L'entretien 3ème partie
Récit érotique écrit par Adeux79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 16 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Adeux79 ont reçu un total de 139 077 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 10 174 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'entretien 3ème partie
Le lendemain comme convenue, lingerie offerte par le vendeur tu t’es mise à travailler en collaboration avec une employer pour être formée au poste d’assistante de direction. A la fin de la journée Monsieur X te convoque dans le bureau.
Lui :« Entrée Madame, je vous en prie asseyez-vous, j’espère que la journée n’a pas été trop fastidieuse et que vos nouvelles tâches vous apportent satisfaction ? »
Elle : « Oui Monsieur, la journée c’est bien passée et connaissant le poste occupé précédemment chez un autre employer il faut juste que je me forme à votre logiciel et vos données. Mais rien d’insurmontable. Je vous écoute que vouliez-vous me dire … ? »
Lui : « Disons que la vidéo d’hier était fort intéressante, pour ne pas dire excitante, et je serai ravis comme convenue d’admirer de visu le cadeau de notre vendeur ; puis je vous le demander ? »
Elle : « Mais bien-sûr ! »
Associant le geste à la parole, tu commences à retirer ta chemise blanche bouton par bouton. La faisant glisser le long de tes épaules pour laisser apparaitre le soutien-gorge en triangle. Les aréoles dépassent laissant la pointe de tes seins tendues s’échapper. Puis tu fais glisser ta jupe droite le long de tes cuisses. Faisant un pas de côté pour l’écarter de tes chevilles, te faisant pour la même occasion écartés les jambes. Une belle image de tes jambes fuselées et joliment dessinées par les bas tenus par le porte jarretelle. Comme la veille, pas de dentelle pour couvrir les merveilles de ta féminité.
Ainsi exposée, tu ne peux t’empêcher d’être excité.
Elle : « Cela vous convient-il Monsieur ? »
Lui : « Oui magnifique, le choix est tout à fait adapté et vous portez ce cadeau à merveille, faite un tour sur vous-même que je puisse admirer davantage. »
Exécutant la démarche tu tournes et exécutes quelque pas en plus pour satisfaire la curiosité de ton patron.
Lui : « Vous êtes vraiment une belle femme. Je vous remercie et j’espère que vous prenez aussi votre plaisir à accepter vos taches spéciales »
Elle : « Oh oui Monsieur, cela mets très agréable. »
Lui : « Bien vous pouvez vous rhabiller »
La phrase sonne comme une déception. Pensant qu’il allait profiter de cette situation pour assouvir un plaisir charnel mais pas du tout, te laissant humide est excitée. Sensation nouvelle et quelque peu déroutante mais terriblement excitante. Comme lors de la 1ere rencontre, ton fantasme hiérarchique est couronné par l’aplomb du patron maître de la situation et maître du désir qui sommeille en toi.
Lui : « Je vous remercie je vais vous laisser pour ce soir, et je tiens encore à vous remercier. Je vous dis à demain. »
Quittant le bureau de ton chef, tu regagnes ton logement. Ton esprit est embrumé, mais aussi très excité. Tu avais envie qu’il te caresse et abuse même de ton corps. Qu’il fasse sortir la tension sexuelle du moment. Dans la nuit tu ne peux t’empêcher de te masturber frénétiquement en imaginant toutes les coquineries que tu aurais voulu faire dans ce bureau, assouvir les désirs du patron en t’abandonnant totalement à lui. La nuit fut courte et orgasmique.
Les jours défilent, puis les semaines. Ton poste et ton professionnalisme viennent à bout de la période d’essai et enfin le CDI est signé. Le début d’année est éreintant, les objectifs de la boite sont fixés et l’ensemble des collaborateurs sont sur les startingblocks. Les réunions s’enchainent.
Lui : « Pourriez-vous venir dans mon bureau s’il vous plait Madame »
En entrant.
