l'entretien 2ème partie - histoire érotique

Deuxième partie


Lundi suivant, le weekend fût très long à attendre cette enveloppe si désirée. Arrivée au bureau tu t’adresses à l’accueil de l’entreprise, la secrétaire te remets une enveloppe comme prévu par ton employeur. Pour éviter tous soupçon tu te diriges vers ton bureau pour l’ouvrir discrètement et faire semblant d’installer tes affaires pour un 1er jour de travail. Heureusement que tu es arrivée en avance, cela évite de croiser ta collègue qui doit te former. L’enveloppe est neutre. Tu l’ouvres. Dedans il y a comme promis une carte bancaire avec un petit mot où il est noté le code confidentiel. Et une liste d’accessoire féminin et une adresse.

Reprenant tes affaires tu retournes à ta voiture pour t’y rendre. L’adresse est à 20 min de route de l’entreprise et dans un quartier discret. Arrivée à l’adresse tu te stationnes et la boutique n’est pas ouverte mais sur les indications de la lettre tu dois frapper à l’entrée et l’employer doit venir t’ouvrir.

Toc toc toc. Quelque instant plus tard le verrou s’enclenche et la porte s’ouvre. La devanture ne paye pas de mine mais en entrant la chaleur d’un lieu cosy t’envahis. L’homme te salut, il est grand et brun. Des yeux noirs et une allure athlétique.
Bonjour Madame, Mr X m’a prévenu de votre arrivée et il m’a confié la délicate tâche de combler les achats et désires de Madame. Je vous en pris entrée donc.
Tu rentres sans crainte dans cet établissement qui ressemble à une caverne d’Alibaba version sexe shop. Probablement un grossiste en loisir pour adulte.

« Permettez-moi de prendre votre liste, et vous demander de me suivre pour rejoindre les cabines d’essayages »
Tu rentres dans une grande cabine à rideaux, où est disposée plusieurs grands miroirs. L’homme t’a demandé plusieurs mensurations pour aller chercher le contenue de la liste pour un essayage.
Il revient quelque instant plus tard et à travers le rideau, il commence à te donner plusieurs articles.
Bottes, chaussures à talon, bas, lingerie fine, et robe à décolletée.
Tu passes les accessoires les uns après les autres et ressort de la cabine pour marcher et voir si les tenues et accessoires sont assorties. L’homme se permet de complimenter les tenues. Parfois meme quelques waou et sublime sorte de ça bouche. Tu te sens comme une princesse à voir ton reflet dans le miroir. Elégante et aguichante en meme temps. Tout ce qu’il faut pour les rendez vous commerciaux extérieurs.
Mr X va t’être ravis de mes choix, je pense. Les robes vous subliment et je ne connais pas un homme qui pourra résister à vos charmes. Et si vous le permettez madame, sachez qu’ils opèrent déjà.

« Je vous remercie, et je dois admettre que vous avez de très bon gout pour choisir les tenues ! »

Tu dis tout cela en regardant furtivement les belles bosses du vendeur. Qui le remarque avec un joli sourire complice.
Tu essaies plusieurs tenues du meme genre, avec des décolletés plus ou moins profond ou provocateurs. Parfois le port de soutient gorge n’est pas nécessaire, ce qui accentue la provocation. A chaque essayage le vendeur te regarde de haut en bas et ses yeux brilles d’envies. Tu le remarques et il faut dire que la situation te plait aussi. S’avoir l’effet que les robes vont faire sur ton patron, sur ses clients et évidement sur le vendeur lui-même te donne des envies. A chaque changement de tenue dans la cabine tu sens le désire monter. La pointe de tes seins durcisse au contact des lingeries que tu mets et retires. Ton sexe lui-même palpite doucement à chaque regard que le vendeur te porte. La situation devient électrique et érotique. Tu fais même exprès de temps en temps de mal refermer le rideau pour laisser juste ce qu’il faut pour être observer et bien entendu aguicher.
Cela fait presque 1h30 que les tenues s’enchainent et que ce petit jeu d’exhibition privée a commencé. Tu informes le vendeur de tes choix et relies une dernière fois la lettre pour être sûr de rien oublier sur les directives du patron.
Voilà Mr, mes choix sont faits. Pourriez vous s’il vous plait les mettre dans un sac le temps que je me rhabille ?

« A votre service madame. Mais avant que vous vous rhabilliez, puis-je pour offrir un cadeau pour vous remercie de votre venue et des jolies courbes que vous m’avez offert en ce lundi matin ? et j’aimerai la voir sur vous avant que vous partiez ! »
« Avec un tel service personnel, je ne vois pas pourquoi je refuserai une telle offre généreuse de votre part. je vais attendre votre sélection particulière dans la cabine alors. »

Tu entends le vendeur s’éloigner avec les articles choisis. Il revient peu de temps après, et glissant une main à travers le rideau, il te tend une lingerie plus coquine que celle essayée précédemment.
Tu les prends et furtivement tu caresses le dessus de sa main au passage. Douceur de la peau inconnu, choc électrique qui te liquéfie de désire.

