L'EDUCATION DE PAPILLON - Episode 7

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'EDUCATION DE PAPILLON  - Episode 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'EDUCATION DE PAPILLON - Episode 7
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Donc, 7ème épisode

Vendredi, Papillon va au travail. Elle passe une belle journée. Jean lui a proposé de la rejoindre à son bureau sur Paris en fin d'après-midi pour aller "dîner en ville", expression qu'il affectionne.
Papillon le rejoint vers 18h30. A l'accueil, on lui dit que son compagnon est encore en réunion et, comme elle est connue dans l'entreprise on lui propose de patienter dans son bureau.
Le bureau est en forme de L, avec une forme d'alcôve dans la petite partie, destiné aux négociations dans un cadre moins strict que la grande pièce. Le bureau de son compagnon est à l'opposé de ce recoin discret. Elle s'installe sur le petit canapé d'angle, au fond de l'alcôve, et attrape une revue sur la table basse devant elle.
Absorbée par la lecture d'un article très intéressant sur un trafic de mozzarella entre l'Italie et la France, elle n'a pas entendu la porte s'ouvrir. Elle aperçoit Jean et une jeune femme charmante qui se dirigent vers le bureau de Jean tout en continuant leur conversation. Ils ne l'ont pas vue.
*"Bien, Marlène, nous sommes donc d'accord, vous synthétisez les conclusions de notre réunion et nous en parlerons lundi".
-" Oui, Monsieur le directeur", lui répond-elle d'une voie chaude et sensuelle.
Papillon détaille la jeune femme qui lui tourne le dos. Indéniablement, elle est "bien roulée" comme disent un peu vulgairement les hommes. Elle admire la longue robe vert pâle qui moule ses fesses et descend jusqu'au milieu des mollets. Ses pieds nus dans ses sandales, les ongles vernis de la même couleur que la robe, lui donnent un air de légèreté estivale.
Papillon, ne voulant pas risquer de faire croire qu'elle se cache, toussote un peu et se lève.
Elle sent les regards se poser sur elle, et en se retournant, Marlène lui offre une vision de grâce. Elle a les yeux verts, une coupe carrée, et ses petits seins ronds donnent la touche finale à sa magnifique silhouette. Papillon est charmée et pense immédiatement au plaisir qu'elle aurait à découvrir ce corps.
Jean lui sourit, vient la prendre par la main, et la présente à Marlène.
-"Marlène, voici ma femme. Papillon, voici Marlène qui travaille depuis quelques jours dans notre société". Les femmes se saluent en échangeant un regard chaleureux.
-"Mon compagnon m'a déjà parlé de vous et surtout de votre compétence et de la manière dont vous vous êtes tout de suite adaptée à votre nouveau poste. Je vous souhaite bonne chance, car cela ne doit pas être toujours facile avec un patron comme mon compagnon" lui lance-t-elle en souriant.
Marlène se trouble un peu, se reprend et répond avec simplicité, l'œil amusé :"Non, je vous assure, votre compagnon ne m'a pas encore montré qu'il avait des côtés désagréables !".
-"S'il est trop sévère, vous n'aurez qu'à m'en parler, je le gronderai d'importuner une si jolie femme".
Papillon ne sait pas ce qui lui a pris de répondre cela. D'habitude, elle observe une stricte réserve au sein de la société de Jean, mais là, elle avait envie de créer d'emblée une connivence entre cette fille et elle.
-"Je suis sûre que cela ne sera pas nécessaire, votre compagnon est un patron très simple et direct, et cela me plait beaucoup" lance Marlène, en jetant un coup d'œil à Jean pour s'assurer qu'il n'est pas contrarié par cet échange à son propos.
-"Bien, je vois que l'on conspire déjà contre moi, et dans mon bureau en plus !" Il feint la colère mais un grand sourire illumine son visage. "Marlène, je crois que nous nous sommes tout dit, alors je vous laisse partir et vous souhaite un bon week-end".
La jeune femme salue le couple, et sort, non sans jeter un regard de connivence à Papillon.