Elle :« Que puis-je pour vous Monsieur X ? »
Lui : « je viens de programmer un rdv pour une signature de contrat avec une grosse société de vente de vêtements. Un contrat que je ne peux pas laisser passer. Des livraisons sur toute la France. Et j’aimerai que vous puissiez m’accompagner à ce rendez-vous vendredi soir prochain. Etes-vous toujours d’accord par rapport à notre arrangement de départ ? »
Elle : « Oui Monsieur, je vous aiderai du mieux que je peux ! »
Lui : « Bien, disons rendez-vous vendredi 20h ici, et nous partirons ensemble à notre rendez-vous qui se trouve dans un restaurant que j’ai l’habitude pour les signatures des contrats, on y sera tranquille pour négocier et le patron est un ami, il sera aussi attentif à nos futurs clients pour faciliter la signature. »
Le vendredi arrive et tu reçois un mail professionnel.
« Bonjour, je vous rappelle que ce soir vous devez détourner et déconcentrer les attentions afin que les clients soient détendus. Prenez votre après-midi pour vous. A ce soir. »
20h tu arrives à la société.
Monsieur X t’attend dans le hall de l’établissement, l’ensemble des employés son partie en weekend.
Lui : « Vous êtes ravissante et vêtu de circonstance merci à vous »
En effet, talon aiguilles, jupe fendue. Jambes dessinées avec des bas laissant à peine apparaitre les jarretelles qui les maintiennent. Une chemise blanche légèrement déboutonnée sur le haut
Elle : « J’ai choisi la même tenue que le lendemain de mes achats avec le vendeur. Il me semble de mémoire que vous aviez beaucoup apprécié ce qu’il y avait dessous ? »
Lui : « Hum oui en effet j’en garde un très bon souvenir. Allons y, je vous accompagne à la voiture. »
Gentleman il t’ouvre la portière et t’aide à t’assoir. Evidement la jupe remonte un peu laissant apparaitre la lisère de tes bas et les attaches de jarretelles. Cela donne un côté très exotique à la situation qui te laisse fébrile d’excitation.
Il démarre et vous vous mettez en route. La discussion est légère mais aussi professionnelle. Il t’explique les enjeux du contrat, et les potentiels sommes que cela peut apporter à l’entreprise. Mais dans la discussion tu sens son regard sur tes jambes dévoilées.
Lui : « Dites-moi Madame, êtes-vous réellement vêtu avec les mêmes gourmandises que la dernière fois ? »
Elle : « Oui Monsieur, rien de plus et rien de moins. Si vous ne me croyez pas, vérifier par vous-même ! »
La main du patron se pose sur ton genou gauche. Le 1er contact depuis bien longtemps et l’effet est immédiat. Il remonte doucement vers ta cuisse. Ta respiration s’accélère déjà, mais tu essaies de le cacher. Déjà cette main arrive à la liaison de ta jupe et de tes bas. Instinctivement tu relâches les muscles des jambes, laissant le passage plus facile. La main disparait dessous. Les yeux mi-clos, tu l’as sens sur ta peau. Elle est chaude, et puissante. Les doigts glissent doucement vers le centre de ton bas ventre. Atteignant sans difficulté ton clitoris libre de toute entrave vestimentaire. La moiteur de ton sexe sous les pressions répétées est d’ores et déjà signe du plaisir de t’offrir à ton patron.
Lui : « Vous me comblez madame, je suis déjà satisfais de constater que vous prenez à cœur vos taches supplémentaire. »
Elle : « Hum oui monsieur, comme convenu je vais tout faire pour la signature de votre contrat. Je le fais avec plaisir »
Le ton détaché, directif te mets au supplice. Tu te rappels de la situation où il t’avait laissé frustrer dans son bureau. Se mélange te rend encore plus excité d’être si soumise à cette attente.
Pendant tout le trajet il te demande de bien écarter les jambes et de remonter la jupe. Quant à lui, il glisse sa main toujours plus loin, et ces doigts toujours plus profonds en toi. Tu ne retiens pas tes gémissements et tes appels à continuer.
Elle : « vous me faites du bien Monsieur X, continuez. Hum je me sens très coquine avec vous. Oui c’est bon »
Lui : « Mais rassurez-vous, je vais m’occuper de vous et de votre plaisir. »
Mais au moment où tu allais jouir dans la voiture, il arrête. Te laissant frustré et sur le bord du précipice du plaisir. Tu rages intérieurement, le détestant même. Mais son ton directif qui contrôle à tout moment la situation t’excites au plus haut point. Toujours ce fantasme d’être soumise au patron.
