L'auberge - histoire érotique

Julie et Hugo randonnaient depuis 3 jours dans les montagnes, ce qu’ils aiment faire durant leurs vacances. Marcher, découvrir, s’extasier devant la beauté de la nature.
Alors que la fin de journée approchait, le ciel au dessus d’eux devin très menaçant. De gros nuages noirs s’amoncelaient à leur vertical. Soudain, le tonnerre résonna bruyamment au milieu des montagnes, faisant sursauter le jeune couple trentenaire.
Quelques grosses gouttes tombèrent au sol. Rapidement le déluge déferla sur eux. Ils accélèrent le pas, courraient par endroit, pour rejoindre au plus vite l’auberge qui se dévoilait à l’horizon. Ils étaient habitués à camper mais au vu du temps, une douche et un repas chaud leur ferait du bien.

Après 15 minutes à fuir au plus vite les éléments, ils pénétrèrent dans l’établissement, trempés. Un homme d’une trentaine d’années les accueillit et se présenta à eux comme étant le propriétaire des lieux

- Bonjour. Je suis Marc. Pas trop mouillés ?
- Si, beaucoup confirma Hugo.
- Vous avez de la chance, il me reste une chambre. Vous allez pouvoir vous sécher et réchauffer.
- Super ! S’exclama Julie.

Marc observa le joli visage de la jeune femme, dégoulinant d’eau, qui venait de s’illuminer.
- Cela vous fera 40€ la nuit. Nous proposons aussi un dîner et un petit déjeune si vous le souhaitez.
Le couple acquiesça, bien heureux de pouvoir prendre un repas chaud plus tard.
- C’est payable en avance s’il vous plaît. Avec le dîner et le petit déjeuner cela fait un total de 80€.

Hugo mit son volumineux sac à dos au sol et fouilla dans une poche pour y sortir son porte feuille. Il continuait à fouiller mais ne semblait pas trouver ce qu’il cherchait. Il commença à s’inquiéter puis à s’irriter.
- Qu’y a-t-il ? Demanda Julie, anxieuse à son tour.
- Je ne trouve pas mon porte-feuille. Je le range toujours dans cette poche mais elle est vide.
Il sortait ses affaires du sac pour faciliter la recherche mais il ne retrouvait pas son argent.
- Je n’ai pas d’argent avec moi ! indiqua Julie à son compagnon, ce qui ne fit qu’augmenter son agacement.
- Je le sais bien figure-toi !

Alors que le jeune randonneur fouillait son sac, le propriétaire de l’auberge dit :
- Je suis navré, mais je vois un autre couple qui approche. Si vous ne pouvez pas payer, je serais obligés de leur donner la chambre s’il en demande une.
- Non, non, je vais trouver ! S’empressa de dire Hugo.
Après un silence, le gérant de l’auberge ajouta :
- Sinon, on peut s’arranger autrement, dit Marc. Vous êtes très jolie et je suis sûr qu’on pourrait trouver un autre moyen pour vous de payer ce que vous me devez.

Le jeune couple resta interloqué.
- Jamais de la vie ! s’exclama Hugo, qui reprit la fouille désespérée de son sac.

Un couple d’anglais entra à son tour dans l’auberge, trempés jusqu’au os.
- Je leur dis quoi ? demanda Marc à voix basse.
- De repartir ! je vais trouver mon argent, s’irrita Hugo.

Le propriétaire de l’auberge fit patienter un peu le couple d’anglais.
- Je suis désolé, vous n’allez pas pouvoir passer la nuit ici, finit par dire Marc à Julie et Hugo.

Après un court silence, Julie s’empressa de répondre :
- D’accord, j’accepte.
- Quoi, s’exclama Hugo !
- On n’a pas le choix, et j’ai envie de passer la nuit au sec.
Le propriétaire s’excusa auprès des randonneurs anglais à qui il proposa de patienter dans le salon le temps que le ciel s’apaise.

- Suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre.
Le propriétaire entendait dans son dos le couple se disputer, en désaccord complet sur ce qu’il convenait de faire, chacun reportant la faute sur l’autre.

Les trois personnes entrèrent dans une chambre relativement spacieuse munie d’une petite salle de bain.
Hugo et Julie déposèrent leurs affaires.
- Tu ne vas pas faire ça ! S’emporta une dernière fois Hugo pour tenter de faire changer sa femme d’avis. Tu peux encore refuser. On part, on trouvera bien autre chose.
- Non, c’est décidé ! S’obstina la jeune femme.

