L'éducation de Papillon - Episode 19
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2013 dans la catégorie Plus on est
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L'éducation de Papillon - Episode 19
(Pardon, amies lectrices fan de Papillon, j’ai été un peu long à vous apporter la suite. Encouragez-moi, dites-moi ce qui vous plait chez Elle, c’est la meilleure façon de m’inciter à prendre le temps de l’écriture)
Les quatre amis, donc, se reposent. Chaque couple est dans sa chambre, reprenant des forces après l’escapade à la plage du matin. Puis ils préparent le repas.
Vers 13h, la sonnette retentit. Chacun arrive dans le salon, et Anne va ouvrir le portillon sur le jardin pour accueillir les jeunes invités.
Les deux garçons rencontrés le matin se sont habillés simplement, d’un pantalon de toile et d’une chemise blanche.
Les deux filles, qu’Anne découvre, sont très différentes.
La première, Katia, est une blonde pulpeuse, avec de belles rondeurs, des seins énormes, un fessier mahousse, et un minois de toute beauté. De son visage poupin, avec un petit nez, ce sont les yeux, d’un bleu azur, qui attirent de suite l’attention. Et son sourire, bordé de lèvres charnues qui laissent deviner une gourmande des plaisirs de la vie.
Elle est habillée d’une robe ample qui cache un peu ses formes rebondies, très seyante.
La deuxième, Ginger, est une rousse fine et déliée, aux formes harmonieuses. De petits seins pointent sous son chemisier, sa jupe courte laisse apparaître de longues jambes. Son visage est plus quelconque, mais néanmoins plein de charme. Sa longue chevelure rousse lui tombant dans le dos lui donne son caractère.
Les garçons, Sam et Lucien, tiennent chacun la main de leur copine. Sam, le plus costaud des deux, est avec Katia, Lucien avec Ginger.
Anne les accueille
- C’est gentil de vous joindre à nous pour le déjeuner. Vos amis ont dû vous dire que nous avions sympathisé à la plage. Nous avons eu envie de mieux les connaître, et de vous rencontrer toutes les deux également.
- Merci de cette invitation, répond Katia. En effet, les garçons nous ont dit que vous aviez eu une conversation sympathique. Et c’est tellement agréable de rencontrer de nouvelles personnes.
- Entrez, ne restez pas là, je vous accompagne pour vous présenter.
Arrivant dans le salon, Papillon s’avance et va saluer les arrivants, puis Jean et Louis également. Les présentations faites, et Anne invite chacun à s’asseoir autour de la table ronde, intercalant garçons et filles l’air de rien, en prévision de la suite. Elle met les invitées à côté de leurs amis, Jean à côté de Papillon et elle à côté de Louis.
Mais elle a pris soin que Papillon soit à côté de Sam, et Louis à côté de Ginger.
- Nous avons pensé que par cette chaleur, des salades fraîches étaient le plus indiqué. Mais il y aura aussi des gourmandises ensuite, sourit Papillon, qui a du mal à réfréner son envie de sauter sur la queue de Sam qu’elle n’a pas goûtée ce matin.
- Cela à l’air succulent, dit Ginger, dont l’origine irlandaise ne fait pas de doute, son accent la trahissant.
- Vous êtes de quel coin d’Irlande, demande Jean galamment ?
- De la région de Cork, répond-elle. J’adore ma région et la mer pas loin, et je retrouve un peu de mon pays dans les paysages de Bretagne.
La conversation est lancée, et tout en commençant à picorer les plats, chacun raconte son histoire, sa vie, ses anecdotes. L’ambiance est détendue, et le rosé frais rend les paroles de plus en plus libres.
Les regards se croisent, les jeunes hommes dévorent Anne et Papillon des yeux, et Jean et Louis ne ratent pas une occasion de mater dans les corsages des invitées, et de les complimenter sur leur beauté.
Les filles se détendent complètement, et des rires fusent, des sourires de connivence apparaissent.
Papillon va chercher le dessert, et rapporte des fruits de saison découpés, et de la crème chantilly.
- J’aime beaucoup la chantilly, dit-elle, son goût vient rehausser le sucre des fruits. De tous les fruits, glousse-t-elle.
Personne ne relève, mais tous les convives, sauf Katia et Ginger, ont compris l’allusion. Mais elles sentent que le climat évolue, elle
Tout en mangeant, Jean commence à caresser la cuisse de Papillon, Louis celle d’Anne.
