je n'arrivai plus à tenir le combiné… J'ai raccroché sans embrasser maman.
Deux mois plus tard, Dimitri m'offrit un week-end à l'île de Ré.
Le dimanche matin, nous en étions à prendre une douche ensemble, pour effacer les parfums d'une nuit très mouvementée. Alors qu'il me savonnait tendrement les seins, son portable sonna. Il sortit de la douche sans s'essuyer.
C'était son frère… L'idée me vint immédiatement.
Je sortis également de la douche et vins m'agenouiller à ses pieds.
Son frère est le plus bavard des hommes que je connaisse. Sans détour, j’empoignai son sexe et découvris le gland le plus que je pus. Me prit soudain l’envie de lui donner un baiser inoubliable. J'engloutis entièrement son sexe mou, au point d’en serrer la base avec mes dents. L'audace me fit alors entreprendre une chose, que je n'avais jamais osée avec lui. Je suivis sa raie des fesses de mon majeur. Je me souviens encore m’être dite en moi-même : « je vais t'enculer ! »
J'ai essayé de faire pénétrer mon index. Comme ça ne glissait pas, je plongeai mon doigt dans mon vagin. Le ressortant tout luisant, je le présentai délicatement à l'entrée convoitée. Et là, presque avec rage, comme si j'avais à me venger de quelques caresses pas toujours à mon goût, je poussai mon doigt le plus loin possible. Aussitôt, son sexe grandit et durcit. À chacun de mes coups de langues, je sentais son anus enserrer mon doigt. J'entendis Dimitri presque haletant, répondre à son frère : « Non, non, elle est encore couchée ».
Ce jour-là, je compris pourquoi on dit pomper, quand on fait une fellation.
J'y mis toute mon énergie. Le portable roula sous le meuble de la télé. Dimitri poussa des cris et déversa dans ma bouche une telle quantité de sperme, qui ne laissait absolument pas présumer avoir durant la nuit, été aspergée plusieurs fois. Dimitri extirpa ensuite lui-même mon doigt de ses fesses.
Heureuse et fière, j'eus l'impression que désormais, nous étions unis plus intimement.
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