L'éducation de Papillon (1)
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'éducation de Papillon (1)
Bonjour à tous. Si mon histoire vous plait, je vous donnerai la suite. Merci de vos
commentaires, quels qu'ils soient !
1er épisode
Il est 20 heures, la nuit est tombée et seules quelques lumières restent encore
allumées dans les couloirs de l'entreprise S.A.M.E.F.E.M.A.L. (Société Anonyme
Métallurgique d'Engins de Forage En Matériaux à Armature de Limaille)
Dans un bureau prêté par la direction de l'entreprise, au fond d'un couloir, Papillon
est, comme souvent les soirs de semaine, en train de consulter des dossiers
administratifs. Il y a eu trois formateurs en poste aujourd'hui dans les locaux de son
client. Deux sont salariés mais l'autre et un Free-lance qu'elle a embauché pour la
première fois.
Elle se rappelle que ce dernier doit arriver dans dix minutes pour faire un point.
Elle fait rarement des topos si tard, mais celui-là dirige un atelier qui doit se
finir tard. Elle range les papiers épars sur sa table. A peine a-t-elle fini qu'elle
entend toquer à sa porte. Elle se lève, rajuste sa jupe bleue et son chemisier blanc,
passe machinalement une main dans ses cheveux et va ouvrir.
L'homme, d'une trentaine d'année, se tient devant elle. Assez grand, brun, ses beaux
yeux bleus la frappent immédiatement. Elle le fait entrer et il la suit jusqu'au
bureau.
Elle le prie de s'asseoir et lui demande s'il veut un verre d'eau. Il répond par la
négative. Sa voix est un peu fluette, pas tout à fait en adéquation avec l'allure
qu'il donne d'un homme sûr de lui, surtout dans son costume, de facture classique.
Elle ne laisse rien paraître et lui expose la situation.
-" C'était votre deuxième journée de formation à cet atelier, et en passant dans le
couloir, je me suis rendu compte qu'il y avait du brouhaha. Par ailleurs, notre client
est passé me voir en fin de journée et il semble qu'un ou deux stagiaires aient dit
qu'ils trouvaient que cela n'avance pas assez vite du fait d'un manque de maîtrise du
groupe " lui dit-elle. "Pouvez-vous me dire ce qui se passe pour vous?"
L'homme baisse les yeux. Il hésite, puis regarde Papillon, et lui dit : "Je suis un
peu en difficulté avec ce groupe. Depuis que ma femme m'a quitté, il y a cinq mois,
j'essaye de faire face, mais je ne suis pas très en forme…". Papillon l'écoute avec
attention. Elle sait que l'avenir de son contrat avec son client tient en partie à cet
entretien, aussi veut-elle bien saisir le contexte.
"Je comprends", répond-elle, "mais vous devez absolument reprendre l'ascendant sur le
groupe, car si le client se plaint de nouveau, je serai obligée de changer de
formateur".
L'homme soupire, et ses yeux s'embuent. Papillon sent qu'elle n'a pas affaire à un
"dur", mais à un homme qui n'a pas beaucoup de caractère et qui se laisse vite
déborder. Elle se demande comment faire évoluer la situation.
L'homme dit : "il faut m'aider, je ne sais plus quoi faire. Je me sens dépassé".
Papillon se lève, d'un coup, et lui dit, l'œil sévère : "ça suffit, nous ne sommes pas
là pour écouter vos plaintes mais pour faire en sorte que vous soyez un formateur
solide". Il la regarde, et ses yeux la fascinent. Elle sent que ce garçon a besoin
d'être conduit, orienté, et qu'il lui faut un guide. Une idée germe dans sa tête, une
idée incongrue, absolument incroyable pour elle si professionnelle, mais dans un
moment de folie, elle décide de s'y laisser prendre. Elle se lève, prend au passage le
rouleau de gros scotch sur une étagère, contourne son bureau, et s'approche de
l'homme.