- Il fait très chaud non ? dit Papillon, et elle entrouvre son corsage, laissant apparaître sa poitrine galbée.
- Oui, chérie, il fait vraiment chaud, tu as raison, dit Jean. Je vais te rafraîchir.
Il prend la bouteille d’eau, en met un peu dans sa main et asperge le visage de Papillon. Une partie coule entre les seins de sa femme, mouillant le chemisier.
- Oh, c’est frais, dit-elle, merci ! Et elle l’embrasse, sur la bouche, goulûment.
Jean entoure les épaules de Papillon et ils commencent à se caresser le visage et le torse.
Les autres les regardent, amusés.
- On dirait qu’ils s’aiment beaucoup ! dit Katia
- Moi aussi je t’aime, Katia, dit Sam, et il l’enserre à son tour, l’embrassant tendrement
- Et moi, Lucien, je t’aime aussi, dit Ginger, prise au jeu, et elle enlace son ami.
- Bon, alors, nous aussi on s’aime dit Louis, et il se penche vers Anne.
Les quatre couples s’embrassent, chacun dans sa bulle.
Mais Anne et Papillon, rapidement, ont commencé à caresser les pantalons de leurs hommes, et des formes raides tendent le tissu.
Ginger est la première à s’apercevoir que Louis à sorti sa queue du pantalon pour qu’Anne le branle.
Elle est surprise, ne s’attendant pas à ce que cela dérape, et elle se demande s’il ne faut pas se sauver.
Mais Lucien la retient, la caressant de plus en plus sensuellement, et cela l’excite.
Et puis, ce Louis, il a été vraiment sympa pendant le repas, et elle trouve que sa queue est plutôt attirante.
Jean, lui, a ouvert le chemisier de Papillon et lui dévore les seins.
Katia, elle aussi, sous l’effet du vin, se laisse faire par Sam, et quand elle sent ses doigts passer sous sa robe et atteindre sa culotte, elle ne résiste pas, et ouvre largement ses jambes pour lui laisser l’accès facile.
Anne suce Louis maintenant, assise sur sa chaise, penchée de côté.
Katia a sorti le vit de Sam du pantalon et le caresse.
A un moment où la caresse de Sam est plus forte, elle passe ses deux mains dans ses cheveux, s’étirant en arrière.
Quand elle revient poser sa main sur le membre de Sam, elle y trouve la main de Papillon.
Elle la regarde, un peu interloquée.
- Tu me la prête ? demande Papillon, elle est si belle et désirable. Et puis, ici, nous partageons tout, les repas, les discussions… et les amants. Regarde, Jean, mon mari, a déjà mis un doigt dans le sexe d’Anne.
Katia et Ginger se regardent, regardent leurs copains, sourient, et Katia lance
- Je vois, c’était un traquenard. Et vous deux, petits salopards, vous ne nous avez rien dit. Je vois bien que vous étiez au courant, et je ne veux pas imaginer ce que vous avez fait ce matin à la plage.
- Oh, it’s so exciting lance Ginger, may i suck your dick Louis ?
- Of course Milady, ma femme va te laisser la place.
Anne se retire, sourit à Ginger et se tourne vers Jean, qui a sorti sa queue entretemps et qu’elle embouche aussitôt.
Katia veut se lever, elle n’ose pas encore s’occuper de Lucien, qui est l’ami de Ginger, mais celle-ci lui dit :
- Katia, si nous partageons tout ici, alors je te prête mon boy-friend. J’ai bien vue qu’il te plaisait depuis trois semaines que nous traînons ensemble. And me, je batifolerais bien avec ton Sam.
- Oh ma chérie, tu avais remarqué ? Alors je me lance. Et je te prête Sam.
Et elle enlève carrément le pantalon et le caleçon de Lucien, faisant apparaître son superbe membre. Elle se penche, mets ses lèvres sur le gland, et enfourne l’engin lentement, sa bouche avançant sur la tige en douceur, l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge.
Lucien gémit sous la caresse. De ses mains, il ouvre le chemisier de Ginger et deux seins ronds apparaissent, provoquant des compliments appuyés de Louis qui se met à les caresser avec un tendre empressement.
