L'éducation de Papillon - Episode 17
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L'éducation de Papillon - Episode 17
(Après Douglas, nous nous intéressons aujourd’hui à Camille, la fille d’Anne et
Louis)
Camille avait dit à son frère qu’elle allait passer la soirée chez une de ses copines,
lui laissant le champ libre - qu’il a utilisé comme on le sait fort utilement.
Camille a bientôt 18 ans (pour ceux qui suivent, ne me faites pas remarquer que je
lui ai donné 16 ans précédemment, je m’étais trompé, c’est tout ;-).
Elle n’est cependant pas très en avance scolairement, aussi ses parents l’ont mise en
pension pour être un peu tenue, car en plus les relations à la maison sont difficiles.
Mais à part un caractère un peu entier qui s’exprime avec vigueur en cette fin
d’adolescence, c’est une jeune fille normale.
Elle a les cheveux noirs, des yeux en amande, un visage rond et fin, joli, qui
compense un corps assez rond par un charme certain. Elle a un beau cul large, des
seins un peu petits mais bien fermes et ronds qui pointent gaillardement sous les
chemisiers, et elle a pris l’habitude de se raser la foufoune.
Vous l’avez compris, cette jeune fille aime le sexe, et adore se câliner, seule dans
sa chambre d’internat, en rêvant à celui qui lui offrira un avenir meilleur.
Mais là, elle est en vacances, et elle peut se lâcher un peu. Ses parents l’ont
autorisée à aménager une petite chambre dans la cabane au fond du jardin, et elle y
passe l’essentiel de son temps. Elle aime lire, dessiner, et passe aussi beaucoup de
temps sur internet. Elle a pris l’habitude d’aller sur un site où des histoires
cochonnes sont écrites par des internautes, et elle aime bien tous ces délires qui
sont exprimés, des plus doux et coquins aux plus cochons, vicieux, voire
insupportables de cruauté. En général, quand une histoire lui plait, elle le sent
rapidement entre ses cuisses. Une légère humidité sourd et humecte sa culotte. Alors,
s’installant sur son lit, l’ordinateur à proximité, elle lit le texte tout en
s’insérant quelques doigts dans la moule, et en se frottant énergiquement le pubis et
le clito.
Pendant l’année scolaire, elle est tombée sur un texte qui lui a beaucoup plu. Elle a
même envoyé un message à son auteur, pour lui dire l’état de sa culotte après la
lecture.
Bien sûr, l’auteur lui a répondu, et un échange de dialogues coquins s’est instauré,
fait de partages de leurs situations respectives, mais aussi de textes franchement
érotiques, voire hautement pornographiques, pour leur plaisir à tous deux.
Camille a adoré ces échanges, et l’auteur aussi, visiblement. Ils se sont même branlés
ensemble, virtuellement, par messagerie interposée.
Camille, dans sa cabane au fond du jardin, espère qu’un jour elle pourra le
rencontrer. Mais en attendant, le soleil des vacances lui dore la peau, et elle finit
par l’oublier.
Elle a dit à Douglas qu’elle allait chez une copine…. Et c’est vrai.
Mais elle n’a pas dit que les parents de la copine étaient absents eux-aussi pour le
week-end. Alors les filles se sont concoctées une petite soirée tranquille.
Très vite, le sujet arrive sur le tapis : les garçons.
Pat, la copine de Camille, lui raconte sa rencontre de la veille à la plage. Un beau
mec blond, avec la mèche, aux pectoraux bien apparents, mince, bref le genre qui
énerve les autres garçons qui sentent bien que ce petit con attire les regards des
filles et pas eux.
- Comment, tu as déjà largué Jeff ? dit Camille
- Ouais, trop lourd à force, il voulait toujours m’embrasser dan le cou, il
disait qu’il était amoureux de moi. Tu te rends compte ! Amoureux ! Et puis quoi
encore, s’il pensait me séduire comme ça ! Je ne vais pas me fixer avec un mec à 17
ans non ?
- Ouais, évidemment, quoique moi, j’aimerais bien parfois tomber sur un mec un
peu amoureux à la place de ces jeunes un peu cons qui ne pensent qu’à baiser et ne
nous respectent pas.
- Mais non, faut en profiter, faut faire des expériences, pour savoir ce que
l’on aime vraiment, et plus tard, on se fixera, mais pour l’instant, du fun, du fun,
du fun !
