L'employée de maison (6)
Récit érotique écrit par Juju56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'employée de maison (6)
Dans la matinée, Caroline, de son bureau, me dit qu’elle avait une course à faire et qu’elle n’en avait pas pour longtemps. Lorsque je lui demandais la nature de cette course, elle me répondit que j’étais un gros curieux et que je n’avais qu’à patienter.
Je me remis donc au travail et en effet, Caroline fut absente un gros ¼ d’heure. Elle n’avait rien dans les mains, seulement son sac en bandoulière. Nous avons quittés le bureau vers 11 h 45 pour rentrer déjeuner. Valérie nous avait concocté un délicieux déjeuner. Pendant que nous prenions l’apéritif, Caroline se leva et partit dans la cuisine parler à Valérie. Ça m’énervait car je n’entendais pas ce qu’elles se disaient. Ma Douce revint avec un petit sourire…
Désormais Valérie mangeait avec nous midi et soir, se trouvant très à l’aise d’évoluer nue dans la maison. Je me demandais même si elle ne faisait pas ça pour nous exciter ! Après le repas, nous sommes partis au bureau où j’ai trouvé que l’après-midi se trainait en longueur, me creusant les méninges pour savoir quelle course avait pu faire Caroline le matin.
A 18 h, Ma Chérie me dit que j’avais assez travaillé et que nous partions. En roulant, j’avais beau l’observer du coin de l’œil, son visage était imperturbable. Arrivés devant notre maison et avant de descendre de voiture Caroline me dit :
- C’est bien Mon Chéri, tu as été sage et patient depuis ce matin mais je suis sure que ça va te plaire.
En rentrant dans la maison, puis dans le salon, je vis alors devant la table du salon ou nous attendait notre apéritif Valérie nue, à genoux et les yeux bandés. Je regardais alors Caroline qui me prit par la main et me fis m’asseoir sur le canapé en mettant un doigt devant sa bouche pour me dire de faire silence. Elle alla se placer devant Valérie.
- Valérie, tu as exprimé un désir l’autre jour devant moi en particulier, eh bien, saches que ton souhait va se réaliser ce soir.
Elle alla jusqu'à son sac à main, elle en sortit un sac et revint devant Valérie. Elle savait visiblement ce qui allait se passer car elle leva le menton et Caroline la para d’un collier qu’elle referma sur sa nuque. C’était un très joli collier en cuir blanc et a l’anneau prévu pour y attacher une laisse, il y avait une médaille ou étaient inscrits les mots « Soumise Valérie ». Je restais muet devant cette scène tant j’étais subjugué. Caroline dit alors Valérie d’enlever son bandeau et qu’elle pouvait aller se voir devant la glace de l’entrée.
Elle revint comme une flèche et se laissant tomber à genoux, s’empara des mains de Caroline pour les embrasser et elle dit à sa Maitresse :
- Je vous remercie Maitresse d’avoir enfin accédée à ma requête. C’est très joli et je ne l’enlèverai que pour me doucher. Même si vous n’étiez pas dans la confidence je vous remercie Maitre.
Tout en restant à genoux, elle se déplaça vers moi et m’embrassa les mains. Pour fêter cela, je dis à Valérie d’aller chercher du champagne et c’était d’un plaisir visuel sans fin que je la vis partir en tortillant son petit derrière. Vie se passait sans un nuage et Caroline et moi considérions plus Valérie comme un membre à part entière de la famille, alors qu’elle agissait comme si elle était réellement soumise. Il n’y avait que lorsque nous faisions l’amour tous les 3, qu’elle nous appelait par nos prénoms.
La semaine suivante après que Caroline lui ai offert son collier, nous avions prévu un diner avec 2 couples de nos amis. Nous connaissions ces personnes depuis un bon moment et c’est même amusant que Caroline ne m’ait pas rencontré plus tôt car elle les connaissait depuis longtemps mais il se trouvait que nous n’étions jamais invités ensemble ! Ah destin quand tu nous tiens …
Donc pour ce repas, ou ces amis allaient pour la première fois nous voir en couple, Caroline était décidée à « mettre le paquet ». Elle me demanda si nous pouvions indiquer à Valérie que nous étions intimes et lorsque nous étions encore chacun célibataire, nous étions allés en club échangiste avec eux. Je lui dis que bien sur elle pouvait le faire et qu’il le valait mieux car si jamais ça « dérapait » Valérie ne serait pas surprise. Elle ne vint pas au bureau du mercredi afin que tout soit impeccable pour le samedi. Elle organisa son menu, passa les commandes nécessaires et le vendredi matin en compagnie de Valérie, elles partirent faire leurs courses. Dans le courant de la matinée, elles passèrent me voir car Ma Belle voulait que je lui dise quels vins elle devait acheter.
