L’épistolière : Les salopes de Pâques -1

- Par l'auteur HDS Dyonisia -
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Récit libertin : L’épistolière : Les salopes de Pâques -1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L’épistolière : Les salopes de Pâques -1
Quelques petites précisions sur les protagonistes de ce récit.

Dans cette lettre :
- « Ma Chérie », « Ma Puce », « Maud chérie » : la destinatrice des lettres, ainsi nommée selon l’humeur du moment de l’épistolière (ou vous, lectrice, si le cœur vous en dit).
- Chantal : divorcée dans la deuxième moitié de sa quarantaine, venue au saphisme après sa séparation dans l’enfance de sa fille, experte free lance et narratrice à ses heures.
- Andréa : l’amie de cœur, l’initiatrice de Chantal, du même âge qu’elle et lesbienne convaincue depuis toujours. Hélas, les deux amantes vivant très éloignées se voient trop rarement à leur gré.
- Manon : jeune femme de 25 ans, fraîche émoulue de la Fac au début de sa vie professionnelle et très liée à la narratrice, volant de ses propres ailes dans une lointaine colocation.
- Cynthia : d’âge et de situation matérielle identiques à Manon dont elle fut la colocataire avant d’en devenir amoureuse et de faire chambre commune avec elle.
- Linda : la trentaine, colocataire des précédentes et mieux établie qu’elles, s’est accommodée de leur couple et n’a jusqu’ici approché l’homosexualité que par quelques flirts.
- Yla (on prononce "Ula") : Suédoise de 35 ans, bisexuelle assumée, en poste d’assistante académique dans l’Université voisine de la colocation dont elle a volontiers occupé la chambre devenue libre.

À venir :
- Émilie : camarade de collège de Manon, gouine revendiquée et célibataire par choix de liberté affective, a retrouvé récemment son amie d’enfance dont elle a apprécié la conversion.
- Marianne : elle aussi divorcée et bonne quadra hétéro, a renoué avec Chantal à l’occasion des retrouvailles de Manon et Émilie, invitée comme celle-ci à partager un lendemain de fête.
_ _ _ _ _

Ma Chérie,

Tu m’avais demandé de te raconter comment s’était passé ce week-end, petite coquine, comme si tu ne t’en doutais pas déjà ! Mais je connais ta curiosité insatiable, Maud chérie, surtout quand il s’agit de lire mes cochonneries, lol ! Tu es aussi salope que moi, ma Puce, et c’est pour ça que je t’aime. Alors oui, je vais tout te dire, et tu pourras caresser ton clitounet à loisir.

Tout avait bien commencé. Andréa est arrivée en milieu d’après-midi, le vendredi. J’avais travaillé d’arrache-pied pour ranger la maison. Le temps était pourri, mais j’étais en nage. Bien sûr, j’avais soigneusement évité de m’essuyer après mes petits pipis de la journée. Avec la sueur, ça fait un bon mélange, non ?

La moule d’Andréa avait bien macéré elle aussi pendant le voyage. Tu penses bien que je lui ai interdit la douche ! Juste le temps d’une longue bataille de langues en nous pelotant tout ce que nous pouvions attraper dans nos mains, et hop ! À poil les cochonnes, pour un suçage de seins et un léchage d’aisselles, les deux prolongés, avant un gougnottage bien visqueux et bien odorant.

Nous étions en pleine confrontation de bouches à chattes quand mon portable a sonné. J’ai failli ne pas répondre – ça tombait vraiment mal – mais Manon était en route et tu sais quelle inquiétude peut titiller une mère. Ben, c’était pas elle. C’était Émilie qui avait appris que toute la coloc débarquait pour le week-end (j’avais appelé Marianne pour l’inviter le dimanche si elle avait été seule) et qui nous proposait de sortir en boîte le soir même. Je suppose qu’elle a vite compris qu’elle dérangeait un peu, aux bruits mouillés qui passaient par le micro (Andréa nous « entretenait » pour ne pas perdre le rythme), parce qu’elle a suggéré qu’on la rappelle plus tard. Lol !

Quand même, ça nous avait retardées. Manon et consorts ont débarqué pour de bon avant que nous ayons terminé le énième gamahuchage. (Ben oui, elle a les clés, elle ne va pas se donner la peine de sonner !) Tu me diras que la vue de deux « vieilles salopes » en 69 ne risquait pas de choquer les nymphettes, comme tu les appelles. Ça ne les a même pas empêchées de nous claquer la bise comme si de rien n’était. Linda est passée la dernière, je dois dire pour être franche. Les trois autres avaient déjà « nettoyé » le terrain. Après tout, elles connaissent depuis un bail nos odeurs intimes, lol !