- "Monsieur PONCE, je veux bien vous aider, mais il va falloir suivre à la lettre mes
recommandations, sommes-nous d'accord ?". "
- "Que voulez-vous dire ?"
- Elle passe derrière lui, et brusquement lui prend les avant-bras, qu'elle tire dans
le dos de la chaise. Elle enroule rapidement les poignets ensemble, l'immobilisant.
"Vous êtes un homme faible, et je vais vous dresser à devenir un homme solide, pour
faire face à la disparition de votre femme. Mais auparavant, je vais vous faire
comprendre pourquoi vous devez réagir, en vous faisant aller si bas que vous n'aurez
qu'une hâte, devenir un homme qui saura prendre l'ascendant sur un groupe".
Tout en parlant, elle lui a attaché les chevilles aux pieds de sa chaise. Abasourdi,
il n'a pas réagi.
Elle ouvre son chemisier, et dévoile ses seins fermes et pleins. Elle les mets sous le
nez de l'homme et lui dit : "lèchez-moi les seins!". Il tente de se reculer, mais il
ne peut bouger.
-"Mais non, je ne veux pas !" Une gifle lui cingle la joue droite.
-" Lèche, je te dis"
-"Mais enfin…" Une gifle claque sur l'autre joue.
-"Arrête de discuter, il faut expérimenter le pouvoir de l'autre, et visiblement, cela
te manque !" Il n'a pas réagi à son tutoiement soudain, il baisse à nouveau les yeux.
"Qu'ils sont beaux" se dit-elle, " il est vraiment craquant en fait".
Voyant qu'il ne pourra s'échapper, M. PONCE finit par s'exécuter. Il pointe sa langue
sur son mamelon. Elle le gifle à nouveau. "J'ai dit lécher, pas titiller". Alors il la
lèche goulûment, car cette poitrine offerte finit par le tenter. "Doucement, j'ai pas
dit les manger, j'ai dit les lécher" et une nouvelle gifle lui fait reculer la tête.
Il la regarde, un peu apeuré. Il s'approche et la lèche doucement, largement, lui
tournant autour du téton, qui se durcit peu à peu. "Nom de dieu", pense-t-elle, "
c'est bon".
-" Continue, n'arrête pas". Elle prend la tête de l'homme et lui caresse le haut du
crâne. Elle presse sa bouche sur ses seins, alternativement. Elle voit des larmes
couler sur ses joues.
-"Arrête de pleurer, concentre-toi".
-"Mais c'est mal ce que vous faites". Une nouvelle gifle. "Tais-toi, tu ne parles que
si je te le dis, vu ?"
-"Oui". Nouvelle gifle
"Oui Patronne",
-"Oui Patronne". Elle sent qu'elle commence vraiment à prendre l'ascendant sur lui et
décide de continuer l'éducation. Après tout, n'est-ce pas son métier à elle, de former
les gens à s'exprimer, à progresser dans leur travail ? Jamais elle n'aurait cru
pouvoir faire cela. Elle en est même stupéfaite, mais c'est trop tard, le jeu est
lancé et elle ne peut s'arrêter sans risquer de gros problèmes professionnels.
Elle décide de lui enlever ses vêtements, mais comment faire sans le détacher, car il
s'enfuirait, il n'est pas encore totalement soumis. Elle va fermer la porte de son
bureau, cache la clé sans qu'il la voit, et prends une paire de ciseaux sur son
bureau. Elle commence par découper son costume, puis sa chemise, laissant juste le
bout des manches sous le scotch.
-"Mais arrêtez, vous êtes folle". Cette fois, il reçoit une double claque qui le fait
vaciller.
-"Tais-toi j'ai dit, tu dois m'obéir en tout, vu ?" Il acquiesce en silence, et elle
s'attaque à son pantalon, puis son caleçon. Elle ajoute : "ne t'inquiète pas, j'ai ici
de quoi te rhabiller avant de partir, et si tu es bien sage, je t'achèterai un nouveau
costume".
