L'empire des femmes - histoire érotique

L’Empire


Chapitre 1 : La soumission par l’humiliation.

Jonas était un beau jeune homme de 25 ans, il habitait une petite cabane de pêche en contrebas de la vallée, au bord du lac salé de la montagne Pica.
Il vivait du fruit de sa pêche, mais était aussi connu pour être le saunier du coin. Tous les samedis, il chargeait son âne du sel qu’il avait préalablement récolté, pour se rendre au marché du village situé au centre de la vallée. Il y échangeait son sel contre divers fruits de la terre : des fruits, des légumes, des œufs…
Il était réputé pour sa gentillesse et son sens du respect.
Les jeunes filles du village lui adressaient toujours un sourire discret lorsque leurs regards se croisaient, mais Jonas était en vérité bien trop timide pour oser aborder une de ces magnifiques créatures.
Ce samedi-là, il avait beaucoup de sel à apporter au village, il commençait à bien connaître la population et les gens n’hésitaient pas à marchander avec lui. Comme à son habitude Birode, le boulanger du village, vint se servir en sel pour la préparation de son pain en échange de 5 belles baguettes bien fumantes, Idrasse, le traiteur, lui échangea quatre mesure de sel contre un joli panier contenant six gros œufs de canne. Les clients défilèrent ainsi jusqu’au tour d’une femme qu’il n’avait jusqu’alors jamais rencontré. Elle était belle, sublime même : elle avait de long cheveux noirs, une frange nette lui couvrait le front, s’arrêtant juste au-dessus de ses sourcils parfaitement dessinés, mettant en valeur ses deux beaux yeux en forme d’amande, des yeux verts au regard perçant.
Une bouche aux lèvres pulpeuse arborant un léger sourire et dévoilant de belles dents blanches parfaitement alignées, son coup était gracieux, il était orné d’un collier de perles qui descendait sur sa poitrine généreuse, elle portait un gilet légèrement déboutonné laissant apparaître un décolleté hypnotisant, Jonas gardais son regard fixé sur le poitrail de cette belle femme lorsqu’elle le ramena à la réalité.
- Monsieur, s’il vous plaît ; dit-elle d’une voix sensuelle ; Pourriez-vous relever votre regard et me prêter votre attention ?
- Bon… Bonjour ; Bégaya Jonas honteux de son comportement ; C’est juste que… Je ne vous ai jamais aperçu dans la région et me suis retrouvé quelque peu déconcerté par votre beauté, pardonnez mon erreur je vous en prie, cela ne se reproduiras plus. Je m’appelle Jonas.
- Je suis Gladia, j’habite l’Empire des montagnes. Il est vrai que nous descendons rarement car nous préférons nous faire apporter la marchandise sur place, et comme tu es le seul saunier à plusieurs kilomètres à la ronde, j’ai été envoyée pour te donner notre requête.

L’Empire des montagnes, Jonas en avait souvent entendu parler.
Il y a plus de vingt ans, les femmes avaient tentées de prouver leur égalité face aux hommes. Ces derniers n’avaient pas apprécié le mouvement et étaient devenus plus durs avec les femmes, Jonas se souviens encore de son père maltraitant sa mère, il était petit à l’époque mais cette histoire l’avait beaucoup marqué. Une guerre avait éclaté entre hommes et femmes et certaines femmes avaient quittées la vallée pour se réfugier dans les montagnes, où elles ont fini par créer leur propre empire. Chaque année toutes les plus belles femmes de la région s’y rendent car elles ne supportent plus la soumission que leur imposent les hommes ou même les harcèlement que ces derniers leurs font subir. Mais certaines femmes en reviennent tête baissée car elles ne remplissent pas les conditions imposée par la reine de l’empire : trop petite, pas assez belle, trop fragile, trop fine, trop grosse… Très peu d’entre elles étaient accepté et pourtant chaque année l’empire s’agrandissait.
