L'été était de plus en plus chaud...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'été était de plus en plus chaud...
J’avais assisté sans le vouloir à une dispute entre Christiane et son mari. Je décidais de me faufiler dans le couloir et d’écouter la dispute. Comme d’habitude mon oncle était torché. Ce qui faisait bien mon affaire, je le reconnais.
Le lendemain j’arrivais avant elle, j’étais assis le dos appuyé sur des bottes. Elle avait alors prise place à côté de moi. Je commençais déjà à avoir une érection, et elle me le fit remarquer.
-Tu es déjà dur.
Elle commença sans attendre à caresser ma queue.
-Tu aimes vraiment mes nichons.
-Oh oui tata !
-Tu ne sais peut-être pas mais ça longtemps qu’aucun homme ne les a admirés.
Je regardais ma tante et cette voix sombre, celle qui contrôlait mes hormones, prit le dessus sur ma bouche.
-J’adore vraiment tes nichons.
-Je veux t’entendre le redire.
-Tata Christiane je suis amoureu de tes beaux nichons.
En même temps que je disais ça, je tendais ma main vers elle et me saisis des seins de ma tante. Je pouvais sentir ses tétons durs derrière le textile de sa robe légère. Ma tante rougissait.
-Tu les adores vraiment ? Tu ne me joues pas ?
Alors qu’elle me parlait, elle déboutonnait une fois encore le haut de sa robe, dévoilant par ce geste ses seins, libre de tout soutien-gorge. Mon excitation me dicta de me mettre à genoux, et par la même occasion d’agripper ses nichons à pleines mains. Après les avoir bien malaxer, j’enroulai mes lèvres autour d’un de ses tétons durs et je commençais à le téter. J’entendis ma tante gémir. J’étais en joie, si excité aussi de pouvoir sucer les seins de ma tante préférée.
Au fil des secondes, elle devenait comme folle, gémissant de plus belle tout en parcourant ses mains sur mes cheveux. Inutile de vous préciser qu’elle ne s’opposa pas à aucun moment que je lui travaille ses seins avec sa bouche. Puis je sentis sa main saisir ma queue. Au début, elle se contenta seulement de la caresser. Mais alors que je suçais ses seins, elle commença à faire courir le gland sur son ventre, en la frottant sur elle.
-Oh oui, continu, suce mes seins. Ta queue est si bonne dans ma main, si dure, si chaude.
Je passais ma langue sur chacun des tétons durs. Ma tante me sourit tout en me branlant lentement. Cela ne m’empêchait pas d’arrivé jusqu’à l’orgasme. Un sperme tiède et collant qui giclait de partout. Je pouvais sentir ma tante courber ma verge vers elle alors qu’elle continuait à me branler.
-Continu de jouir, donne à ta tata préférée tout ton plaisir… J’avais l’impression que je jouissais pour toujours, alors que mon sperme jaillissait de mon bâton de chair sur sa main.
Ma tante était aux anges.
-boudou Alain, je n’avais jamais vu personne avant toi jouir autant. Écarte tes jambes !
Puis elle prit place entre elles en appuyant son dos contre ma poitrine. Elle se mit sur moi, attrapa ma queue et la plaça contre son dos. Elle regardait par-dessus son épaule et me sourit de nouveau. Elle se saisit de mes mains et les plaça sur ses seins. Je me mis à lui pétrir la poitrine, à la lui pincer et à lui tirer les tétons. Je remarquais qu’elle avait les mains entre ses jambes et qu’à en juger par le mouvement de ses bras et ses gémissements, elle se branlait devant moi.
Ma queue s’était soudainement durcie lorsqu’une pensée sombre jaillit dans ma tête.
-Tu sais tata, je e peux t’aider à te faire du bien ?
Il s’avérait que c’était ce qu’elle voulait entendre. Puisque tout de suite après, elle fit retirer mes mains de ses seins pour les pousser lentement mais surement vers la ceinture de sa culotte. Laissant mes doigts courir librement sur sa chatte. Elle gémissait de plus en plus fort, se frottant plus que jamais sur ma queue, devenue douloureuse. Intenable Christiane se mt à se tortiller sur mes jambes en gémissant. Je sentais sa mouillure tremper sa petite culotte. Son corps s’échauffa, la sueur coulait sur son dos alors qu’elle haletait sans retenue, gémissait en petits pleurs au moment où elle fut rattrapée par l’orgasme. Je n’étais pas peu fière d’être parvenu à faire jouir ma tante.