Il est là, nu devant elle, assis sur sa chaise, quelques morceaux de tissus sous les
fesses, démuni. Elle voit son sexe, un beau sexe assez long et large. Elle décide de
le sucer, brusquement, et approche sa bouche de la tige, qu'elle prend lentement,
descendant peu à peu vers les couilles velues. Il gémit, et commence à durcir sous la
caresse. "Bien, tu vois que je ne te veux pas que du mal" dit-elle, et elle continue.
Ses seins pendent de son chemisier, et bientôt elle les prend et entoure la verge,
allant et venant. Elle le regarde droit dans les yeux. "Tu aimes ? Tu veux que je
continue ? Tu vas m'obéir, tu comprends que c'est pour t'aider ?".
-"Oui Patronne" répond-il.
- "Bien, tu es intelligent, et ton corps me plaît, alors pas de bêtise !" Elle
continue de le branler entre ses seins, lentement, et il gémit de plus belle. Puis
elle se lève, enlève son chemisier, ôte la culotte sous sa jupe, et s'assoit sur le
bord du bureau, juste devant lui. Cela fait quelques minutes maintenant qu'elle sent
l'humidité envahir son sexe. Elle est excitée de la situation, elle veut aller au bout
de ce désir nouveau. Elle écarte un peu les jambes et il découvre sa chatte, avec la
fente qui apparait au milieu d'une toison taillée soigneusement.
-"Lèche- moi la chatte" lui dit-elle. Il se penche et la prend goulûment à nouveau.
Une claque. Il comprend et reprend plus lentement, dardant sa langue sur son clitoris,
puis descendant le long de la fente, jusqu'à toucher le bureau, puis remonte. Papillon
se laisse aller au plaisir de ce cunnilingus. Toujours attaché à la chaise, il ne
peut faire mieux, mais elle aime ce sentiment de le dominer, de ne le laisser faire
que ce qu'elle veut, pour elle.
Elle se lève et va prendre un appareil photo. Elle prend quelques photos de lui, nu,
en prenant garde que n'apparaissent pas dans l'image ses bras et jambes liés. "Ça,
c'est au cas où tu aurais l'idée de ne plus m'obéir après cette première séance. Une
parole et ces photos apparaîtront par enchantement chez mes confrères, et dans ton
entourage. Vu ?"
-"Oui Patronne. Je vais être obéissant, je veux que vous m'appreniez à devenir un
homme solide".
Elle insère les photos dans son ordinateur, et les envoie à son adresse personnelle,
par précaution.
Elle revient devant lui, et décide de tenter le tout pour le tout. Si elle s'est
trompée sur la domination qu'elle exerce, elle est foutue, mais elle sent qu'elle a
maintenant les cartes en main, qu'il va se soumettre à ses désirs.
"Je vais te détacher maintenant, et tu vas t'allonger sur mon bureau, à plat ventre,
les pieds au sol, tu as compris ?"
-"Oui Patronne". Elle coupe les liens des poignets, puis des pieds, et il vient se
positionner comme elle l'a demandé.
-" C'est bien, j'aime tes fesses lisses" lui dit-elle, et elle commence à les
caresser. Elle attrape sa queue rigide qui pend au bord du bureau et le branle
doucement. Puis elle s'approche et commence à lui lécher la raie des fesses, écartant
les globes d'une main. Elle s'approche de son œillet brun et elle sent qu'il veut
s'échapper. Elle attrape sa règle plate sur le bureau et lui donne un petit coup sur
les fesses. "Détend-toi, je vais te faire du bien". Il se relâche, et elle continue à
lui lécher le cul tout en le branlant, de plus en plus rapidement. Des soupirs lui
indiquent que l'homme apprécie maintenant ses caresses. Elle mouille son majeur et
tourne autour de son trou offert, avant de l'enfoncer d'un coup, à fond. Il sursaute,
mais ne dit rien, soumis. Elle continue à aller et venir dans son boyau, allant le
plus loin possible, et à nouveau il gémit de plaisir. Délaissant sa queue, elle
attrape son sac à main et en sort le gode argenté qui ne la quitte jamais, au cas où
une envie pressante la prendrait dans la journée. Elle le suce un peu (elle adore le
contact du métal sur sa langue) puis le positionne à l'entrée du trou de l'homme, qui
cette fois réagit un peu plus. "Non, je vais avoir mal, je ne me suis jamais fait
enculer" se plaint-il. Elle lui assène deux grands coups de règle. "Tais-toi, tu n'es
qu'un homme faible pour le moment, tu dois expérimenter la soumission pour retrouver
ta grandeur" répond-elle, et elle lui enfonce d'un coup mais lentement le gode
jusqu'au bout. Vaincu, il la laisse faire et bientôt, après la douleur de
l'intromission, il ressent le plaisir d'avoir son cul plein, de sentir le va et vient
du gode.