- Ok, mais si j’en trouve un vraiment gentil, même s’il n’est pas extra top avec
la mèche et tout, je le garderai un peu.
- Comme tu veux ! Bon, on mate une vidéo ? Une copine m’a signalé un site de cul
ou les mecs sont bien membrés, ça te dit ?
- Faute d’une vraie bite ce soir, allons voir celles-là !
Et Pat allume l’ordinateur, branché sur le grand écran de la télé, et fait démarrer un
film. Très vite, on voit un beau mec en train de se faire sucer par une blonde à gros
seins. Sa queue à du mal à rentrer dans la bouche de la fille, qu’elle écarte au
maximum pour engloutir le bambou, la bave s’échappant aux coins des lèvres.
Les filles regardent ça en se marrant, tout en buvant leur coca et en grignotant
quelques chips.
- Pas mal cette queue en effet, dit Camille
- J’en ai jamais vu d’aussi belles en vrai répond Pat, et toi ?
- Non, en vrai, jamais, et je ne suis pas sûre que j’apprécierais.
- Et cette cochonne, tu crois qu’elle aime ça, sucer ce chibre monstrueux ?
- Elle à l’air, en tout cas elle se donne du mal. Tiens, maintenant, la voila en
levrette avec le manche dans la chatte. OOh, regarde comme il la défonce, elle crie,
elle n’a pas l’habitude de se prendre un diamètre pareil.
- Et il s’enfonce au fond le mec, il va lui faire exploser la chatte.
- Il paraît que nous sommes faites pour résister aux chocs, mais là, c’est un
vrai choc !
Et elles se marrent, les scènes défilant sous leurs yeux de plus en plus lubriques.
A la fin de la vidéo, Camille propose un jeu :
- Je clique au hasard sur une vidéo et on voit ce que c’est pendant au moins deux
minutes. Si cela nous barbe, tu cliques à nouveau au hasard. Je commence.
Camille clique, et bientôt apparaît une scène tournée dans un château, ou le comte, en
fin de repas, appelle la soubrette pour débarrasser, lui met une main sous la jupe,
puis se fait sucer, avant de la basculer sur la table et de l’enculer direct. Tout
cela pendant que la comtesse, émoustillée, se fait prendre en levrette par le
doberman.
Les filles sont un peu ahuries de la scène avec la comtesse.
- Ca te dirait toi ? glousse Pat
- Pas vraiment, répond Camille, et je te rappelle que nous avons juste un
caniche, et que c’est moins pourvu qu’un doberman. Et elles rient.
Au tour de Pat, qui fait apparaître un club libertin, où très vite des couples se
mêlent, les culs se mêlant les uns aux autres, des queues perforant des chattes, des
bouches se saisissant de bites, tout cela dans un joyeux foutoir ou les cris et les
gémissements peinent à couvrir une musique techno un peu prenante.
Les filles apprécient quelques attributs masculins, mais se lassent vite.
- Trop confus, trop à voir, son à chier, allez, on change dit Pat.
- Tu as raison, mais quand même, toutes ces bites qui défoncent des culs, ça
finit par me faire mouiller ! dit Camille
- Moi aussi, mais voyons la suite.
La scène suivante démarre dans une belle chambre toute blanche, au milieu de laquelle
trône un grand lit, aux draps blancs. Dessus repose une femme magnifique, qui semble
dormir. Elle est nue, sur le dos, et on découvre sa toison taillée impeccablement, et
ses beaux seins qui se soulèvent lentement.
- Oh, belle femme, dit Pat
- Superbe, renchérit Camille
La femme sur l’écran entrouvre un œil, regarde vers la porte, le referme. Sa main
droite posée le long du corps se pose lentement sur son pubis. Elle commence à se
masser doucement, écartant un peu les cuisses pour accéder aux plis de l’aine, de part
et d’autre de sa fente, et elle y fait courir deux doigts écartés.
Les filles sont subjuguées par cette douceur. Visiblement la femme se fait du bien, ce
n’est pas juste du chiqué.
- Je fais pareil, c’est trop beau, dit Camille, et en un instant elle est à
poil, allongée dans son fauteuil, et se caresse comme le modèle.
- Moi aussi, répond Pat, qui se retrouve sur le canapé à se masser aussi.
Et la femme sur l’écran, imitée en tous points par les filles, continue sa lente
masturbation, découvrant son sexe, montrant son intimité, l’explorant. On voit le jus
qui suinte, et les filles aussi ont le minou qui mouille.