Lui : « Nous sommes arrivé. Je vous laisse vous réajuster un instant, et allons y »
Le restaurant est chic et gourmet. Le patron de celui-ci nous accueille et nous installe dans un coin bien à l’abri des regards. Les clients arrivent quelque instant après et s’installe avec nous.
Le repas est courtois, le vin coule à flot et les négociations sont déjà bien entamées. Devant toi il y a deux hommes en costume professionnel. Probablement des hauts dirigeant de la société. Sur les conseils de ton patron tu as défait deux boutons de la chemise. Cela laisse le galbe de tes seins à la vue des nombreux regards. Et tu remarques d’ailleurs que l’homme qui parait être le décideur final de la vente apprécie beaucoup. Les négociations sont féroces et pas forcément bien engagées. Beaucoup de points pourraient faire capoter l’affaire. Sentant le contrat s’éloigner au fur et à mesure du temps, tu décides à un moment opportun, de te rendre aux toilettes et dans la même action faire un petit clin d’œil au représentant en costume.
Sortant des toilettes et longeant l’étroit couloir, tu croises l’homme au costume sur le retour vers la salle. Le piège a marché. L’homme habitué à prendre des initiatives n’a pas hésité une seconde. Il te retient un instant pour te demander une faveur plus charnelle. L’homme a déjà une main sur ton sein, cherchant même à glisser dessous ton chemisier. Même si la situation dans un autre lieu t’aurait plus, tu lui fais comprendre que c’est, ni le lieu ni le moment, mais que cette petite affaire pourrait se résoudre sur un autre rendez-vous. Comme pour fêter une signature de contrat dans un lieu approprié. Proposition accompagnée d’une belle caresse sur l’entre-jambe durcit de L’homme. Relâchant la pression sur ton téton, l’homme sourit et semble bien comprendre la manœuvre. Peut-être habitué à ce type de négociation il repart dans l’autre direction.
Quant à toi, tu restes quelque instant, cœur battant la chamaille à la fois stressée mais aussi très excitée qu’un parfait inconnu te stimule de la sorte. Jamais une personne n’avait fait preuve d’une telle audace envers toi. A croire que les hommes en costume de direction te font chavirer et t’entrainent vers des envies peut être trop longtemps refoulées !
La suite du repas se passe comme une lettre à la poste, la situation est beaucoup plus détendue, et finalement les points dures de la négociation sont oubliés à chaque petite caresse de tes pieds sous la table, sur la cuisse du décideur. Fin du repas, contrat signé et convive remercier non sans avoir laisser quelque allusion d’une future rencontre prometteuse.
Lui : « Madame, vous avez été formidable. Je voyais le contrat s’envolé. Comment avez-vous fait ? »
Elle : « Mais Monsieur, ne suis pas là pour aider à la négociation ? J’ai juste fait entrevoir à nos chers amis qu’ils pourraient jouer de moi dans un autre rendez-vous pour fêter le contrat »
Lui : « Vous me surprenez de plus en plus. Venez rentrons au bureau je vous offre un dernier verre et je vous donnerai votre prime comme convenue et si vous le permettez je vous donnerai un petit plus en continuité de mes caresses de tout à l’heures. »
Elle : « Avec grand plaisir, surtout que j’en ai très envie aussi…. De ce dernier verre. »
Sur le retour, la tension est palpable. Vous avez envie tous les deux. Vous arrivez à l’entreprise et monter à l’étage où se trouve son bureau. Un jeu d’exhibition a duré le long du trajet, lui montrant entre deux feu rouge, tes seins gonflés et ton sexe humide. De petit allusion coquine sur l’entrevue avec le vendeur, glissé entre chaque compliment gourmand.
Passant la porte du bureau, à l’abris des regards, la tension sexuelle et telle qu’il te plaque contre le mur. Ta chemise est presque arrachée. Tes seins gonflés et sensibles sont plotés, embrassés et aspirés. Te laissant gémir enfin à gorge déployée.
