L'erreur
Récit érotique écrit par Lola-Loula [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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L'erreur
Avec mon mari, nous avons aménagé un petit fourgon pour partir dormir ça-et-là et se sentir un peu en vacances de manière régulière. J’aime ces promenades et découvrir du pays.
Le lit à l’arrière nous offre un confort simple et être dans des endroits divers m’excite particulièrement. Nous nous arrêtons facilement à l’entrée d’une clairière ou sur un parking pour prendre un peu de bon temps à l’arrière.
Ce samedi-là, en fin d’après-midi pluvieuse, nous avons fait une erreur que j’ai payé chère.
Comme à l’accoutumée, arrivés sur un parking désert, nous avons profité ensemble de la pause. J’ai entraîné Willy à l’arrière. Allongé au bord du lit, je lui ai fait une de mes plus belles fellations : j’aime le déshabiller, le lécher et sentir sa queue gonflée sur ma langue, jouer avec son gland et pouvoir ma gober entièrement. De son côté, il aime maitriser vitesse et profondeur et me baiser la bouche sans ménagement. Aujourd’hui, il finit par se masturber face à moi et m’envoie sa semence au visage. Je suis comblée ! J’aime qu’il me fasse ce cadeau ! Ça m’excite énormément et il sait qu’après je suis insatiable et qu’on pensera une bonne soirée d’ivresse des corps.
Après avoir joui, il sort, pour aller faire un tour dans les toilettes publiques.
Je me retrouve seule et affamée. Je goute à son sperme et me masturbe un peu. Alors que je vais me faire jouir, un inconnu entre dans le fourgon, se dirige vers le petit lavabo et se lave les mains et le sexe ! Je me couvre avec le drap et écarquille les yeux. L’homme me dit :
- Ne fais pas ta farouche ! J’ai tout payé à Willy. Viens par-là !
J’hésite. Ça veut dire quoi ?
- Allez ma belle ! Viens au bord du lit.
J’avance au bord m’assieds, et tente d’ouvrir la portière mais Willy a fermé.
- C’est quoi ce bordel ?
- Ce bordel, c’est que j’ai payé et que chaque minute compte ! Viens là ! Ton mari a pris la thune et je vais te baiser comme une pute !
A ces mots, je comprends que je n’ai pas le choix. J’avale ma salive un peu bruyamment, je flippe un peu mais il ajoute gentiment :
- Il m’a dit que l’idée te plairait et comme vous aviez mis votre lumière sur tableau de bord, j’ai cru que tu étais une nouvelle. Quand je me suis présenté, ton mec m’a dit que tu étais open. On a négocié et me voilà là. Alors maintenant prenons notre pied pendant qu’il fait le poireau dehors.
Il sort son sexe de son caleçon et me le met en bouche avant que j’ai le temps de répliquer. Comme il a payé, je fais ça bien. Comme si c’était celle de Willy. Je glisse ma langue sur son sexe, lui caresse les couilles pour juger du bagage et me laisse aller. Lui, comprend que je suis prête, il me prend la tête et me fait bouffer sa queue bien raide. Elle va bien profondément, il me maintient fortement et je manque de m’étouffer tant il y place de la force. Quand il relâche, je tousse et crache, il rit et reprend. Il s’amuse ainsi à me baiser la bouche et à jouer avec moi. Puis, il me fait tomber sur le lit, me cale les jambes remontées au bord du lit et enfile une capote. Je mouille depuis mes caresses et depuis que Willy m’a inondé… et maintenant face à cet inconnu ! Je suis vraiment une sacrée salope. Sans préparation, il me pénètre brutalement et commence des profonds va-et-vient. Ah, j’ai beau mouillée, j’ai la chatte serrée, chaude à cause de la peur et cette nouvelle sensation m’arrache des cris que je ne connaissaient pas. Ça semble le vivifier car de profonds va-et-vient, cela devient de véritables pilonnements. Putain que c’est bon. Je ferme les yeux et le laisse m’utiliser. Je pousse bientôt un soupir d’apaisement et je sens monter ma jouissance. Le type me balance des insultes et je jouis ! Putain que c’est bon. Il rit et poursuit. C’est une vraie mitraillette, il me met de ces cartouches ! Il est super endurant ! Je jouis plusieurs fois. Il me retourne, je prends par les cheveux et me maltraite la chatte. Je sens son souffle s’accélérer et sa bite durcir. Il me fait jouir et va jouir ! Quel pied bordel ! Je ne peux m’empêcher de crier de plaisir. Il se retire, je me retourne et il me doigte la chatte.