Hugo soupçonna cette dernière de tirer profit de la situation. Elle était sexuellement plus aventureuse que lui. Elle avait envie de tenter des expériences libertines qu’il s’était toujours refusé à suivre. Il pensait que faire l’amour avec un inconnu était ce qui la motivait plus que d’obtenir une nuit au sec.

- Tu restes dans le fauteuil et interdiction d’en bouger ni de quitter la chambre, ordonna Marc à Hugo. Je veux que tu profites du spectacle, ajouta-t-il avec un sourire provocateur.
Devant la détermination de sa femme, Hugo s’installa dans le fauteuil, résigné mais énervé.

Julie observa le propriétaire de l’auberge s’approcher d’elle. Elle le trouvait beau avec ses longs cheveux blonds en bataille lui donnant un look un peu hippie qui lui collait à merveille. Elle devait reconnaître que dès que l’occasion de faire l’amour avec ce bel bel inconnu s’était présentée elle avait immédiatement eu envie de la saisir.
Le jeune homme approcha son visage d’elle et déposa ses lèvres sur les siennes. Julie ouvrit légèrement la bouche pour laisser la langue de l’inconnu s’insinuer en elle. Leurs langues s’enroulèrent l’une autour de l’autre. Le baiser devint rapidement fougueux.

- Déshabille-toi ! Murmura le propriétaire dans l’oreille de Julie.
Marc recula pour observer la jeune femme s’exécuter.

Julie ôta ses chaussures puis attrapa le bas de son débardeur qui collait un peu à la peau. Elle déboutonna son short et le fit glisser le long de ses jambes humides. La jeune femme dégrafa son soutien-gorge en coton agrémentée de quelques dentelles. La pièce de lingerie se retrouva au sol. Avec beaucoup de plaisir, Marc admira la jolie poitrine de la jeune femme. Ses seins ronds, qui pouvaient tenir dans la paume de la main, donnaient une folle envie à Marc de la caresser. Julie attrapa les côtés de sa culotte et la fit glisser tout doucement le long de ses jambes, consciente de l’effet qu’elle produisait sur Marc.

- Fais un tour sur toi-même, ordonna le propriétaire.
Marc se délecta du corps parfait de la jeune femme. De son joli visage, de ses lèvres charnues, de ses seins harmonieux qu’il voulait tenir dans ses mains, de sa peau hâlée qui semblait admirablement douce, de son ventre plat, de sa toison brune, de ses fesses musclées qui accentuaient son excitante cambrure et de ses longues jambes athlétiques. Il désirait tout son corps.
La jeune femme était excitée d’obéir à cet inconnu, totalement nue et soumise, qui plus est sous le regard de son mari.

Marc ouvrit son short et en sortit un sexe d’une belle taille. Hugo se sentit dévasté lorsqu’il vit le visage de sa femme s’illuminer à la vue de cette queue qui s’offrait à elle.
- Viens me sucer, ordonna Marc.
La jeune femme s’agenouilla et prit en main la queue à moitié dressée. Elle mit le gland dans sa bouche. Elle sentait le membre palpiter à chaque caresse et se gonfler sans fin entre ses mains. Le sexe cessa finalement de grossir et Julie l’observa quelques instants avec gourmandise. Il était long, épais bien droit. Elle s’empressa de le remettre dans sa bouche et de s’en délecter.

Avec un mélange de colère et de honte, Hugo observait sa femme prendre du plaisir à sucer cet homme bien mieux pourvut que lui.

- Tu suces divinement bien ! S’exclama Hugo.
Julie leva les yeux vers lui et lui fit un sourire.
Après 5 minutes d’une agréable fellation, le propriétaire demanda :
- Tu veux que je te lèche la chatte ?
Julie hocha de la tête.
- Dis-le à haute voix, je veux que ton mari l’entende.
- Bouffe-moi la chatte !

Marc aida la jeune femme à se relever et l’accompagna jusqu’au lit. La jeune femme s’y allongea et écarta les jambes pour dévoiler une vulve parfaitement lisse. Le propriétaire s’accroupit entre ses jambes et entama un cunnilingus.