Je te passe les banalités d’usage, mais quand Manon et Cynthia ont su l’invitation d’Émilie, il n’y avait rien d’autre qui comptait. Yla a été très intéressée, et ma foi, pour Linda, c’était ou passer la soirée avec deux vieilles gouines, ou la passer dans un bar à goudous... En choisissant la seconde option, elle pouvait au moins espérer boire et danser. Bref, les quatre ont sauté sur l’occasion d’une virée entre filles et réquisitionné la salle de bain pour se préparer. Nous sommes restées comme deux cochonnes nues (et exhalant le rut) à regarder un défilé de coquines qui ne se gênaient pas pour passer et repasser en tenue d’Ève, ou au mieux en petite culotte de la chambre à la douche. Qu’aurais-tu fait devant cette exhibition de tétons arrogants et de délicieuses fesses ?

Ben, nous, on s’est branlées, pour patienter, lol ! C’est vrai que j’aurais pu aller discrètement préparer le dîner. Mais le repas était prêt, alors autant profiter du spectacle des jeunes et leur offrir le nôtre. Le seul ennui, c’est qu’il nous a fallu attendre que la réserve d’eau chaude se reconstitue après le passage des gamines pour prendre la nôtre, de douche ! Oh, elles étaient toutes pimpantes et excitées pour aller au rendez-vous fixé par Émilie. Et ravies de se retrouver entre copines, malgré leurs dénégations hypocrites. Du coup, détail trivial, nous avons dîné sales, à poil, mais en tête à tête, et finalement pas fâchées d’un repas en amoureuses. Manquaient juste les chandelles ! (Quoique… Qui sait ce que nous en aurions fait ?)

Soirée calme. Les moules étaient trop avancées pour nous permettre autre chose qu’un bon papotage pour rattraper le retard de nouvelles. Il y avait comme un parfum de marée bretonne dans le salon, vois-tu ? Ouvrir les fenêtres n’aurait pas été un mal, s’il avait fait beau. Mais par ce temps humide, déjà que nous avions froid même avec les radiateurs à fond… On a supporté stoïquement l’odeur, pas si désagréable au fond, lol ! Heureusement, j’ai un bon chauffage dans la salle de bain. Nous avons pu jouer à pisse-mi, pisse-moi, avant d’ouvrir l’eau chaude et nous débarbouiller consciencieusement l’une l’autre tous nos plis et replis. Ce n’était pas du luxe, mais c’est toujours un plaisir de joindre l’utile au tripotage.

Toutes proprettes, nous nous sommes payé une grande séance de frotti-frotta de chattes (j’adore ça en se tenant par les tétons pour rester bien collées) et de dégustation de troufignons sur le canapé du salon. Eh oui, pas dans mon lit car je me doutais que la jeunesse ne rentrerait pas avant le lendemain et qu’elle serait assez fatiguée pour avoir besoin tout à son aise d’un repos réparateur. Je ne voulais pas laisser à Yla et Linda des draps mouillés de vieille cyprine, voire pire, lol ! Par prudence aussi, nous nous sommes couchées relativement tôt, et, c’est peut-être étonnant, nous avons dormi comme deux grosses cochonnes épuisées.

Une bonne chose, vois-tu, ce sommeil sans nuages : mes prévisions étaient justes. Nous avons été réveillées de bon matin par quatre nymphettes, débraillées et tombant de fatigue, qui n’avaient plus que l’envie de se jeter sur un lit pour récupérer de leurs excès nocturnes. Comme prévu aussi, Manon et Cynthia ont pris la chambre libre et j’ai cédé la mienne aux deux autres. Quant à nous, nous étions suffisamment reposées pour nous accorder un petit-déjeuner coquin qui nous a tenues jusqu’au milieu de la matinée.

As-tu déjà léché une confiture d’orange à même la moule, ma Puce ? Une confiture de figue aurait été plus pertinente mais j’en manque (un comble, lol !). En tout cas, les saveurs se mélangent parfaitement dans un enchantement des papilles. L’abricot n’est pas mal non plus, mais je le conseille plutôt pour le bout des seins. Une cyprine trop acide risquerait de faire encore plus ressortir la sienne. Le miel est excellent en haut comme en bas, à condition d’avoir le temps de tout bien nettoyer, sinon ça colle au gousset et aux bonnets.