Elle : « hum oui c’est bon j’en rêve depuis des jours. Hum oui baisez-moi ! Monsieur X oui baisez-moi ! »
Les mots sortent tout seul tellement c’est bon. L’un comme l’autre vous finissez nu à la vitesse de l’éclaire. Il utilise sa cravate pour bloquer tes poignets l’un contre l’autre. Cette sensation d’être à sa merci te rend encore plus réceptive au moindre mots et caresses. Tout ton corps fût léché, caressé et même légèrement violenté de petites claques sur tes fesses, tes seins et même ton clito. Son sexe fût lui aussi sucé, ses bourses caressées et griffés gentiment.
Prise debout le long du mur, ou à même le sol. Culbuté sur le bureau à maintes reprises, ton patron faisant honneur à tes courbes tendus. Appétit insatiable, gourmand de tes orifices qu’il a visités à de multiples reprises t’arrachant gémissement, cries et mots crus. Soumise à cet homme tu l’appels à abuser de toi.
Elle : « Ah oui Monsieur X oui continuez je suis à vous. Plus fort oui ah ! »
Lui : « Oh oui chère Madame je vais en profiter comme l’a fait notre cher vendeur. Vous aimez ça n’est pas ? une belle coquine vous faites ! »
En meme temps qu’il te culbute sur le bureau, tu sens ses mains écarter tes fesses et son pouce masser ta petite rosasse pour l’assouplir. Toujours mains ligotées tu ne peux que te laisser faire.
Elle : « Mais, Monsieur X que faite vous voyons hum c’est bon ! »
Lui : « vous m’exciter trop, et je vais vous prendre le cul sur ce bureau ! dite le que cela va vous plaît ! »
Elle : « Oh oui patron, baisez-moi comme une salope oui enculez moi fort ! je suis à vous ! défoncez-moi comme bon vous semble ! »
Sur ses mots, tu sens son sexe percer doucement l’ouverture de ta porte arrière et d’une seule poussée il le fait rentrer jusqu’à sentir ses bourses sur tes fesses. Mélange de douleur et de plaisir brutale qui te rende si salope à chaque va et vient puissant. Empoignant tes hanches à deux mains, il t’impose un rythme des plus soutenu, t’arrachant des cris de plaisir et des paroles obscènes qui dans d’autre circonstances ne seraient jamais sortie de ta bouche.
Ce fût qu’après t’avoir donné beaucoup de plaisir, et avoir abusé de tes charmes qu’il te libère de tes entraves pour te laisser te caresser les seins ou même te masturber allongée sur le bureau, la tête légèrement dans le vide pour qu’il puisse se masturber frénétiquement jusqu’à jouir sur ton visage. Saccade de foutre zébrant tes joues, et venant mourir sur tes lèvres entrouvertes. Sensation qui te procure un dernier orgasme et la satisfaction d’avoir combler ton Maitre employeur. Image fantasmatique, de ton désir de soumission hiérarchique, qui restera graver dans ta mémoire érotique.
La nuit fût courte et intense. Entre coupé de moment de repos, les actes sexuels s’enchainèrent, tantôt sensuels et tantôt endiablés te laissant au petit matin, des traces du soirée riche en émotion et sensation.
Gentleman il te raccompagne jusqu’à chez toi et encore secouée du plaisir vécu, il t’invite à passer chez lui le dimanche pour prolonger cette escapade coquine en compagnie d’un ami vendeur commun…
Elle : « Mais Monsieur X vous êtes très gourmand, cela ne vous a pas suffi de m’avoir prise cette nuit ? »
Lui : « Ho si je suis comblé de cette nuit, mais je pense que vous êtes une femme qui aime ce genre de proposition… Si vous êtes disposé à répondre à mes envies comme cette nuit, je vous promets que vous ne serez pas déçu, mais sachez que j’ai des goûts prononcés pour des plaisirs d’entraves, de jeux de soumission et de pluralités. Je vous laisse y réfléchir et j’attends votre réponse ce soir. Reposez-vous bien. »
Elle : « bien Monsieur, je vous répondrai ce soir. »
Vous vous quittez sur cette coquine invitation et du souvenir encore très présents de cette nuit torride.