Hugo ne décolérait pas de voir cet inconnu lécher la chatte de sa femme et surtout entendre cette dernière soupirer de plaisir. Il serrait les dents et les poings.

Marc léchait, aspirait mordillait et se délectait des différentes saveurs offertes par l’intimité de la jeune femme. Il se régalait de ce fruit à présent abondamment juteux.

- Tu aimes ?
- Oui.
- Dis-le plus fort pour que ton mari entende.
- J’aime quand tu me bouffes la chatte !
- Tu as envie d’avoir ma queue dans ta chatte ?
- Ho, oui ! Je veux sentir ta queue tout au fond de ma chatte !

Le propriétaire de l’auberge se dévêtit et aida Julie à se relever et la fit se mettre à quatre pattes sur le lit. Derrière elle, Marc, tenant sa queue entre ses mains s’approchait de la jeune femme. Son gland appuya contre la chatte dégoulinante de mouille et s’introduisit en elle.
Hugo voyait devant lui le membre de cet inconnu s’enfoncer toujours plus dans le ventre de sa femme jusqu’à que son pubis rasé de près touche ses fesses. Marc ressortit doucement sa queue puis la renfonça dans le vagin de Julie. Il entama un lent mouvement de va-et-vient. La jeune femme soupirait de plaisir, les yeux clos et la bouche grande ouverte profitait de ce sexe énorme qui lui dilatait les entrailles s’enfonçait là ou aucune autre queue n’était jamais allé.

Hugo ne savait pas ce qui l’irritait le plus. Qu’un inconnu baise sa femme ou que cette dernière y prenne du plaisir ?

Les petites seins Julie ballottaient sous elle tandis que Marc avait accéléré le rythme de son va-et-vient. Tout en la pilonnant à présent avec fougue, le propriétaire des lieux donnait des claques sur les fesses de la jeune femme qui semblait apprécier. Tandis que sa peau rougissait sous les punitions, elle gémissait à chaque contact de la main sur son postérieur.

Marc fit se relever la jeune femme, et tout en restant en elle la fit se pencher en avant, les mains appuyées sur les accoudoirs du fauteuil dans lequel Hugo était torturé. Le visage de Julie était à présent à quelques centimètres du visage de son mari, qui n’osait pas la regarder dans les yeux, et qui s’approchait à chaque coup de boutoir de son partenaire.
Marc besognait Julie avec fougue. Cette queue qui coulissait avec énergie en elle la fit bientôt atteindre un orgasme. Elle gémit de plaisir, expulsant son souffle chaud sur le visage contrit de son mari.

Marc cessa tout mouvement. Son partenaire ne bougeant plus, Julie se mit à avancer et reculer le bassin. Le membre dur se remit à coulisser en elle. Hugo croisa le regard de son épouse brillant de plaisir. Ils restèrent quelques instants, les yeux dans les yeux alors que Julie bougeait de plus en plus d’avant en arrière pour enfoncer la queue de son amant immobile au plus profond de son vagin. Voir son épouse s’agiter avec plaisir sur cette queue ne calma pas la colère d’Hugo.

- Tu vois, ta femme est folle de ma queue, on ne l’arrête plus, dit Marc avec provocation.
- Va te faire foutre ! Lui rétorqua Hugo.
- Dis à ton mari que tu aimes enfoncer ma queue dans ta chatte.
- Oui, c’est bon. Désolé mon chéri mais j’adore enfoncer sa queue dans ma chatte, ajouta-t-elle entre deux souffles courts.

Marc s’allongea au bord du lit, les pieds posés au sol, et invita la jeune femme à s’asseoir sur sa queue. Julia se pencha en avant attrapa le membre tendu entre ses jambes et baissa le bassin pour s’empaler la verge gonflée. Les mains sur les genoux elle montait et descendait ses fesses pour faire glisser son vagin sur la queue d’Eric. Ce dernier griffait le dos et les fesses de sa partenaire. Tandis que Julia poussait des gémissements de plaisir, elle fixait avec provocation son mari dans les yeux.

Fatiguée par la position, Julia se releva et s’allongea sur le lit à la place d’Eric et écarta les jambes. Ce dernier se plaça au dessus d’elle dans la position du missionnaire et commença à onduler des hanches pour enfoncer sa queue au plus profond du ventre de Julia.