Autant dire que leur entrée dans l’entreprise ne passa pas inaperçue : Caroline dans une superbe robe rouge bien décolletée et Valérie en minijupe et T-shirt hyper moulant. Comme à son habitude, elle marchait à trois pas derrière Caroline en signe respect pour sa Maitresse. Arrivée dans mon bureau, elles m’embrassèrent toutes les deux, mais pas le simple baiser sur la joue mais sur les lèvres et avec leurs langues dans ma bouche. Ouahhh, mon pantalon commençait à me causer des soucis. Valérie s’en rendit compte et sans plus de manières, s’agenouilla ouvrit ma braguette, mit mon membre a l’air et entama une fellation d’enfer. Sa langue virevoltait sur mon gland qu’elle avait décalotté et après peu de temps, elle engloutit ma hampe en entier. A ce petit jeu, je ne pus résister bien longtemps et je me déversais dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte et avala tout avec un sourire de contentement.
- Caroline, si j’avais su, je serais allé fermer la porte de mon bureau à clef !
- Tu étais tellement occupé, que tu n’as même pas vu que j’y étais allé afin de ne pas nous faire déranger !
Valérie alla voir sa Maitresse et elle embrassa Caroline pour partager mon sperme avec elle car la coquine en avait gardé un peu dans sa bouche. Peu de temps après, elles repartirent pour terminer leurs courses. Je les retrouvais avec plaisir à midi et le déjeuner fut l’occasion d’attouchements aussi légers qu’agréables.
Le soir à mon retour, Caroline me demanda à parler avec elle dans mon bureau.
- Voilà Mon Chéri, j’ai informé Valérie de la relation que nous avions avec nos amis et je lui ai dit que je la prévenais afin qu’elle ne soit pas choquée si la soirée se débridait.
- Oui excellente idée, tu as bien fait Mon Amour.
- Oui sa seule réponse fut : « Aurais-je le droit de participer ? ». Je lui ai donc dit que j’allais voir ça avec toi.
- Moi je serais pour qu’elle participe bien sur sinon elle risque de se sentir rejetée.
- Ok, on fait comme ça. A nous de nous débrouiller pour lancer la soirée pendant le repas !
Le samedi matin, Valérie faisait le ménage à fond bien que Caroline lui ai dit que ce n’était pas si sale que ça. Moi, ne voulant pas être dans leurs jambes, je ne sortis de mon bureau que vers midi. J’avais réussi à mettre à jour certaine donnée de l’entreprise et j’étais content de moi.
Un bon apéritif me fit le plus grand bien et nous avons déjeuné. L’après-midi, je fus prié d’aller me balader pour qu’elles puissent finir leurs préparatifs. Je ne pointais le bout de mon nez que vers 17 heures. Caroline se jeta à mon cou et me dit qu’elle avait une surprise pour moi. Elle appela Valérie qui, les cheveux coiffés en chignon, apparut a la porte de la cuisine, « vêtue » de son seul tablier blanc. Gloups, je restais la regarder la bouche ouverte. Caroline me précisa quand même que Valérie lui avait demandé si elle pouvait le faire.
Les seins de Valérie tenaient avec peine derrière le haut de son tablier quant à son sexe, il était à peine caché par le bas du vêtement. Je dis à Caroline que si avec Valérie vêtue ainsi nos invités restaient de marbre ce serait à désespérer. Je partis prendre une douche et m’habiller. Je proposais à Caroline et Valérie un cocktail pour elles et bien sur un whisky pour moi. Elles avaient bien mérité après tout le travail qu’elles avaient eu. Valérie était excitée comme une puce et Caroline s’en amusait. A son tour, elle monta se préparer et j’en profitais pour peloter Valérie assise sur mes genoux. 19 heure approchait et bientôt les invités seraient là. Ma Caroline redescendit alors plus belle et plus sexy que jamais. La sonnerie de la porte me tira de mon air heureux…
La suite très vite …
PS : Ce texte avec peu de relations me permet d’introduire le repas et la suite à proprement parler.
