L'envie
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'envie
Nous roulions depuis une bonne heure dans cette forêt. Soudain j'ai eu envie de faire pipi. Mon mari a stoppé dans un petit chemin. Je suis descendue et j'ai relevé ma jupe, baissé mon string, me suis accroupie et soulagée. Mon mec me regardait faire sans rien me dire sauf que vers la fin il m'a demandé d'enlever totalement mon string. J'en étais satisfaite.
J'aime quand il me demande des bricoles comme ça. Pour lui faire encore plus plaisir j'ai relevé ma jupe jusqu'à la taille et avant d'ôter mon sous vêtement je lui montrais entièrement mon sexe. Je revenais dans la voiture, le string à la main, et surtout ma jupe bien haute, mon bas ventre bien en vue. Il m'embrassait longuement et posait une main sur mon con. J'écartais les cuisses pour laisser passer sa main. En même temps je lui mettais la mienne sur sa bite bien grosse. Il m'a touché mon clitoris sans le branler. Il me demandais de le faire moi même. J'adore me masturber devant lui, c'est beaucoup plus excitant. Je mouillais mes deux doigts habituels avec ma salive et les posais sur mon bouton. Ma main gauche ouvrait mes lèvres pour bien dégager mon clitoris. Plus je me branlais, plus je voyais ses réactions. Il se massait la bite à travers le pantalon. Je savais bien qu'il avait lui aussi envie de se branler. Je lui demandais de sortir enfin sa queue: il ouvrait finalement sa braguette et sortait son braquemart: il est plutôt bien monté. Je regardais bien sa main qu'il posait sur la bite et qu'il enveloppait autour. Enfin se main allait et venait sur la pine. Le voir se branler me faisait le même effet que d"habitude: je jouissais.
Je descendais de la voiture et allais ouvrir sa portière. je me penchais. Il arrêtait sa masturbation. Ma bouche venait remplacer avec bonheur pour lui sa main. J'aimais sentir dans ma bouche sa bite, il me semblais que je tenais l'homme en entier sous ma langue. Je ne faisait que faire coulisser mes lèvres sur sa tige et rapidement je recevais le fruit de ma fellation: une bonne giclée de sperme.
Je revenais m'assoir à ma place. Je gardais ma jupe soulevé jusqu'à ma taille. Nous sommes repartis. Il conduisait d'une main et l'autre était sur mon clitoris. Il ne bougeait pas, les secousses de la route suffisaient à me donner encore envie, cette fois de sa queue dans mon con. Il trouvait un autre chemin, une sente plutôt, pour y engager la voiture. Il arrêtait dans une petit clairière et descendait du véhicule. Je restais là sans rien faire. Lui par contre se mettait entièrement nu, sans soucis d'éventuels passants. Il me tendait les bras. Je ne pouvais résister: il bandait comme rarement. Il devait avoir une envie très forte de baise. Je sortais et ôtais tout ce que je portais, c'est nue que je l'ai rejoint. Je tombais dans ses bras et nous nous sommes embrassaient comme rarement. Ensuite il me pelotais comme j'aime et murmurait qu'il voulait faire de moi sa putain, que je n'étais qu'une bonne à baiser et un sac de foutre. J'étais d'accord sur les deux derniers points. J'avais mis mes mains sur ses fesses dures. Je voulais aller jusqu'à sa fente fessière pour aller chercher son cul: il aimait que je lui mette un ou deux doigts dedans. Je sentais contre mon ventre sa queue bien bandée. Je ne sais pourquoi, il ma demandé de ne pas lui toucher le cul.
La suite était écrite: il m'a couché sur l'herbe, écarté les jambes et s'y est logé. J'aurais bien aimé qu'il me suce un peu. Il était trop pressé: il fallait qu'il me baise aussitôt. Je n'avais pas besoin de le diriger, il connaissait bien le chemin de ma vulve. Il y rentrait sans savoir si je mouillais ou pas. Pourtant quand j'ai eu en moi sa grosse bite, j'étais heureuse d'être sa chose. Il m'a retourné et il se trouvait dessous. C'était à moi de mener la danse: je m'appliquais à tenir la cadence de baise et comme je me mettais à genoux, je pouvais me branler. Il me regardait faire avec un joli sourire: il aime que je me branle pendant que sa bite en en moi. Je jouissait rapidement. Aussi je me soulevais légèrement et enfonçais sa queue dans mon cul. J'accélérais la cadence et nous avons joui ensemble. Je me relevais et son sperme coulait le long de mes cuisses. Nous nous sommes rhabillés et une fois partis il me disait enfin qu'il avait bien jouit.