Dans le confort de ton lit après cette nuit de drague, de flirt avec les négociations et cette nuit de sexe, tu te perds dans tes désirs. Dois-je accepter ou pas ? dois-je continuer ? la liberté et le plaisir éprouver te poussera t-il à dépasser d’autre limite ? t’assoupissant dans tes rêves profonds, une dernière pensée torride s’évapore et résonne « il m’a bien baisé soupir… »
Lui :« Entrée Madame, je vous en prie asseyez-vous, j’espère que la journée n’a pas été trop fastidieuse et que vos nouvelles tâches vous apportent satisfaction ? »
Elle : « Oui Monsieur, la journée c’est bien passée et connaissant le poste occupé précédemment chez un autre employer il faut juste que je me forme à votre logiciel et vos données. Mais rien d’insurmontable. Je vous écoute que vouliez-vous me dire … ? »
Lui : « Disons que la vidéo d’hier était fort intéressante, pour ne pas dire excitante, et je serai ravis comme convenue d’admirer de visu le cadeau de notre vendeur ; puis je vous le demander ? »
Elle : « Mais bien-sûr ! »
Associant le geste à la parole, tu commences à retirer ta chemise blanche bouton par bouton. La faisant glisser le long de tes épaules pour laisser apparaitre le soutien-gorge en triangle. Les aréoles dépassent laissant la pointe de tes seins tendues s’échapper. Puis tu fais glisser ta jupe droite le long de tes cuisses. Faisant un pas de côté pour l’écarter de tes chevilles, te faisant pour la même occasion écartés les jambes. Une belle image de tes jambes fuselées et joliment dessinées par les bas tenus par le porte jarretelle. Comme la veille, pas de dentelle pour couvrir les merveilles de ta féminité.
Ainsi exposée, tu ne peux t’empêcher d’être excité.
Elle : « Cela vous convient-il Monsieur ? »
Lui : « Oui magnifique, le choix est tout à fait adapté et vous portez ce cadeau à merveille, faite un tour sur vous-même que je puisse admirer davantage. »
Exécutant la démarche tu tournes et exécutes quelque pas en plus pour satisfaire la curiosité de ton patron.
Lui : « Vous êtes vraiment une belle femme. Je vous remercie et j’espère que vous prenez aussi votre plaisir à accepter vos taches spéciales »
Elle : « Oh oui Monsieur, cela mets très agréable. »
Lui : « Bien vous pouvez vous rhabiller »
La phrase sonne comme une déception. Pensant qu’il allait profiter de cette situation pour assouvir un plaisir charnel mais pas du tout, te laissant humide est excitée. Sensation nouvelle et quelque peu déroutante mais terriblement excitante. Comme lors de la 1ere rencontre, ton fantasme hiérarchique est couronné par l’aplomb du patron maître de la situation et maître du désir qui sommeille en toi.
Lui : « Je vous remercie je vais vous laisser pour ce soir, et je tiens encore à vous remercier. Je vous dis à demain. »
Quittant le bureau de ton chef, tu regagnes ton logement. Ton esprit est embrumé, mais aussi très excité. Tu avais envie qu’il te caresse et abuse même de ton corps. Qu’il fasse sortir la tension sexuelle du moment. Dans la nuit tu ne peux t’empêcher de te masturber frénétiquement en imaginant toutes les coquineries que tu aurais voulu faire dans ce bureau, assouvir les désirs du patron en t’abandonnant totalement à lui. La nuit fut courte et orgasmique.
Les jours défilent, puis les semaines. Ton poste et ton professionnalisme viennent à bout de la période d’essai et enfin le CDI est signé. Le début d’année est éreintant, les objectifs de la boite sont fixés et l’ensemble des collaborateurs sont sur les startingblocks. Les réunions s’enchainent.
Lui : « Pourriez-vous venir dans mon bureau s’il vous plait Madame »
En entrant.
Elle :« Que puis-je pour vous Monsieur X ? »
Lui : « je viens de programmer un rdv pour une signature de contrat avec une grosse société de vente de vêtements. Un contrat que je ne peux pas laisser passer. Des livraisons sur toute la France. Et j’aimerai que vous puissiez m’accompagner à ce rendez-vous vendredi soir prochain. Etes-vous toujours d’accord par rapport à notre arrangement de départ ? »
Elle : « Oui Monsieur, je vous aiderai du mieux que je peux ! »
Lui : « Bien, disons rendez-vous vendredi 20h ici, et nous partirons ensemble à notre rendez-vous qui se trouve dans un restaurant que j’ai l’habitude pour les signatures des contrats, on y sera tranquille pour négocier et le patron est un ami, il sera aussi attentif à nos futurs clients pour faciliter la signature. »
Le vendredi arrive et tu reçois un mail professionnel.