Voyant que Jonas s’était perdu dans ses pensées, elle le rappela encore une fois à l’ordre.
- Hey Jonas, tu comptes les grains de sel ou quoi ? Alors pourras-tu nous apporter ce dont nous avons besoin ? Ou faut-il que j’aille chercher un autre saunier ?
- Pardonne-moi je réfléchissais simplement au chemin que j’allais devoir emprunter, alors dis-moi, combien de sel vous faut-il ?
- Ramène-nous 50 kilos de sel, demain à l’aube ; Gladia s’approcha de son oreille et lui chuchota ; Ne sois pas en retard et tu seras grandement récompensé…
Elle déposa un délicat baiser sur sa joue avant de se retirer, marchant d’un pas tranquille, Jonas ne put s’empêcher de fixer son déhanché, elle portait un short court laissant apparaître deux longues jambes gracieuses, le short moulant parfaitement ses fesses qu’il devinait fermes, il n’avait jamais vu une femme aussi magnifique. Il la regarda s’éloigner quand soudain il se rendit compte d’une chose, il se mit à crier :
- 50 Kilos de sel ?! mais comment veux-tu que je ramène ça là-haut ? De plus, je n’en ai pas autant ! Reviens Gladia !
Mais Gladia n’entendait pas ou plutôt, elle ne voulait pas l’entendre, il trouverait un moyen elle le savait.
Jonas se hâta pour ranger ses affaires, il renvoya les clients qui attendaient en prétextant une urgence, ils se mirent à râler et l’un d’eux lui dis :
« Tu vas quand même pas aller là-bas ? Ces femmes sont timbrées, tu n’en reviendras pas indemne mon p’tit gars. »
Mais Jonas n’écoutait pas, il n’avait que Gladia en tête et il ne voulait pas la décevoir, il finit de ranger ses affaires et pressa son âne en direction de sa cabane.
Dès qu’il arriva chez lui, il rassembla tout le sel qu’il put, le chargea dans un gros sac qu’il pesa : 38 kilo. Ce n’était pas assez, Gladia en avait demandé cinquante et il savait que les femmes de l’empire ne lui pardonneraient pas une telle différence.
Par chance, il avait un champ de sel à récolter, deux kilomètres au sud. Il s’empressa de charger son âne des équipements dont il avait besoin, mais ce dernier refusait de bouger. Il était fatigué de son excursion dans la vallée et refusais de se déplacer. Jonas insista quelques minutes et voyant que le soleil commençait à se coucher, il parti à pied munis d’un sac et de son las, un grand balais permettant de récolter le sel.
Il arriva au champ à bout de souffle et se mis à ramasser le précieux sel à une vitesse qu’il ne se connaissait pas. Heureusement, la semaine avait été chaude et il était sûr de pouvoir combler la quantité manquante. Une fois le sac plein, il reprit sa course en sens inverse, mais arrivé chez lui, il se prit les pieds dans un filet de pêche et le contenu de son sac se déversa au sol. Il remit le sel dans le sac, faute de mieux, et repris son souffle, essayant de se calmer. Il se prépara un thé, s’assit confortablement et s’endormi malgré ses efforts pour rester éveillé.