Comme une poupée de chifon, elle s’effondrait sur moi, les yeux clos, en respirant fort. Je retirais ma main de son entrejambe trempé pour la porter à ma bouche. Léchant sans honte la mouille de Christiane.
Elle me laissa encore jouer avec ma main quelques instants avant de me demander de la glisser de nouveau lentement sur son corps, mais aussi sous sa culotte. Ma queue suintait dans le dos de ma tante. Je profitais de son extase pour glisser ma main àl’intérieur de son sous-vêtement. J’étais euphorique d’avoir le plaisir de sentir enfin, les poils rêches du pubis de ma tante. Mais je ne m’arrêtais pas là, continuant ma consultation jusqu’à atteindre les lèvres humides de sa chatte.
Elle se laissa tripoter, en gémissant et en se frottant très lentement contre mon érection mais aussi sur ma main de nouveau.
-Ooh oui ! Est-ce que tu sens comme tu fais mouillée ma chatte ? Aimes-tu ma chatte, Alain ?
Je lui chuchotais un oui à son oreille. Elle gémissait sans honte.
-Je peux sentir aussi comme tu es dur. Fit-elle tout en gesticulant.
- Tu aimes que je me frotte contre toi ?
-Oh oui tata, continues… - Je suis sûr que tu vas jouir !
J’étais tellement excitée qu’elle aurait pu facilement me faire partir juste en se frottant. Puis elle tendait sa main derrière elle, en enroulant ses bras autour de ma tête.
-Embrasse-moi Alain. Lâcha-t-elle en se tordant la tête.
Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser interdit. Si passionné. Sa langue se jeta dans ma bouche. Elle lâcha ma tête alors que nous continuions à nous embrasser, pour les poser sur sa poitrine, jouant avec ses propres seins, les massant et se pinçant les tétons. Elle éloigna ses lèvres des miennes pour dire : -Je ne serais pas contre que tu me doigtes. Tu sais le faire, tu l’as déjà fait ?
-Je peux essayer.
-Oui essaye, je veux que tu me baises avec tes doigts.
Elle pencha sa tête en avant pour regarder ma main dans sa culotte en gémissant, alors que mes doigts à tâtons chercher l’ouverture du puits d’amour. Elle gémissait d’approbation alors que deux de mes doigts plongeaient dans ses entrailles.
-Je fais ça bien tata ?
-Bouge tes doigts à l’intérieur.
Je m’exécutais.
-Comme ça tata ?
-Oh oui… parfait… Elle m’embrassa à nouveau et me dit de sortir mes doigts de son antre, ce que je fis, croyant lui avoir fait mal. Mais j’avais tout faux, elle voulait seulement me voir goûter son jus. Que je fis avec empressement. Ma tante me regardait mettre mes doigts dans ma bouche. Son jus de chatte était délicieux. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà elle me força d’arrêter, pour mettre mes doigts dans sa bouche à elle, avant de les remmettres de nouveau dans sa chatte pour les retirer quelques mouvements plus tard pour les mettre dans sa bouche. En faisant cela, elle commençait à se doigter elle-même. Elle s’enfonçait à plusieurs reprises dans sa propre chatte pour les retirer par la suite pour me les offrir à les lécher.
Notre jeu érotique ne semblait plus finir, mes sombres désirs avaient atteint au niveau plus élevé. Je pris alors l’initiative de baiser la chatte de ma tante avec mes doigts jusqu’à ce qu’elle fut rattraper par un orgasme.
J’adorais la faire se tortiller, j’adorais aussi, l’écouter gémir comme j’adorais de même la regarder jouer avec ses propres seins. Je sentais sa chatte se resserrer quand elle fermait ses cuisses sur ma main. Je savais avant qu’elle ne commence à gémir qu’elle allait jouir.
-Plus vite chérie, plus vite ! M’interpelait-elle dans son extase. Baise ma chatte avec tes doigts ! Oh oui, c’est ça ! Fais jouir ta tata préférée !
C’était sale de l’entendre parler comme ça, mais j’adorai l’entendre. Plus elle criait à haute voix et plus je pouvais sentir sa chatte libérer sa douceur, enduisant mes doigts de son miel chaud d’amour. Quand elle se calma, je retirai mes doigts de sa chatte humide. Ma tante attrapait alors mon poignet et me força à le porter à la hauteur de nos bouches. Le message était parfaitement clair pour ma part, et je me mis à la lécher.
