l'été était chaud...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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l'été était chaud...
Pour pouvoir exécuter mon plan magnifiquement réfléchit, je me devais de quitter la pièce avant la fin du film, que je partageais avec deux de mes tantes, dont Christiane, et une flopée de cousins et cousines. Et cela pour me rendre dans la salle de bains.
Et comme je l’avais élaboré pendant plusieurs nuits déjà, je me planquais comme prévue dans le réduit se trouvant derrière la porte d’entrée et dont cette vieille bâtisse en dégorgé à foison.
J‘avais bien sûr, comme vous pouvez l’imaginer, refermé la porte sur moi. Et là dans le placard, loin d’être commodément installé, je pris mon courage en patience, attendant patiemment la venue de ma tante. Parce que j’étais sûr qu’elle allait venir. Comme elle le faisait à chaque fois avant d’aller prendre le chemin de sa chambre. Une chose que j’avais longuement étudier, pour l’avoir à mainte fois espionner ces derniers soirs.
Je m’aperçus alors que j’avais hormis d’éteindre la pièce. Mon plan était simple, j’attendais qu’elle s’enferme, et une fois là je sortais de ma cache et je me branlais devant ses yeux. J’étais dans une phase que je foutais comme l’an mille des retombées, sachant très bien qu’elle n’en ferait rien. Une réprimande, voir une fessée, rien de bien fâcheux. le jeu en valait la chandelle. Je n’étais pas vraiment nerveux. J’étais en fait excité que ma tante me surprenne en train de me faire du bien.
J’étais impatient que Christiane arrive. J’avais attendu encore quelques minutes avant d’entendre des pas dans le couloir. Je fermais mes yeux en implorant fort le ciel que ce soit Christiane et que je puisse, avoir la chance de la voir nue. Juste le fait d’y pensée, ma queue se mit à enfler. Comme souvent dans ces instants là, ma main s’en saisit et se mit à la branler.
Puis me tante entra, dans toute sa splendeur et pour mon plus grand plaisir. Elle se dirigea jusqu’au lavabo et se débarrassa sans attendre de la culotte qu‘elle portait, pour la poser à cheval sur le rebord de la baignoire. Après s’être longtemps regarder dans le miroir, elle se saisit de sa brosse à dent, elle y déposa de la pâte. Il était temps pour moi de quitter ma planque. Le cœur battant la chamade, je poussais la porte qui pivota sur ses gonds.
Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me sentais fier à présent d’avoir eut le courage de franchir cette étape, que je citerai de très risquer. Sachant très bien que ma tante pourrait alerter dans un cris une bonne partie de la famille, et ainsi les prendre à témoin sur mes agissements pervers. Je n’en menais pas large, ma respiration se faisait saccadée, alors que je verrouillé la porte d‘entrée. Un bruit qui alerta ma tante qui se retourna d’un bloc. Un court silence s’établissait dans la pièce alors que je me tenais, debout, nu, précédent une belle érection.
- Alain ! Mais… lâcha ma tante.
- Mais quoi ? J’avais bien compris l’autre soir (lors d’un jeu), que tu voulais en voir un peu plus, je me trompe ?
-Oui… non, enfin ! Lâcha-t-elle, sans quitté pourtant des yeux ma verge qui la snobait.
Le sang battait de plus en plus fort dans tout mon corps. Le temps m’étant compté, je pris l’initiative d’enrober ma verge de ma propre main droite. Et sous les yeux de ma tante je me mis à me branler.
-Alain arrête ça tout de suite !
Bien sûr volontairement, je ne l’écoutais pas, car je sentais ma charge s’accumuler.
-Arrête ça tout de suite tu m’entends ! Avait-elle répété.
Mais sans partir ni sans tourner la tête non plus.
-Je vais… je vais tata… donne-moi une minute.
Elle était restée là à regarder son neveux se branler. J’avais commencé à gémir car je sentais que mon éjaculation se développait rapidement. Puis j’avais gémi : -Je vais arrêter tata… donne-moi un moment. Alors que mes yeux se glaçaient d’un brouillard intense, mes yeux se fixaient sur ma tante.
Je commençais à me dire : -Elle regarde ! Oui, tata va te regarder cracher !
Je me caressais la bite aussi vite que je pouvais. Puis mon plaisir arriva. Faisant jaillir mon sperme, à s’élever de quelques centimètres en l’air, puis une véritable décharge était sortie de ma bite. De belles grosses giclées de mon sperme chaud avaient jailli de ma queue. Croyez-moi, c’était fabuleusement bon. Tellement agréable. La première grosse giclée avait jailli en l’air. Le reste avait rapidement recouvert ma main et ma bite d’une épaisse couche blanche et collante de sperme.
Je pensais que ma tante avait été éblouie par la quantité de sperme, que j’avais extraite de ma bite. Puis quand j’eus fini, trop tôt à mon goût. Ma tante attendit sagement que j’en finisse pour me tendre une serviette, que je pris en la remerciant de mon plus beau sourire.
Et là pour toute réponse je pris une gifle qui me brûla tout de suite la joue.
-Nettoie ta merde, et casse-toi, connard. Et soit encore heureux que je n’en parle pas à tes parents. Allez dégage !
-Mais !
-Mais quoi ?
-Si il y a quelqu’un derrière la porte ?
-Eh bien tu lui expliqueras que tu as voulu te donner du bon temps devant ta tante.
Tant mieux pour moi, il se trouvait que personne n’attendait derrière la porte. Je ne demandais pas mon reste pour rejoindre mon lit. Mais chose exceptionnelle je ne sentais aucune honte de ce que je venais de faire tout au contraire, j’en bandais même. Ne pouvant pas résister à me branler de nouveau en pensant à ma tante.