-"Elle a l'air de m'apprécier, tant mieux !" pense Papillon, et elle la regarde partir, un léger déhanchement mettant encore plus en valeur l'arrondi de ses fesses. Elle constate que Jean aussi la suit des yeux.
-"Hé, mon loup, je comprends qu'elle fasse de l'effet, je suis moi-même sous le charme ! Il va falloir trouver un moyen de l'inviter à la maison pour que je la connaisse mieux".
Jean réfléchit. Il a bien compris le manège de sa femme et s'il est étonné de cette attirance nouvelle qu'elle exprime pour une fille, il trouve cela plutôt sympathique.
-" Je vais trouver une excuse pour qu'elle vienne à la maison un de ces week-end. Nous en reparlerons".
Il va fermer la porte de son bureau à clé, et revient vers Papillon.
-"On dirait que tu aimes les femmes maintenant? C'est nouveau ça !" et il l'entraîne vers le recoin.
-"Mais je vais m'assurer que tu aimes toujours la gent masculine !". Il la fait asseoir dans le canapé, s'agenouille devant elle, et caresse ses collants, en partant du pied et en remontant à l'intérieur des cuisses jusqu’au bord du pubis. Il la regarde dans les yeux, et lui susurre des mots tendres et câlins.
-"Je t'aime, je veux ton bonheur, et je veux encore et encore caresser ces jambes douces, j'adore la texture de tes collants, j'aime comment tu es habillée. Je sais que tu aimes que je te caresse ainsi, et je vois bien que tu l'apprécies maintenant, car tu écartes tes jambes pour que je puisse te caresser plus haut encore. Tu es une coquine, une fieffée coquine qui aime qu'on la caresse. Je suis sûr que tu commences à humecter ta petite culotte. D'ailleurs, as-tu une culotte sous ces collants ? Lève un peu tes fesses si jolies pour que je puisse accéder à ton hypothétique culotte". Papillon soulève le bassin, et Jean découvre une petite culote de dentelle, de la même couleur que ses collants.
-"C'est vrai tu ne vas pas à l'école sans culotte, tu réserves cela à nos sorties. Mais ce soir, on sort, alors hop, on enlève cet objet qui cache ton bijou". Et il lui ôte. Papillon a maintenant le sexe offert à son compagnon, qui a relevé sa jupe. Elle aime être ainsi écartée, juste avant de commencer à faire l'amour, de montrer à son homme qu'elle est à lui, qu'il peut user de son corps, qu'elle est sienne.
Il s'approche de son sexe et le hume, longuement, appréciant l'odeur qu'il connaît par cœur, une odeur pourtant qui change en fonction de l'humeur de Papillon, une odeur qui lui donne une indication sur son état d'excitation.
Et là, si ce n'est pas le fumet de l'autre jour, ou elle semblait totalement en rut, il sent le désir, mais il voit qu'elle n'est pas encore très mouillée.
Il écarte très doucement les nymphes de Papillon, et une fois toute la fente apparue, il l'observe, sans bouger, admiratif de cette beauté de la nature qu'est l'organe sexuel féminin.
Papillon aimerait qu'il aille plus vite, mais elle sait qu'il adore l'observer, que c'est une forme d'adoration quasi divine qu'il accomplit.
Enfin, il met un doigt dans la bouche de Papillon et recueille un peu de sa salive. Il pose ce doigt sur le bas de sa fente, tout près de l'anus, et remonte en écartant à peine les chairs, pour finir en contournant le clitoris. Papillon frémit sous cette caresse d'une extrême douceur. Il fait ce mouvement plusieurs fois, revenant prendre de la salive dans la bouche de Papillon qui goûte ses propres secrétions. Cela finit par l'exciter et Jean n'a plus besoin d'aller à la source de sa bouche, il a tout ce qu'il lui faut qui suinte lentement. Alors d'une main il caresse son bouton qui a jailli, et de l'autre il enfonce un doigt dans son vagin. Il la pénètre avec douceur, lentement, et la rotation autour du clitoris se fait plus appuyée. Papillon tend son bassin vers son compagnon, elle met sa tête en arrière et se concentre sur la chaleur qui monte en elle. Jean insinue deux doigts, toujours aussi lentement, il écarte le conduit et va le plus loin possible. Puis, les doigts trempés descendent et humectent l'anus de Papillon. Tout en pressant le clitoris, il tourne autour de ce petit trou qu'il sait aimer les effleurements.