Je me remis donc au travail et en effet, Caroline fut absente un gros ¼ d’heure. Elle n’avait rien dans les mains, seulement son sac en bandoulière. Nous avons quittés le bureau vers 11 h 45 pour rentrer déjeuner. Valérie nous avait concocté un délicieux déjeuner. Pendant que nous prenions l’apéritif, Caroline se leva et partit dans la cuisine parler à Valérie. Ça m’énervait car je n’entendais pas ce qu’elles se disaient. Ma Douce revint avec un petit sourire…
Désormais Valérie mangeait avec nous midi et soir, se trouvant très à l’aise d’évoluer nue dans la maison. Je me demandais même si elle ne faisait pas ça pour nous exciter ! Après le repas, nous sommes partis au bureau où j’ai trouvé que l’après-midi se trainait en longueur, me creusant les méninges pour savoir quelle course avait pu faire Caroline le matin.
A 18 h, Ma Chérie me dit que j’avais assez travaillé et que nous partions. En roulant, j’avais beau l’observer du coin de l’œil, son visage était imperturbable. Arrivés devant notre maison et avant de descendre de voiture Caroline me dit :
- C’est bien Mon Chéri, tu as été sage et patient depuis ce matin mais je suis sure que ça va te plaire.
En rentrant dans la maison, puis dans le salon, je vis alors devant la table du salon ou nous attendait notre apéritif Valérie nue, à genoux et les yeux bandés. Je regardais alors Caroline qui me prit par la main et me fis m’asseoir sur le canapé en mettant un doigt devant sa bouche pour me dire de faire silence. Elle alla se placer devant Valérie.
- Valérie, tu as exprimé un désir l’autre jour devant moi en particulier, eh bien, saches que ton souhait va se réaliser ce soir.
Elle alla jusqu'à son sac à main, elle en sortit un sac et revint devant Valérie. Elle savait visiblement ce qui allait se passer car elle leva le menton et Caroline la para d’un collier qu’elle referma sur sa nuque. C’était un très joli collier en cuir blanc et a l’anneau prévu pour y attacher une laisse, il y avait une médaille ou étaient inscrits les mots « Soumise Valérie ». Je restais muet devant cette scène tant j’étais subjugué. Caroline dit alors Valérie d’enlever son bandeau et qu’elle pouvait aller se voir devant la glace de l’entrée.
Elle revint comme une flèche et se laissant tomber à genoux, s’empara des mains de Caroline pour les embrasser et elle dit à sa Maitresse :
- Je vous remercie Maitresse d’avoir enfin accédée à ma requête. C’est très joli et je ne l’enlèverai que pour me doucher. Même si vous n’étiez pas dans la confidence je vous remercie Maitre.
Tout en restant à genoux, elle se déplaça vers moi et m’embrassa les mains. Pour fêter cela, je dis à Valérie d’aller chercher du champagne et c’était d’un plaisir visuel sans fin que je la vis partir en tortillant son petit derrière. Vie se passait sans un nuage et Caroline et moi considérions plus Valérie comme un membre à part entière de la famille, alors qu’elle agissait comme si elle était réellement soumise. Il n’y avait que lorsque nous faisions l’amour tous les 3, qu’elle nous appelait par nos prénoms.
La semaine suivante après que Caroline lui ai offert son collier, nous avions prévu un diner avec 2 couples de nos amis. Nous connaissions ces personnes depuis un bon moment et c’est même amusant que Caroline ne m’ait pas rencontré plus tôt car elle les connaissait depuis longtemps mais il se trouvait que nous n’étions jamais invités ensemble ! Ah destin quand tu nous tiens …
Donc pour ce repas, ou ces amis allaient pour la première fois nous voir en couple, Caroline était décidée à « mettre le paquet ». Elle me demanda si nous pouvions indiquer à Valérie que nous étions intimes et lorsque nous étions encore chacun célibataire, nous étions allés en club échangiste avec eux. Je lui dis que bien sur elle pouvait le faire et qu’il le valait mieux car si jamais ça « dérapait » Valérie ne serait pas surprise. Elle ne vint pas au bureau du mercredi afin que tout soit impeccable pour le samedi. Elle organisa son menu, passa les commandes nécessaires et le vendredi matin en compagnie de Valérie, elles partirent faire leurs courses. Dans le courant de la matinée, elles passèrent me voir car Ma Belle voulait que je lui dise quels vins elle devait acheter.