Elle attrape l'appareil photo et ajoute quelques clichés de profil à sa collection, où
l'on voit bien l'objet inséré dans l'anus et le visage de M. PONCE. Puis elle revient
le branler et l'enculer. Il ne tient pas longtemps à ce rythme et bientôt il éjacule
sur le parquet du bureau, en longs jets crémeux et nourris. "Lèche ça" lui dit-elle le
regard dur, " tu nettoies ce bureau de ton foutre". Il s'agenouille et ramasse de sa
langue le sperme étalé, pendant qu'elle en profite pour faire quelques photos
supplémentaires.
Une fois le parquet propre, elle le relève, lui donne le gode et lui ordonne :
"maintenant, à toi de me faire jouir, et applique toi si tu ne veux pas être puni".
Elle se met sur le dos sur son bureau, offrant son sexe trempé à l'introduction de cet
objet de plaisir. Soumis, l'homme prend soin d'elle, et retire régulièrement le
phallus d'acier pour caresser le petit bouton de Papillon. Il s'applique, entrant
lentement l'objet, le retirant, allant et venant rapidement, puis plus lentement. Dans
un dernier mouvement, elle jouit, gémissant son plaisir, et sa chatte laisser
s'échapper un petit courant de cyprine qu'il recueille avec dévotion dans sa bouche.
-"Je suis à vous, Patronne, je veux encore être votre homme-objet, je veux que vous
m'initiez aux plaisirs de la soumission". Elle sourit, et lui dit : "n'oublie-pas, je
veux qu'ensuite tu deviennes celui qui dirigera sa vie, qui prendra en main son
destin. Pour le moment, apprends, et je te dirai quoi faire". Elle lui donne ensuite
quelques premières directives pour mieux diriger le groupe. "Je reviendrai après-
demain et tu me feras ton rapport, et nous verrons quoi faire. Reviens à la même
heure".
-"Oui Patronne" répond-il pendant qu'elle sort un survêtement élimé d'un des placards
du bureau pour qu'il se rhabille.
Une fois prêt à partir, il la regarde, et elle lit dans ses yeux - qu'elle trouve si
beaux et qui ont été à la source de cette envie incontrôlable de l'avoir pour elle -
de la reconnaissance pour son engagement envers Clotaire, et pour le plaisir qu'elle
lui a donné.
-"Embrasse me pieds avant de partir, et quand tu franchiras cette porte dans deux
jours, je veux que tu te déshabille, que tu poses tes vêtements sur cette chaise, et
que tu te mettes à quatre pattes à côté de mon bureau". Il se baisse, lui embrasse les
pieds, et repart. "Merci Patronne, je serai là". Elle remet son chemisier, le
boutonne, remets sa culotte sur sa chatte trempée, puis le raccompagne à la porte de
l'école.
Revenant vers son bureau, pensive, elle cherche d’où lui est venue cette impulsion
subite, cette envie si inattendue de domination mêlée de compassion pour cet homme en
perdition.
