L'éducation 1ère partie

- Par l'auteur HDS Aile du Sud -
Auteur femme.
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Récit libertin : L'éducation 1ère partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'éducation 1ère partie
L'éducation d’une salope.
Chapitre 1
Je m’appelle Victoria, et voici mon histoire.
J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. J’avais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu son pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis j’ai quitté ma province pour la capitale afin d’y poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents n’étaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants. J’ai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Il s’agissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à l’étranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait l’accès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge d’instruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Sophie et Bertrand n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguiser. Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux d’une famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Madame.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Leur villa se situait au milieu d’un grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maison de campagne, Sophie et Bertrand m’avaient autorisé à l’utiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et s’occupaient eux même du repas du soir, la cuisinière n’étant à la maison qu’en semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là c’était mon anniversaire. Le matin j’avais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour m’acheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je m’étais offert un gâteau au chocolat. Vers midi, mes parents m’avaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. J’ai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans l’après midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois d’octobre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur. Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime. A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, personne ne m’attendait. Sophie et Bertrand ne seraient pas là avant deux heures.
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! Allez ma fille fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine… Je n’avais entendu personne rentré. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, personne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria m’a l’air d’une sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle à un potentiel de salope et crois moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec son mari. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes m’avait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maitre de Chazot me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. Sophie et moi y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maitre.»
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu l’aimes bien la queue de Maitre de Chazot ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit Gilles personne ne m’aurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! nos histoires ont émoustillaient cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raison ! Alors sale petite vicieuse ! ça t’excite les histoires de cul ! tu as envie de gouter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit s’y prendre.
Sophie ne mit à genoux devant son mari et après qu’elle lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour. Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? qu’y a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne s’arrêta plus et c’est Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! c’est bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles m’encourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute… Ahhhh ! et j’aime que Madame la Juge me suce. Ahhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait d’astiquer avant qu’il ne la prenne là devant moi et qu’elle jouisse à son tour.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sophie et Gilles m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain.

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