L'éducation de Papillon - Episode 12. - histoire érotique

(Amies lectrices, le vol de mon ordinateur a quelque peu retardé la publication des aventures de Papillon, qui étaient en partie écrites, et qu'il m'a fallu réinventer. Quoiqu'il en soit, voici la suite, en espérant vos commentaires nombreux et encourageans, mais aussi critiques si vous en avez l'envie. Pour ceux qui découvrent, je vous invite à relire les 11 premiers épisodes!)

L’éducation de Papillon- Episode 12.

La soirée s’est passée calmement, mais Jean et Papillon sont excités à l’idée de pousser plus loin l’aventure avec leurs amis.
Le soir, ils regardent la vidéo et les photos prises par Jean, ou l’on voit Anne se faire prendre par tous les trous. Ils s’excitent dessus, commencent à se caresser.
Papillon enlève sa culotte et se masse le mont de vénus. Jean a sorti sa tige et la fait durcir lentement entre ses doigts. Ils se branlent, se regardant faire, appréciant la manière dont chacun se donne à lui-même du plaisir, découvrant ce qui leur plait. Voir l’autre se donner du plaisir, n’est-ce pas la meilleure façon de le découvrir, de savoir ce qui lui fera du bien quand il y aura échange de caresses ?
Papillon titille son bouton, puis entre deux doigts dans sa chatte, qu’elle élargit par des va et vient rapides. Jean, le nez sur les seins de Papillon, s’astique la queue de plus belle tout en louchant sur la main de sa femme. Elle se met un doigt dans le cul maintenant, continuant à se branler le clito. Elle halète et se met à jouir brusquement, fortement, sa tête part en arrière pendant que son corps se tend. Devant la jouissance de Papillon, Jean sent la sève monter, puis lui arrose les seins.
- « mmm, j’adore me branler » dit Papillon.
- « Et moi donc, petite coquine. Mais voyons maintenant ce que nous allons faire de ces amis … »
Et ils conviennent que Papillon va d’abord s’occuper de Louis.
Le lendemain matin, Anne décide d’aller faire une promenade. Louis dit qu’il a un peu de travail à faire dans son bureau .Jean propose d’accompagner Anne, Papillon souhaitant rester au calme.
Une fois Jean et Anne partis, Louis s’est installé à son ordinateur. Papillon le laisse quelque temps.
Puis, elle entrouvre la porte très lentement, et aperçoit Louis, les yeux rivés sur son écran, qui semble un peu agité, une main sous le bureau. Elle sourit. Elle frappe à la porte, pour laisser à Louis quelques secondes, puis entre dans le bureau. L’homme a juste eu le temps de changer de page pour afficher un document de sa société. Il est un peu rouge, mais accueille Papillon comme si de rien n’était.
- « Mon pauvre Louis, tu as du boulot même pendant tes vacances, ce n’est pas une vie ! »
- « oh, ce n’est pas grand-chose, juste un rapport à consulter et vérifier mes courriels »
Papillon s’est approchée du bureau, et s’est assise sur le coin, vers Louis. Elle porte une jupe courte, et un chemisier un peu échancré.
- « Quand même, je te trouve courageux » dit-elle. »Mais je ne veux pas te déranger » et l’air de rien elle a écarté un peu les jambes. Louis, un peu en contrebas, doit apercevoir un peu son slip.
- « Tu ne me dérange pas, je finis de lire ce texte » répond Louis, un peu troublé par la vision. Il tente de se concentrer sur l’écran, mais il a été excité et sa queue déforme légèrement son short. Papillon rit intérieurement. Elle lui dit : « Tu sais, c’est vraiment sympa à vous de nous accueillir ainsi, je ne sais comment vous remercier, et toi spécialement qui fait tout pour que nous soyons biens ».
- «Votre présence est un plaisir » répond-il «et j’apprécie beaucoup de vous avoir, et de te voir toujours aussi belle ».
- « Tu me flattes, toi aussi d’ailleurs, tu es bien conservé » sourit-elle. « Et je suis contente d’être là avec toi, j’avais envie de ce moment. C’est quoi ce prospectus là » demande-t-elle, et elle se penche, son chemisier s’écarte, et il aperçoit ses seins découverts par l’échancrure. Louis bande de plus en plus.
- « Oh, rien, une idée de voyage peut-être, j’aime découvrir de nouveaux horizons, voir de belles choses »
- « Je suis sûre que tu aimes aussi les belles images » dit-elle, et d’un geste, elle affiche la page sur l’écran ou apparait une bonne cochonne en train de se faire prendre en levrette par un grand noir.
- « Je sentais bien que tu me cachais quelque chose, petit coquin ! Tu as eu l’air un peu embarrassé quand je suis entré. Et je constate que tu es en forme. C’est le film, ou c’est moi ? »
- Louis éclate de rire : « dis donc, mais c’est privé mon ordinateur ! J’avoue que j’étais excité par ce film, mais ton entrée et ta manière de t’asseoir sur mon bureau n’ont rien fait pour me calmer »
- « Alors je vais te calmer » et elle fait tourner son fauteuil, s’agenouille entre ses jambes, et caresse le membre dur sous le short. Puis elle ouvre la braguette et attrape la queue.
- « mmm, j’avais envie de voir ce que tu cachais là-dessous »
- « Papillon, c’est bon, mais n’oublie pas que nous sommes tous deux avec des conjoints ».
