L'entretien - histoire érotique

Lundi 25 avril, je suis assise devant le bureau de celui qui me sert d’amant depuis maintenant près de 8 mois. D’un simple pari il était devenu très important à mes yeux. Jason était mon patron l’été dernier et après un pari avec un collègue j’avais fini dans son lit quelques mois après la fin de mon contrat. Qui aurait pu se dire que je finirai par m’attacher… Mais qui aurait pu résister à ces yeux bleus et son sourire. Il était drôle, charismatique et quand il est dans la même pièce que moi, mon corps ne sait pas se retenir. Il est attiré, mes sens sont échauffés, j’ai envie de lui dès qu’il pose ses lèvres sur les miennes.
Et ce lundi je suis devant son bureau pour un entretien d’embauche pour l’été, la lettre de motivation avait déjà été difficile à écrire… en effet, impossible d’y apposer mes véritables motivations « Pour te croiser un petit peu plus et pouvoir faire l’amour avec toi dans ton bureau… ». Imaginez alors la difficulté de se retrouver ici pour un entretien. Petit tailleur de rigueur, c’est quand il me fait entrer dans son bureau que je me dis que ça va être difficile. Je n’ai aucune envie de lui parler, j’ai envie de poser mes lèvres sur son sourire, l’embrasser, glisser ma langue dans sa bouche, je veux sentir ses mains sur mon corps, qu’il enlève ma chemise et soulage ma peau.
Mes envies devaient se lire dans mes yeux. Aucune parole, un petit bonjour expulsé du bout des lèvres, il ferme la porte derrière moi, nos regards se croisent et je le vois tourner la clé dans la serrure… La porte est close, je vais y passer, je le sais. Mon bas ventre en meurt d’envie. Je me sens déjà toute humide, il m’embrasse sans me toucher, il joue avec mes nerfs… Je murmure un très léger « J’ai envie de toi » et la réaction est immédiate, il me plaque contre le mur, ses baisers se font de plus en plus insistants, il descend dans mon cou, mordille la peau de mon épaule sur laquelle glisse ma chemise. Mes mains passent dans son dos et s’agrippent à son cou. Il défait les boutons de ma chemise un par un… Je n’en peux plus, j’ai besoin de le sentir en moi. Maintenant. Il me regarde droit dans les yeux pendant qu’il joue a me torturer. Il sait très bien que je veux qu’il me prenne contre ce mur. Il fait glisser ma chemise et dégrafe dans la foulée mon soutien-gorge qui finit sur le sol. Son t-shirt rejoint très vite mes vêtements, je colle mon corps au sien, la chaleur de nos peaux renforce encore mon envie. Mes mains glissent jusque sa ceinture, je descends son pantalon et son caleçon et je touche son sexe déjà bien dur entre mes doigts, j’ai envie de le prendre entre mes lèvres, je me mets à genou et je le mets dans ma bouche. J’aime le sucer, il a une bite d’une très jolie taille et j’aime la lécher sur toute sa longueur. Je joue avec ma langue sur son gland tout en massant ses boules. Il attrape mes cheveux pour guider le rythme de la pénétration et m’enfonce son membre au fond de la gorge. Il imprime un bon rythme me laissant simplement reprendre ma respiration de temps en temps. J’aime le gout de sa bite… Et encore plus le gout de son sperme.
Il arrête d’un coup ses mouvements de va et vient dans ma gorge et me relève, j’en veux plus, et lui aussi. Il me retourne, je suis face au mur, les fesses cambrées vers lui et il infiltre ses doigts entre mes petites lèvres. Il masse délicatement mon clitoris avec son pouce et réalise un mouvement de crochet à l’entrée de ma chatte titillant mon point G. Le silence obligatoire du au lieu est de plus en plus difficile à garder et mes gémissements sont de plus en plus forts. Je me soutiens à bout de bras au mur face à moi, mes jambes tremblent sans que je puisse les contrôler. Il met sa main sur ma bouche pour empêcher mes petits cris qui alerteraient ses collègues. Sa douce torture met mes sens en exergue et je sens le plaisir monter dans tout mon corps. Il continue de me pénétrer de ses doigts, je sens son souffle derrière mon oreille. Je ne pense plus à rien, ni à ses collègues qui pourraient nous entendre ni à la raison de ma visite… Il cesse ses caresses quand il sent que le point de rupture est proche pour moi. Il m’attire à son bureau, m’asseois dessus et prend place sur sa chaise de bureau, il approche alors sa bouche de mes petites lèvres. Je sens sa langue qui glisse dans ma fente pendant que son pouce recommence sa caresse infernale sur mon clitoris. Il s’arrête, embrasse l’intérieur de mes cuisses puis mon petit bouton de plaisir. Il glisse un doigt en moi et titille du bout de la langue mon clito qui bat de toutes ses forces. Il l’aspire, passe sa langue dessus et je ne peux plus me retenir, le plaisir est trop fort, je suis en transe, j’ai toujours ma jupe relevée au-dessus de la taille. Il me regarde de ses beaux yeux bleus et c’est le coup de grâce, je jouis sous ses doigts et ses coups de langue. Il se relève, m’embrasse et glisse délicatement en moi pour me laisser reprendre mes esprits. Qu’est-ce que c’est bon de sentir sa virilité en soi. Il imprime un rythme lent me laissant ressentir chaque centimètre de sa queue en moi. Je reprends peu à peu mes esprits, je veux qu’il me baise, sauvagement. Je veux me souvenir de ce bureau comme un endroit de jouissance. Et un petit « Baise moi » suffit à le faire partir au quart de tour. Il accélère le rythme, il me démonte sur son bureau, je sens son sexe taper au fond du mien, mes jambes sont accrochées dans son dos pour le sentir au mieux, mes bras griffent son cou pour me retenir, il tient mes hanches de toutes ses forces et imprime un rythme démentiel. Il accompagne sa pénétration de fessées comme je les aimes tant. Je le sens accélérer, se raidir au moment où moi-même je ne me contrôle plus et nous jouissons ensemble dans le même râle.
Nous restons ainsi un long moment à nous regarder. Il rompt le silence pour une phrase « Je savais que j’allais t’embaucher, et tes performances sexuelles n’ont rien à voir avec cela mais je souhaitais te faire l’amour sur ce bureau. J’ai hâte de travailler avec toi ». Un sourire, un merci et un baiser. Je me rhabille, le sourire aux lèvre