« Bonjour, je vous rappelle que ce soir vous devez détourner et déconcentrer les attentions afin que les clients soient détendus. Prenez votre après-midi pour vous. A ce soir. »
20h tu arrives à la société.
Monsieur X t’attend dans le hall de l’établissement, l’ensemble des employés son partie en weekend.
Lui : « Vous êtes ravissante et vêtu de circonstance merci à vous »
En effet, talon aiguilles, jupe fendue. Jambes dessinées avec des bas laissant à peine apparaitre les jarretelles qui les maintiennent. Une chemise blanche légèrement déboutonnée sur le haut
Elle : « J’ai choisi la même tenue que le lendemain de mes achats avec le vendeur. Il me semble de mémoire que vous aviez beaucoup apprécié ce qu’il y avait dessous ? »
Lui : « Hum oui en effet j’en garde un très bon souvenir. Allons y, je vous accompagne à la voiture. »
Gentleman il t’ouvre la portière et t’aide à t’assoir. Evidement la jupe remonte un peu laissant apparaitre la lisère de tes bas et les attaches de jarretelles. Cela donne un côté très exotique à la situation qui te laisse fébrile d’excitation.
Il démarre et vous vous mettez en route. La discussion est légère mais aussi professionnelle. Il t’explique les enjeux du contrat, et les potentiels sommes que cela peut apporter à l’entreprise. Mais dans la discussion tu sens son regard sur tes jambes dévoilées.
Lui : « Dites-moi Madame, êtes-vous réellement vêtu avec les mêmes gourmandises que la dernière fois ? »
Elle : « Oui Monsieur, rien de plus et rien de moins. Si vous ne me croyez pas, vérifier par vous-même ! »
La main du patron se pose sur ton genou gauche. Le 1er contact depuis bien longtemps et l’effet est immédiat. Il remonte doucement vers ta cuisse. Ta respiration s’accélère déjà, mais tu essaies de le cacher. Déjà cette main arrive à la liaison de ta jupe et de tes bas. Instinctivement tu relâches les muscles des jambes, laissant le passage plus facile. La main disparait dessous. Les yeux mi-clos, tu l’as sens sur ta peau. Elle est chaude, et puissante. Les doigts glissent doucement vers le centre de ton bas ventre. Atteignant sans difficulté ton clitoris libre de toute entrave vestimentaire. La moiteur de ton sexe sous les pressions répétées est d’ores et déjà signe du plaisir de t’offrir à ton patron.
Lui : « Vous me comblez madame, je suis déjà satisfais de constater que vous prenez à cœur vos taches supplémentaire. »
Elle : « Hum oui monsieur, comme convenu je vais tout faire pour la signature de votre contrat. Je le fais avec plaisir »
Le ton détaché, directif te mets au supplice. Tu te rappels de la situation où il t’avait laissé frustrer dans son bureau. Se mélange te rend encore plus excité d’être si soumise à cette attente.
Pendant tout le trajet il te demande de bien écarter les jambes et de remonter la jupe. Quant à lui, il glisse sa main toujours plus loin, et ces doigts toujours plus profonds en toi. Tu ne retiens pas tes gémissements et tes appels à continuer.
Elle : « vous me faites du bien Monsieur X, continuez. Hum je me sens très coquine avec vous. Oui c’est bon »
Lui : « Mais rassurez-vous, je vais m’occuper de vous et de votre plaisir. »
Mais au moment où tu allais jouir dans la voiture, il arrête. Te laissant frustré et sur le bord du précipice du plaisir. Tu rages intérieurement, le détestant même. Mais son ton directif qui contrôle à tout moment la situation t’excites au plus haut point. Toujours ce fantasme d’être soumise au patron.
Lui : « Nous sommes arrivé. Je vous laisse vous réajuster un instant, et allons y »
Le restaurant est chic et gourmet. Le patron de celui-ci nous accueille et nous installe dans un coin bien à l’abri des regards. Les clients arrivent quelque instant après et s’installe avec nous.