Elles se regardent, et regardent l’écran.
- C’est bon hein, lance Pat
- Très, j’adore me branler répond Camille
Sur l’écran, bientôt, apparaît une autre femme, aussi belle que la précédente, qui
s’avance lentement vers le lit.
Elle s’assoit sur un bord, et sa main vient accompagner le mouvement masturbatoire de
l’autre.
Les filles se regardent, l’air hésitant. Un sourire un peu gêné de Pat sur le canapé.
Camille qui lui sourit, embarrassée.
Puis celle-ci se lève du fauteuil, s’approche de Pat.
- On continue à imiter la vidéo, et on fait notre expérience, comme tu disais
tout à l’heure.
- Oui, mais…. Euh,
Et Camille pose sa main sur celle de Pat, et accompagne son mouvement.
- Tu vois, il suffit de regarder, et on fait pareil. Moi j’aime bien te
caresser.
- Mm…moi aussi, je trouve ça bon, mais je ne m’attendais pas à ça, je n’y avais
jamais pensé
- Eh bien, c’est le moment, parce que nous somme en train de faire notre premier
jeu entre fille, Pat chérie !
Comme sur l’écran, Camille approche sa bouche du sein de Pat, et lui avale le téton.
Elle découvre la douceur de l’autre, d’une peau féminine tendue par le désir interdit.
Elles s’embrassent, et ce baiser initiatique pour elles les transperce. Leur corps
entier vibre, le tréfonds de leur ventre se contracte, elles sentent leurs organes
intimes mettre en œuvre des sensations jusque là inconnues.
Et bientôt, elles ne regardent plus l’écran. Elles se regardent et s’explorent.
La main de Pat vient se poser sur le pubis de Camille, et caresse l’absence de poils,
ose s’insinuer entre les jambes.
Camille suce les seins de son amie, elle ne se lasse pas de ces mamelles plus grosses
que les siennes, et elle les admire.
Régulièrement, elles croisent leurs langues, se redonnant le courage et l’autorisation
de continuer leurs attouchements de plus en plus intimes.
Pat a mis sa bouche sur le sexe de Camille, elle essaye d’attraper le clitoris enfoui.
Camille décide de faire de même, et se mettant au dessus de Pat, en un joli tête-
bêche, elle renifle ce premier minou, en apprécie l’odeur, elle qui aime aussi se
sentir les doigts après s’être masturbée, et elle avance sa langue pour goûter son
amie, pour recueillir ce nectar intime qui lui arrive.
Toutes deux absorbées dans leurs ébats, cherchant à donner du plaisir tout en écoutant
leur propre corps se détendre avec une autre, UNE autre, ce petit mot au féminin qui
change tout, qui est un univers en soi, qui est une nouveauté incroyable et si
inattendue pour toutes deux.
Les peaux se couvrent d’eau, elles se lèchent le corps, se buvant, découvrant les
replis où des odeurs musquées les excitent, laissant leurs doigts se perdent dans les
cheveux, la toison de Pat, les orifices qui s’écartent si facilement quand on appuie
un peu dessus, elles n’ont plus de retenue et veulent profiter d’elles aussi loin que
possible.
Pat dit : viens, et elle entraîne Camille dans sa chambre. Elle ouvre son armoire et,
caché sous une pile de pantalons, elle découvre un joli gode, assez large.
- C’est pour mes soirs de solitude. Je vais te donner autant de plaisir que je
m’en donne avec lui.
Elle l’insère dans la chatte de Camille, qui ressent cette queue factice la fendre, et
c’est bon. Elle s’est déjà branlée avec un tel objet, mais voir sa copine agir,
prendre soin de son plaisir, n’avoir qu’à attendre du bien de l’autre, d’une autre,
quelle joie, quelle douceur.
Elle se laisse aller, et ce membre qui la lamine, elle le ressent au fond d’elle, elle
apprécie sa longueur quand il tape le fond de son con. Et Pat qui lui suce le clito
en même temps, aaahhh, délice, ôôôôô délicatesse, c’est tellement délicieux.
Pat est émerveillée aussi de pouvoir donner tant de plaisir à une autre, elle
s’applique, et quand Camille laisse échapper un soupir, elle sourit, et continue,
sachant l’effet que fait son gode pour l’avoir tant utilisé.
Camille jouit, enfin, longuement, un long sifflement, un cri, un souffle, puis
s’apaise.