J'aime quand il me demande des bricoles comme ça. Pour lui faire encore plus plaisir j'ai relevé ma jupe jusqu'à la taille et avant d'ôter mon sous vêtement je lui montrais entièrement mon sexe. Je revenais dans la voiture, le string à la main, et surtout ma jupe bien haute, mon bas ventre bien en vue. Il m'embrassait longuement et posait une main sur mon con. J'écartais les cuisses pour laisser passer sa main. En même temps je lui mettais la mienne sur sa bite bien grosse. Il m'a touché mon clitoris sans le branler. Il me demandais de le faire moi même. J'adore me masturber devant lui, c'est beaucoup plus excitant. Je mouillais mes deux doigts habituels avec ma salive et les posais sur mon bouton. Ma main gauche ouvrait mes lèvres pour bien dégager mon clitoris. Plus je me branlais, plus je voyais ses réactions. Il se massait la bite à travers le pantalon. Je savais bien qu'il avait lui aussi envie de se branler. Je lui demandais de sortir enfin sa queue: il ouvrait finalement sa braguette et sortait son braquemart: il est plutôt bien monté. Je regardais bien sa main qu'il posait sur la bite et qu'il enveloppait autour. Enfin se main allait et venait sur la pine. Le voir se branler me faisait le même effet que d"habitude: je jouissais.
Je descendais de la voiture et allais ouvrir sa portière. je me penchais. Il arrêtait sa masturbation. Ma bouche venait remplacer avec bonheur pour lui sa main. J'aimais sentir dans ma bouche sa bite, il me semblais que je tenais l'homme en entier sous ma langue. Je ne faisait que faire coulisser mes lèvres sur sa tige et rapidement je recevais le fruit de ma fellation: une bonne giclée de sperme.
Je revenais m'assoir à ma place. Je gardais ma jupe soulevé jusqu'à ma taille. Nous sommes repartis. Il conduisait d'une main et l'autre était sur mon clitoris. Il ne bougeait pas, les secousses de la route suffisaient à me donner encore envie, cette fois de sa queue dans mon con. Il trouvait un autre chemin, une sente plutôt, pour y engager la voiture. Il arrêtait dans une petit clairière et descendait du véhicule. Je restais là sans rien faire. Lui par contre se mettait entièrement nu, sans soucis d'éventuels passants. Il me tendait les bras. Je ne pouvais résister: il bandait comme rarement. Il devait avoir une envie très forte de baise. Je sortais et ôtais tout ce que je portais, c'est nue que je l'ai rejoint. Je tombais dans ses bras et nous nous sommes embrassaient comme rarement. Ensuite il me pelotais comme j'aime et murmurait qu'il voulait faire de moi sa putain, que je n'étais qu'une bonne à baiser et un sac de foutre. J'étais d'accord sur les deux derniers points. J'avais mis mes mains sur ses fesses dures. Je voulais aller jusqu'à sa fente fessière pour aller chercher son cul: il aimait que je lui mette un ou deux doigts dedans. Je sentais contre mon ventre sa queue bien bandée. Je ne sais pourquoi, il ma demandé de ne pas lui toucher le cul.
La suite était écrite: il m'a couché sur l'herbe, écarté les jambes et s'y est logé. J'aurais bien aimé qu'il me suce un peu. Il était trop pressé: il fallait qu'il me baise aussitôt. Je n'avais pas besoin de le diriger, il connaissait bien le chemin de ma vulve. Il y rentrait sans savoir si je mouillais ou pas. Pourtant quand j'ai eu en moi sa grosse bite, j'étais heureuse d'être sa chose. Il m'a retourné et il se trouvait dessous. C'était à moi de mener la danse: je m'appliquais à tenir la cadence de baise et comme je me mettais à genoux, je pouvais me branler. Il me regardait faire avec un joli sourire: il aime que je me branle pendant que sa bite en en moi. Je jouissait rapidement. Aussi je me soulevais légèrement et enfonçais sa queue dans mon cul. J'accélérais la cadence et nous avons joui ensemble. Je me relevais et son sperme coulait le long de mes cuisses. Nous nous sommes rhabillés et une fois partis il me disait enfin qu'il avait bien jouit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Inspirant...et excitant...
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