Ça m’a crevé, cette aventure inattendue. Que va penser Willy ? Je me demande… J’ai envie de me relever et de m’étirer mais le type me demande de ne pas bouger. Il me fourre le vagin de ses doigts et me regarde avec l’œil amusé. Je tente de me laisser-aller. Je profite de ces massages. J’en peux plus, j’ai la chatte brulante. Il arrête ses caresses et je suis soulagée. Il va se casser et je vais retrouver mon homme.
Je vais pour me lever mais il me culbute sur le lit, me retourne et me voilà couchée, ses couilles pendantes près de mon visage. Il m’ordonne : Lèche sale pute en chaleur ! Je m’exécute. Ne t’arrête pas !
Le voilà qui bande à nouveau ! Il me prend la tête et me remets son dard dans la bouche. J’écarte bien les lèvres. J’adore les gorges profondes. C’est comme s’il le savait ! Le voilà qui me ramone la bouche ! Ce n’est pas humain cette endurance ! Je n’en peux plus. J’ai la gorge en feu. Je respire avec difficultés, pleure et lèche et crache.
Quand il me relâche, je souffle. Je me dis qu’il va se branler sur mon visage et que j’aurai été une bonne pute. Je souris à cette idée. Je me retourne, m’agenouille sur le lit et le regarde.
Je vois le plaisir dans son regard et son sourire. Je le masturbe pour qu’il m’envoie la sauce au visage. Mais il me dit :
- Ne va pas trop vite ma belle, j’ai payé pour 45 minutes. J’ai encore le temps de te fourrer un peu ! Ton homme m’a dit que c’était ta première, donc je ne toucherai pas à ton cul. Le prochain aura peut-être plus de chance !
Il me retourne, m’écarte les jambes avec son genou et me fait tomber sur le lit, il enfile une nouvelle capote et se couche sur moi et me fourre la chatte. Il fait jouer son bassin, sa vitesse et profondeur. Je suis encore en train de jouir. Merde c’est trop bon d’être utilisée ainsi ! Je respire dans l’oreiller. Il m’utilise comme un trou, me redit des vulgarités et moi, je mouille comme une putain de salope ! Il continue comme ça. Je n’ai pas encore la notion du temps mais bientôt, j’entends frapper à la portière. Je me crispe, ne bouge plus. Lui par contre, continue à me ramoner plus fort, il cherche à se faire jouir. Il y va. Je lui parle pour l’aider : vas-y, baise-moi putain, défonce-moi ! Allez ! Encore ! Que Willy ne reconnaisse pas ma petite chatte ! Ça lui fait un effet de dingue, il s’agrippe à moi, me martèle et jouis puissamment en moi. Je m’extrais plus rapidement cette fois. Il se lève, remonte son pantalon et sort sans un mot. Je me pose sur le lit un peu groggy.
- Que s’est-il passé putain ? Dis-je à Willy qui entre en souriant.
- Avec la lumière sur le tableau de bord, il a cru que t’étais une pute et que c’était son tour quand je suis sorti pisser. Je lui ai juste dit que c’était une erreur avant de me dire que ça te plairait. T’étais encore hyper chaude ! Et je suis sûre que ça t’a plu à ce que j’ai entendu ! Ça nous fait un peu de fric pour une nouvelle virée et tu me fais bander comme un taureau.
Je lui souris. Je ne peux pas faire autrement. Je ne suis même pas en colère tant c’était surprenant et bon. Et j’aime tant le voir souriant ainsi. Il ajoute en me pelotant la poitrine : si tu as encore un peu de force, je finirai bien ce qu’on a commencé. Je lui souris et l’embrasse. Nous faisons l’amour comme jamais.