A mon tour de te faire jouir, mets toi sur le lit, à quatre pattes, je vais te prendre
en levrette avec le gode.
Pat s’agenouille, écarte un peu les jambes.
Camille s’approche. Elle mate les fesses de sa copine, la fourche des jambes, découvre
l’œillet brun qui semble lui faire signe, et surtout, la chatte poilue. Une vision
qu’elle ne connaissait que sur des photos, ou par des contorsions malaisées avec son
miroir. Mais là, c’est du vrai, et elle se découvre très intéressée par cette
anatomie. Sous l’anus pas tout à fait caché par les fesses, Camille détaille la chatte
de Pat : deux grandes lèvres un peu grasses, mais pas grosses, desquelles surgissent
comme une fine liane les petites lèvres, qui se terminent comme une corolle pour
attirer le regard vers l’intérieur.
Camille s’approche, pose un doigt humide sur le petit trou.
- Et là, tu aimes te mettre quelque chose ?
- Mmm, parfois oui, répond Pat, je suis sensible, et j’aime bien aussi quand un
gars un peu entreprenant veut m’enculer.
- Ouh, moi, je suis un peu réticente, j’ai essayé toute seule, mais j’aime pas
trop.
- Tu n’as pas trouvé la personne adéquate, c’est tout, et l’envie qui ira avec.
- Mouais, en tout cas, si toi tu aimes, je vais te mettre un doigt, OK ?
- Vas-y, aujourd’hui, je t’autorise tout pour notre première fois.
Camille perce le muscle de son index. Il s’écarte, elle s’avance, bavant sur le trou,
et bientôt son doigt est totalement entré. De son autre main, elle écarte les chairs
et s’insinue sur le sillon, allant de l’anus au clitoris de Pat.
Celle-ci est complètement mouillée, et elle tend son cul sous les caresses.
- Je t’en supplie, mets-moi le gode, je veux que tu me pénètres à fond.
- OK, dit Camille, le voila.
Mais elle l’enfonce directement dans le cul de Pat qui, surprise, laisse échapper un
cri et veut s’écarter. Camille, s’attendant à un réflexe, lui a maintenu les jambes,
et Pat n’a pu échapper à la pénétration. Camille en profite et lime le cul de Pat.
- Sale chienne, tu m’as fait mal, pourquoi es- tu venue lààààààààààààààà….
Encore, j’aime bien, tu es une vicieuse mais tu sais me faire jouiiiiiiir, ahhhh, oh,
ce gode, je n’avais jamais osé me le mettre là, quelle erreur, tu es une chienne mais
tu as eu raisoooooonnnnnnnn mmmmm, oooooooooooh, plus fort, là, oui,
nnnnnnnnnnnonnnnnnn, mmmmmmerrrrrrrrrdddddddddddeeeeeeee comme tu le fais bien.
- Et ta chatte est trempée, tu sens, j’y ai mis 4 doigts, si tu continue à te
détendre, je vais te fister ma cochonne.
- Ouiiiiiiiiii, vas-y, prend moi dans les deux trous complètement, je n’ai
jamais fait ça avec un garçon, et il faut que ce soit toi qui me prenne ainsi……
- Tu es une vraie salope en fait, je pensais que tu faisais plein de choses aux
garçons, et je vois que tu vas t’intéresser aux filles aussi maintenant, tiens, sens
le membre, je l’enfonce au fond de ton cul, là , oui, je vois bien que tu aimes çà.
- Quelle salope tu fais aussi, je vois bien que ça te plait de baiser une fille,
toi aussi.
- C’est vrai, je découvre avec toi, et la vision de ton cul offert à ma
lubricité n’y est pas pour rien. Demain, j’irai nous acheter un gode ceinture, et je
te promets de nouvelles séances toutes les deux.
Camille enfonce sa main, le gode, se déchaîne sur le cul de Pat, et celle-ci part dans
un grand cri de jouissance, inondant Camille d’un grand jet de mouille.
- Et en plus, tu es une femme fontaine ! Quelle soirée.
- Je n’avais jamais autant joui, tu me fais découvrir que je suis fontaine !
- Et moi, je reviendrai boire à ta fontaine, tu peux en être sûre.
Et, se lovant l’une contre l’autre, s’embrassant, se caressant, les deux filles
disparaissent sous la couette, puis s’endorment, apaisées, contentes de leur
découverte mutuelle, et encore étonnées qu’elle ait été si naturelle et si coquine à
la fois.