Il se réveilla en sursaut et regarda la petite pendule accrochée au-dessus de sa cheminée. Quatre heures, il y avait au moins trois heures de marche et le soleil se levait dans moins de deux heures. Il réparti la marchandise en deux sacs qu’il accrocha de chaque côté de son âne, et le força à se mettre en route. Le pauvre âne ressentant la panique de son maître, n’eut pas d’autre choix que d’avancer au pas que Jonas exigeait, bien trop rapide. Jonas lui fit tenir ce rythme pendant deux bonnes heures, ne faisant qu’une brève pause auprès d’un ruisseau pour s’abreuver. Le jour se levait et le chemin devenait de plus en plus rude. L’âne, exténué, refusa d’aller plus loin. Jonas le remercia d’une caresse et lui fit signe de rentrer. Il chargea le lourd fardeau sur son dos et continua sa route. Il gravit non sans mal les rocheuses, il était à bout de force, mais le visage de Gladia qui ne quittait plus son esprit le faisait redoubler d’effort pour accomplir sa mission. Il arriva, une heure plus tard devant l’empire, il laissa tomber son sac au sol et s’agenouilla, en sueur et haletant. Il redressa la tête et contempla pour la première fois cet Empire dont il avait tant entendu parler. L’Empire était cerné par un grand mur en bois d’au moins dix mètres de haut, englobant la forêt et la montagne elle-même, sur sa droite à une dizaine de mètre se trouvait la porte de l’empire, gardée par deux guerrières très légèrement vêtues qui l’observaient, un sourire moqueur au coin des lèvres.
- On s’est perdu à ce que je vois ?
Annonça une des guerrières avec un ton enjoué. Il n’en fallu pas plus à Jonas pour être déstabilisé, il avait peur des femmes et voilà que celle là le prenait de haut. Il rétorqua tout de même.
- Je suis Jonas le saunier, j’apporte ici cinquante kilos de sel à la demande de Gladia, une habitante de votre Empire.
Sa voix se voulait naturelle et confiante, mais on y sentait la peur et elle se lisait plus encore sur son visage.
- Jonas le saunier ; les guerrières lâchent un rire ; On ne t’attendait plus à cette heure. Je vais tout de même annoncer ton arrivée, en attendant reste sage.
La femme s’éloigna et Jonas ne pût s’empêcher encore une fois d’observer le déhanché de cette femme sublime : Sa queue de cheval dansait sur son dos nu, où plus bas dansait les bandelettes d’une ceinture qui masquaient à peine les formes de son fessier maintenu par une fine culotte en dentelle.
« Eh le pervers, au lieu de mater, viens ici. » Annonça la deuxième guerrière d’un ton autoritaire.
Jonas baissa le regard et s’exécuta, il était encore plus honteux que lorsque Gladia l’avait repris.
« On va procéder à la fouille, c’est la procédure. »
Jonas ne répondit pas et laissa la guerrière faire son travail, blonde, les cheveux attachés comme la précédente, les yeux maquillés de noir, une bouche fine, le même collier de perle que Gladia, et un simple soutien-gorge de cuir largement ouvert laissait apparaître ses deux magnifiques seins, mais Jonas lui se contenait du mieux qu’il pouvait pour fixer son attention ailleurs que sur cette femme envoutante. Il était un homme modeste et la guerrière tâta son corps musclé à travers ses guenilles, elle ne pût réprimer un sourire et à plusieurs reprise elle effleura sensuellement le pénis de Jonas, qui sentit l’excitation monter à son comble.
« Qu’est-ce que cette chose que je sens-là ? » Elle posait la question mais connaissait très bien la réponse.
« Je… Je suis désolé ; articula difficilement Jonas qui sentait ses joues rougir ; c’est que vous m’excitez terriblement. »
La guerrière explosa de rire et sa collègue refit apparition.
« C’est bon, la Reine accepte de te recevoir, prends tes sacs et suis-moi. »
Jonas alla récupérer les deux sacs, et lorsqu’il franchit la porte avec la guerrière, celle qui l’avait fouillé lui donna une claque sur les fesses. Quand Jonas la regarda elle lui fit un clin d’œil tout en faisant rouler sa langue sur ses lèvres. Jonas tremblait comme une feuille.
« Poses ça là. » La guerrière parlait d’un ton sec en désignant un petit chariot.
Jonas se pencha pour déposer les sacs, et la guerrière profita de ce moment pour lui passer la main dans les cheveux, Jonas n’avait pas l’habitude de ce genre d’attention et il se laissa caresser par la guerrière, qui lui caressait maintenant le dos, puis les fesses, elle titilla son anus de son auriculaire, puis s’esclaffa en lui donnant une petite claque amicale sur l’arrière train.