Peu à peu, le rythme se prend, chaque fille suçant tour à tout son voisin de droite puis de gauche, les garçons en profitant pour masser les clitoris et les seins de celle qui ne les suce pas.
Les vêtements se retrouvent tous par terre au bout d’un quart d’heure, et les cris, les soupirs, les gémissements multiples se croisent en une partition érotique.
Papillon est la première à se lever.
- Bon, moi j’ai envie de plus ! Qui m’aide à débarrasser la table ?
Tous se lèvent en riant, et en un tournemain, la table est vide et propre. Seule la crème chantilly est restée à
proximité, à la demande de Papillon.
- Les filles, je propose que nous prenions le temps d’apprécier ces messieurs. Faites comme moi.
Et après avoir mis un molleton doux sur la table, elle s’y met sur le dos, relève ses jambes, ses fesses au bord du plateau. Les autres filles l’imitent.
- Messieurs, en dessert, vous avez le droit de nous brouter le minou. Que chacun commence par sa chacune, puis quand je donnerai le signal, vous irez prendre le minou à votre droite.
Les hommes s’agenouillent devant les chattes offertes, et chacun s’applique à donner du plaisir à sa partenaire.
Sam, on le voit, à l’habitude des lèvres très charnue de Katia. Il enfonce son nez au plus profond des chairs pour atteindre le clitoris enfoui. Ses bruits de succion enchantent les autres, tout concentrés qu’ils soient à lécher la fente devant eux.
Anne a étendu ses bras de chaque côté, et elle caresse les seins de Papillon et de Ginger.
Au début, celle-ci a été étonnée, et a même eu un petit mouvement de recul, mais Anne lui a chuchoté.
- Ginger, ici, c’est la maison de tous les plaisirs, tu n’es obligée de rien, mais tu peux essayer tout.
- Mais je n’ai jamais été touché par une fille, répond l’irlandaise.
- Il faut commencer un jour. Regarde ton amie Katia à côté de toi, n’as-tu jamais eu envie de toucher ses énormes seins qui nous rendent un peu jalouses parfois ?
- Oh yes, c’est vrai, elle a de si belles mamelles.
Et Ginger, regardant Katia pour quêter son approbation, avance sa main vers la poitrine généreuse de son amie, et pour la première fois de sa vie, touche les seins d’une autre.
- Tu sais, Ginger, c’est la première fois pour moi aussi, dit Katia, mais je suis heureuse que ce soit avec toi. J’ai envie de découvrir cela, ces caresses féminines. Et on dit que nous savons bien mieux que les garçons nous donner du plaisir.
A ce moment là, Sam lui aspire le clitoris fortement, faisant crier Katia de joie.
- Ah, oui, les filles savent se donner du plaisir, mais on dirait que tu n’es pas insensible aux garçons !
- Jaloux, tu me fais jouir merveilleusement, mais laisse moi aussi apprécier ce que va me donner Ginger.
- Je suis d’accord, ma douce, et d’ailleurs, cela va m’exciter encore plus !
- Les garçons, il est temps de changer de chatte. Attention, pas le droit d’y mettre les doigts pour le moment.
Et chacun d’enfouir son visage entre les nouvelles cuisses devant lui, de découvrir un nouvel abricot mouillé, de chercher ses failles, ses recoins, de repérer par des coups de langue et de lèvres les mouvements qui font le plus réagir leur partenaire.
- Mmm, ce Jean lèche divinement dit Katia.
- Et ton Sam a la langue bien longue dit Ginger
- Lucien sait bien y faire aussi, dit Anne
- Quant à Louis, ses caresses m’enchantent, dit Papillon, mais je le savais déjà !
Et toutes éclatent de rire, tout en caressant les seins de leurs voisines.
- Changement !, lance Papillon au bout d’un moment.
Sam découvre la vulve d’Anne et son odeur l’enivre.
Lucien s’attaque à Papillon, et, en souvenir du matin, lui écarte les jambes pour accéder à son anus.
- Oh, le coquin, il me lèche le cul !
- Tu as dit pas les doigts, tu n’as pas dit pas le cul ! répond Lucien.
- Il me donne des idées, admet Jean, qui explore l’œillet de Ginger.
- My god, j’adore ça dit celle-ci
Louis est enfoui à son tour dans les méandres de la chatte de Katia, mais il écarte les fesses rebondies et parvient à son petit trou pour lui donner sa langue. Il a un peu de mal à respirer, et doit ressortir de temps en temps pour reprendre son souffle.