Louis)
Camille avait dit à son frère qu’elle allait passer la soirée chez une de ses copines,
lui laissant le champ libre - qu’il a utilisé comme on le sait fort utilement.
Camille a bientôt 18 ans (pour ceux qui suivent, ne me faites pas remarquer que je
lui ai donné 16 ans précédemment, je m’étais trompé, c’est tout ;-).
Elle n’est cependant pas très en avance scolairement, aussi ses parents l’ont mise en
pension pour être un peu tenue, car en plus les relations à la maison sont difficiles.
Mais à part un caractère un peu entier qui s’exprime avec vigueur en cette fin
d’adolescence, c’est une jeune fille normale.
Elle a les cheveux noirs, des yeux en amande, un visage rond et fin, joli, qui
compense un corps assez rond par un charme certain. Elle a un beau cul large, des
seins un peu petits mais bien fermes et ronds qui pointent gaillardement sous les
chemisiers, et elle a pris l’habitude de se raser la foufoune.
Vous l’avez compris, cette jeune fille aime le sexe, et adore se câliner, seule dans
sa chambre d’internat, en rêvant à celui qui lui offrira un avenir meilleur.
Mais là, elle est en vacances, et elle peut se lâcher un peu. Ses parents l’ont
autorisée à aménager une petite chambre dans la cabane au fond du jardin, et elle y
passe l’essentiel de son temps. Elle aime lire, dessiner, et passe aussi beaucoup de
temps sur internet. Elle a pris l’habitude d’aller sur un site où des histoires
cochonnes sont écrites par des internautes, et elle aime bien tous ces délires qui
sont exprimés, des plus doux et coquins aux plus cochons, vicieux, voire
insupportables de cruauté. En général, quand une histoire lui plait, elle le sent
rapidement entre ses cuisses. Une légère humidité sourd et humecte sa culotte. Alors,
s’installant sur son lit, l’ordinateur à proximité, elle lit le texte tout en
s’insérant quelques doigts dans la moule, et en se frottant énergiquement le pubis et
le clito.
Pendant l’année scolaire, elle est tombée sur un texte qui lui a beaucoup plu. Elle a
même envoyé un message à son auteur, pour lui dire l’état de sa culotte après la
lecture.
Bien sûr, l’auteur lui a répondu, et un échange de dialogues coquins s’est instauré,
fait de partages de leurs situations respectives, mais aussi de textes franchement
érotiques, voire hautement pornographiques, pour leur plaisir à tous deux.
Camille a adoré ces échanges, et l’auteur aussi, visiblement. Ils se sont même branlés
ensemble, virtuellement, par messagerie interposée.
Camille, dans sa cabane au fond du jardin, espère qu’un jour elle pourra le
rencontrer. Mais en attendant, le soleil des vacances lui dore la peau, et elle finit
par l’oublier.
Elle a dit à Douglas qu’elle allait chez une copine…. Et c’est vrai.
Mais elle n’a pas dit que les parents de la copine étaient absents eux-aussi pour le
week-end. Alors les filles se sont concoctées une petite soirée tranquille.
Très vite, le sujet arrive sur le tapis : les garçons.
Pat, la copine de Camille, lui raconte sa rencontre de la veille à la plage. Un beau
mec blond, avec la mèche, aux pectoraux bien apparents, mince, bref le genre qui
énerve les autres garçons qui sentent bien que ce petit con attire les regards des
filles et pas eux.
- Comment, tu as déjà largué Jeff ? dit Camille
- Ouais, trop lourd à force, il voulait toujours m’embrasser dan le cou, il
disait qu’il était amoureux de moi. Tu te rends compte ! Amoureux ! Et puis quoi
encore, s’il pensait me séduire comme ça ! Je ne vais pas me fixer avec un mec à 17
ans non ?
- Ouais, évidemment, quoique moi, j’aimerais bien parfois tomber sur un mec un
peu amoureux à la place de ces jeunes un peu cons qui ne pensent qu’à baiser et ne
nous respectent pas.
- Mais non, faut en profiter, faut faire des expériences, pour savoir ce que
l’on aime vraiment, et plus tard, on se fixera, mais pour l’instant, du fun, du fun,
du fun !
- Ok, mais si j’en trouve un vraiment gentil, même s’il n’est pas extra top avec
la mèche et tout, je le garderai un peu.