« Je vais te conduire aux sanitaires, tu ne peux pas te présenter à notre Reine dans cette tenue.
- D’a.. D’accord » Bredouilla Jonas.
Sur le chemin, Jonas s’émerveillait, les femmes étaient toutes plus belles les unes que les autres, et sur son passage toutes le fixaient avec insistance.
« Nous ne recevons que très rarement des hommes au sein de l’empire ; expliqua la guerrière d’un air enjoué ; alors forcément les hormones de ces dames s’agitent »
Ils arrivèrent enfin devant le sanitaire, un petit bâtiment tout en long, la seule ouverture ne possédait pas de porte et donnait face à une baignoire, un petit évier se trouvait sur le mur droit et un espace de rangement occupait celui de gauche.
« Prends place, déshabille-toi et on va venir s’occuper de toi. »
La guerrière partit retrouver son poste et Jonas commença à se déshabiller. Lorsqu’il fût totalement nu, une femme grande et forte entra dans la pièce. Elle était aussi belle que ses congénères, les cheveux bruns, lisses, descendaient sur ses seins presque nus. Seuls ses tétons étaient cachés par deux petits coquillage, maintenus par une fine corde qui lui cintrait la poitrine. Jonas se demanda par quelle force ces coquillages tenaient en place, mais il se rappela qu’il s’était déjà fait prendre plusieurs fois à laisser balader son regard, et préféra plonger son regard dans les yeux bleus de la femme qui se tenait face à lui.
- Tu vas t’installer debout dans cette baignoire et on va nettoyer tout ça.
- Vous savez je peux me laver seul, ça me gène un peu vous comprenez.
- Désolée mais c’est la règle, tu es toujours libre de partir si tu ne tiens pas à respecter notre règlement.
Jonas pensa à Gladia, et à tous les efforts qu’il avait fournis pour arriver là. Il se voyait mal redescendre la montagne avec son gros sac de sel, la queue entre les jambes. Et puis, ce n’est pas tous les jours qu’il aurait une opportunité pareille, se faire doucher par une beauté divine, quel était le malaise ?
Sa main masquant toujours ses parties intimes, il grimpa dans la baignoire et laissa cette belle femme nettoyer son corps. Son toucher était délicat, ses doigts semblaient glisser sur ses muscles saillants, et ses seins semblaient être bercés par le va et vient de ses mouvements. Jonas se laissa aller à l’hypnose de ce balancement et à l’excitation grandissante en lui.
« Enlève tes mains maintenant, que je puisse nettoyer ce joujou.
- Euh… Je ne préfèrerais pas s’il vous plaît, vous savez je suis très pudique »
La plus grande honte de Jonas était son sexe, il n’était pas aussi viril qu’il l’aurait voulu et avait toujours appréhendé les réactions de ses partenaires. Il savait que cette fois, il n’y échapperait pas.
« - Pudique ? ça ne t’a pas empêché de me mater les seins depuis un bon quart d’heure, allez ne rechigne pas ce sera rapide. »
Jonas, mort de honte, ferma les yeux en retirant doucement ses mains, il ne vit pas la réaction de la femme mais entendit jaillir les rires, quand il ouvrit les yeux il aperçut trois femmes se tenant devant la porte, la mine réjouie, elles poussaient de grands rires tout en pressant leurs mains sur leurs sexes, elles aussi étaient très excités par la présence d’un homme dans la cour. La femme chargée de le laver tant qu’à elle, gardais ses yeux grand ouvert en fixant le petit engin et commença à l’empoigner doucement. Elle sentit au bout du pénis de Jonas du liquide lubrifiant émanent de son gland et fut proie elle aussi à une grande excitation. Elle caressa tendrement le sexe de Jonas, l’effleurant presque, elle avait approché sa bouche à quelques centimètres et caressait, lentement, doucement, chacun de ses gestes étaient comme ralenti. Elle déposa un doux baiser sur le sommet de la verge et Jonas ne pu se contenir plus longtemps.