Bouillonnant, Hugo, avait une vue qui le torturait. Il voyait la chatte de sa femme amplement dilatée dans laquelle le large pieux de son amant s’enfonçait en rythme. Lorsque qu’Eric remontait, Hugo voyait les lèvres charnues de plaisir de sa femme enroulées autour de la queue du propriétaire. Il distinguait ensuite la soyeuse toison brune de son pubis, son ventre plat qui se gonflait à chaque profonde inspiration, ses petits seins à la peau soyeuse et au sommet desquels pointaient d’exquis mamelons dressés de plaisir et enfin son visage, les yeux fermés, la bouche grande ouverte qui haletait de plaisir.

Bien qu’en colère, Hugo ressentit un peu d’excitation et aurait aimé être à la place de cet homme.

Cette belle queue qui coulissait dans sa chatte faisait monter le plaisir dans le corps de Julia. Elle sentait que l’orgasme approchait. Elle ouvrit les yeux et regarda quelques instant vers son ventre. Elle vit la large bite de son amant qui montait et descendait en elle. Cette vision déclencha en elle l’orgasme qui déferla dans son corps. Elle gémit plus fort que la première fois.

Quand l’orgasme de Julia fut terminé, Eric se releva et se planta debout, entre le lit et le fauteuil d’Hugo et dit à la jeune femme :
- Viens me vider les couilles. Je suis sûr que tu veux mon jus.
- Ho oui, je veux goûter ton jus ! Confirma Julia, excitée.

La jeune femme se mit à genoux devant l’homme et le suça avec beaucoup de gourmandise. Après quelques minutes d’une fellation qu’Hugo trouva interminable, Eric reprit en main sa queue et la branla, dirigeant son gland vers la langue tendue de Julia. Dans un râle bestial, il jouit et déchargea une grande quantité de sperme sur la langue de la jeune femme. Lorsque les jets se calmèrent, Julia avala tout le liquide et remit la queue en bouche pour en extraire chaque goutte de l’onctueux liquide.

Bien que le membre d’Eric se ramollissait, Julia continuait à le sucer. Et assez vite la queue retrouva sa fermeté.

- Hé ho ! Ca ne va pas ! On arrête là ! Intervint Hugo.
- Je n’y peux rien, c’est ta femme. Elle en veux encore. Dis-lui ma belle.
- Oui, baise-moi encore! Je veux encore te sortir dans ma chatte, goutter ton jus !

Hugo était sidéré. Il s’enfonça un peu plus dans son fauteuil, humilié et en colère, mais bandant quand même un peu.

Après une longue et agréable fellation, Eric rendit la pareil à la jeune femme en lui administrant un cunnilingus que la jeune femme trouva divin. Cette langue qui parcourait chaque parcelle de sa vulve en feu la fît jouir assez vite.

Eric mit Julia à genoux sur le lit et placé derrière elle, prit un poignet dans chaque main. La jeune, bras tendus en arrière et visage plaqué sur le lit était complètement soumise à son amant. Le propriétaire du lieux la pénétra avec fougue et tirait sur les bras de la jeune femme pour la faire venir à lui et qu’elle s’empale à chaque mouvement sur sa queue. Eric ajouta des paroles humiliantes :
- Tu es ma petite pute aujourd’hui ?
- Oui, je suis ta pute !
- Tu veux que je te baise fort petite salope ?
- Oui, Baise-moi comme une salope !

Ainsi tenue par son amant qui lui tenait des propos dégradant, Julia était très excitée d’être ainsi dominée. Elle ne sait pas si la même situation avec Hugo lui aurait plu de la même façon, mais aujourd’hui, avec cet homme, cela l’emmenait au bord de la jouissance.

- Une petite pute ça se fait enculer ! Encule-moi s’il te plaît ! implora Julia, sous le regard courroucé de son mari.
- Avec plaisir ma belle. Je vais te défoncer le cul comme jamais.

Après avoir bien préparé l’anus de la jeune femme avec sa langue et ses doigts lubrifiés de cyprine, Eric présenta son gland devant le petit trou légèrement dilaté. Doucement, il enfonça son membre. Julia grimaçait par moment, ressentant une légère douleur. Cependant, ses nombreux orgasmes avait détendus ses muscles aussi son amant parvint finalement à enfoncer facilement toute sa verge. Lorsqu’il fut bien au fond, il ressortit complètement, laissant entrevoir un orifice maintenant largement dilaté. Il replongea sa queue et entama un va-et-vient.