- Quel cul tu as Katia, c’est un univers à découvrir, je t’adore.
- Je sais, seuls mes meilleurs amants savent trouver le chemin dans mes plis. Je suis un peu grasse, je le sais, mais j’ai pu constater que les hommes aiment aussi les rondes !
- Tu es magnifique, et la diversité des corps féminins fait le bonheur des hommes.
- On change encore, gémit Papillon qui regrette déjà la langue de Lucien qui pénétrait son antre. Et cette fois, je veux que vous nous fassiez jouir.
Jean a rejoint Anne, et il sait comment la faire jouir.
Louis découvre Ginger, et son odeur de rousse qui s’exhale de plus en plus depuis le début de la ronde.
Lucien s’élance à l’assaut de Katia, heureux de pouvoir mesurer sa capacité à l’apnée en milieu humide.
Et Sam se retrouve entre les pattes de Papillon, qui lui offre son sexe dégoulinant.
Chaque homme déploie ses trésors de douceur pour emmener sa partenaire au plaisir.
Une langue écarte une fente, et pénètre dans le vagin.
Une autre lèche un anus, puis remonte vers le clitoris et passant sur le côté des lèvres, puis redescend.
Une autre se concentre sur un clitoris, tourne autour, l’aspire, le relâche, l’enveloppe, le suce.
La dernière tente de pénétrer un anus peu habitué, mais parvient à s’insinuer, le relâchement de la belle finissant par ouvrir la voie.
Les seins sont palpés entre filles, les tétons titillés, les ventres caressés, les pubis approchés.
Ginger est la première à crier, elle pince les seins de Katia et Anne au moment ou elle jouit, et cela entraîne les deux autres dont les corps, à leur tour, se tendent pour accueillir la vague de la jouissance.
Puis Papillon enfin lâche un râle de joie.
Les hommes se relèvent, se regardent, fiers d’avoir su faire jouir leurs amies en même temps.
- Bon, les gars, il est temps de prendre les commandes, dit Louis ; Je vois que vous êtes tous en forme, alors pénétrez moi ces femelles en rut qui n’attendent qu’un bon vit dans leur con.
Et d’un même élan, les membres dressés s’enfoncent dans les vulves.
Des grognements de plaisir montent bientôt.
A suivre……
Les quatre amis, donc, se reposent. Chaque couple est dans sa chambre, reprenant des forces après l’escapade à la plage du matin. Puis ils préparent le repas.
Vers 13h, la sonnette retentit. Chacun arrive dans le salon, et Anne va ouvrir le portillon sur le jardin pour accueillir les jeunes invités.
Les deux garçons rencontrés le matin se sont habillés simplement, d’un pantalon de toile et d’une chemise blanche.
Les deux filles, qu’Anne découvre, sont très différentes.
La première, Katia, est une blonde pulpeuse, avec de belles rondeurs, des seins énormes, un fessier mahousse, et un minois de toute beauté. De son visage poupin, avec un petit nez, ce sont les yeux, d’un bleu azur, qui attirent de suite l’attention. Et son sourire, bordé de lèvres charnues qui laissent deviner une gourmande des plaisirs de la vie.
Elle est habillée d’une robe ample qui cache un peu ses formes rebondies, très seyante.
La deuxième, Ginger, est une rousse fine et déliée, aux formes harmonieuses. De petits seins pointent sous son chemisier, sa jupe courte laisse apparaître de longues jambes. Son visage est plus quelconque, mais néanmoins plein de charme. Sa longue chevelure rousse lui tombant dans le dos lui donne son caractère.
Les garçons, Sam et Lucien, tiennent chacun la main de leur copine. Sam, le plus costaud des deux, est avec Katia, Lucien avec Ginger.
Anne les accueille
- C’est gentil de vous joindre à nous pour le déjeuner. Vos amis ont dû vous dire que nous avions sympathisé à la plage. Nous avons eu envie de mieux les connaître, et de vous rencontrer toutes les deux également.
- Merci de cette invitation, répond Katia. En effet, les garçons nous ont dit que vous aviez eu une conversation sympathique. Et c’est tellement agréable de rencontrer de nouvelles personnes.
- Entrez, ne restez pas là, je vous accompagne pour vous présenter.