Et tout à coup, un souvenir surgit, se dégageant de la gangue d'oubli dont elle
l'avait entouré. Tapies dans un repli de son cerveau, les images ressortent………..
commentaires, quels qu'ils soient !
1er épisode
Il est 20 heures, la nuit est tombée et seules quelques lumières restent encore
allumées dans les couloirs de l'entreprise S.A.M.E.F.E.M.A.L. (Société Anonyme
Métallurgique d'Engins de Forage En Matériaux à Armature de Limaille)
Dans un bureau prêté par la direction de l'entreprise, au fond d'un couloir, Papillon
est, comme souvent les soirs de semaine, en train de consulter des dossiers
administratifs. Il y a eu trois formateurs en poste aujourd'hui dans les locaux de son
client. Deux sont salariés mais l'autre et un Free-lance qu'elle a embauché pour la
première fois.
Elle se rappelle que ce dernier doit arriver dans dix minutes pour faire un point.
Elle fait rarement des topos si tard, mais celui-là dirige un atelier qui doit se
finir tard. Elle range les papiers épars sur sa table. A peine a-t-elle fini qu'elle
entend toquer à sa porte. Elle se lève, rajuste sa jupe bleue et son chemisier blanc,
passe machinalement une main dans ses cheveux et va ouvrir.
L'homme, d'une trentaine d'année, se tient devant elle. Assez grand, brun, ses beaux
yeux bleus la frappent immédiatement. Elle le fait entrer et il la suit jusqu'au
bureau.
Elle le prie de s'asseoir et lui demande s'il veut un verre d'eau. Il répond par la
négative. Sa voix est un peu fluette, pas tout à fait en adéquation avec l'allure
qu'il donne d'un homme sûr de lui, surtout dans son costume, de facture classique.
Elle ne laisse rien paraître et lui expose la situation.
-" C'était votre deuxième journée de formation à cet atelier, et en passant dans le
couloir, je me suis rendu compte qu'il y avait du brouhaha. Par ailleurs, notre client
est passé me voir en fin de journée et il semble qu'un ou deux stagiaires aient dit
qu'ils trouvaient que cela n'avance pas assez vite du fait d'un manque de maîtrise du
groupe " lui dit-elle. "Pouvez-vous me dire ce qui se passe pour vous?"
L'homme baisse les yeux. Il hésite, puis regarde Papillon, et lui dit : "Je suis un
peu en difficulté avec ce groupe. Depuis que ma femme m'a quitté, il y a cinq mois,
j'essaye de faire face, mais je ne suis pas très en forme…". Papillon l'écoute avec
attention. Elle sait que l'avenir de son contrat avec son client tient en partie à cet
entretien, aussi veut-elle bien saisir le contexte.
"Je comprends", répond-elle, "mais vous devez absolument reprendre l'ascendant sur le
groupe, car si le client se plaint de nouveau, je serai obligée de changer de
formateur".
L'homme soupire, et ses yeux s'embuent. Papillon sent qu'elle n'a pas affaire à un
"dur", mais à un homme qui n'a pas beaucoup de caractère et qui se laisse vite
déborder. Elle se demande comment faire évoluer la situation.
L'homme dit : "il faut m'aider, je ne sais plus quoi faire. Je me sens dépassé".
Papillon se lève, d'un coup, et lui dit, l'œil sévère : "ça suffit, nous ne sommes pas
là pour écouter vos plaintes mais pour faire en sorte que vous soyez un formateur
solide". Il la regarde, et ses yeux la fascinent. Elle sent que ce garçon a besoin
d'être conduit, orienté, et qu'il lui faut un guide. Une idée germe dans sa tête, une
idée incongrue, absolument incroyable pour elle si professionnelle, mais dans un
moment de folie, elle décide de s'y laisser prendre. Elle se lève, prend au passage le
rouleau de gros scotch sur une étagère, contourne son bureau, et s'approche de
l'homme.
- "Monsieur PONCE, je veux bien vous aider, mais il va falloir suivre à la lettre mes
recommandations, sommes-nous d'accord ?". "
- "Que voulez-vous dire ?"