Bref, le temps de finir de se déguster entre deux tasses de thé (le goût de la mouille s’y accorde mieux qu’avec le café) et d’une branlette face à face (une nécessité pour dissiper les tensions du petit-déjeuner), nous étions prêtes pour les quatre courses qui restaient à faire. Inutile de te dire que pendant nos ébats matutinaux les quatre gamines dormaient comme des bienheureuses. Jusqu’à midi passé, pour être exacte. Là, je me suis quand même décidée à sonner la cloche.

Je dois reconnaître que leurs chambres avaient quelques ressemblances avec un terrier de renardes, tant pour le bric-à-brac que pour les émanations, quand les filles en sont sorties, ou, plus exactement, quand je me suis permis d’aller voir si l’on pouvait espérer leur réveil. Ces demoiselles avaient jeté leurs frusques en tas sans s’encombrer de précautions quant à leurs petites culottes qui trônaient en évidence, tout auréolées des traces d’une nuit de danses. Elles avaient également négligé de passer une quelconque nuisette avant de s’effondrer sur les lits. L’odeur était aussi puissante chez les unes que chez les autres. La seule différence était que Manon et Cynthia avaient dormi enlacées, tandis que Yla et Linda reposaient sagement côte à côte.

J’aurais été malvenue de leur reprocher leurs effluves sexuelles alors qu’elles ouvraient péniblement un œil. D’ailleurs, elles n’avaient fait aucune remarque, la veille, en nous découvrant visqueuses et parfumées de cyprine, Andréa et moi. Je leur devais la même discrétion et je me suis bornée à leur indiquer l’heure au cas où elles auraient eu un petit creux. Bien évidemment, c’était le cas. Se dépenser en boîte du soir à l’aube, ça creuse !

Avant de se précipiter sur les viennoiseries que je leur avais rapportées des courses – je suis une mère attentionnée, lol ! – elles se sont bousculées autour de la cuvette et du bidet pour leurs pipis pressants. De jolies cascades cristallines et bouillonnantes dont je n’ai pas manqué une goutte. Toujours attentionnée, je te dis ! Linda ne s’en est pas plus offusquée que ses copines, elle commence à avoir l’habitude de nos comportements à la bonne franquette. Elle n’a pas été plus bégueule non plus, se contentant comme nous du premier tee-shirt venu et la craquette à l’air. Bref, un délice de convivialité entre jeunes et vieilles cochonnes, lol !

Tu penses bien, Maud chérie, que nous ne les avons pas laissées manger en paix tant qu’elles ne nous ont pas raconté leurs frasques de la nuit. J’étais surtout curieuse, et Andréa avec moi, de savoir comment Linda avait réagi à sa première visite en boîte lesbienne. Elle a été un peu réticente au début, mais comment se dérober quand les autres ont tout vu, ou presque, et qu’elles sont déjà prêtes à tout rapporter ?

Donc, nous avons appris que notre petite hétéro s’était fait draguer par toutes les filles de la boîte – évidemment, une « novice », ça ne pouvait que susciter l’émulation entre toutes les goudous disponibles – sans succomber à leurs tentations, mais qu’elle était passée de mains en mains, si j’ose dire, sans manquer une seule danse de la nuit. J’avoue que j’ai été un peu surprise qu’aucune fille n’ait essayé de la « convaincre » de s’abandonner. Je suppose que, finalement, nous sommes plus respectueuses de l’autre dans notre monde que chez les « normaux ». Ou peut-être que Linda a bénéficié d’une sorte de protection d’Émilie. En tout cas, devant l’évidence du témoignage de sa culotte, elle n’a pu nier que l’expérience l’avait bien excitée.

Dans la série des aveux, nous avons su aussi que Manon et Cynthia s’étaient autorisées quelques flirts plus ou moins poussés avec des partenaires de rencontre. Le jeu les a amusées, elles ont apprécié le plaisir de fricoter avec des inconnues, mais elles n’ont pas été franchement conquises au point de vouloir à tout prix recommencer. Par contre, Yla a passé tout son temps avec Émilie et s’est offert avec elle un trio bien coquin dans les toilettes de la boîte. D’après ses dires, les lesbiennes de la région n’ont rien à envier à celles de son pays. En résumé, elle a été ravie d’avoir fait de nouvelles connaissances.