Autant dire que leur entrée dans l’entreprise ne passa pas inaperçue : Caroline dans une superbe robe rouge bien décolletée et Valérie en minijupe et T-shirt hyper moulant. Comme à son habitude, elle marchait à trois pas derrière Caroline en signe respect pour sa Maitresse. Arrivée dans mon bureau, elles m’embrassèrent toutes les deux, mais pas le simple baiser sur la joue mais sur les lèvres et avec leurs langues dans ma bouche. Ouahhh, mon pantalon commençait à me causer des soucis. Valérie s’en rendit compte et sans plus de manières, s’agenouilla ouvrit ma braguette, mit mon membre a l’air et entama une fellation d’enfer. Sa langue virevoltait sur mon gland qu’elle avait décalotté et après peu de temps, elle engloutit ma hampe en entier. A ce petit jeu, je ne pus résister bien longtemps et je me déversais dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte et avala tout avec un sourire de contentement.
- Caroline, si j’avais su, je serais allé fermer la porte de mon bureau à clef !
- Tu étais tellement occupé, que tu n’as même pas vu que j’y étais allé afin de ne pas nous faire déranger !
Valérie alla voir sa Maitresse et elle embrassa Caroline pour partager mon sperme avec elle car la coquine en avait gardé un peu dans sa bouche. Peu de temps après, elles repartirent pour terminer leurs courses. Je les retrouvais avec plaisir à midi et le déjeuner fut l’occasion d’attouchements aussi légers qu’agréables.
Le soir à mon retour, Caroline me demanda à parler avec elle dans mon bureau.
- Voilà Mon Chéri, j’ai informé Valérie de la relation que nous avions avec nos amis et je lui ai dit que je la prévenais afin qu’elle ne soit pas choquée si la soirée se débridait.
- Oui excellente idée, tu as bien fait Mon Amour.
- Oui sa seule réponse fut : « Aurais-je le droit de participer ? ». Je lui ai donc dit que j’allais voir ça avec toi.
- Moi je serais pour qu’elle participe bien sur sinon elle risque de se sentir rejetée.
- Ok, on fait comme ça. A nous de nous débrouiller pour lancer la soirée pendant le repas !
Le samedi matin, Valérie faisait le ménage à fond bien que Caroline lui ai dit que ce n’était pas si sale que ça. Moi, ne voulant pas être dans leurs jambes, je ne sortis de mon bureau que vers midi. J’avais réussi à mettre à jour certaine donnée de l’entreprise et j’étais content de moi.
Un bon apéritif me fit le plus grand bien et nous avons déjeuné. L’après-midi, je fus prié d’aller me balader pour qu’elles puissent finir leurs préparatifs. Je ne pointais le bout de mon nez que vers 17 heures. Caroline se jeta à mon cou et me dit qu’elle avait une surprise pour moi. Elle appela Valérie qui, les cheveux coiffés en chignon, apparut a la porte de la cuisine, « vêtue » de son seul tablier blanc. Gloups, je restais la regarder la bouche ouverte. Caroline me précisa quand même que Valérie lui avait demandé si elle pouvait le faire.
Les seins de Valérie tenaient avec peine derrière le haut de son tablier quant à son sexe, il était à peine caché par le bas du vêtement. Je dis à Caroline que si avec Valérie vêtue ainsi nos invités restaient de marbre ce serait à désespérer. Je partis prendre une douche et m’habiller. Je proposais à Caroline et Valérie un cocktail pour elles et bien sur un whisky pour moi. Elles avaient bien mérité après tout le travail qu’elles avaient eu. Valérie était excitée comme une puce et Caroline s’en amusait. A son tour, elle monta se préparer et j’en profitais pour peloter Valérie assise sur mes genoux. 19 heure approchait et bientôt les invités seraient là. Ma Caroline redescendit alors plus belle et plus sexy que jamais. La sonnerie de la porte me tira de mon air heureux…
La suite très vite …
PS : Ce texte avec peu de relations me permet d’introduire le repas et la suite à proprement parler.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
encore un récit et arrêt.
que d'alcool consommé en apéro.
Faudrait penser à arrêter, y a rien de nouveau