L'autre

- Par l'auteur HDS Dédé49 -
Récit érotique écrit par Dédé49 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'autre Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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L'autre
Il fait beau et chaud sur la plage de tarare. La mer caraïbe est bleue, l’endroit est idyllique. Il est généralement fréquenté par des nudistes et c’est le coeur battant que Josette et moi nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers la végétation dense mène à la petite crique à l’abri des regards indiscrets. Qu’allons-nous y découvrir. Nous avons profiter de cette journée de semaine pour venir ici sans nos enfants. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela va nous faire de se montrer à d’autres.
Manque de chance pour l’excitation l’endroit est désert, mais il peut encore arriver d’autres baigneurs.
Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Jo est belle de ses trente cinq ans, allongés l’un à côté de l’autre nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit même désert nous échauffe agit sur notre libido, je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses. L’invite est sans équivoque.
-Viens, prends moi, fais le moi !
-t’es folle et si on vient
-Il n’y a personne, bine moi mon chéri j’ai trop envie !
-Coquine l’endroit t’excite ?
-Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l’ont fait ici.
C’est trop tentant. Allongé sur ma petite femme je la baise lentement. Jo sous moi ferme les yeux. Moi aussi cela m’excite de faire çà ici.
Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là à quelques dizaines de mètres, à demi caché dans les rochers un homme, un pêcheur antillais nous observe. Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l’oeil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence il en profite.
Sous moi, Jo geint doucement à mes poussées. Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l’autre se régale. La situation m’excite. Le cochon doit bander, sans doute se branle t’il.
-Ma puce !
-Quoi ?
-un type, un indien est là bas dans les rochers et nous regarde.
-Il nous voie ?
-Oui !
-On fait quoi ?
-Rien ma puce, il mâte et alors. Cela m’excite, pas toi, il nous regarde baiser?
-Cochon !
-Ça ne t’excite pas ?
-Euh..... !!
-Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ?
-Oui ! Mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ?
-Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite. Je crois qu’il se branle.
-T’es sûr. Il se caresse en me regardant.
-Oui…
Sous moi ma petite femme s’anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.
-Dis, il doit avoir une grosse queue noire.
-Oui ma chérie, il bande et s’imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon.
-Il s’imagine qu’il me baise !
Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi…Tu aimes qu’il te voit, qu’il voit ton petit cul, ta chatte !
-ohhh Ouiiiiii ; Oh ouiiiii ! Sa bite, sa grosse bite noire !!!!!
-Tu as envie de sa queue, qu’il te la mette et te baise devant moi, j’ai envie moi ?
-T’es fou !
-Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue?
-Je ne sais pas. Et toi tu veux. Tu ne vas pas être jaloux s’il vient me le faire?
-Oui, un peu mais c’est tellement excitant. Tu te souviens avec Jean-Pierre quand nous étions gamins.
-Oui il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse, mais il ne savait pas comment me la mettre. Il n’a pas pu l'entrer !
-Lui il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous.
-OUI, je sais, je dis çà. Dis, il nous regarde encore ? Je ne le vois pas.
-Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu'on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ?
-T'es fou!
-C'est l'occasion ma puce, on se connaît pas, après on le reverra plus. J'ai envie de te voire avec un autre.
-Oui, oui va y, après tout tu as raison, personne ne nous connaît ici. Rien qu’une fois pour voir comment c'est. Je veux bien mon amour puisque que tu en as envie.
-Toi aussi?
-Quoi?
-Tu as envie, qu'il te baisse?
-Oui....mais tu ne seras pas jaloux après?
-Non, promis ma chérie...promis, ça va être si bon de le voir sur toi. De te voir jouir sous lui.
-Bon, dis lui.....
De la tête tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort de derrière ses rochers. C’est une homme de moyenne corpulence, assez petit, un indien. Jo l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
-Chéri c’est fou ! J’ai peur !
-Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.
L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif. Je lui souris tourné vers lui, Jo aussi mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa petite chatte.
-Bonjour.
Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gène. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors je me lance.
-Elle te plaît?
-Oui!
-Tu nous regardais baiser?
-Euh...Oui! J'ai vu que tu voulais bien, tu ne m'as pas fait signe de partir.
-Elle est belle hein, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans ?
Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Jo aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.
-Oui ! Oh oui elle est belle. C’est ta femme ?
-Oui. Elle a envie de… enfin tu comprends… avec toi.
-coquer avec moi ?
-Oui ! Tu veux ?
-Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une blanche !
-Viens ! Mets toi sur elle, prends la elle en a envie de ta grosse queue !
Je me suis relevé lui laissant la place. Jo consentante a gardé les cuisses ouvertes, lui explose sa chatte avec impudence.
-Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Josette et toi ?
-Gégéon, t’es belle, tu as une belle coucoune !
-Ton cocoro est gros, mets le moi doucement, viens !
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre. Elle a les yeux mi-clos et je devine ce qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi c’est rare.
-Ohh ! Elle est belle, bien grosse, mets la doucement mon chéri, ma petite chatte est pas habituée à une si belle.

JO me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qu’il se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider Jo ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la lui prends dans la mienne.
Elle me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente et se place devant l’entrée de son petit conin. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa menotte serre fort la mienne. D’une brève poussée l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes et lui fait mal. Puis le mâle pousse encore et la grosse tige brune et noueuse s’enfonce. Jo pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge dans le vagin. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle.
Ils baisent. Sont l’un à l’autre moi je ne compte plus. Moi je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé.
Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Jo geint à chacune des poussées de l’homme dans son ventre. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant. La grosse queue qui la pistonne la change de la mienne plus mince.
La tête nichée dans le creux de l’épaule de l’indien, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois. A part le bruit des vagues frappant le récif, je m’entends que le bruits des deux corps qui se frottent, se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la baise maintenant depuis plus de dix minutes.
Je vois le gros sexe brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin dans sa grotte d'amour. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts de plus en plus rapprochés L’homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.
Un long cri de femme comblée, le corps de JO s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son râle de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent dans le ventre de ma petite femme.
Sans me toucher, me caresser, j’ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme..

C’était il y a longtemps…

Ils sont resté enlacés. Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes. Puis je les ai vus se regarder et ma petite femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long. J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour là. Jamais nous n’avons osé recommencer.
Quand l’homme repu de ma petite femme, après l’avoir prise une seconde fois et un dernier baiser s’est relevé il est parti sans se retourner.
Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés avons regagné notre voiture. Chez nous, dans notre lit, avant le retour des enfants nous avons fait l’amour. Ma petite femme était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte. Celle que rarement elle m’a permis de forcer. Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.
Après, après seulement nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte. J’ai dit à ma petite femme que pour moi cela avait été un acte d’amour. L’homme me l’a-t-elle dit l’avait fait jouir si fort.
Longtemps après, par la suite il a été avec nous quand nous faisions l’amour. Quand Jo pâmée sous moi arquait son petit corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer « oh Gédéon.Ouiiii..Ouii ; encore mon chéri !!! »

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