Toutes ces anecdotes et nos papotages nous ont permis d’occuper une bonne partie de l’après-midi. C’était aussi bien, puisqu’il n’a pas arrêté de pleuvoir jusqu’au soir.

Après les confessions de nos petites coquines, il était grand temps de penser à l’hygiène. Ça commençait à cocotter dur dans la maison, vois-tu, mais il n’était pas question de vider encore une fois le chauffe-eau. C’est vrai, quoi, pas la peine de gaspiller l’eau quand la même douche peut servir à plusieurs, lol !

Quand j’avais fait refaire ma salle de bain, je n’avais pas la place pour une vraie baignoire et un bidet. Je tenais au second – c’est utile pour se laver le cul et les pieds, sans parler de son usage pour le pipi – alors j’avais fait installer un bac à douche très haut. C’est un peu acrobatique pour y entrer, mais accroupie en chien de fusil tu peux te baigner jusqu’aux aisselles. Debout, on tient à deux sans problème. À trois, il faut un chausse-pied, ou bien que l’une s’assoie entre les jambes des deux autres.

Tu penses bien que j’ai suggéré la solution la plus économique : la douche à trois, lol ! Vu que nous étions deux « vieilles » et quatre jeunes, la logique commandait d’associer deux de celles-ci à une de celles-là. Quant au choix de qui avec qui, nous l’avons laissé au sort en tirant les cartes. D’abord Andréa et moi : elle a sorti une dame et moi un six. Donc, la répartition des filles a suivi la valeur des cartes qu’elles ont tiré : les plus fortes avec Andréa, les plus faibles avec moi, et plus précisément, Linda et Cynthia avec Andréa, Manon et Yla avec moi.

Pour l’ordre de passage, le trio prioritaire était évident. Mais peu importait, il y aurait toujours trois actrices et trois spectatrices ! Parce qu’évidemment, celles qui devaient attendre à poil n’allaient pas se priver de la vue des autres nudités serrées comme des sardines. (Ensuite, il nous a fallu éponger le sol autour du bac, mais on n’a rien sans rien, lol !) Il t’est facile de m’imaginer entre Manon et Yla, nous tenant enlacées pour profiter mutuellement de nos chaleurs corporelles, les yeux fixés sur une scène qui mérite sa petite description.

Ma rousse Andréa est pulpeuse à souhait, et si Cynthia est moins grande, ce n’est pas non plus une sylphide. À elles deux, elles remplissaient une bonne part de l’espace disponible. Linda était la plus fine, c’est elle qui s’est retrouvée assise au fond du bac. De là, elle avait une vision parfaite du cul de Cynthia et de la chatte d’Andréa entre leurs jambes qui l’encadraient. L’une et l’autre se lavaient réciproquement les seins et le ventre, ce qui ne posait pas d’autre problème que de faire ruisseler la mousse sur Linda dont la craquette baignait fort opportunément dans l’eau savonneuse.

Pour le dos, par contre, elles étaient obligées de s’éteindre étroitement, les gros lolos d’Andréa écrasés sur les poires dures de Cynthia. Moyennant quoi, tout allait bien pour se frictionner mutuellement des épaules aux reins, et même jusqu’aux opulentes fesses de l’une et au rond popotin de l’autre. Mais pour les trous du cul, c’était moins facile. Andréa a décrété que le plus simple était que Linda s’en charge et lui a fourré le pommeau et le savon dans les mains avant d’ouvrir largement la raie de Cynthia avec les siennes.

« À toi de jouer, ma belle », qu’elle a dit. Tu vois d’ici la tête de la gamine, lol ! Je pense que c’était la première fois qu’elle se trouvait confrontée à un œillet ouvert avec mission de le récurer, ou à un œillet tout court, peut-être. (Elle n’avait pas vu le mien d’aussi près quand nous avions dormi ensemble.) En tout cas, son air ahuri a fait pouffer Yla. Mais elle s’est malgré tout attaquée crânement à la tâche sous les encouragements d’Andréa qui la pressait de ne pas hésiter à mettre le pouce dans le cratère. « N’oublie pas la minette », a-t-elle ajouté.