« Ça aussi, c’est dans la procédure ? »
Il était sur le point de craquer, au bord de l’éjaculation précoce, il ne voulait pas subir une humiliation aussi intense
« - Non, ça c’est cadeau ; lui répondit-elle en empoignant plus fermement son membre.
Elle commença à faire de longs va et vient tout en se masturbant, et elle ne put retenir de petits gémissements qui ne faisaient qu’accroître l’excitation de Jonas. Les trois femmes en arrière plans elles aussi se caressaient, et elles se mirent également à pousser de petits cris, Jonas n’en pouvait plus et il se laissa aller lui aussi.
« Ah c’est bon, ah… Continue je sens que ça vient oui… »
Au même moment, la femme lâcha son sexe.
« Ah non ! Je ne viens pas de te laver pour que tu te salisses ; dit-elle avec un sourire ; Ne m’obliges pas à raconter à la Reine que tu as failli éjaculer pendant la toilette.
- Mais… C’est toi qui m’a…»
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que la femme lui empoignait les testicules, elle lui dit d’un ton sévère :
« C’est moi qui t’ai quoi ? Alors vas-y, qu’est-ce que tu voulais dire ? »
« Non rien madame, lâchez moi !
- Madame ? Il n’y a pas de madame qui tienne, on dit maîtresse quand on est poli ! ; elle resserra plus fortement sa prise, une once de cruauté dans le regard.
- Par… Pardon maîtresse, pou… pourriez vous me lâcher s’il vous plaît ?
- Mais bien sûr bel homme ; elle relâcha Jonas et l’invita à sortir de la baignoire ; Comme tu peux le voir, les invités doivent se vêtir du vêtement traditionnel, il symbolise l’égalité entre les femmes et les hommes. »
Jonas se garda bien de répondre et sorti de la baignoire, il y avait maintenant trop de femmes devant le sanitaire pour que Jonas puisse les compter, elles étaient toutes mortes de rire et se racontaient entre elles comment Jonas s’était soumis après s’être fait attraper par les testicules.
Jonas était mort de honte, il prit soin de remettre ses mains devant son pénis, impatient que sa maîtresse lui donne une tenue pour se vêtir.
« Je vais te la donner la tenue ne t’inquiète pas, mais d’abord, nous devons raser tout ça. Vous les hommes nous reprochaient depuis des siècles notre pilosité, et tu oses te présenter couvert de poils ? Entre là-dedans ! »
Elle ouvrit une petite porte que Jonas n’avait pas remarqué, et il entra dans la petite pièce. Une table d’esthéticienne était placée au fond contre un mur entièrement en verre qui donnait sur la cour extérieure.
