L'entretien 4ème partie et fin - histoire érotique

Samedi 17h, tu te réveilles doucement, muscules engourdi de la veille. Un bain, bien mérité pour mieux réfléchir à la proposition de ton patron. Le contrat de départ était de l’aider à négocier certain contrat plus délicat que les autres mais depuis plusieurs mois l’affaire a dépassé bien des conventions puritaines. D’un autre côté, jamais tu n’avais connu une telle liberté et découverte sexuelle de ce genre. Jeune femme si professionnelle, droite dans la conduite, et aujourd’hui satisfaisant un fantasme et dépassant toute limite dans l’extase érotico-sexuel. Enveloppée dans le cocon de l’eau chaude du bain, te délasses, tu soupires et réfléchis.
Tu te rappelles la dernière pensée avant de t’endormir « il m’a bien baisé… », et une autre idée surgit au meme instant « on a qu’une vie… ».

Sur cette idée, tu prends ton téléphone et envoies un SMS à ton patron.

Elle : « Bonsoir Monsieur X, à la suite de votre indécente invitation je vous confirme ma présence pour demain. »

Lui : « Bonsoir Madame, c’est avec une grande joie que je vous attendrais à déjeuner avec notre ami commun ».

Elle : « C’est entendu, à demain pour déjeuner ! Dois-je avoir une tenue spécifique ? »

Lui : « Non, je vous laisse libre de nous éblouir de vos charmes ».

Elle : « Très bien, bonne soirée à demain avec impatience ».

A peine fini, tu te laisses couler dans l’eau chaude, cœur palpitant d’une envie à assouvir. La tête plongée dans l’eau, silence de l’abysse aquatique, murmure de l’eau vers tes pensées qui te murmurent ses mots : deux hommes !

Nuit agitée, pleine de pensées érotiques, suaves et libertine ; tu te réveilles et sors de ta léthargie nocturne. Il te reste deux heures pour te préparer. Douche, parfum, rouge à lèvre, fond de teint et mascara. Maintenant la tenue. Une jupe droite fendue à mi-cuisse, bas auto-fixant, petit top échancré et un ensemble noir transparent de ta collection. Tu voilà prêtes pour honorer l’invitation de Monsieur X et de ses désirs qu’il ne t’a pas dissimulé.
Fébrile, tu montes dans ta voiture, l’adresse il te l’a envoyé par SMS. GPS programmé, tu roules avec les pensées qui vagabondent. Tu t’engages dans une propriété, le portail en fer forgé est ouvert, une grande allée s’ouvre devant toi. La maison est au bout. Une bien belle maison style coloniale mais les extérieurs sont contemporains. Tu éteins le moteur et en relevant la tête tu l’aperçois sur le perron. Il vient à ta rencontre et comme toujours il t’ouvre la porte et t’aide à sortir. Délicate attention, galanterie, mot que beaucoup d’hommes ont oubliés et pourtant encore bien apprécié des femmes.

Lui : « Entrez donc Madame, nous vous attendions ».

Elle : « Avec plaisir je vous suis ».

Montant quelque marche, tu suis l’homme, qui, il y a moins de 48 heures t’a fait chavirer dans un plaisir bestial. Arrivée au salon le vendeur qui regardait par la grande baie vitrée se retourne et avec un magnifique sourire t’accueille chaleureusement.

Vendeur : « Bonjour, Madame, cela me fait grand plaisir de vous revoir. Je remarque que vous êtes magnifique et que vous avez le gout vestimentaire des plus exquis » !

Elle : « Merci beaucoup cela me touche ».

Lui : « Voulez-vous boire une coupe pour ce beau dimanche qui nous rassemble » ?

Elle : « Avec plaisir, vous connaissez de plus en plus mes goûts pour les petits plaisirs » clin d’œil au passage.

Le bouchon saute et les coupes se remplissent. Les verres teintent à l’unisson et les petites bulles pétilles les papilles et les yeux brilles. Les yeux de ses messieurs parcours et dévorent déjà les courbes dessinées.

Lui : « Madame, je suis encore une fois honoré de votre présence. Comme énoncé l’autre soir, je voudrais m’assurer d’une chose importante ».

Elle : « Oui, je vous écoutes ».