Elle-même frottait déjà consciencieusement le clito de Cynthia qui ne s’en plaignait pas. Enfin, si, mais c’étaient des plaintes de plaisir, lol ! Parce que mon amoureuse est douée pour l’exercice : elle est capable d’extirper complètement ma fève entre deux doigts pour la nettoyer sous sa capuche (façon de dire, bien sûr ; mais moi je n’arrive pas à faire pareil, il me faut utiliser la bouche). Évidemment, dès que notre Linda a eu surmonté sa timidité et réussi un double lavage profond, Cynthia n’a pas tardé à grimper aux rideaux – façon de parler, aussi ; il n’y en avait pas !

L’avantage d’une cabine étroite, c’est qu’on peut retenir sans trop de mal celle qui tombe de son septième ciel. Andréa a évité à Cynthia de s’effondrer sur une Linda toute étonnée du succès de son entreprise. Et assez fière de sa performance, nous a-t-il semblé. Ben, dame ! Faire jouir une copine en la doigtant, ça aussi c’était une première pour elle ! Un coup d’essai qu’Andréa ne lui a pas laissé le temps d’oublier, en requérant les mêmes services sur sa propre personne. Une demande que Linda aurait eu mauvaise grâce de refuser. D’ailleurs, je ne crois pas qu’elle ait eu l’idée de le faire. L’attrait de la nouveauté, je suppose, lol !

Cynthia ne s’est pas fait prier non plus pour ouvrir le cul d’Andréa, qui de son côté se distendait la moule autant qu’elle pouvait. Je me représentais sans peine la vue qu’elle offrait à Linda dans cette position. Yla et Manon avaient moins de facilité pour l’imaginer, mais suffisamment pour en être émoustillées au point de me serrer plus fort et de me gober d’un commun accord chacune un téton. Pas longtemps, cependant (hélas !), sinon elles n’auraient pu regarder confortablement la suite du spectacle. Et c’eut été dommage.

Le con écarquillé d’Andréa a dû paraître convenablement mouillé aux yeux de Linda car elle a dédaigné de l’arroser avec le pommeau et l’a tout de suite activement astiqué à deux doigts – trois auraient été mieux, mais gardons à l’esprit qu’elle était novice – sans barguigner. Et, ma foi, elle se débrouillait bien, la novice ! Il faut dire qu’elle avait la moule en gros plan. Pour la rosette, au contraire, elle devait travailler à l’aveugle. Mais elle l’a trouvée assez vite, preuve qu’elle commençait à avoir la technique (ou qu’elle l’avait fantasmée depuis longtemps !).

Toutefois, Cynthia n’a pas des décennies d’expertise dans la branlette du bouton, et ma chérie sait se retenir pour faire durer le plaisir. Linda était un brin déçue de ne pas obtenir d’orgasme malgré sa bonne volonté et ses efforts. Mais Andréa l’a remerciée et consolée à sa façon – Entre nous, je m’étonnais qu’elle ne l’ait pas encore fait. D’ordinaire, elle ne s’en abstient pas longtemps – Bref, c’est arrivé. Un autre liquide s’est mêlé à l’eau de rinçage pour que Linda découvre les bienfaits de la douche dorée. C’était sa soirée des premières, lol ! D’autant que, tu sais ce que c’est, le pipi c’est contagieux, et celui de Cynthia s’est rajouté à la bénédiction.

Oh, elles ne l’ont pas laissée en plan, la copine ! Andréa lui a replié les jambes et Cynthia s’est accroupie pour lui rendre les mêmes devoirs d’hygiène. Ce faisant, elle lui a peu ou prou collé sa chatte sur la figure. Linda n’avait guère le moyen d’y échapper, mais vu où elle en était, une découverte de plus ou de moins… Je ne jurerais pas qu’elle a léché ce qu’elle venait de nettoyer, mais de notre point de vue c’était tout comme. Tu imagines, ma chérie, dans quel état nous étions, Yla, Manon et moi, et qu’il nous tardait de prendre leur place.

Nous avons adopté, par force, la même disposition qu’elles. Sauf que, par délicatesse (?), Manon a tenu à se mettre au fond. Dire qu’Yla et moi nous sommes contentées d’un simple savonnage de poitrines, serait mentir. Nous n’avons pas attendu d’être contraintes de nous coller l’une à l’autre pour nous prendre la bouche et nous ne l’avons pas lâchée avant d’avoir longuement employé nos mains sur nos dos et nos ventres. Pendant ce temps, Manon s’occupait de ses seins en me bécotant les cuisses et les fesses. Je dois avouer que c’était délicieux. On n’accorde jamais assez d’attention à la tendresse, lol !