Julia se détendit complètement, ne ressentant plus aucune gêne et se laissa porter par le plaisir de sentir cette grosse queue coulissait dans son cul.

- Ca te plait de te faire labourer le cul ? Demanda Eric.
- Ho, oui, putain, c’est bon, répondit-elle entre deux gémissements.

Eric redoubla d’effort, besognant de plus belle sa partenaire. Julia sentait l’orgasme approcher un peu plus à chaque pénétration, à chaque claquement des couilles de son amant sur ses fesses.

Hugo, observait, toujours dans un mélange de colère, de honte et d’excitation, sa femme se faire sodomiser, chose qu’il n’avait jamais entreprit avec elle. Le plaisir se lisait sur le visage de sa femme, ses seins ballottaient à chaque coup de rein et la longue queue de son amant qui s’enfonçait sans peine entre ses fesses participaient à maintenir Hugo dans ses sentiments ambivalents.

Julia gémit soudainement avec force, ressentant un orgasme comme jamais elle n’avait connu. Sa chatte et son anus vibraient de plaisir, ses tétons frémissaient, tout son corps tremblait.

- T’as bien jouit du cul ma salope ! S’exclama Eric avec fierté. Tu as aimé ?
- Ho oui ! J’ai adoré le faire labourer le cul !

Après quelques coups de reins, Eric jouit à son tour, vidant ses couilles dans le cul de Julia qui crut avoir un nouvel orgasme en ressentant le liquide chaud inonder ses entrailles.

Eric se retira et Julia se laissa tomber sur le lit, épuisée. Le propriétaire se rhabilla et après avoir fait une petite caresse sur la fesse de la jeune femme dit à Hugo avant de sortir de la chambre:
- Je vous laisse vous installer.

Un silence complet s’installa dans la chambre. Julia savait qu’elle allait devoir affronter son mari mais n’avait plus la force de parler. Quant à Hugo, il bouillonnait toujours intérieurement.

Soudain, il bondit de son fauteuil, et fit voler tous ses vêtements. Julia regarda avec de grands yeux son mari nu, la queue dressée. Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il s’était jeté sur elle.
Hugo agrippa les hanches de sa femme et les souleva pour la mettre à quatre pattes et dit d’une voix mi-énervée, mi-blessée :
- Comme ça t’es une pute qui aime se faire enculer ? Et bien je vais t’enculer alors, je vais te défoncer ton cul de petite salope !

Et sans plus de préliminaire, il enfonça sa queue dans le cul de Julia. Il la pénétra sans mal, son anus étant fortement dilaté et lubrifié par l’abondante quantité de sperme de son amant précédent.
Julia le laissa faire, ne pouvant pas l’en empêcher après ce qu’il venait de subir. Elle glissa une main entre ses jambes et excita son clitoris.

Hugo encula sa femme avec bestialité, poussant des grognements ou lâchant des jurons du genre « Tu aimes ça salope ? », «  tu aimes avoir une queue dans le cul ! », « Tu n’es qu’une pute qui aime se faire baiser ! ».

Soudainement, Hugo sortit son membre du cul de sa femme et se branla au dessus de ses fesses en exultant :
- Tu aimes le sperme ? Et bien prends ça salope !

Après s’être branlé avec vigueur pendant quelques secondes il éjacula sur le dos de sa femme, répandant son sperme des cheveux de Julia jusqu’à ses fesses.
Lorsque plus aucune goutte de jus ne sortit de sa queue, il se laissa choir sur le lit. Julia limita.

Hugo, apaisé, reprit ses esprits et murmura à Julia :
- Excuse-moi de mon comportement, j’ai un peu pété les plombs, dit Hugo, honteux de son comportement qui ne lui ressemblait pas.
- C’est moi qui te dois des excuses. C’est cruel ce que je t’ai fait.

Le couple prit une douche, descendit dîner puis passa une bonne partie de la nuit à discuter. Chacun ouvrit son cœur et son âme, exposa ses envies et ses attentes. Ils firent tendrement l’amour et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, ils reprirent la route du GR, le cœur léger et main dans la main.