- « Ne t’inquiète pas, Jean et moi sommes très libres, et je ne dirai rien à Anne. Laisse-toi faire » et elle reprend sa fellation, lui prenant la queue à pleine main, enfonçant sa bouche le plus loin possible. Elle commence à baver sur la tige. Louis la regarde, fasciné de voir cette amie, qu’il désirait sans espoir, en train de le sucer.
- « Je suis ta petite secrétaire, je viens soulager mon patron du stress »
Louis tend la main, écarte le chemisier, et palpe les seins de Papillon, qui apprécie cette caresse. Elle lui prend les couilles en main tout en le suçant, et les malaxe lentement.
- « Tu vas me faire gicler si tu continues comme ça, attends un peu » et il la relève, l’assoit sur le bureau. A son tour, il s’agenouille, et va à la découverte de cette intimité offerte, enlève le slip, écarte les cuisses, et va déposer un baiser sur la toison de Papillon. Puis sa langue s’approche, tourne autour du bouton, puis descend, écartant les lèvres, goûtant cette chatte nouvelle pour lui, enfonçant sa langue dans la fente.
De la main droite, il attrape un sein et en pince doucement le téton.
Papillon, qui adore se faire lécher, l’encourage de mots doux.
Elle l’invite à lui lécher l’anus, et il obéit, mettant le bout de sa langue sur l’œillet, élargissant le cercle pour humidifier tout le pourtour. En même temps, il lui insère deux doigts dans la chatte et la branle.
- « Viens, je veux te sentir » dit-elle en se relevant. « Prends-moi en levrette, comme le mec dans ton film »
Elle se retourne, et lui offre son cul. Louis lui parcours la raie avec la bouche, puis se relève, et fais glisser sa queue entre les globes, se délectant de cette vision tant appréciée des hommes.
Enfin, il la pénètre, d’un coup fort, jusqu’au fond.
« Vas-y, défonce moi, j’aime ta force, j’aime être prise ainsi »
Et il la laboure, faisant sortir son gland à chaque fois, pour la pénétrer de nouveau.
Les seins de Papillon écrasés sur le bureau, elle s’écarte les fesses avec les mains, pour lui donner une belle vision de son cul.
Louis s’enfonce, revient, et bientôt la lime à toute vitesse « Cochonne, depuis le temps que je rêve de te prendre, de goûter ton cul, de t’enfoncer ma bite. Tu m’excites depuis toujours, et je me suis branlé souvent en pensant à toi. Et maintenant, tu m’offres ta chatte, mais je vais aussi prendre ton cul ». Et il sort sa queue, la positionne sur l’œillet, et empale Papillon.
« Salaud, c’est trop bon, ta queue est raide comme je l’imaginais, moi aussi, quand je me caressais en t’imaginant me prendre. Ouiii, mmmn vas au fond, j’adore être enculée »
Elle tend ses fesses vers lui, il vient vers elle, et peu à peu ils sentent qu’ils vont jouir.
- « Gicle dans mon cul, je t’en prie, aahhhh, mmmmn, encore, aaahhh, je jouis »
- « hhhaaaannn, voila la sauce ma belle » et il se répand en elle, dans un dernier effort pour atteindre le fond de son cul.
Calmés, ils se regardent avec douceur. Papillon lui dépose un baiser sur la bouche. « Merci, mon ami, voila qui scelle un peu plus notre amitié ! »
- « Mais il ne faut rien dire à Jean et Anne, cela doit rester notre secret »
- « Jean est déjà au courant, il m’a laissée seule avec toi en sachant mes intentions. Quant à ta femme, nous ne lui dirons rien, pour l’instant du moins ! ».
Ils se rajustent, et entendent des pas dans le jardin. Papillon va à la cuisine, et prépare des jus de fruits. Quand jean arrive, il trouve Louis dans le salon, assis dans un canapé, et Papillon sort de la cuisine, un plateau dans les mains. Elle fait un clin d’œil à Jean. « Anne n’est pas là ? » dit-elle ?
- « Non elle avait une course à faire, elle arrive dans un instant. Alors Louis, tu as bien profité de la beauté de ma femme on dirait »
- « Vous êtes incroyables tous les deux ! Oui, et je te remercie de me l’avoir prêtée, je la désirais depuis si longtemps »
- « Tu auras sûrement encore l’occasion de goûter à ses fruits si tu es bien sage ! »
Anne arrive à ce moment-là. Elle voit les autres buvant leur jus de fruit, et en toute simplicité se joint à eux.
- « Nous avons fait une belle balade, qui nous a mis en appétit. J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyés en nous attendant. Qui fait le repas ? »
- « J’y vais » dit Papillon, « Jean, tu m’accompagnes ? Je crois que nos deux amis ont besoin de se requinquer, et nous allons leur montrer ce que nous savons mijoter ».
La journée se passe, tranquille, un sujet chassant l’autre. Au moment de se coucher, Jean ne résiste pas à l’envie d’entendre Papillon lui raconter sa matinée avec Louis. Il se masturbe en l’écoutant décrire crûment leur chevauchée, et finit par se vider les couilles sur les seins de Papillon.
-« Bonne nuit ma douce, demain, je verrai comment m’occuper d’Anne.
-« Mmm, vas-y, et j’ai hâte que nous fassions une partie à quatre. Tu verras, Louis a un beau gourdin, mais toi tu sais si bien me faire jouir ! »
Et ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre……….