Arrivant dans le salon, Papillon s’avance et va saluer les arrivants, puis Jean et Louis également. Les présentations faites, et Anne invite chacun à s’asseoir autour de la table ronde, intercalant garçons et filles l’air de rien, en prévision de la suite. Elle met les invitées à côté de leurs amis, Jean à côté de Papillon et elle à côté de Louis.
Mais elle a pris soin que Papillon soit à côté de Sam, et Louis à côté de Ginger.
- Nous avons pensé que par cette chaleur, des salades fraîches étaient le plus indiqué. Mais il y aura aussi des gourmandises ensuite, sourit Papillon, qui a du mal à réfréner son envie de sauter sur la queue de Sam qu’elle n’a pas goûtée ce matin.
- Cela à l’air succulent, dit Ginger, dont l’origine irlandaise ne fait pas de doute, son accent la trahissant.
- Vous êtes de quel coin d’Irlande, demande Jean galamment ?
- De la région de Cork, répond-elle. J’adore ma région et la mer pas loin, et je retrouve un peu de mon pays dans les paysages de Bretagne.
La conversation est lancée, et tout en commençant à picorer les plats, chacun raconte son histoire, sa vie, ses anecdotes. L’ambiance est détendue, et le rosé frais rend les paroles de plus en plus libres.
Les regards se croisent, les jeunes hommes dévorent Anne et Papillon des yeux, et Jean et Louis ne ratent pas une occasion de mater dans les corsages des invitées, et de les complimenter sur leur beauté.
Les filles se détendent complètement, et des rires fusent, des sourires de connivence apparaissent.
Papillon va chercher le dessert, et rapporte des fruits de saison découpés, et de la crème chantilly.
- J’aime beaucoup la chantilly, dit-elle, son goût vient rehausser le sucre des fruits. De tous les fruits, glousse-t-elle.
Personne ne relève, mais tous les convives, sauf Katia et Ginger, ont compris l’allusion. Mais elles sentent que le climat évolue, elle
Tout en mangeant, Jean commence à caresser la cuisse de Papillon, Louis celle d’Anne.
- Il fait très chaud non ? dit Papillon, et elle entrouvre son corsage, laissant apparaître sa poitrine galbée.
- Oui, chérie, il fait vraiment chaud, tu as raison, dit Jean. Je vais te rafraîchir.
Il prend la bouteille d’eau, en met un peu dans sa main et asperge le visage de Papillon. Une partie coule entre les seins de sa femme, mouillant le chemisier.
- Oh, c’est frais, dit-elle, merci ! Et elle l’embrasse, sur la bouche, goulûment.
Jean entoure les épaules de Papillon et ils commencent à se caresser le visage et le torse.
Les autres les regardent, amusés.
- On dirait qu’ils s’aiment beaucoup ! dit Katia
- Moi aussi je t’aime, Katia, dit Sam, et il l’enserre à son tour, l’embrassant tendrement
- Et moi, Lucien, je t’aime aussi, dit Ginger, prise au jeu, et elle enlace son ami.
- Bon, alors, nous aussi on s’aime dit Louis, et il se penche vers Anne.
Les quatre couples s’embrassent, chacun dans sa bulle.
Mais Anne et Papillon, rapidement, ont commencé à caresser les pantalons de leurs hommes, et des formes raides tendent le tissu.
Ginger est la première à s’apercevoir que Louis à sorti sa queue du pantalon pour qu’Anne le branle.
Elle est surprise, ne s’attendant pas à ce que cela dérape, et elle se demande s’il ne faut pas se sauver.
Mais Lucien la retient, la caressant de plus en plus sensuellement, et cela l’excite.
Et puis, ce Louis, il a été vraiment sympa pendant le repas, et elle trouve que sa queue est plutôt attirante.
Jean, lui, a ouvert le chemisier de Papillon et lui dévore les seins.
Katia, elle aussi, sous l’effet du vin, se laisse faire par Sam, et quand elle sent ses doigts passer sous sa robe et atteindre sa culotte, elle ne résiste pas, et ouvre largement ses jambes pour lui laisser l’accès facile.
Anne suce Louis maintenant, assise sur sa chaise, penchée de côté.
Katia a sorti le vit de Sam du pantalon et le caresse.
A un moment où la caresse de Sam est plus forte, elle passe ses deux mains dans ses cheveux, s’étirant en arrière.