Le repas est courtois, le vin coule à flot et les négociations sont déjà bien entamées. Devant toi il y a deux hommes en costume professionnel. Probablement des hauts dirigeant de la société. Sur les conseils de ton patron tu as défait deux boutons de la chemise. Cela laisse le galbe de tes seins à la vue des nombreux regards. Et tu remarques d’ailleurs que l’homme qui parait être le décideur final de la vente apprécie beaucoup. Les négociations sont féroces et pas forcément bien engagées. Beaucoup de points pourraient faire capoter l’affaire. Sentant le contrat s’éloigner au fur et à mesure du temps, tu décides à un moment opportun, de te rendre aux toilettes et dans la même action faire un petit clin d’œil au représentant en costume.
Sortant des toilettes et longeant l’étroit couloir, tu croises l’homme au costume sur le retour vers la salle. Le piège a marché. L’homme habitué à prendre des initiatives n’a pas hésité une seconde. Il te retient un instant pour te demander une faveur plus charnelle. L’homme a déjà une main sur ton sein, cherchant même à glisser dessous ton chemisier. Même si la situation dans un autre lieu t’aurait plus, tu lui fais comprendre que c’est, ni le lieu ni le moment, mais que cette petite affaire pourrait se résoudre sur un autre rendez-vous. Comme pour fêter une signature de contrat dans un lieu approprié. Proposition accompagnée d’une belle caresse sur l’entre-jambe durcit de L’homme. Relâchant la pression sur ton téton, l’homme sourit et semble bien comprendre la manœuvre. Peut-être habitué à ce type de négociation il repart dans l’autre direction.
Quant à toi, tu restes quelque instant, cœur battant la chamaille à la fois stressée mais aussi très excitée qu’un parfait inconnu te stimule de la sorte. Jamais une personne n’avait fait preuve d’une telle audace envers toi. A croire que les hommes en costume de direction te font chavirer et t’entrainent vers des envies peut être trop longtemps refoulées !
La suite du repas se passe comme une lettre à la poste, la situation est beaucoup plus détendue, et finalement les points dures de la négociation sont oubliés à chaque petite caresse de tes pieds sous la table, sur la cuisse du décideur. Fin du repas, contrat signé et convive remercier non sans avoir laisser quelque allusion d’une future rencontre prometteuse.
Lui : « Madame, vous avez été formidable. Je voyais le contrat s’envolé. Comment avez-vous fait ? »
Elle : « Mais Monsieur, ne suis pas là pour aider à la négociation ? J’ai juste fait entrevoir à nos chers amis qu’ils pourraient jouer de moi dans un autre rendez-vous pour fêter le contrat »
Lui : « Vous me surprenez de plus en plus. Venez rentrons au bureau je vous offre un dernier verre et je vous donnerai votre prime comme convenue et si vous le permettez je vous donnerai un petit plus en continuité de mes caresses de tout à l’heures. »
Elle : « Avec grand plaisir, surtout que j’en ai très envie aussi…. De ce dernier verre. »
Sur le retour, la tension est palpable. Vous avez envie tous les deux. Vous arrivez à l’entreprise et monter à l’étage où se trouve son bureau. Un jeu d’exhibition a duré le long du trajet, lui montrant entre deux feu rouge, tes seins gonflés et ton sexe humide. De petit allusion coquine sur l’entrevue avec le vendeur, glissé entre chaque compliment gourmand.
Passant la porte du bureau, à l’abris des regards, la tension sexuelle et telle qu’il te plaque contre le mur. Ta chemise est presque arrachée. Tes seins gonflés et sensibles sont plotés, embrassés et aspirés. Te laissant gémir enfin à gorge déployée.
Elle : « hum oui c’est bon j’en rêve depuis des jours. Hum oui baisez-moi ! Monsieur X oui baisez-moi ! »
Les mots sortent tout seul tellement c’est bon. L’un comme l’autre vous finissez nu à la vitesse de l’éclaire. Il utilise sa cravate pour bloquer tes poignets l’un contre l’autre. Cette sensation d’être à sa merci te rend encore plus réceptive au moindre mots et caresses. Tout ton corps fût léché, caressé et même légèrement violenté de petites claques sur tes fesses, tes seins et même ton clito. Son sexe fût lui aussi sucé, ses bourses caressées et griffés gentiment.