- Comme tu veux ! Bon, on mate une vidéo ? Une copine m’a signalé un site de cul
ou les mecs sont bien membrés, ça te dit ?
- Faute d’une vraie bite ce soir, allons voir celles-là !
Et Pat allume l’ordinateur, branché sur le grand écran de la télé, et fait démarrer un
film. Très vite, on voit un beau mec en train de se faire sucer par une blonde à gros
seins. Sa queue à du mal à rentrer dans la bouche de la fille, qu’elle écarte au
maximum pour engloutir le bambou, la bave s’échappant aux coins des lèvres.
Les filles regardent ça en se marrant, tout en buvant leur coca et en grignotant
quelques chips.
- Pas mal cette queue en effet, dit Camille
- J’en ai jamais vu d’aussi belles en vrai répond Pat, et toi ?
- Non, en vrai, jamais, et je ne suis pas sûre que j’apprécierais.
- Et cette cochonne, tu crois qu’elle aime ça, sucer ce chibre monstrueux ?
- Elle à l’air, en tout cas elle se donne du mal. Tiens, maintenant, la voila en
levrette avec le manche dans la chatte. OOh, regarde comme il la défonce, elle crie,
elle n’a pas l’habitude de se prendre un diamètre pareil.
- Et il s’enfonce au fond le mec, il va lui faire exploser la chatte.
- Il paraît que nous sommes faites pour résister aux chocs, mais là, c’est un
vrai choc !
Et elles se marrent, les scènes défilant sous leurs yeux de plus en plus lubriques.
A la fin de la vidéo, Camille propose un jeu :
- Je clique au hasard sur une vidéo et on voit ce que c’est pendant au moins deux
minutes. Si cela nous barbe, tu cliques à nouveau au hasard. Je commence.
Camille clique, et bientôt apparaît une scène tournée dans un château, ou le comte, en
fin de repas, appelle la soubrette pour débarrasser, lui met une main sous la jupe,
puis se fait sucer, avant de la basculer sur la table et de l’enculer direct. Tout
cela pendant que la comtesse, émoustillée, se fait prendre en levrette par le
doberman.
Les filles sont un peu ahuries de la scène avec la comtesse.
- Ca te dirait toi ? glousse Pat
- Pas vraiment, répond Camille, et je te rappelle que nous avons juste un
caniche, et que c’est moins pourvu qu’un doberman. Et elles rient.
Au tour de Pat, qui fait apparaître un club libertin, où très vite des couples se
mêlent, les culs se mêlant les uns aux autres, des queues perforant des chattes, des
bouches se saisissant de bites, tout cela dans un joyeux foutoir ou les cris et les
gémissements peinent à couvrir une musique techno un peu prenante.
Les filles apprécient quelques attributs masculins, mais se lassent vite.
- Trop confus, trop à voir, son à chier, allez, on change dit Pat.
- Tu as raison, mais quand même, toutes ces bites qui défoncent des culs, ça
finit par me faire mouiller ! dit Camille
- Moi aussi, mais voyons la suite.
La scène suivante démarre dans une belle chambre toute blanche, au milieu de laquelle
trône un grand lit, aux draps blancs. Dessus repose une femme magnifique, qui semble
dormir. Elle est nue, sur le dos, et on découvre sa toison taillée impeccablement, et
ses beaux seins qui se soulèvent lentement.
- Oh, belle femme, dit Pat
- Superbe, renchérit Camille
La femme sur l’écran entrouvre un œil, regarde vers la porte, le referme. Sa main
droite posée le long du corps se pose lentement sur son pubis. Elle commence à se
masser doucement, écartant un peu les cuisses pour accéder aux plis de l’aine, de part
et d’autre de sa fente, et elle y fait courir deux doigts écartés.
Les filles sont subjuguées par cette douceur. Visiblement la femme se fait du bien, ce
n’est pas juste du chiqué.
- Je fais pareil, c’est trop beau, dit Camille, et en un instant elle est à
poil, allongée dans son fauteuil, et se caresse comme le modèle.
- Moi aussi, répond Pat, qui se retrouve sur le canapé à se masser aussi.
Et la femme sur l’écran, imitée en tous points par les filles, continue sa lente
masturbation, découvrant son sexe, montrant son intimité, l’explorant. On voit le jus
qui suinte, et les filles aussi ont le minou qui mouille.
Elles se regardent, et regardent l’écran.