Lui : « Je vous ai parlé de mes goûts sur mon approche plutôt autoritaire, du plaisir à la soumission ainsi qu’à la pluralité masculine. D’où la présence de mon ami Marc. Et votre venue, ici, est-il toujours en adéquation avec votre envie et l’acceptez vous » ?

Tu connais enfin son nom ! Marc. L’homme qui dans la boutique a eu droit à tes charmes.

Elle : « Oui, comme toujours, j’assume mes choix et l’invitation m’a quelque peu dérouté mais la curiosité et bien entendu le plaisir m’a fait accepter votre proposition ».

Lui : « Bien ! maintenant madame déshabillez vous ! »

Elle : « Pardon !? »

Au même instant, à peine eu-tu le temps de réagir, qu’une fessée s’abat. Te faisant sursauter. Stupeur, surprise, totalement déstabilisée.

Lui : « Madame ! Dois-je répété ? »

Elle : « Heu, non ! Mais... »

Lui : « A partir de maintenant et pour le reste de l’après-midi, vous ferez ce que je vous dis et je vous promets que cela vous plaira. Je l’ai lu dans vos yeux l’autre jour. Maintenant déshabillez-vous ».

Lentement tu retires ton haut, puis tu fais glisser ta jupe fendue jusqu’au sol. Debout, en talon, bas et sous vêtement devant Marc et ton patron. Sensation nouvelle, voir un peu honteuse à te laisser diriger de la sorte. Mais en même temps la chaleur de l’excitation, d’assouvir totalement ton envie d’être soumise à lui.

Lui : « Magnifique tableau que vous nous présentez là ». « Retirez votre soutien-gorge je vous pris ».

Le vouvoiement, l’autorité t’hypnose. Il te tend une autre coupe de champagne et vous trinquez une seconde fois. Marc, observateur, laisse l’entière contrôle de la situation à son ami. Il te dévore des yeux. Le même regard qu’il avait au moment des essayages.

Marc : « Mon ami, je réitère mes propos de l’autre jour au magasin. Madame à des charmes qui ne laisserai aucun homme indifférents »

Lui : « Oui en effet, regarder cette poitrine magnifique. Et c’est beau téton déjà dressé. Probablement l’excitation ? qu’en dites-vous Madame, c’est l’excitation qui vous rend si réactive ?

Elle : « Oui messieurs, je l’admets que d’être devant vous, seins nus, m’émois ».

Lui : « marc, il me semblerai que cette belle poitrine devrait faire l’objet de notre attention, et je propose de l’embellir ».

Marc : « Oui je le pense aussi ».

Sortant de sa poche de veste, il présente une chainette avec, à chaque extrémité des petites pinces aux bouts siliconés.

Lui : « Voulez-vous Marc installer ceci sur notre soumise ».

L’installation est délicate. Les tétons bien érigés facilitent la mise en place. La pression sur eux est agréable et cela augmente l’excitation.

Lui : « Appréciez-vous votre nouveau bijou » ?

Elle : « Oui Monsieur »

Lui : « Bien. Maintenant, je vais vous faire faire le tour de la maison."

Tu déambules en suivant ton patron dans sa grande demeure. Salon, salle à manger, salle de bain, petit salon d’honneur, bibliothèque et au fond d’elle une porte en bois sculpté. Tout le long de la visite, tu sens le froid de la chainette qui tape sur le haut de ton ventre, et à chaque pas cela provoque une tension sur les tétons. Nouvelle sensation qui stimule tes sens. Déambuler quasiment nu dans cette maison entourée de deux hommes qui te regardent, te donnent de plus en plus d’envies coquines.
Ton patron s’apprête à ouvrir la porte au fond de la bibliothèque. Curiosité et légère appréhension émoustillent ton désir. Il te l’a dit un peu plus tôt. Il aime la domination et la pluralité. Tu as accepté sans contrainte et même avec désir. Il pousse la porte et te fais entrer.
Une pièce sans fenêtre, uniquement tamisée par des lumières chaudes et chaleureuse. En entrant tu t’aperçois que la température de la pièce est légèrement plus élevée que les autres. Douce chaleur que tu apprécies. Vous voilà entrée tous les trois. La pièce n’est pas très grande, la dimension d’une belle chambre, tu dirais. Sur la gauche, il y a un fauteuil avec accoudoir, et un canapé en cuir rouge. Sur la droite une table un peu spéciale avec dessus un jeu de corde et sur les pieds des anneaux. Au milieu de la pièce une colonne en bois sculpté et un jeu de chaine avec des attaches poignets qui pendant à leurs extrémités. Et en face de la porte, sur le mur, une croix en bois aussi joliment décorée. Sur ce même mur, des cadres sont disposés. Cadre de miroirs et d’autre en leur centre des motifs en bois représentant des scènes de sexes.
La porte se referme.

