L’épouse, un amant : le film du mari
Récit érotique écrit par Muse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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L’épouse, un amant : le film du mari
JF filme parfois (souvent) ce qu’il voit, et m’a suggéré d’écrire en regardant ensemble une soirée, comme il la vit, j’ai le droit de le questionner. On va débuter par une scène et voir ce que cela donne. Sourire.
Un panoramique du lieu, les visages souriants, la table, les bulles. Retour sur les visages. Plan de coupe, on reprend alors que la soirée est entrée dans les prémices. Je danse dans les bras de l’amant. La caméra remonte mes jambes qui croisent celles de mon danseur, les corps serrés, ses mains sur mes hanches. La scène suivante, je suis nue, entièrement, vêtements éparpillés au sol, toujours dans les bras du danseur qui embrasse ma poitrine et écrase mes reins pour que nos sexes se joignent. Gros plan sur mon visage rougi, yeux clos, sourire de contentement aux lèvres. On m’entend gémir. Puis la caméra descend en même temps que l’amant qui vient poser sa bouche sur mon pubis, ses mains sur mes fesses. Un court plan sur le sexe raide de l’amant.
Je demande : « Ca te plait de le voir bander ou tu aimes les sexes d’hommes ? » Il rit « non, c’est de voir son désir qui m’excite, comprendre son envie pour toi ».
Le film continue alors que je suis allongée nue devant le tercero. Il détaille mon corps, sourit, me regarde, puis se tourne vers la caméra, il fait le tour du lit sans pudeur, sans un mot, étendard brandi. JF filme mon visage alors que moi aussi je fais le tour visuel de celui qui va me faire l’amour, un sourire et un haussement d’épaule coquinement pervers au cameraman.
La suite montre à l’évidence que les deux « acteurs » se concentrent sur le jeu des plaisirs à échanger, la caméra, ils l’oublient. (Mais je n’oublie pas le cameraman). Attention à partir de ce moment le film devient très érotique et même pornographique, sauf pour nous trois. « Dis-moi, tu bandes toi aussi à ce moment ? » Il ne répond pas autrement qu’en posant ma main sur son pantalon.
JF filme en plan large. Il m’explique : « j’aime voir tes réactions, voir tes tressaillements, tes seins se tendre, tes mains crispées sur les draps, ou sur les épaules, ou sur les fesses de ton amant, tes ongles dans sa peau. Je suis attentivement le mouvement de ton ventre, de ton bassin quand il te pénètre. Je suis tes jambes jusqu’aux doigts de pieds rigides retournés par le plaisir qui t’envahit, je sais que tu ne simules pas, ton plaisir se voit. »
On regarde ensemble, émus, JF commente toujours « Tes cuisses s’ouvrent, Ton bassin se tend vers le pénis raide qui rentre en toi. Tu fermes tes jambes sur ses reins et ton corps accompagne le mouvement qui vous unit. Tes mains caressent du bout des doigts, son dos, ses fesses, pour l’encourager et lui faire savoir le plaisir qu’il te donne. Ton visage convulsé, rouge, ta bouche ouverte, tes cheveux éparpillés. Tu es divinement désirable. Il se redresse et se regarde rentrer en toi. Et là, toi aussi tu veux voir, attirée par le membre que tu veux sentir coulisser, voir son sexe pénétrer le tien, ta mouille qui vous lubrifie. ». Un temps, un silence. On a chaud.
« Ces moments sont parmi les plus excitant, ceux que je veux vivre de toi ». J’ajoute « Cela m’excite aussi que tu me regardes que tu regardes mon sexe ouvert par le pénis tout raide » Nous avalons notre salive comme si nous revivions cet instant.
Chaque plan évoque une scène précise du mâle attentif au plaisir qu’il donne et d’où nait celui du mari. JF veut saisir ce plaisir, s’imprégner de l’inexplicable, voir sa femme s’emballer, tout oublier, concentrée sur son corps et celui de son amant. Les deux peaux collées échangent, partagent et ressentent le plaisir de l’autre. Cela se voit aux réactions simultanées et échangées. Un coup de rein du mâle et la femelle que je suis s’électrise. Mon sexe s’offre à celui de l’homme, il se dresse sur moi et son visage grimace. Faire l’amour, nous y sommes.