- C’est bon hein, lance Pat
- Très, j’adore me branler répond Camille
Sur l’écran, bientôt, apparaît une autre femme, aussi belle que la précédente, qui
s’avance lentement vers le lit.
Elle s’assoit sur un bord, et sa main vient accompagner le mouvement masturbatoire de
l’autre.
Les filles se regardent, l’air hésitant. Un sourire un peu gêné de Pat sur le canapé.
Camille qui lui sourit, embarrassée.
Puis celle-ci se lève du fauteuil, s’approche de Pat.
- On continue à imiter la vidéo, et on fait notre expérience, comme tu disais
tout à l’heure.
- Oui, mais…. Euh,
Et Camille pose sa main sur celle de Pat, et accompagne son mouvement.
- Tu vois, il suffit de regarder, et on fait pareil. Moi j’aime bien te
caresser.
- Mm…moi aussi, je trouve ça bon, mais je ne m’attendais pas à ça, je n’y avais
jamais pensé
- Eh bien, c’est le moment, parce que nous somme en train de faire notre premier
jeu entre fille, Pat chérie !
Comme sur l’écran, Camille approche sa bouche du sein de Pat, et lui avale le téton.
Elle découvre la douceur de l’autre, d’une peau féminine tendue par le désir interdit.
Elles s’embrassent, et ce baiser initiatique pour elles les transperce. Leur corps
entier vibre, le tréfonds de leur ventre se contracte, elles sentent leurs organes
intimes mettre en œuvre des sensations jusque là inconnues.
Et bientôt, elles ne regardent plus l’écran. Elles se regardent et s’explorent.
La main de Pat vient se poser sur le pubis de Camille, et caresse l’absence de poils,
ose s’insinuer entre les jambes.
Camille suce les seins de son amie, elle ne se lasse pas de ces mamelles plus grosses
que les siennes, et elle les admire.
Régulièrement, elles croisent leurs langues, se redonnant le courage et l’autorisation
de continuer leurs attouchements de plus en plus intimes.
Pat a mis sa bouche sur le sexe de Camille, elle essaye d’attraper le clitoris enfoui.
Camille décide de faire de même, et se mettant au dessus de Pat, en un joli tête-
bêche, elle renifle ce premier minou, en apprécie l’odeur, elle qui aime aussi se
sentir les doigts après s’être masturbée, et elle avance sa langue pour goûter son
amie, pour recueillir ce nectar intime qui lui arrive.
Toutes deux absorbées dans leurs ébats, cherchant à donner du plaisir tout en écoutant
leur propre corps se détendre avec une autre, UNE autre, ce petit mot au féminin qui
change tout, qui est un univers en soi, qui est une nouveauté incroyable et si
inattendue pour toutes deux.
Les peaux se couvrent d’eau, elles se lèchent le corps, se buvant, découvrant les
replis où des odeurs musquées les excitent, laissant leurs doigts se perdent dans les
cheveux, la toison de Pat, les orifices qui s’écartent si facilement quand on appuie
un peu dessus, elles n’ont plus de retenue et veulent profiter d’elles aussi loin que
possible.
Pat dit : viens, et elle entraîne Camille dans sa chambre. Elle ouvre son armoire et,
caché sous une pile de pantalons, elle découvre un joli gode, assez large.
- C’est pour mes soirs de solitude. Je vais te donner autant de plaisir que je
m’en donne avec lui.
Elle l’insère dans la chatte de Camille, qui ressent cette queue factice la fendre, et
c’est bon. Elle s’est déjà branlée avec un tel objet, mais voir sa copine agir,
prendre soin de son plaisir, n’avoir qu’à attendre du bien de l’autre, d’une autre,
quelle joie, quelle douceur.
Elle se laisse aller, et ce membre qui la lamine, elle le ressent au fond d’elle, elle
apprécie sa longueur quand il tape le fond de son con. Et Pat qui lui suce le clito
en même temps, aaahhh, délice, ôôôôô délicatesse, c’est tellement délicieux.
Pat est émerveillée aussi de pouvoir donner tant de plaisir à une autre, elle
s’applique, et quand Camille laisse échapper un soupir, elle sourit, et continue,
sachant l’effet que fait son gode pour l’avoir tant utilisé.
Camille jouit, enfin, longuement, un long sifflement, un cri, un souffle, puis
s’apaise.