Papillon gémit un peu, tend encore ses fesses si possible, les dégageant du canapé pour qu'aucun obstacle ne gêne ces gestes qu'elle aime.
Il revient lui branler la chatte, avec trois doigts maintenant, et elle s'écarte facilement pour le laisser entrer. Il dégage son annulaire du vagin, le tend , parallèle au majeur et à l'index, mais un centimètre plus bas. Quand il rentre à nouveau deux doigts dans la fente, le troisième s'insinue, comme par inadvertance, dans le trou du cul de Papillon.
Elle est aux anges, elle adore cette mini double pénétration. Cette sensation qu'elle est prise comme dans une pince, une pince douce et caressante, une pince qui va et vient en elle lentement, mais qui la conduira peu à peu vers une explosion de plaisir.
Mais Jean fait durer, il ne se précipite pas, il connaît trop sa femme pour la laisser partir si vite. Il ralentit quand c'est nécessaire, va plus vite quand elle s'est relâchée, et alterne ainsi ses mouvements.
Papillon est de plus en plus excitée, elle ressent un besoin impérieux de jouir, mais Jean la laisse ainsi monter et descendre, savourant le bonheur d'être le musicien de son corps, pour qu'elle passe par les différentes tonalités qu'il lui propose.
"-Je t'en supplie, fais-moi jouir" lui souffle-t-elle.
"-Non, tu vas devoir attendre, je ne veux pas que tu hurles dans mon bureau, il pourrait y avoir encore quelqu'un dans les couloirs !"
-"Salaud, je n'en peux plus"
Mais Jean s'arrête brusquement, la regarde avec une infinie tendresse et lui répond :" On s'en va maintenant, sinon on va être en retard et le restaurant ne garde pas les places réservées très longtemps".
Papillon le regarde incrédule. "Tu me veux toute excitée pour la soirée, salopard, je te reconnais bien là. Bon, on y va, mais tu ne perds rien pour attendre, bandit d'amour".
Elle l'embrasse, un baiser chaud et sensuel, tout en lui mettant la main sur la braguette.
-"Je vois que cela t'excite de me faire lanterner, on dirait que ton pantalon va exploser, tu ne veux pas que je te libère de cette pression?"
-"Petite futée, tu penses m'aguicher pour que je te fasse jouir maintenant ? Je résiste, car je te réserve une fin de soirée à la hauteur de ta frustration du moment"
Papillon s'incline, curieuse de ce que lui réserve son compagnon.
Ils quittent le bureau, main dans la main, et atteignent leur voiture sans avoir croisé personne.
-"En fait, tu savais qu'il n'y avait plus personne, décidément tu es un conspirateur ce soir !".
Jean la conduit vers un restaurant ou on leur sert un dîner de grande qualité, pendant lequel ils papotent de tout et de rien, Jean évitant soigneusement que la conversation dérive sur un sujet coquin. Papillon, encore excitée, voit son manège mais se rend compte qu'il savoure ce temps presque anodin qu'ils partagent.
A la fin du repas, tous les convives ayant terminé, la lumière s'éteint soudain et une scène, cachée jusque-là par un grand rideau, s'ouvre et laisse apparaître une dizaine de danseurs et danseuses.
Jean a un sourire qui n'échappe pas à Papillon, et elle pressent que son attente touche à son terme.
Les danseurs évoluent au son d'une musique rythmée mais lente, dans des arabesques, des virevoltes qui se font de plus en plus sensuelles. Des couples se forment et se défont, les corps se rapprochent, des frôlements de mains sur les torses et les fesses électrisent peu à peu l'assemblée.
Les couples se sont maintenant stabilisés, et entament une parade de séduction, les femmes mettant en valeur leurs appas, les hommes mimant fugacement des scènes érotiques.
Puis dans un même mouvement, tous les danseurs enlèvent leur chemise, et les seins de filles apparaissent, les garçons bombant leurs pectoraux.