Quand elle revient poser sa main sur le membre de Sam, elle y trouve la main de Papillon.
Elle la regarde, un peu interloquée.
- Tu me la prête ? demande Papillon, elle est si belle et désirable. Et puis, ici, nous partageons tout, les repas, les discussions… et les amants. Regarde, Jean, mon mari, a déjà mis un doigt dans le sexe d’Anne.
Katia et Ginger se regardent, regardent leurs copains, sourient, et Katia lance
- Je vois, c’était un traquenard. Et vous deux, petits salopards, vous ne nous avez rien dit. Je vois bien que vous étiez au courant, et je ne veux pas imaginer ce que vous avez fait ce matin à la plage.
- Oh, it’s so exciting lance Ginger, may i suck your dick Louis ?
- Of course Milady, ma femme va te laisser la place.
Anne se retire, sourit à Ginger et se tourne vers Jean, qui a sorti sa queue entretemps et qu’elle embouche aussitôt.
Katia veut se lever, elle n’ose pas encore s’occuper de Lucien, qui est l’ami de Ginger, mais celle-ci lui dit :
- Katia, si nous partageons tout ici, alors je te prête mon boy-friend. J’ai bien vue qu’il te plaisait depuis trois semaines que nous traînons ensemble. And me, je batifolerais bien avec ton Sam.
- Oh ma chérie, tu avais remarqué ? Alors je me lance. Et je te prête Sam.
Et elle enlève carrément le pantalon et le caleçon de Lucien, faisant apparaître son superbe membre. Elle se penche, mets ses lèvres sur le gland, et enfourne l’engin lentement, sa bouche avançant sur la tige en douceur, l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge.
Lucien gémit sous la caresse. De ses mains, il ouvre le chemisier de Ginger et deux seins ronds apparaissent, provoquant des compliments appuyés de Louis qui se met à les caresser avec un tendre empressement.
Peu à peu, le rythme se prend, chaque fille suçant tour à tout son voisin de droite puis de gauche, les garçons en profitant pour masser les clitoris et les seins de celle qui ne les suce pas.
Les vêtements se retrouvent tous par terre au bout d’un quart d’heure, et les cris, les soupirs, les gémissements multiples se croisent en une partition érotique.
Papillon est la première à se lever.
- Bon, moi j’ai envie de plus ! Qui m’aide à débarrasser la table ?
Tous se lèvent en riant, et en un tournemain, la table est vide et propre. Seule la crème chantilly est restée à
proximité, à la demande de Papillon.
- Les filles, je propose que nous prenions le temps d’apprécier ces messieurs. Faites comme moi.
Et après avoir mis un molleton doux sur la table, elle s’y met sur le dos, relève ses jambes, ses fesses au bord du plateau. Les autres filles l’imitent.
- Messieurs, en dessert, vous avez le droit de nous brouter le minou. Que chacun commence par sa chacune, puis quand je donnerai le signal, vous irez prendre le minou à votre droite.
Les hommes s’agenouillent devant les chattes offertes, et chacun s’applique à donner du plaisir à sa partenaire.
Sam, on le voit, à l’habitude des lèvres très charnue de Katia. Il enfonce son nez au plus profond des chairs pour atteindre le clitoris enfoui. Ses bruits de succion enchantent les autres, tout concentrés qu’ils soient à lécher la fente devant eux.
Anne a étendu ses bras de chaque côté, et elle caresse les seins de Papillon et de Ginger.
Au début, celle-ci a été étonnée, et a même eu un petit mouvement de recul, mais Anne lui a chuchoté.
- Ginger, ici, c’est la maison de tous les plaisirs, tu n’es obligée de rien, mais tu peux essayer tout.
- Mais je n’ai jamais été touché par une fille, répond l’irlandaise.
- Il faut commencer un jour. Regarde ton amie Katia à côté de toi, n’as-tu jamais eu envie de toucher ses énormes seins qui nous rendent un peu jalouses parfois ?
- Oh yes, c’est vrai, elle a de si belles mamelles.
Et Ginger, regardant Katia pour quêter son approbation, avance sa main vers la poitrine généreuse de son amie, et pour la première fois de sa vie, touche les seins d’une autre.