- Elle passe derrière lui, et brusquement lui prend les avant-bras, qu'elle tire dans
le dos de la chaise. Elle enroule rapidement les poignets ensemble, l'immobilisant.
"Vous êtes un homme faible, et je vais vous dresser à devenir un homme solide, pour
faire face à la disparition de votre femme. Mais auparavant, je vais vous faire
comprendre pourquoi vous devez réagir, en vous faisant aller si bas que vous n'aurez
qu'une hâte, devenir un homme qui saura prendre l'ascendant sur un groupe".
Tout en parlant, elle lui a attaché les chevilles aux pieds de sa chaise. Abasourdi,
il n'a pas réagi.
Elle ouvre son chemisier, et dévoile ses seins fermes et pleins. Elle les mets sous le
nez de l'homme et lui dit : "lèchez-moi les seins!". Il tente de se reculer, mais il
ne peut bouger.
-"Mais non, je ne veux pas !" Une gifle lui cingle la joue droite.
-" Lèche, je te dis"
-"Mais enfin…" Une gifle claque sur l'autre joue.
-"Arrête de discuter, il faut expérimenter le pouvoir de l'autre, et visiblement, cela
te manque !" Il n'a pas réagi à son tutoiement soudain, il baisse à nouveau les yeux.
"Qu'ils sont beaux" se dit-elle, " il est vraiment craquant en fait".
Voyant qu'il ne pourra s'échapper, M. PONCE finit par s'exécuter. Il pointe sa langue
sur son mamelon. Elle le gifle à nouveau. "J'ai dit lécher, pas titiller". Alors il la
lèche goulûment, car cette poitrine offerte finit par le tenter. "Doucement, j'ai pas
dit les manger, j'ai dit les lécher" et une nouvelle gifle lui fait reculer la tête.
Il la regarde, un peu apeuré. Il s'approche et la lèche doucement, largement, lui
tournant autour du téton, qui se durcit peu à peu. "Nom de dieu", pense-t-elle, "
c'est bon".
-" Continue, n'arrête pas". Elle prend la tête de l'homme et lui caresse le haut du
crâne. Elle presse sa bouche sur ses seins, alternativement. Elle voit des larmes
couler sur ses joues.
-"Arrête de pleurer, concentre-toi".
-"Mais c'est mal ce que vous faites". Une nouvelle gifle. "Tais-toi, tu ne parles que
si je te le dis, vu ?"
-"Oui". Nouvelle gifle
"Oui Patronne",
-"Oui Patronne". Elle sent qu'elle commence vraiment à prendre l'ascendant sur lui et
décide de continuer l'éducation. Après tout, n'est-ce pas son métier à elle, de former
les gens à s'exprimer, à progresser dans leur travail ? Jamais elle n'aurait cru
pouvoir faire cela. Elle en est même stupéfaite, mais c'est trop tard, le jeu est
lancé et elle ne peut s'arrêter sans risquer de gros problèmes professionnels.
Elle décide de lui enlever ses vêtements, mais comment faire sans le détacher, car il
s'enfuirait, il n'est pas encore totalement soumis. Elle va fermer la porte de son
bureau, cache la clé sans qu'il la voit, et prends une paire de ciseaux sur son
bureau. Elle commence par découper son costume, puis sa chemise, laissant juste le
bout des manches sous le scotch.
-"Mais arrêtez, vous êtes folle". Cette fois, il reçoit une double claque qui le fait
vaciller.
-"Tais-toi j'ai dit, tu dois m'obéir en tout, vu ?" Il acquiesce en silence, et elle
s'attaque à son pantalon, puis son caleçon. Elle ajoute : "ne t'inquiète pas, j'ai ici
de quoi te rhabiller avant de partir, et si tu es bien sage, je t'achèterai un nouveau
costume".