Prise debout le long du mur, ou à même le sol. Culbuté sur le bureau à maintes reprises, ton patron faisant honneur à tes courbes tendus. Appétit insatiable, gourmand de tes orifices qu’il a visités à de multiples reprises t’arrachant gémissement, cries et mots crus. Soumise à cet homme tu l’appels à abuser de toi.
Elle : « Ah oui Monsieur X oui continuez je suis à vous. Plus fort oui ah ! »
Lui : « Oh oui chère Madame je vais en profiter comme l’a fait notre cher vendeur. Vous aimez ça n’est pas ? une belle coquine vous faites ! »
En meme temps qu’il te culbute sur le bureau, tu sens ses mains écarter tes fesses et son pouce masser ta petite rosasse pour l’assouplir. Toujours mains ligotées tu ne peux que te laisser faire.
Elle : « Mais, Monsieur X que faite vous voyons hum c’est bon ! »
Lui : « vous m’exciter trop, et je vais vous prendre le cul sur ce bureau ! dite le que cela va vous plaît ! »
Elle : « Oh oui patron, baisez-moi comme une salope oui enculez moi fort ! je suis à vous ! défoncez-moi comme bon vous semble ! »
Sur ses mots, tu sens son sexe percer doucement l’ouverture de ta porte arrière et d’une seule poussée il le fait rentrer jusqu’à sentir ses bourses sur tes fesses. Mélange de douleur et de plaisir brutale qui te rende si salope à chaque va et vient puissant. Empoignant tes hanches à deux mains, il t’impose un rythme des plus soutenu, t’arrachant des cris de plaisir et des paroles obscènes qui dans d’autre circonstances ne seraient jamais sortie de ta bouche.
Ce fût qu’après t’avoir donné beaucoup de plaisir, et avoir abusé de tes charmes qu’il te libère de tes entraves pour te laisser te caresser les seins ou même te masturber allongée sur le bureau, la tête légèrement dans le vide pour qu’il puisse se masturber frénétiquement jusqu’à jouir sur ton visage. Saccade de foutre zébrant tes joues, et venant mourir sur tes lèvres entrouvertes. Sensation qui te procure un dernier orgasme et la satisfaction d’avoir combler ton Maitre employeur. Image fantasmatique, de ton désir de soumission hiérarchique, qui restera graver dans ta mémoire érotique.
La nuit fût courte et intense. Entre coupé de moment de repos, les actes sexuels s’enchainèrent, tantôt sensuels et tantôt endiablés te laissant au petit matin, des traces du soirée riche en émotion et sensation.
Gentleman il te raccompagne jusqu’à chez toi et encore secouée du plaisir vécu, il t’invite à passer chez lui le dimanche pour prolonger cette escapade coquine en compagnie d’un ami vendeur commun…
Elle : « Mais Monsieur X vous êtes très gourmand, cela ne vous a pas suffi de m’avoir prise cette nuit ? »
Lui : « Ho si je suis comblé de cette nuit, mais je pense que vous êtes une femme qui aime ce genre de proposition… Si vous êtes disposé à répondre à mes envies comme cette nuit, je vous promets que vous ne serez pas déçu, mais sachez que j’ai des goûts prononcés pour des plaisirs d’entraves, de jeux de soumission et de pluralités. Je vous laisse y réfléchir et j’attends votre réponse ce soir. Reposez-vous bien. »
Elle : « bien Monsieur, je vous répondrai ce soir. »
Vous vous quittez sur cette coquine invitation et du souvenir encore très présents de cette nuit torride.
Dans le confort de ton lit après cette nuit de drague, de flirt avec les négociations et cette nuit de sexe, tu te perds dans tes désirs. Dois-je accepter ou pas ? dois-je continuer ? la liberté et le plaisir éprouver te poussera t-il à dépasser d’autre limite ? t’assoupissant dans tes rêves profonds, une dernière pensée torride s’évapore et résonne « il m’a bien baisé soupir… »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Adeux79
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...