A mon tour de te faire jouir, mets toi sur le lit, à quatre pattes, je vais te prendre
en levrette avec le gode.
Pat s’agenouille, écarte un peu les jambes.
Camille s’approche. Elle mate les fesses de sa copine, la fourche des jambes, découvre
l’œillet brun qui semble lui faire signe, et surtout, la chatte poilue. Une vision
qu’elle ne connaissait que sur des photos, ou par des contorsions malaisées avec son
miroir. Mais là, c’est du vrai, et elle se découvre très intéressée par cette
anatomie. Sous l’anus pas tout à fait caché par les fesses, Camille détaille la chatte
de Pat : deux grandes lèvres un peu grasses, mais pas grosses, desquelles surgissent
comme une fine liane les petites lèvres, qui se terminent comme une corolle pour
attirer le regard vers l’intérieur.
Camille s’approche, pose un doigt humide sur le petit trou.
- Et là, tu aimes te mettre quelque chose ?
- Mmm, parfois oui, répond Pat, je suis sensible, et j’aime bien aussi quand un
gars un peu entreprenant veut m’enculer.
- Ouh, moi, je suis un peu réticente, j’ai essayé toute seule, mais j’aime pas
trop.
- Tu n’as pas trouvé la personne adéquate, c’est tout, et l’envie qui ira avec.
- Mouais, en tout cas, si toi tu aimes, je vais te mettre un doigt, OK ?
- Vas-y, aujourd’hui, je t’autorise tout pour notre première fois.
Camille perce le muscle de son index. Il s’écarte, elle s’avance, bavant sur le trou,
et bientôt son doigt est totalement entré. De son autre main, elle écarte les chairs
et s’insinue sur le sillon, allant de l’anus au clitoris de Pat.
Celle-ci est complètement mouillée, et elle tend son cul sous les caresses.
- Je t’en supplie, mets-moi le gode, je veux que tu me pénètres à fond.
- OK, dit Camille, le voila.
Mais elle l’enfonce directement dans le cul de Pat qui, surprise, laisse échapper un
cri et veut s’écarter. Camille, s’attendant à un réflexe, lui a maintenu les jambes,
et Pat n’a pu échapper à la pénétration. Camille en profite et lime le cul de Pat.
- Sale chienne, tu m’as fait mal, pourquoi es- tu venue lààààààààààààààà….
Encore, j’aime bien, tu es une vicieuse mais tu sais me faire jouiiiiiiir, ahhhh, oh,
ce gode, je n’avais jamais osé me le mettre là, quelle erreur, tu es une chienne mais
tu as eu raisoooooonnnnnnnn mmmmm, oooooooooooh, plus fort, là, oui,
nnnnnnnnnnnonnnnnnn, mmmmmmerrrrrrrrrdddddddddddeeeeeeee comme tu le fais bien.
- Et ta chatte est trempée, tu sens, j’y ai mis 4 doigts, si tu continue à te
détendre, je vais te fister ma cochonne.
- Ouiiiiiiiiii, vas-y, prend moi dans les deux trous complètement, je n’ai
jamais fait ça avec un garçon, et il faut que ce soit toi qui me prenne ainsi……
- Tu es une vraie salope en fait, je pensais que tu faisais plein de choses aux
garçons, et je vois que tu vas t’intéresser aux filles aussi maintenant, tiens, sens
le membre, je l’enfonce au fond de ton cul, là , oui, je vois bien que tu aimes çà.
- Quelle salope tu fais aussi, je vois bien que ça te plait de baiser une fille,
toi aussi.
- C’est vrai, je découvre avec toi, et la vision de ton cul offert à ma
lubricité n’y est pas pour rien. Demain, j’irai nous acheter un gode ceinture, et je
te promets de nouvelles séances toutes les deux.
Camille enfonce sa main, le gode, se déchaîne sur le cul de Pat, et celle-ci part dans
un grand cri de jouissance, inondant Camille d’un grand jet de mouille.
- Et en plus, tu es une femme fontaine ! Quelle soirée.
- Je n’avais jamais autant joui, tu me fais découvrir que je suis fontaine !
- Et moi, je reviendrai boire à ta fontaine, tu peux en être sûre.
Et, se lovant l’une contre l’autre, s’embrassant, se caressant, les deux filles
disparaissent sous la couette, puis s’endorment, apaisées, contentes de leur
découverte mutuelle, et encore étonnées qu’elle ait été si naturelle et si coquine à
la fois.
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