Il est là, nu devant elle, assis sur sa chaise, quelques morceaux de tissus sous les
fesses, démuni. Elle voit son sexe, un beau sexe assez long et large. Elle décide de
le sucer, brusquement, et approche sa bouche de la tige, qu'elle prend lentement,
descendant peu à peu vers les couilles velues. Il gémit, et commence à durcir sous la
caresse. "Bien, tu vois que je ne te veux pas que du mal" dit-elle, et elle continue.
Ses seins pendent de son chemisier, et bientôt elle les prend et entoure la verge,
allant et venant. Elle le regarde droit dans les yeux. "Tu aimes ? Tu veux que je
continue ? Tu vas m'obéir, tu comprends que c'est pour t'aider ?".
-"Oui Patronne" répond-il.
- "Bien, tu es intelligent, et ton corps me plaît, alors pas de bêtise !" Elle
continue de le branler entre ses seins, lentement, et il gémit de plus belle. Puis
elle se lève, enlève son chemisier, ôte la culotte sous sa jupe, et s'assoit sur le
bord du bureau, juste devant lui. Cela fait quelques minutes maintenant qu'elle sent
l'humidité envahir son sexe. Elle est excitée de la situation, elle veut aller au bout
de ce désir nouveau. Elle écarte un peu les jambes et il découvre sa chatte, avec la
fente qui apparait au milieu d'une toison taillée soigneusement.
-"Lèche- moi la chatte" lui dit-elle. Il se penche et la prend goulûment à nouveau.
Une claque. Il comprend et reprend plus lentement, dardant sa langue sur son clitoris,
puis descendant le long de la fente, jusqu'à toucher le bureau, puis remonte. Papillon
se laisse aller au plaisir de ce cunnilingus. Toujours attaché à la chaise, il ne
peut faire mieux, mais elle aime ce sentiment de le dominer, de ne le laisser faire
que ce qu'elle veut, pour elle.
Elle se lève et va prendre un appareil photo. Elle prend quelques photos de lui, nu,
en prenant garde que n'apparaissent pas dans l'image ses bras et jambes liés. "Ça,
c'est au cas où tu aurais l'idée de ne plus m'obéir après cette première séance. Une
parole et ces photos apparaîtront par enchantement chez mes confrères, et dans ton
entourage. Vu ?"
-"Oui Patronne. Je vais être obéissant, je veux que vous m'appreniez à devenir un
homme solide".
Elle insère les photos dans son ordinateur, et les envoie à son adresse personnelle,
par précaution.
Elle revient devant lui, et décide de tenter le tout pour le tout. Si elle s'est
trompée sur la domination qu'elle exerce, elle est foutue, mais elle sent qu'elle a
maintenant les cartes en main, qu'il va se soumettre à ses désirs.
"Je vais te détacher maintenant, et tu vas t'allonger sur mon bureau, à plat ventre,
les pieds au sol, tu as compris ?"
-"Oui Patronne". Elle coupe les liens des poignets, puis des pieds, et il vient se
positionner comme elle l'a demandé.
-" C'est bien, j'aime tes fesses lisses" lui dit-elle, et elle commence à les
caresser. Elle attrape sa queue rigide qui pend au bord du bureau et le branle
doucement. Puis elle s'approche et commence à lui lécher la raie des fesses, écartant
les globes d'une main. Elle s'approche de son œillet brun et elle sent qu'il veut
s'échapper. Elle attrape sa règle plate sur le bureau et lui donne un petit coup sur
les fesses. "Détend-toi, je vais te faire du bien". Il se relâche, et elle continue à
lui lécher le cul tout en le branlant, de plus en plus rapidement. Des soupirs lui
indiquent que l'homme apprécie maintenant ses caresses. Elle mouille son majeur et
tourne autour de son trou offert, avant de l'enfoncer d'un coup, à fond. Il sursaute,
mais ne dit rien, soumis. Elle continue à aller et venir dans son boyau, allant le
plus loin possible, et à nouveau il gémit de plaisir. Délaissant sa queue, elle
attrape son sac à main et en sort le gode argenté qui ne la quitte jamais, au cas où
une envie pressante la prendrait dans la journée. Elle le suce un peu (elle adore le
contact du métal sur sa langue) puis le positionne à l'entrée du trou de l'homme, qui
cette fois réagit un peu plus. "Non, je vais avoir mal, je ne me suis jamais fait
enculer" se plaint-il. Elle lui assène deux grands coups de règle. "Tais-toi, tu n'es
qu'un homme faible pour le moment, tu dois expérimenter la soumission pour retrouver
ta grandeur" répond-elle, et elle lui enfonce d'un coup mais lentement le gode
jusqu'au bout. Vaincu, il la laisse faire et bientôt, après la douleur de
l'intromission, il ressent le plaisir d'avoir son cul plein, de sentir le va et vient
du gode.