Ça vaut le coup de faire confiance à son homme !
Le lit à l’arrière nous offre un confort simple et être dans des endroits divers m’excite particulièrement. Nous nous arrêtons facilement à l’entrée d’une clairière ou sur un parking pour prendre un peu de bon temps à l’arrière.
Ce samedi-là, en fin d’après-midi pluvieuse, nous avons fait une erreur que j’ai payé chère.
Comme à l’accoutumée, arrivés sur un parking désert, nous avons profité ensemble de la pause. J’ai entraîné Willy à l’arrière. Allongé au bord du lit, je lui ai fait une de mes plus belles fellations : j’aime le déshabiller, le lécher et sentir sa queue gonflée sur ma langue, jouer avec son gland et pouvoir ma gober entièrement. De son côté, il aime maitriser vitesse et profondeur et me baiser la bouche sans ménagement. Aujourd’hui, il finit par se masturber face à moi et m’envoie sa semence au visage. Je suis comblée ! J’aime qu’il me fasse ce cadeau ! Ça m’excite énormément et il sait qu’après je suis insatiable et qu’on pensera une bonne soirée d’ivresse des corps.
Après avoir joui, il sort, pour aller faire un tour dans les toilettes publiques.
Je me retrouve seule et affamée. Je goute à son sperme et me masturbe un peu. Alors que je vais me faire jouir, un inconnu entre dans le fourgon, se dirige vers le petit lavabo et se lave les mains et le sexe ! Je me couvre avec le drap et écarquille les yeux. L’homme me dit :
- Ne fais pas ta farouche ! J’ai tout payé à Willy. Viens par-là !
J’hésite. Ça veut dire quoi ?
- Allez ma belle ! Viens au bord du lit.
J’avance au bord m’assieds, et tente d’ouvrir la portière mais Willy a fermé.
- C’est quoi ce bordel ?
- Ce bordel, c’est que j’ai payé et que chaque minute compte ! Viens là ! Ton mari a pris la thune et je vais te baiser comme une pute !
A ces mots, je comprends que je n’ai pas le choix. J’avale ma salive un peu bruyamment, je flippe un peu mais il ajoute gentiment :
- Il m’a dit que l’idée te plairait et comme vous aviez mis votre lumière sur tableau de bord, j’ai cru que tu étais une nouvelle. Quand je me suis présenté, ton mec m’a dit que tu étais open. On a négocié et me voilà là. Alors maintenant prenons notre pied pendant qu’il fait le poireau dehors.
Il sort son sexe de son caleçon et me le met en bouche avant que j’ai le temps de répliquer. Comme il a payé, je fais ça bien. Comme si c’était celle de Willy. Je glisse ma langue sur son sexe, lui caresse les couilles pour juger du bagage et me laisse aller. Lui, comprend que je suis prête, il me prend la tête et me fait bouffer sa queue bien raide. Elle va bien profondément, il me maintient fortement et je manque de m’étouffer tant il y place de la force. Quand il relâche, je tousse et crache, il rit et reprend. Il s’amuse ainsi à me baiser la bouche et à jouer avec moi. Puis, il me fait tomber sur le lit, me cale les jambes remontées au bord du lit et enfile une capote. Je mouille depuis mes caresses et depuis que Willy m’a inondé… et maintenant face à cet inconnu ! Je suis vraiment une sacrée salope. Sans préparation, il me pénètre brutalement et commence des profonds va-et-vient. Ah, j’ai beau mouillée, j’ai la chatte serrée, chaude à cause de la peur et cette nouvelle sensation m’arrache des cris que je ne connaissaient pas. Ça semble le vivifier car de profonds va-et-vient, cela devient de véritables pilonnements. Putain que c’est bon. Je ferme les yeux et le laisse m’utiliser. Je pousse bientôt un soupir d’apaisement et je sens monter ma jouissance. Le type me balance des insultes et je jouis ! Putain que c’est bon. Il rit et poursuit. C’est une vraie mitraillette, il me met de ces cartouches ! Il est super endurant ! Je jouis plusieurs fois. Il me retourne, je prends par les cheveux et me maltraite la chatte. Je sens son souffle s’accélérer et sa bite durcir. Il me fait jouir et va jouir ! Quel pied bordel ! Je ne peux m’empêcher de crier de plaisir. Il se retire, je me retourne et il me doigte la chatte.
