L’Auberge du château
Récit érotique écrit par Lorca [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L’Auberge du château
Je te rejoins à l’auberge du château à Paris. Il est midi passé. Tu as eu la gentillesse de m’inviter dans ce bel endroit pour me prouver l’affection que tu me portes. Je suis très excitée. Je m’assois à côté de toi. Tu m’embrasses. Nous discutons de choses et d’autres. Il fait beau dehors. Le service est efficace. Nous nous portons un toast avec de longues flutes de champagne frais. La sève monte en toi. Tu me passes la main sous la robe. J’ai pris une tenue sexy, rouge avec des talons aiguilles du plus bel effet. Tu es sensible à mon charme de salope dans ma belle robe fendue. Ta main me fait frémir quand elle remonte au-dessus des bas pour atteindre ma peau douce et chaude. Ta main remonte doucement, elle effleure le mince tissu de ma lingerie qui semble déjà humide. Mon clitoris semble se tendre et je commence à soupirer. Tu commences à sentir mon clitoris gonfler sous la jupe ... je soupire et je commence à onduler... tu poses ma main sur ton entre-jambe. Je sens que tu es tendu. Je sors doucement ton sexe de son étui et le libère de sa prison de coton. Il se dresse fièrement aux vents. Je le saisis vigoureusement et le caresse avec fierté. Plusieurs allers et venues sur la tige. Passant régulièrement ma main sur les testicules. Je me baisse discrètement vers ce mât fier. Sous la table je le saisis avec ma bouche gourmande. Je me fais chienne lubrique devant la queue du mâle. J’entends des grognements. Je suis fière. Mon œuvre fait son effet. Pendant que je te suce le serveur est venu pour prendre les commandes ; il est dans la confidence. L'œil allumé, il dit, « madame semble gourmande ? aimerait-elle un peu de crème fraîche pour affermir le goût, je lui en apporte volontiers si elle accepte de s'occuper aussi de mes tensions qui montent, montent, montent ....
Je lui lance un regard entendu, après m’être assise sur la banquette en velours. « Je m’occuperai de vous plus tard cher monsieur, et avec un grand plaisir ». Il s’éloigne de nous. Il semble vouloir de moi. Soudain tu me relèves. Tu me baisses la culotte et me soulèves ma robe. Tu me fais assoir sur ta queue. Tu m’enfournes avec autorité. Je sens cette queue au fond de moi. Je fais rapidement des allers et venues sur ton sexe qui maintenant me remplit toute la chatte. Nous grognons comme deux animaux lubriques que nous devenons. Certains voisins se retournent vers nous, ils veulent participer à nos ébats. Quelques femmes nous lancent des regards lubriques et pleins de désir. Nous devenons l’attraction de ce bon restaurant parisien. Mes seins dorénavant dénudés s’agitent comme des balanciers fous. Le serveur revient et repousse la table. Il me prend sèchement le cul. Je hurle dans le bruit du restaurant attirant maintenant ouvertement l’attention de nos voisins. Certains se lèvent et s’approchent de nous. Je suis prise par deux queues endiablées. Je vibre de tout mon corps. Certains voisins sortent leurs queues gonflées. Quelques femelles assises se mettent des doigts dans leurs chattes humides. Nous avons transformé ce lieu en baisodrome.
Je lui lance un regard entendu, après m’être assise sur la banquette en velours. « Je m’occuperai de vous plus tard cher monsieur, et avec un grand plaisir ». Il s’éloigne de nous. Il semble vouloir de moi. Soudain tu me relèves. Tu me baisses la culotte et me soulèves ma robe. Tu me fais assoir sur ta queue. Tu m’enfournes avec autorité. Je sens cette queue au fond de moi. Je fais rapidement des allers et venues sur ton sexe qui maintenant me remplit toute la chatte. Nous grognons comme deux animaux lubriques que nous devenons. Certains voisins se retournent vers nous, ils veulent participer à nos ébats. Quelques femmes nous lancent des regards lubriques et pleins de désir. Nous devenons l’attraction de ce bon restaurant parisien. Mes seins dorénavant dénudés s’agitent comme des balanciers fous. Le serveur revient et repousse la table. Il me prend sèchement le cul. Je hurle dans le bruit du restaurant attirant maintenant ouvertement l’attention de nos voisins. Certains se lèvent et s’approchent de nous. Je suis prise par deux queues endiablées. Je vibre de tout mon corps. Certains voisins sortent leurs queues gonflées. Quelques femelles assises se mettent des doigts dans leurs chattes humides. Nous avons transformé ce lieu en baisodrome.
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