Elle attrape l'appareil photo et ajoute quelques clichés de profil à sa collection, où
l'on voit bien l'objet inséré dans l'anus et le visage de M. PONCE. Puis elle revient
le branler et l'enculer. Il ne tient pas longtemps à ce rythme et bientôt il éjacule
sur le parquet du bureau, en longs jets crémeux et nourris. "Lèche ça" lui dit-elle le
regard dur, " tu nettoies ce bureau de ton foutre". Il s'agenouille et ramasse de sa
langue le sperme étalé, pendant qu'elle en profite pour faire quelques photos
supplémentaires.
Une fois le parquet propre, elle le relève, lui donne le gode et lui ordonne :
"maintenant, à toi de me faire jouir, et applique toi si tu ne veux pas être puni".
Elle se met sur le dos sur son bureau, offrant son sexe trempé à l'introduction de cet
objet de plaisir. Soumis, l'homme prend soin d'elle, et retire régulièrement le
phallus d'acier pour caresser le petit bouton de Papillon. Il s'applique, entrant
lentement l'objet, le retirant, allant et venant rapidement, puis plus lentement. Dans
un dernier mouvement, elle jouit, gémissant son plaisir, et sa chatte laisser
s'échapper un petit courant de cyprine qu'il recueille avec dévotion dans sa bouche.
-"Je suis à vous, Patronne, je veux encore être votre homme-objet, je veux que vous
m'initiez aux plaisirs de la soumission". Elle sourit, et lui dit : "n'oublie-pas, je
veux qu'ensuite tu deviennes celui qui dirigera sa vie, qui prendra en main son
destin. Pour le moment, apprends, et je te dirai quoi faire". Elle lui donne ensuite
quelques premières directives pour mieux diriger le groupe. "Je reviendrai après-
demain et tu me feras ton rapport, et nous verrons quoi faire. Reviens à la même
heure".
-"Oui Patronne" répond-il pendant qu'elle sort un survêtement élimé d'un des placards
du bureau pour qu'il se rhabille.
Une fois prêt à partir, il la regarde, et elle lit dans ses yeux - qu'elle trouve si
beaux et qui ont été à la source de cette envie incontrôlable de l'avoir pour elle -
de la reconnaissance pour son engagement envers Clotaire, et pour le plaisir qu'elle
lui a donné.
-"Embrasse me pieds avant de partir, et quand tu franchiras cette porte dans deux
jours, je veux que tu te déshabille, que tu poses tes vêtements sur cette chaise, et
que tu te mettes à quatre pattes à côté de mon bureau". Il se baisse, lui embrasse les
pieds, et repart. "Merci Patronne, je serai là". Elle remet son chemisier, le
boutonne, remets sa culotte sur sa chatte trempée, puis le raccompagne à la porte de
l'école.
Revenant vers son bureau, pensive, elle cherche d’où lui est venue cette impulsion
subite, cette envie si inattendue de domination mêlée de compassion pour cet homme en
perdition.
Et tout à coup, un souvenir surgit, se dégageant de la gangue d'oubli dont elle
l'avait entouré. Tapies dans un repli de son cerveau, les images ressortent………..
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