Les mains se font caressantes, et les seins des danseuses sont palpés pendant qu'elles tâtent les muscles des hommes.
Les mains, dans un mouvement commun, prennent la taille du partenaire et au moment choisi, tous les pantalons sont arrachés et s'envolent, laissant les corps nus.
Une nouvelle ronde s'organise, les danseurs évoluant autour de leur danseuse, posant une main sur leurs seins, puis sur leur sexe.
L'atmosphère est devenue très érotique et dans la salle, quelques vestes tombent.
Jean, en face de Papillon, voit qu'elle est émoustillée par le spectacle, et, après avoir enlevé discrètement chaussures et chaussettes, il darde son gros orteil vers l'entrejambe de Papillon.
Elle le sent qui se pose sur une cuisse, et qui écarte ses jambes. Elle n'a pas de culotte, pas de collant, et son sexe est déjà mouillé de désir par les scènes qui ont enflammé son esprit.
Jean caresse son clitoris de son pied, et finit par tenter d'insérer son gros orteil et de la branler sous la table. Elle trouve cela drôle mais pas très confortable, ni hygiénique, alors elle se recule, et lui dit : "Passe sous la table, je vois que d'autres clients ne se gênent pas pour le faire!" Jean s'agenouille et vient, enfin pour elle qui attendait cela depuis des heures, la lécher. Il darde la pointe de sa langue sur son clitoris, et alterne les succions et les léchages de haut en bas de son abricot.
Papillon se sent revivre, elle qui aime tant avoir une bouche sur son sexe. Et elle jouit en peu de temps, le désir refoulé saisissant l'occasion de s'extérioriser. Elle lâche un soupir bruyant, et c'est comme un signal qui libère toutes les autres femmes de la salle qui se laissent aller à exprimer ce qu'elles ressentent. Les hommes ne tardent pas à joindre leurs râles à ces manifestations de joie.
Sur la scène, les couples ont bien avancé dans le torride et une orgie générale se déroule, toutes les queues ayant trouvé un trou accueillant, les filles en profitant, quand elles le peuvent, pour se caresser et s'embrasser.
L'ambiance part en un gigantesque foutoir, et certains dans le public commencent même à guigner les attributs de leur voisine. Des échanges s'opèrent, et tout cela finit en orgie dans la bonne humeur.
Papillon n'a pas voulu se partager, et elle a laissé son compagnon la prendre, lui assis sur sa chaise et elle étant venue, face à lui, s'empaler sur sa tige pendant qu'il lui lèche les seins. Après un long moment, l'ambiance générale aidant, ils atteignent ensemble l'orgasme, et mêlent leurs cris à ceux de la salle.
Un peu calmés, ils observent autour d'eux. Tout à coup, à l'opposé de leur table, un peu cachés jusque-là par un paravent qui vient d'être déplacé pendant un coït, un couple apparaît. Papillon se fige. "Mon loup, regarde qui est là-bas !". Jean se tourne dans la direction indiquée et lui aussi écarquille les yeux en apercevant une robe verte qui lui rappelle quelque chose : c''est Marlène, qui est en train de se faire prendre en levrette par son ami, la poitrine tressautant sous ses assauts.
Jean la regarde, et apprécie de voir enfin ce qu'il tentait d'imaginer depuis une semaine. Et il avait raison, cette fille est en tous points magnifique. La façon dont elle tend sa croupe vers son amant, ses yeux perdus dans le vague, une main prenant ses seins pour en pincer les pointes, vraiment, tout est parfait chez elle.
Papillon regarde Jean. "Je sentais, c'est la première fois et je ne sais pourquoi, que cette petit allait finir dans notre lit ! Nous avons de quoi parler avec elle maintenant, et savons qu'elle n'est pas farouche. Viens, partons avant qu'elle ne nous voie". Et ils s'éclipsent furtivement.
Ils rentrent chez eux et vont prendre une douche ensemble, où Jean à nouveau prend Papillon en levrette après qu'elle ait posé ses mains sur le mur en se penchant. C'est un coup rapide, pour évacuer les images qui leurs trottent dans la tête après cette soirée, mais aussi un moment de plaisir partagé, comme ils tentent de le faire à chaque fois.

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