Ça m’a crevé, cette aventure inattendue. Que va penser Willy ? Je me demande… J’ai envie de me relever et de m’étirer mais le type me demande de ne pas bouger. Il me fourre le vagin de ses doigts et me regarde avec l’œil amusé. Je tente de me laisser-aller. Je profite de ces massages. J’en peux plus, j’ai la chatte brulante. Il arrête ses caresses et je suis soulagée. Il va se casser et je vais retrouver mon homme.
Je vais pour me lever mais il me culbute sur le lit, me retourne et me voilà couchée, ses couilles pendantes près de mon visage. Il m’ordonne : Lèche sale pute en chaleur ! Je m’exécute. Ne t’arrête pas !
Le voilà qui bande à nouveau ! Il me prend la tête et me remets son dard dans la bouche. J’écarte bien les lèvres. J’adore les gorges profondes. C’est comme s’il le savait ! Le voilà qui me ramone la bouche ! Ce n’est pas humain cette endurance ! Je n’en peux plus. J’ai la gorge en feu. Je respire avec difficultés, pleure et lèche et crache.
Quand il me relâche, je souffle. Je me dis qu’il va se branler sur mon visage et que j’aurai été une bonne pute. Je souris à cette idée. Je me retourne, m’agenouille sur le lit et le regarde.
Je vois le plaisir dans son regard et son sourire. Je le masturbe pour qu’il m’envoie la sauce au visage. Mais il me dit :
- Ne va pas trop vite ma belle, j’ai payé pour 45 minutes. J’ai encore le temps de te fourrer un peu ! Ton homme m’a dit que c’était ta première, donc je ne toucherai pas à ton cul. Le prochain aura peut-être plus de chance !
Il me retourne, m’écarte les jambes avec son genou et me fait tomber sur le lit, il enfile une nouvelle capote et se couche sur moi et me fourre la chatte. Il fait jouer son bassin, sa vitesse et profondeur. Je suis encore en train de jouir. Merde c’est trop bon d’être utilisée ainsi ! Je respire dans l’oreiller. Il m’utilise comme un trou, me redit des vulgarités et moi, je mouille comme une putain de salope ! Il continue comme ça. Je n’ai pas encore la notion du temps mais bientôt, j’entends frapper à la portière. Je me crispe, ne bouge plus. Lui par contre, continue à me ramoner plus fort, il cherche à se faire jouir. Il y va. Je lui parle pour l’aider : vas-y, baise-moi putain, défonce-moi ! Allez ! Encore ! Que Willy ne reconnaisse pas ma petite chatte ! Ça lui fait un effet de dingue, il s’agrippe à moi, me martèle et jouis puissamment en moi. Je m’extrais plus rapidement cette fois. Il se lève, remonte son pantalon et sort sans un mot. Je me pose sur le lit un peu groggy.
- Que s’est-il passé putain ? Dis-je à Willy qui entre en souriant.
- Avec la lumière sur le tableau de bord, il a cru que t’étais une pute et que c’était son tour quand je suis sorti pisser. Je lui ai juste dit que c’était une erreur avant de me dire que ça te plairait. T’étais encore hyper chaude ! Et je suis sûre que ça t’a plu à ce que j’ai entendu ! Ça nous fait un peu de fric pour une nouvelle virée et tu me fais bander comme un taureau.
Je lui souris. Je ne peux pas faire autrement. Je ne suis même pas en colère tant c’était surprenant et bon. Et j’aime tant le voir souriant ainsi. Il ajoute en me pelotant la poitrine : si tu as encore un peu de force, je finirai bien ce qu’on a commencé. Je lui souris et l’embrasse. Nous faisons l’amour comme jamais.
Ça vaut le coup de faire confiance à son homme !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très excitante, comme la précédente !!! Est-ce que ces histoires sont vraies, ou juste des fantasmes sorties de l'imagination ?
j'ai adoré cette histoire !