Je demande : « Pas de jalousie à ce moment ? » JF me répond « Jaloux ? Pourquoi ? Tu m’aimes non ? Le plaisir c’est avec mon accord que tu le reçois ? » A mon tour « C’était juste pour te taquiner je t’aime et c’est toute mon excitation de savoir que je jouis et que tu me regardes. »
Retour au film qui continue alors que mon amant me prend en levrette. Le visage dans les draps, je tends ma croupe, ma fente ouverte et brillante, au membre tendu, luisant de l’amant que JF filme avec délectation. Les muscles du ventre bandés, tout comme son sexe gonflé, les mains fermes maintiennent mes hanches vigoureusement. Son visage rouge d’envie de me prendre. Ce gros plan une sorte d’obsession sur le mystère du plaisir. Je lui dis « Tu imagines être en moi ? » et JF de me répondre : « non, je sais que c’est un autre qui te le donne mais je sais aussi que ton plaisir tu le partages avec moi. »
J’ai parlé trop vite, le plan suivant c’est mon visage, yeux rivés à la caméra ou plus précisément au fond du regard de mon mari, spectateur de ma jouissance imminente.
Il filme sa femme entrain de jouir d’un homme qui la bourre avec fougue. Rien ne peut interrompre cette furie de plaisirs échangés. Mon mari est en extase de mon plaisir. On voit ma main agrippée au matelas, les doigts fermés convulsivement sur le drap en boulle, yeux fermés, lèvres pincées. Mon visage s’enfonce en cadences répétées dans le lit au rythme des coups qui me défoncent, on entend le bruit sourd du ventre de l’amant contre le mien, ses couilles qui battent mon sexe. On entend mes gémissements retenus, étouffés, puis soudain sonores, criés. Plan de face, mes hanches aux mains du baiseur, sa queue entre et sort encore et encore, chaque fois plus brutalement pour me défoncer, visage rouge et grimaçant. Comme le cameraman, il fixe l’entrée de mon sexe où son membre s’enfonce dans mon trou, lèvres ouvertes écartées. Des traces blanches sur la queue mouillée par mes effluves et déjà un peu de sperme échappé. JF intervient, « Tu es divine ! J’adore ce moment, ta beauté, ton plaisir intense, je suis fou de te voir, de t’entendre ». De dos cette fois, gros plan sur la queue qui ouvre mon sexe, mes cuisses écartées par celles de l’amant, une main retournée de l’amant sur mon clito. Je gémis, je grogne, je souffle, « viens, baise moi ! Baise ! » J’exulte avec rage, et l’amant en réponse « je jouis, je te baise ! ». Plus de mouvement, calme apparent, sauf les fesses du mâle qui se creusent à chaque spasme de l’éjaculation en cours qui pétrifie les amants unis dans l’extase. Mon cri et son râle sourd et grave. Plus un seul mouvement, les amants dégustent ensemble leur petite mort en silence. Puis l’amant se retire, sa queue se détend, mon sexe rose trempé, ouvert, d’où s’écoule déjà une partie du sperme blanc qui descend jusqu’au drap.
Echange de sourires à mon amant d’un côté et à mon mari de l’autre.
La suite non filmée, pouvez vous comprendre qu’on ait envie à cet instant l’un et l’autre de se mélanger. Mon sexe élargi, dilaté, rempli d’un autre que mon mari va envahir à son tour, en pénétrant sans effort, tout en douceur, sans bouger, unis. Mon ventre inondé, suce, aspire son membre, on se tend, on s’accouple, on veut ce moment d’amour où le corps et l’âme se rejoignent, nos corps souples immobiles enlacés, bouche contre bouche, on jouit. J’ai l’impression de déborder. Je pleure mon bonheur.
Là, c’est JF qui a interrompu mon écriture !...
Je peux vous dire que ce visionnage fut interrompu et saccadé, mais à cet instant précis l’interruption fut infiniment plus longue…Cela, point de caméra pour graver, ni de perverse pour écrire.