Lui : « Bienvenu dans le sanctuaire ». « Vous voilà chez moi, où à présent vous allez vous laisser guider par Marc et moi-même. Vous allez laisser votre vie derrière cette porte et découvrir le lâché prise. Le but est le plaisir. Je serai maitre de votre corps et de vos sensations. Vous n’aurez pas à réfléchir et à décider. Me suis-je bien fait comprendre ? »

Elle : « Oui Monsieur ».

Lui : « Je vous accord cependant un privilège de petite débutante soumise, libre à vous de vous en servir ou pas ! en prononçant le mot « Sanctuaire », vous bénéficierez d’un arrêt total de la séance d’aujourd’hui ! Avez-vous bien compris Madame ? »

Elle : « Oui Monsieur »

A la fin de cette approbation, Marc qui était derrière toi, te saisit les deux avant-bras, et te guide vers le pilier central. Le jeu de soumission commence. Il prend soin de contentionner tes poignets. Il contourne la colonne et dans un bruit de poulie et de métal, tu sens la contrainte s’élever. L’ascension de tes bras s’arrête lorsque ceux-ci se retrouvent bien au-dessus de ta tête. La sensation est déroutante. Te voilà en string transparent, bas et talon, accrocher à un pilier face à ton patron qui sait installer sur le fauteuil, à la merci de ses directives. Marc revient face à toi légèrement sur le côté.

Lui : « N’est-elle pas belle notre petite soumise » ?

Marc : « Sublime je dirais même ».

Lui : « Mon ami, voulez-vous tirer sur la chaine » !

Venant à ta hauteur il saisit la lanière métallique et commence à tirer. Tension horizontale, entrainant tes tétons vers l’avant.

Lui : « glisser votre main dans sa culotte, et continuer à tirer sur la chaine, vous arrêterez uniquement lorsque vos doigts seront mouillés ».

Marc en parfait exécuteur, te fait écarter les jambes légèrement et sans douceur, glisse une main vers ta chatte, mais ne stimule pas une seconde, ton entre jambe. Tu sens juste la chaleur de sa main et la pulpe de ses doigts sur tes grandes lèvres Il continue à tirer et relâcher la chaine. Tantôt progressivement et tantôt par à coup.

Lui : « Madame, vous magnifique ainsi. Appréciez-vous ce moment à sa juste valeur » ?

Elle : « Hum oui, c’est très bon. »

Lui : « Etes-vous ma petite soumise » ?

Elle : « Oui Monsieur ».

La situation te plait. Toi qui fantasmais sur la hiérarchie et la soumission à ton patron te voilà satisfaite. Dans ton intérieur caché, tu attendais que cela. Le thème du servant accomplissant les désires du chef, de la soumise subissant les envies perverses t’émoi.
De doux gémissement, et ondulation de bassin commence à se faire ressentir. La stimulation des mamelons te provoquent des décharges de plaisir descendant progressivement vers ton entre jambes.

Marc : « Monsieur X, la petite soumise commence à mouiller » !

Lui : « Bien Marc, continuez. Mais tirez plus fort, je trouve qu’elle ne gémit pas suffisamment ».
Appliquant les directives, la tension sur la chaîne est plus importante. Et cette façon détachée, de parler de toi ainsi, rend la situation plus réelle que dans tes plus torrides séances de masturbations dominicales.

Elle : « Hum oui, c’est bon ! ça m’excite ! continuez » !

Marc : « Monsieur X, elle mouille beaucoup ».

Lui : « très bien. Maintenant branlez là à votre convenance, je veux l’entendre, je veux que son côté de petite salope ressorte comme la nuit dernière ».