Et comme je l’avais élaboré pendant plusieurs nuits déjà, je me planquais comme prévue dans le réduit se trouvant derrière la porte d’entrée et dont cette vieille bâtisse en dégorgé à foison.
J‘avais bien sûr, comme vous pouvez l’imaginer, refermé la porte sur moi. Et là dans le placard, loin d’être commodément installé, je pris mon courage en patience, attendant patiemment la venue de ma tante. Parce que j’étais sûr qu’elle allait venir. Comme elle le faisait à chaque fois avant d’aller prendre le chemin de sa chambre. Une chose que j’avais longuement étudier, pour l’avoir à mainte fois espionner ces derniers soirs.
Je m’aperçus alors que j’avais hormis d’éteindre la pièce. Mon plan était simple, j’attendais qu’elle s’enferme, et une fois là je sortais de ma cache et je me branlais devant ses yeux. J’étais dans une phase que je foutais comme l’an mille des retombées, sachant très bien qu’elle n’en ferait rien. Une réprimande, voir une fessée, rien de bien fâcheux. le jeu en valait la chandelle. Je n’étais pas vraiment nerveux. J’étais en fait excité que ma tante me surprenne en train de me faire du bien.
J’étais impatient que Christiane arrive. J’avais attendu encore quelques minutes avant d’entendre des pas dans le couloir. Je fermais mes yeux en implorant fort le ciel que ce soit Christiane et que je puisse, avoir la chance de la voir nue. Juste le fait d’y pensée, ma queue se mit à enfler. Comme souvent dans ces instants là, ma main s’en saisit et se mit à la branler.
Puis me tante entra, dans toute sa splendeur et pour mon plus grand plaisir. Elle se dirigea jusqu’au lavabo et se débarrassa sans attendre de la culotte qu‘elle portait, pour la poser à cheval sur le rebord de la baignoire. Après s’être longtemps regarder dans le miroir, elle se saisit de sa brosse à dent, elle y déposa de la pâte. Il était temps pour moi de quitter ma planque. Le cœur battant la chamade, je poussais la porte qui pivota sur ses gonds.
Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me sentais fier à présent d’avoir eut le courage de franchir cette étape, que je citerai de très risquer. Sachant très bien que ma tante pourrait alerter dans un cris une bonne partie de la famille, et ainsi les prendre à témoin sur mes agissements pervers. Je n’en menais pas large, ma respiration se faisait saccadée, alors que je verrouillé la porte d‘entrée. Un bruit qui alerta ma tante qui se retourna d’un bloc. Un court silence s’établissait dans la pièce alors que je me tenais, debout, nu, précédent une belle érection.
- Alain ! Mais… lâcha ma tante.
- Mais quoi ? J’avais bien compris l’autre soir (lors d’un jeu), que tu voulais en voir un peu plus, je me trompe ?
-Oui… non, enfin ! Lâcha-t-elle, sans quitté pourtant des yeux ma verge qui la snobait.
Le sang battait de plus en plus fort dans tout mon corps. Le temps m’étant compté, je pris l’initiative d’enrober ma verge de ma propre main droite. Et sous les yeux de ma tante je me mis à me branler.
-Alain arrête ça tout de suite !
Bien sûr volontairement, je ne l’écoutais pas, car je sentais ma charge s’accumuler.
-Arrête ça tout de suite tu m’entends ! Avait-elle répété.
Mais sans partir ni sans tourner la tête non plus.
-Je vais… je vais tata… donne-moi une minute.
Elle était restée là à regarder son neveux se branler. J’avais commencé à gémir car je sentais que mon éjaculation se développait rapidement. Puis j’avais gémi : -Je vais arrêter tata… donne-moi un moment. Alors que mes yeux se glaçaient d’un brouillard intense, mes yeux se fixaient sur ma tante.
Je commençais à me dire : -Elle regarde ! Oui, tata va te regarder cracher !
Je me caressais la bite aussi vite que je pouvais. Puis mon plaisir arriva. Faisant jaillir mon sperme, à s’élever de quelques centimètres en l’air, puis une véritable décharge était sortie de ma bite. De belles grosses giclées de mon sperme chaud avaient jailli de ma queue. Croyez-moi, c’était fabuleusement bon. Tellement agréable. La première grosse giclée avait jailli en l’air. Le reste avait rapidement recouvert ma main et ma bite d’une épaisse couche blanche et collante de sperme.
Je pensais que ma tante avait été éblouie par la quantité de sperme, que j’avais extraite de ma bite. Puis quand j’eus fini, trop tôt à mon goût. Ma tante attendit sagement que j’en finisse pour me tendre une serviette, que je pris en la remerciant de mon plus beau sourire.
Et là pour toute réponse je pris une gifle qui me brûla tout de suite la joue.
-Nettoie ta merde, et casse-toi, connard. Et soit encore heureux que je n’en parle pas à tes parents. Allez dégage !
-Mais !
-Mais quoi ?
-Si il y a quelqu’un derrière la porte ?
-Eh bien tu lui expliqueras que tu as voulu te donner du bon temps devant ta tante.
Tant mieux pour moi, il se trouvait que personne n’attendait derrière la porte. Je ne demandais pas mon reste pour rejoindre mon lit. Mais chose exceptionnelle je ne sentais aucune honte de ce que je venais de faire tout au contraire, j’en bandais même. Ne pouvant pas résister à me branler de nouveau en pensant à ma tante.
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