Un panoramique du lieu, les visages souriants, la table, les bulles. Retour sur les visages. Plan de coupe, on reprend alors que la soirée est entrée dans les prémices. Je danse dans les bras de l’amant. La caméra remonte mes jambes qui croisent celles de mon danseur, les corps serrés, ses mains sur mes hanches. La scène suivante, je suis nue, entièrement, vêtements éparpillés au sol, toujours dans les bras du danseur qui embrasse ma poitrine et écrase mes reins pour que nos sexes se joignent. Gros plan sur mon visage rougi, yeux clos, sourire de contentement aux lèvres. On m’entend gémir. Puis la caméra descend en même temps que l’amant qui vient poser sa bouche sur mon pubis, ses mains sur mes fesses. Un court plan sur le sexe raide de l’amant.
Je demande : « Ca te plait de le voir bander ou tu aimes les sexes d’hommes ? » Il rit « non, c’est de voir son désir qui m’excite, comprendre son envie pour toi ».
Le film continue alors que je suis allongée nue devant le tercero. Il détaille mon corps, sourit, me regarde, puis se tourne vers la caméra, il fait le tour du lit sans pudeur, sans un mot, étendard brandi. JF filme mon visage alors que moi aussi je fais le tour visuel de celui qui va me faire l’amour, un sourire et un haussement d’épaule coquinement pervers au cameraman.
La suite montre à l’évidence que les deux « acteurs » se concentrent sur le jeu des plaisirs à échanger, la caméra, ils l’oublient. (Mais je n’oublie pas le cameraman). Attention à partir de ce moment le film devient très érotique et même pornographique, sauf pour nous trois. « Dis-moi, tu bandes toi aussi à ce moment ? » Il ne répond pas autrement qu’en posant ma main sur son pantalon.
JF filme en plan large. Il m’explique : « j’aime voir tes réactions, voir tes tressaillements, tes seins se tendre, tes mains crispées sur les draps, ou sur les épaules, ou sur les fesses de ton amant, tes ongles dans sa peau. Je suis attentivement le mouvement de ton ventre, de ton bassin quand il te pénètre. Je suis tes jambes jusqu’aux doigts de pieds rigides retournés par le plaisir qui t’envahit, je sais que tu ne simules pas, ton plaisir se voit. »
On regarde ensemble, émus, JF commente toujours « Tes cuisses s’ouvrent, Ton bassin se tend vers le pénis raide qui rentre en toi. Tu fermes tes jambes sur ses reins et ton corps accompagne le mouvement qui vous unit. Tes mains caressent du bout des doigts, son dos, ses fesses, pour l’encourager et lui faire savoir le plaisir qu’il te donne. Ton visage convulsé, rouge, ta bouche ouverte, tes cheveux éparpillés. Tu es divinement désirable. Il se redresse et se regarde rentrer en toi. Et là, toi aussi tu veux voir, attirée par le membre que tu veux sentir coulisser, voir son sexe pénétrer le tien, ta mouille qui vous lubrifie. ». Un temps, un silence. On a chaud.
« Ces moments sont parmi les plus excitant, ceux que je veux vivre de toi ». J’ajoute « Cela m’excite aussi que tu me regardes que tu regardes mon sexe ouvert par le pénis tout raide » Nous avalons notre salive comme si nous revivions cet instant.
Chaque plan évoque une scène précise du mâle attentif au plaisir qu’il donne et d’où nait celui du mari. JF veut saisir ce plaisir, s’imprégner de l’inexplicable, voir sa femme s’emballer, tout oublier, concentrée sur son corps et celui de son amant. Les deux peaux collées échangent, partagent et ressentent le plaisir de l’autre. Cela se voit aux réactions simultanées et échangées. Un coup de rein du mâle et la femelle que je suis s’électrise. Mon sexe s’offre à celui de l’homme, il se dresse sur moi et son visage grimace. Faire l’amour, nous y sommes.