« J’espère que m’a sélection ne vous choquera pas et que mon cadeau vous plaira »
En effet, tu commences à mettre la lingerie qui se compose de, bas résilles, d’un porte jarretelle, et d’un soutient gorge triangle ouvert pour laisser échapper deux tétons. Tu remarques qu’il ne t’a pas donné de string ou tanga et tu n’oses pas lui demander de peur de le vexé sur son cadeau. Tu ne sais pas si tu peux sortir de la cabine ainsi vêtue. Mais il serait désobligeant de pas le faire par correction envers le cadeau du vendeur.
Tu tires les rideaux doucement, il est là, à quelque pas, assis sur une chaise à attendre.

« Allez-y, sortez donc que je puisse voir la belle femme que vous êtes ».
Tirant les rideaux complètement cette fois ci, tu t’avances doucement. Sensation mitigée entre désire et pudeur. Mais le regard qu’il te porte t’invite à te montrer de tout ton être.
« Vous êtes sublime, et extrêmement désirable. Mr X avait bien raison. Approchez vous s ’il vous plait »
A ces mots, tu comprends que Mr X et le vendeur ont donc parler de toi, tu ne sais pas si c’est encore un test pour les futures signatures de contrat ou juste que le vendeur veuille profiter de la vue. Mais comme dans le bureau du patron, ton désir nait. La pulsion du plaisir t’envahit. Après tout, tu es libre de tes choix et de tes actes. Pas de comptes à rendre à personne. Tu t’avances doucement vers le vendeur et tournant et dévoilant la moindre partie de ton corps joliment vêtu.
Debout face à lui, tu sens son regard sur toi. L’une de ses mains glisse sur la cuisse et remonte vers ta hanche. Un frisson te parcourt et lentement tu fermes les yeux pour laisser tout tes sens s’ouvrir.

« Vous êtes charmante ! et comme je le disais il y a qu’elle instant, peu d’homme pourrait résister à votre attraction féminine. Puis je continuer à savourez vos charmes madame ? »
Soupirant doucement, tu le laisse un « oui » s’échapper de tes lèvres. Les yeux fermés, la deuxième main vient caresser la cuisse opposée et remonter vers tes hanches. La situation est libertine. Seule avec un vendeur charmant, et lingerie coquine dans un magasin.
Le vendeur ne dit plus rien mais continue ses caresses. Tu sens son souffle si proche. Toi debout devant lui. Lui assis, son visage à la hauteur de ton sexe glabre. Ses mains glissent doucement vers tes fesses. Tu sens ses doigts sur ta peau qui attirent ton bassin vers lui. Toujours les yeux fermés, tu savoures la finesse de son savoir-faire. Progressivement, tu sens la chaleur de son souffle sur tes lèvres intimes, puis la douceur d’un baisé dessus, puis la moiteur de sa langue sur la fente de ton sexe. Pas un mot, pas une réflexion, juste le désire qui vous conduit. Ta bouche s’ouvre doucement à chaque coup de langue que tu reçois. Te tenant les fesses il t’attire vers sa bouche qui dévore ton sexe. Il embrasse et fait littéralement l’amour à ton intimité. Tu te surprends à poser tes mains sur sa tête pour l’appeler à continuer la caresse buccale qui te fait temps soupirer. Ton sexe est pleinement réceptif et appel à bien des plaisirs. Ton bassin ondule même sur sa bouche pour faciliter l’intrusion et l’insertion de la langue agile et gourmande.

« Oui, c’est très bon, continuez s’il vous plait, n’arrêtez pas ».
L’orgasme n’est pas loin, tu sens tes jambes se dérober à chaque seconde qui passe. Ton esprit s’envole en pensée coquine et le désire d’être prise te submerge.
Sentant ta fatigue, il se relève et te prend par la main pour te conduire vers le banc dans la cabine d’essayage. Il t’installe confortablement dessus. Se positionnant à genou devant toi, il vient écarter tes jambes pour reprendre son cunnilingus. De ses mains libres, il écarte tes grandes lèvres pour venir chercher ton clitoris avec ses lèvres. La douceur de sa caresse de départ devient plus bestiale à chaque minute qu’il te dévore. Temps tôt, il aspire ton bouton, temps tôt il le mordille ou le lèche. Tes mains sur son crane et ton bassin ondulant tu te laisse exploser. Ton orgasme te prend et dans un élan exquis tu te fais jouir avec ça bouche. La pièce exigüe et les miroirs joue un rôle fantasmatique à la situation. Te voir être gouter et caresser amplifient tes pensées torrides. Tu te sens très coquine.
Lentement il se redresse pour admirer la femme comblée de plaisir que tu es. Son pantalon déformer par l’érection qu’il a présage d’un beau gabarit.
« Me permettez-vous que je vous photographie dans cette tenue et position pour mon côté voyeur ? »
« Oui avec plaisir mais que cela reste entre nous ! »
Quelque cliché se suivent, et pour assouvir son coté voyeur tu viens écarter ton sexe avec les mains pour l’aguicher davantage.
« Grand coquin, prend bien mon sexe en photo mais surtout me laisse pas comme ça, vient me prendre tout court »
Habituellement si réservé, la phrase est sortie toute seule sous le coup de la situation si torride.
Reposant son téléphone, le vendeur se déshabille et vient porter son sexe à ta bouche. Assise sur le banc tu suces la belle proéminence si dure et si veinée. Amatrice de fellation tu prodigues cette caresse avec intensité et gourmandise. Le vendeur glisse ses mains sur tes seins et grasse à ton soutient gorge au triangle ouvert, il accède facilement à tes mamelons sensibles. De ses doigts il les fait tourner doucement et les tires progressivement à te faire gémir. Ton esprit s’envole et ton corps réclame plus encore.