Quand j’ai empoigné le cul d’Yla et elle le mien, j’ai eu une pointe de honte en pensant à mon trouduc exhibé à deux doigts des yeux de Manon. Mais les tétons d’Yla étaient si durement doux contre mes lolos et sa langue si câline, que le sentiment de gêne s’est vite envolé. J’ai fermé les paupières et j’ai oublié l’aspect scabreux de la situation. Je savais ce qui m’attendait, je n’allais pas sombrer tout à coup dans la pudibonderie. D’ailleurs, Manon n’avait pas autant de scrupules que la morale l’aurait voulu. Son index m’a pénétrée par derrière et son pouce par devant. J’ai senti qu’elle faisait le même geste entre les fesses d’Yla que je lui tenais ouvertes, et j’ai joui.

Oui, je le confesse, j’ai joui sous la pince de ma fille. Ce n’était pas bien, oh non ! Mais c’était si bon, oh oui, lol ! Le pire, ou le meilleur, a été lorsque la main d’Yla est venue me rouler le clito. Je lui ai rendu la pareille, bien sûr, et j’ai eu le plaisir de recevoir son râle de jouissance dans ma bouche. Mais juste à ce moment, Manon a retiré son pouce et m’a chatouillé le méat avec l’ongle. J’ai compris qu’elle avait fait la même chose à Yla quand celle-ci a vidé sa vessie comme moi. Eh oui, j’ai mis une couche de plus à mes turpitudes, j’ai pissé sur elle ! Je suis une dépravée, lol ! Pourtant, elle ne me l’a pas reproché. Au contraire !

Dois-je encore t’avouer que j’ai allègrement participé au nettoyage par Yla de la foune et du troufignon de Manon ? Et qu’elle et moi nous sommes trouvées dans la même pose que Linda et Cynthia auparavant, avec les mêmes conséquences ? Inutile, n’est-ce pas, tu l’avais déjà deviné.

L’autre trio de coquines (j’allais dire de salopes) n’avait pas quitté la salle de bain, tu t’en doutes aussi. Elles ne nous avaient pas lâchées des yeux. Rassasiées de sexe pour l’instant, peut-être, mais pas du tout lassées d’en contempler le spectacle. Elles avaient réquisitionné les peignoirs disponibles, ne nous laissant que des serviettes qu’elles nous ont obligeamment proposées. Il fallait bien qu’on se sèche l’extérieur, même si l’intérieur restait humide, lol !

Il n’y a ni bouton ni ceinture à mes peignoirs – à quoi ça servirait ? – Autant dire que nous étions toutes les six plus à poil qu’habillées. Détail sans importance, tu en conviendras, pour sortir quatre bricoles du congélateur. À la vérité un peu plus de quatre, parce que les émotions ça éveille l’appétit, lol ! Après le repas, nous avons ressorti le jeu « Action ou Vérité » que Yla avait laissé chez moi lors de sa première visite. Il est en anglais, mais les questions et les indications des gages ne sont pas trop compliquées à traduire. Sinon, on invente. Je ne m’étends pas sur les figures réalisées pour éviter de dire le vrai, qui n’étaient pas plus licencieuses que nos ébats sous la douche, sauf que les 69 ont été plus nombreux, sans distinction de qui sur qui, lol !

Ensuite, la fatigue venant, nous sommes allées nous coucher, Manon avec Cynthia et Linda d’un côté, Andréa et Yla avec moi de l’autre. Et qu’avez-vous fait la nuit durant, me diras-tu ? La nuit, nous avons baisé, tout simplement.

Ma Chérie, il se fait tard, j’arrête là ma lettre.

J’espère que tu t’es bien caressée la craquette, ma Puce, et je te promets de te raconter bientôt la suite de nos cochonneries.

Je te lèche la moule, Maud chérie.
Ta Chantal

Les avis des lecteurs

@Olga, ma déesse, tu es ma préceptrice pour les textes autobiographiques.
@Clara, je suis heureuse et émue (comprenez-le dans le sens qui vous plait) de votre compliment.
@ma puce, j'ai pensé à toi en me confessant :)

Histoire Libertine
Oui ma chérie, ta puce a eu chaud à la craquette et au ventre❤️

Histoire Libertine
Je dois dire que les textes de Dyonisia sont les meilleurs du site dans la rubrique "saphisme". J'adore!!!
Clara

Merci ma muse pour cette série saphique qui s'annonce prometteuse!



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