Les femmes postées à l’entrée du sanitaire ne tardèrent pas à rappliquer, profitant de la large vue et de la proximité qu’offrait le mur de verre. Jonas commençait à regretter amèrement d’être venu ici, il ne pouvait plus partir à présent. Il se dit que ce n’était qu’un mauvais moment à passer et que tout irait mieux ensuite. Mais il était loin de s’imaginer ce que lui réservait cette suite…
Sa maîtresse l’installa brusquement sur la table et le mis de côté, exposant son pénis à toutes les femmes entassées devant l’immense baie vitrée, Jonas ne pouvait pas distinguer ce qu’elles disaient, mais ils les entendaient rire et faire des signes plutôt explicites sur la taille de son engin. Il voulu remettre ses mains devant mais la femme le coucha sur le dos et lui dis :
« Lève tes bras que je m’occupe de tes aisselles. Ensuite, nous débroussaillerons ton petit asticot. »
Jonas sentit les larmes lui monter mais il se concentra pour se contenir. Son sexe était toujours gonflé à bloc malgré l’humiliation totale qu’il subissait, la scène l’excitait terriblement. Il choisit donc d’en profiter et d’affronter les regards des femmes au dehors, qui, en extase, continuaient de le regarder en se touchant les parties, il en vit certaines qui se mettaient carrément des doigts, d’autres étaient seins nus et se titillaient le clitoris en poussant des gémissements, elles étaient complètement en chaleur. Jonas regretta aussitôt de s’être laissé allé à l’excitation, car ses testicules commençaient à lui faire mal, il fallait qu’il se vide rapidement…
« C’est bon, un homme à poil sans poil ; lui dit-elle en l’invitant à se lever et lui donnant une petite claque sur les fesses ; Je pense que cette tenue t’ira un peu large mais ça fera l’affaire, j’ai pas trouvé mieux. »
Jonas observa avec stupeur la dite tenue, et ne put s’empêcher de rétorquer :
« C’est une blague ? Je ne vais pas mettre ça quand même ; La femme lui jeta un regard glacial qui lui fit froid dans le dos ; Euh, je plaisantais bien sûr, si le port de cette tenue peut prouver mon accord pour l’égalité entre les sexes je serais fier de la porter. »
Ses paroles sonnaient faux mais elle ne releva pas. Jonas se baissa pour ramasser sa tenue, et l’enfila aussitôt.
Sa tenue n’était rien d’autre qu’un fin string en cuir, laissant apparaître la moitié de ses parties génitales, de plus, il devait le tenir d’une main pour que ce dernier ne tombe pas à ses pieds. Il espérait que sa maîtresse lui annonce que c’était une blague et qu’elle lui donne un vêtement décent, mais elle n’en fit rien.
Elle conduisit Jonas dans la cour, suivi d’un bon nombre de femmes venues observer le spectacle. Ils s’arrêtèrent à proximité d’un piquet et la femme dis à Jonas :
« Tu restes sagement ici jusqu’à qu’on vienne te chercher
- Oui… D’accord
- Oui qui ?
- Oui… Maîtresse. »
-
Il avait dit ce dernier mot avec capitulation, sachant bien que les femmes attroupées autour de lui ne manqueraient pas de relever.
Sa maîtresse partit en le laissant seul, ou du moins avec une foule de femmes en chaleur qui voyaient déjà ce jouet offert à elles.
Jonas gardait les yeux rivés au sol, tenant son petit string de cuir de ses deux mains, les remarques ne tardèrent pas à fuser :
« - Alors, on cherche sa maîtresse ?
- La Reine a horreur des petites bites, vaut mieux pas qu’elle voit ta brindille ! ; toutes les femmes éclatèrent de rire ;
- Eh bien, il a l’air tout dur ton joujou, tu sais on peut t’aider.
- Oh oui, laisse-nous tripoter un peu ton manche, tu nous doit bien ça.
- C’est vrai après tout, nous sommes toutes tes maîtresses ici, laisse-nous t’aider à traire tout ce jus.
- Allé, lâche un peu ton sexe, partage avec nous ; plusieurs femmes saisissent les bras de Jonas qui résiste avec force pour garder ses mains en place
- Attrapez-lui la bourse ! Ça l’a bien calmé tout à l’heure ! »

Moins d’une seconde passa avant qu’une femme saisisse Jonas par les testicules et serre si fort qu’elle l’obligea à capituler. Jonas finit par se laisser faire en poussant un gémissement.

- Tu vois quand tu veux !
- C’est bien, laisse-toi faire.
- Le lâchez pas surtout s’il bouge serre plus fort.
- Non s’il bouge mettez lui un bon coup dans les parties il arrêtera de se débattre j’vous l’dis-moi !
Elles enlevèrent le ridicule string de Jonas et le couchèrent sur la terre battue ; Une femme sauta sur son sexe et le goba d’un coup.