- Tu sais, Ginger, c’est la première fois pour moi aussi, dit Katia, mais je suis heureuse que ce soit avec toi. J’ai envie de découvrir cela, ces caresses féminines. Et on dit que nous savons bien mieux que les garçons nous donner du plaisir.
A ce moment là, Sam lui aspire le clitoris fortement, faisant crier Katia de joie.
- Ah, oui, les filles savent se donner du plaisir, mais on dirait que tu n’es pas insensible aux garçons !
- Jaloux, tu me fais jouir merveilleusement, mais laisse moi aussi apprécier ce que va me donner Ginger.
- Je suis d’accord, ma douce, et d’ailleurs, cela va m’exciter encore plus !
- Les garçons, il est temps de changer de chatte. Attention, pas le droit d’y mettre les doigts pour le moment.
Et chacun d’enfouir son visage entre les nouvelles cuisses devant lui, de découvrir un nouvel abricot mouillé, de chercher ses failles, ses recoins, de repérer par des coups de langue et de lèvres les mouvements qui font le plus réagir leur partenaire.
- Mmm, ce Jean lèche divinement dit Katia.
- Et ton Sam a la langue bien longue dit Ginger
- Lucien sait bien y faire aussi, dit Anne
- Quant à Louis, ses caresses m’enchantent, dit Papillon, mais je le savais déjà !
Et toutes éclatent de rire, tout en caressant les seins de leurs voisines.
- Changement !, lance Papillon au bout d’un moment.
Sam découvre la vulve d’Anne et son odeur l’enivre.
Lucien s’attaque à Papillon, et, en souvenir du matin, lui écarte les jambes pour accéder à son anus.
- Oh, le coquin, il me lèche le cul !
- Tu as dit pas les doigts, tu n’as pas dit pas le cul ! répond Lucien.
- Il me donne des idées, admet Jean, qui explore l’œillet de Ginger.
- My god, j’adore ça dit celle-ci
Louis est enfoui à son tour dans les méandres de la chatte de Katia, mais il écarte les fesses rebondies et parvient à son petit trou pour lui donner sa langue. Il a un peu de mal à respirer, et doit ressortir de temps en temps pour reprendre son souffle.
- Quel cul tu as Katia, c’est un univers à découvrir, je t’adore.
- Je sais, seuls mes meilleurs amants savent trouver le chemin dans mes plis. Je suis un peu grasse, je le sais, mais j’ai pu constater que les hommes aiment aussi les rondes !
- Tu es magnifique, et la diversité des corps féminins fait le bonheur des hommes.
- On change encore, gémit Papillon qui regrette déjà la langue de Lucien qui pénétrait son antre. Et cette fois, je veux que vous nous fassiez jouir.
Jean a rejoint Anne, et il sait comment la faire jouir.
Louis découvre Ginger, et son odeur de rousse qui s’exhale de plus en plus depuis le début de la ronde.
Lucien s’élance à l’assaut de Katia, heureux de pouvoir mesurer sa capacité à l’apnée en milieu humide.
Et Sam se retrouve entre les pattes de Papillon, qui lui offre son sexe dégoulinant.
Chaque homme déploie ses trésors de douceur pour emmener sa partenaire au plaisir.
Une langue écarte une fente, et pénètre dans le vagin.
Une autre lèche un anus, puis remonte vers le clitoris et passant sur le côté des lèvres, puis redescend.
Une autre se concentre sur un clitoris, tourne autour, l’aspire, le relâche, l’enveloppe, le suce.
La dernière tente de pénétrer un anus peu habitué, mais parvient à s’insinuer, le relâchement de la belle finissant par ouvrir la voie.
Les seins sont palpés entre filles, les tétons titillés, les ventres caressés, les pubis approchés.
Ginger est la première à crier, elle pince les seins de Katia et Anne au moment ou elle jouit, et cela entraîne les deux autres dont les corps, à leur tour, se tendent pour accueillir la vague de la jouissance.
Puis Papillon enfin lâche un râle de joie.
Les hommes se relèvent, se regardent, fiers d’avoir su faire jouir leurs amies en même temps.
- Bon, les gars, il est temps de prendre les commandes, dit Louis ; Je vois que vous êtes tous en forme, alors pénétrez moi ces femelles en rut qui n’attendent qu’un bon vit dans leur con.
Et d’un même élan, les membres dressés s’enfoncent dans les vulves.
Des grognements de plaisir montent bientôt.
A suivre……
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