Baissant ton string à mi-cuisse, Marc commence à frotter ton sexe, progressivement il devient plus pénétrant. Attachez au pilier, il prend possession de ton corps, empoignant tes seins à pleine mains, tirant d’avantage tes tétons. Et ses doigts glissant en toi, faisant couler ton plaisir toujours un peu plus. Châtiment exquis et déroutant. Agrippant les chaines avec tes doigts pour soulager tes jambes, qui sous le plaisir, de moins en moins dissimuler, commencent à s’engourdir.

Marc : « Quelle petite salope, elle mouille comme une fontaine. Elle me fait bander comme un âne ».
Elle : « Oui ha, oui je suis à votre soumise, votre salope messieurs, continuez je vais jouir Ah » !
Lui : « Stop, Marc. Laisses la frustrée, elle jouira quand je l’aurai décidé ».

Elle : « Non… c’est trop bon » !

Arrêtant l’action, Marc stoppa net, te laissant méga frustrer. Au point de dandiner sur place.

Lui : « Détachez-la, retirez les pinces tétons. Qu’elle puisse retirer elle-même son string et vous le donner »

Exécutant, te voilà, ponctuellement libre de tes mouvements. Tu frottes tes poignets pour les soulager. Tu remarques qu’ils y a la marque des entraves à tes deux poignets. Image qui te fait rougir et sourire. Et toi qui ne pensait jamais faire cela et que maintenant, tu y prends du plaisir.
Finissant de retirer ton string tu le tends à Marc.

Lui : « Non pas comme ça » !

Nouvelle fessée, mais cette fois plus forte que celle reçu dans le salon.

Lui « à genou ».

Exécutant sans discuter te voilà en position. Tu tends ton string à Marc qui le saisi.

Lui : « Marc, il me semble que vous êtes dur comme un âne n’est pas ? alors faite vous plaisir, avec sa bouche, histoire qu’elle vous remercie de votre agilité à la doigter » !

Sortant son sexe de son pantalon, il le dirige vers ta bouche. Une main derrière ta nuque, bouche déjà ouverte il le fait pénétrer. Le voilà, à prendre possession de tes lèvres. Va et vient rapides et puissant. Fellation exquise lui arrachant des râles à chaque fois que ta langue glisse sur ton membre et son gland.
Mains sur les cuisses, tu le laisse faire à sa guise. Moment que tu adores. La pipe est un véritable plaisir pour toi.

Lui : « Marc, faite vous jouir avec sa bouche de soumise, elle va vous y aider en se branlant en même temps. Vous giclerez sur son visage. Nous marquerons une pause ensuite ».

La scène est particulièrement torride, ton chef toujours assis sur son fauteuil à te regarder, à te diriger. Alors que tu prends à cœur ton rôle de salope soumise désireuse du plaisir à prendre et à donner. Et Marc, jouant l’exécuteur, profitant par la même occasion de la situation.
L’excitation est à son comble. Marc grognant de plus en plus, profitant allègrement de ta bouche, se servant d’elle pour se masturber et toi, frustré, masturbant le clitoris frénétiquement pour assouvir et apaiser ponctuellement cette électrique envie de jouissance. Il n’en fallait pas moins pour sentir exploser la liqueur de Marc sur ton visage. Sensation d’être éclabousser te provoquant un orgasme au moment de sentir la première slave de foutre sur ta peau.

Moment d’extase trop court mais tellement salvateur. Reprenant votre souffle et vos esprits, vous revenez à la réalité du lieu. Ton patron te tend une serviette chaude et humide pour t’essuyer. Chaleur sur ton visage qui apaise comme après une séance de massage en institut. T’aidant à te lever, il t’invite à t’assoir dans le canapé de la pièce.

Lui : « Alors Madame, aimez-vous votre condition de soumise » ?

Elle : « hum oui c’était magique, j’ai adoré vos mots, vos ordres, et Marc est un grand coquin lui aussi ».

Lui : « Magnifique, je suis comblé que cela vous plaise. Tenez buvons à ce premier acte. Et si vous le voulez nous passerons au second avec cette croix » ?

Elle « Ho Monsieur, j’en serai ravi et soumise encore pour vous ».

Lui : « Je vois que vous utilisez bien le vocabulaire de la soumise parfaite… »

A la vôtre et à nous.