- C’est petit mais c’est bon ; dit-elle la bouche pleine
- Laisse-moi gouter enfin allé quoi partage !
Jonas était complètement immobilisé, il était couché sur une femme qui le tenait par la gorge, deux femme lui tenaient les jambes, une quatrième le tenait par les couilles et prenait un plaisir sadique à l’entendre gémir chaque fois qu’elle appuyait sur ce point sensible.
Les autres femmes assistaient au spectacle prise par l’hystérie en hurlant des phrases inaudibles, tellement toutes parlaient en même temps. Plusieurs se battaient la place pour avoir le sexe de Jonas, il observait la scène avec horreur mais tout ça l’excitait terriblement. Lorsqu’une femme se planta face à lui et enfonça sa tête dans sa poitrine, il ne voyait rien d’autre que ces énormes seins et n’entendait plus que sa voix qui lui ordonnait de les lécher.
Jonas s’exécutait en proie à une terrible excitation, il se surpris même à penser qu’il voudrait que ce moment ne finisse jamais. Il se donna totalement à ces femmes, tout en dégustant cette délicieuse poitrine qui s’offrait à lui. Il était aux anges. Sans prévenir, la femme aux gros seins se retira pour laisser place à une jeune femme totalement nue, qui vint se poster jambes écartées à quelques centimètres de son visage, la main en V sur son sexe, Jonas pouvait distinguer parfaitement les moindres détails, le vagin était dilaté et laissait couler un grand filet de cyprine le long de sa cuisse, le clitoris de la jeune femme ressortait complètement dû à une excitation intense et Jonas n’attendit pas qu’elle le lui ai ordonné pour lécher ce magnifique vagin surement vierge. Alors qu’il s’adonnait à sa tâche, il put apercevoir une autre femme venir s’asseoir sur son pénis toujours bandant, et les deux femmes se mirent à pousser de grands cris de satisfactions. D’autres femmes ne tardèrent pas à exposer leurs vagins tout autour de Jonas qui ne savait plus où donner de la tête. Elles le tiraient par les cheveux pour qu’il s’occupe d’elles, il n’avait pas cinq secondes à accorder à une femme avant qu’une autre s’accapare a bouche qui n’était plus rien qu’un simple sextoy. Celle qui lui tenait la bourse en se touchant se mettaient maintenant à jouir en accentuant la pression sur ses couilles, La douleur de Jonas se transforma en excitation, et se mis à jouir à son tour de manière peu virile, les femmes l’encourageaient :
- C’est bien, jouis comme la lopette que tu es
- Cris plus fort allé ça m’excite !
- Plus aigu, je veux t’entendre allé !
- C’est bien allé continue, et remue moi ce bassin !
- Cris allé lâche toi !

Jonas s’exécutait aux ordres de ses maîtresses et jouissait maintenant en s’en tordre les cordes vocales, la cyprine recouvrait entièrement son visage et il sentait l’éjaculation monter en lui, la femme qui le chevauchait accélérait la cadence, une autre femme lui mordait maintenant les tétons en poussant de terribles gémissements, et la femme qui lui serrait les boules y mettait maintenant toute sa force en hurlant de bonheur. Jonas avait beau regarder partout autour de lui, il ne voyait plus que de magnifiques vagins humides et des paires de seins dans tous les sens. Une femme s’assis de tout son poids sur son visage et Jonas se mis à hurler :
- OUI, ça y est, je viens, JE VIENS, oh merci maîtresses, MERCI !
Il éjacula ? En proie à un terrible bien être, il se relacha complètement. Il était au septième ciel et plus rien n’avait d’importance. Les femmes commencèrent à se dégager de Jonas, et ce qu’il vit le fit redescendre sur terre.
Gladia se tenait debout à côté de lui, martinet à la main, et le fixai d’un regard à vous glacer le sang.

« - Gladia… Je peux tout t’expliquer. »


A suivre…