« Que ta bouche est délicieuse, continue oui c’est trop bon haa ! putain, Mr X avait raison tu suces vraiment bien !! »
Le fixant droit dans les yeux et faisant glisser ta langue de ses bourses jusqu’au méat, tu lui réponds.
« Alors, comme ça, Mr X, avait raison ? vous êtes vraiment complice et des vrais coquins ! mais sachez que Mr X ne connait pas tout encore. D’ailleurs venez donc me culbuter face au miroir. Et prenez une photo pour lui. Il verra à qu’elle point je prends mon travaille très à cœur »

La femme douce et réservée c’est envolé. La situation ta rendu tigresse et aguicheuse.
Te plaçant face au miroir et courbant tes reins, tu peux voir le vendeur s’équiper d’un préservatif et se placer derrière toi.
Jouant de tes charmes explicites tu te surprends même à vouloir aguicher le vendeur et ton patron pour la même occasion.
La pénétration est brutale, tu sens toute la fougue du vendeur entre tes cuisses. Les coups de butoirs te font crier et gémir. Tu vois dans le miroir le corps de l’homme qui te prends. La vision t’excite. Et tu comprends la complicité des deux hommes et cela tu plais.

« Dit donc grand coquin ! envoyez donc une vidéo à mon patron qu’il puisse juger de tes talents et des miens »

La vidéo commence et la vue est imprenable avec le jeu de miroir. Une main à te caresse les seins ou le clitoris, l’autre mains prenant appuie sur le miroir, et le vendeur agrippant tes hanches pour mieux te prendre. Ta poitrine ondule à un rythme saccadé suivant la continuité des coups de chibre du vendeur.
« ouii haa c’est bon plus fort, oui bourre moi bien oui baise moi ooui c’est bon. Regardez Mr X comme j’aime ça ouiiii haaaaaaa »

Et sous l’effet de l’exhibition à ton patron, sous l’effet des vas et vient virulent du vendeur et sous l’emprise du plaisir, ton orgasme te submerge à la fin de cette phrase.
Lui aussi capitule rapidement dans cette position si exquise, remplissant son capuchon de plaisir.
La reprise de respirations est saccadée tant le plaisir était intense et enivrant.

« Merci à vous, c’était un moment extrêmement exquis, je ne regrette pas de vous offrir cette lingerie et j’espère qu’à chaque fois que vous la porterez vous penserez un peu à moi »

« Merci également, et j’espère n’avoir pas dépasser trop les bornes, je ne voudrai pas que mon patron me licencie dès mon 1er jour »

« N’ayez crainte ! le connaissant il voudra même vous proposez des entretiens réguliers »

Vous vous mettez à rire tout les deux sur cette fin de phrase.
Le temps pour toi de te rhabiller sans quitter l’ensemble offert pour le signaler au vendeur juste avant de quitter la boutique avec les précieux achats.

« Au revoir Mr et peut être à bientôt, sachez que je pars en portant votre cadeau pour ma journée de travail »

Reprenant la voiture tu te mets en route pour retourner à l’entreprise à 13h30 après une pause déjeunée bien mérité.
Durant cette pause, tu reçois une notification de mail professionnel de ton patron :

- Madame, je viens de recevoir un message de notre ami commun de ce matin, et je suis ravi que vous ayez trouvé les tenues appropriées pour nos signatures de contrats. Je tiens aussi à féliciter le vendeur pour le cadeau qu’il vous a fait et vous remercie pour la belle surprise en vidéo. Si cela n’est pas trop abuser de ma part j’aimerai beaucoup que vous veniez dans mon bureau demain midi avec le cadeau du vendeur que je puisse l’admirer de visu.

Réponse de ta part :
- Je suis ravi que cette escapade vous plaise et il me semblait approprié que vous puissiez en profiter vous aussi vue que vous avez venter mes compétences au vendeur. Professionnelle je reste à votre convenance Mr X.

Et sur cette fin de mail, tu retournes à l’entreprise pour commencer ta formation d’assistante de direction et plus si affinité.