Je demande : « Pas de jalousie à ce moment ? » JF me répond « Jaloux ? Pourquoi ? Tu m’aimes non ? Le plaisir c’est avec mon accord que tu le reçois ? » A mon tour « C’était juste pour te taquiner je t’aime et c’est toute mon excitation de savoir que je jouis et que tu me regardes. »
Retour au film qui continue alors que mon amant me prend en levrette. Le visage dans les draps, je tends ma croupe, ma fente ouverte et brillante, au membre tendu, luisant de l’amant que JF filme avec délectation. Les muscles du ventre bandés, tout comme son sexe gonflé, les mains fermes maintiennent mes hanches vigoureusement. Son visage rouge d’envie de me prendre. Ce gros plan une sorte d’obsession sur le mystère du plaisir. Je lui dis « Tu imagines être en moi ? » et JF de me répondre : « non, je sais que c’est un autre qui te le donne mais je sais aussi que ton plaisir tu le partages avec moi. »
J’ai parlé trop vite, le plan suivant c’est mon visage, yeux rivés à la caméra ou plus précisément au fond du regard de mon mari, spectateur de ma jouissance imminente.
Il filme sa femme entrain de jouir d’un homme qui la bourre avec fougue. Rien ne peut interrompre cette furie de plaisirs échangés. Mon mari est en extase de mon plaisir. On voit ma main agrippée au matelas, les doigts fermés convulsivement sur le drap en boulle, yeux fermés, lèvres pincées. Mon visage s’enfonce en cadences répétées dans le lit au rythme des coups qui me défoncent, on entend le bruit sourd du ventre de l’amant contre le mien, ses couilles qui battent mon sexe. On entend mes gémissements retenus, étouffés, puis soudain sonores, criés. Plan de face, mes hanches aux mains du baiseur, sa queue entre et sort encore et encore, chaque fois plus brutalement pour me défoncer, visage rouge et grimaçant. Comme le cameraman, il fixe l’entrée de mon sexe où son membre s’enfonce dans mon trou, lèvres ouvertes écartées. Des traces blanches sur la queue mouillée par mes effluves et déjà un peu de sperme échappé. JF intervient, « Tu es divine ! J’adore ce moment, ta beauté, ton plaisir intense, je suis fou de te voir, de t’entendre ». De dos cette fois, gros plan sur la queue qui ouvre mon sexe, mes cuisses écartées par celles de l’amant, une main retournée de l’amant sur mon clito. Je gémis, je grogne, je souffle, « viens, baise moi ! Baise ! » J’exulte avec rage, et l’amant en réponse « je jouis, je te baise ! ». Plus de mouvement, calme apparent, sauf les fesses du mâle qui se creusent à chaque spasme de l’éjaculation en cours qui pétrifie les amants unis dans l’extase. Mon cri et son râle sourd et grave. Plus un seul mouvement, les amants dégustent ensemble leur petite mort en silence. Puis l’amant se retire, sa queue se détend, mon sexe rose trempé, ouvert, d’où s’écoule déjà une partie du sperme blanc qui descend jusqu’au drap.
Echange de sourires à mon amant d’un côté et à mon mari de l’autre.
La suite non filmée, pouvez vous comprendre qu’on ait envie à cet instant l’un et l’autre de se mélanger. Mon sexe élargi, dilaté, rempli d’un autre que mon mari va envahir à son tour, en pénétrant sans effort, tout en douceur, sans bouger, unis. Mon ventre inondé, suce, aspire son membre, on se tend, on s’accouple, on veut ce moment d’amour où le corps et l’âme se rejoignent, nos corps souples immobiles enlacés, bouche contre bouche, on jouit. J’ai l’impression de déborder. Je pleure mon bonheur.
Là, c’est JF qui a interrompu mon écriture !...
Je peux vous dire que ce visionnage fut interrompu et saccadé, mais à cet instant précis l’interruption fut infiniment plus longue…Cela, point de caméra pour graver, ni de perverse pour écrire.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime évocation érotique. Je viens seulement de vous lire sur la suggestion de votre correcteur - Je vais continuer à découvrir votre écriture.
Merci à vous
Ô ma muse, mon égérie ! Quel style ! Que d'amour ! Quel érotisme ! Merci encore...
Didier
Didier
bravo !
Magnifique, comme toujours. Le désir mais aussi l'amour et la classe! Il est 9 H et grâce à vous ma journée s'éclaire. Merci.