J’avais maintenant une rage sexuelle intense que ma tante pouvait voir. Elle prit place sur mes genoux. Ses tétons frôlaient les miens, ce qui était très agréable. J’émis même un joli gémissement. Elle commençait à glisser sur mon corps. La sensation de son corps en sueur qui glissait lentement le long de ma queue m’avait presque fait exploser. Elle commença à me lécher les tétons avant de les mordre légèrement, ça m’avait rendu comme fou.
-S’il te plaît tata, s’il te plaît, fais-moi jouir ! Je dois tellement jouir ! S’il te plaît tata !
Elle coula sur mon corps, je ne savais pas ce qu’elle avait en tête, si elle allait me branler, me faire une pipe. Je n’en avais aucune idée et je m’en fichais. Je regardais avec curiosité ma queue atteindre ses nichons, je la sentais glisser lentement entre ses nichons avant que le gland ne sorte d’entre eux. Elle vit le désir dans mes yeux et elle s’arrêtait une seconde puis commençait à frotter très lentement ses nichons sur ma queue.
Sans un mot elle me branla ma queue entre ses seins. Elle allait de haut en bas. Elle n’arrêtait pas de me regarder dans les yeux alors qu’elle travaillait ma queue de plus en plus vite entre ses nichons. Ses mamelons frôlaient légèrement mon corps et mes poils pubiens, ce qui ajoutait encore à l’intensité du plaisir.
Soudain je sentis sa langue agaçait mon gland. Elle me jeta un regard très sexy et séduisant, puis elle se remit à branler ma queue avec ses nichons. Je n’avais pas durer longtemps, car ma jouissance prit le dessus sur mon corps. En gémissant, mon sperme chaud commençait à se déverser de ma queue. Ma tante s’était rapidement mise en équilibre d’une main et utilisa l’autre pour maintenir ma queue pressée entre ses seins. Tout en continuant à me branler.
Du sperme jaillit de mon gland, souillant mon ventre. Il y en avait partout, entre ses seins, sur sa main et sur toute ma queue. Je profitais de chaque spasme. Une fois la dernière goutte sortit, ma tante lâcha ma queue. Ce faisant mon allait taper contre mon ventre. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle se frictionna la poitrine avec mon sperme. Le faisant pénétrer dans ses pores comme si c’était une lotion.
Comme si elle avait été commandée par je ne sais qui, elle abaissa sa culotte, se laissant aller en arrière sur la paille, les fesses juste au bord, les genoux repliés hauts, exhibant par cette pose les poils noirs qui recouvraient sa fente. À genoux, je tendis mon cou vers sa chatte. L’odeur qui s’en dégageait me procura un long frisson.
Avec un plaisir certain, elle écarta les poils, exhiba aussi son trou du cul.
-Cela dit au vilain neveu d’y fourrer sa langue.
Sans prendre la peine de répondre, j’abaissais ma bouche jusqu’à son sexe, mais elle m’arrêta dans mon élan.
-Vilain, il faut répondre à sa tata ?
-Oui tata, j’ai envi de mettre ma langue.
-Et où ça le vilain neveu veut mettre sa langue ?
-Dans… dans, bafouillais-je d’excitation, dans ta… enfin tu vois.
-Je veux entendre sortir de la bouche du vilain neveu, où il veut fourrer sa langue cochonne.
-Dans ta chatte tata, me meurs d’envie de te bouffer ta chatte.
Et je me mis à lécher son intimité odorant. Je faisais frétiller la pointe de ma langue à l’intérieur. Je l’entendais gémir, ce qui m’encourager à prolonger ma caresse buccale. J’avais aussi exploré son anus. Heureux de pouvoir y passer ma langue. De recueillir des arômes amers. Puis je lui tétai le clitoris. Jamais je n’avais vue ma tante aussi enjouée. Au moment de son orgasme, elle enfonça ses ongles sur mon crane et des cris de souris s’échappa de sa bouche entrouverte.
Ensuite, elle exigea de ma part que cela reste secret entre elle et moi.
Seul couché sur le dos sur la paille, je me branlais en pensant à la scène qui s’était déroulé entre ma tante et moi.
Le lendemain j’arrivais avant elle, j’étais assis le dos appuyé sur des bottes. Elle avait alors prise place à côté de moi. Je commençais déjà à avoir une érection, et elle me le fit remarquer.
-Tu es déjà dur.
Elle commença sans attendre à caresser ma queue.
-Tu aimes vraiment mes nichons.
-Oh oui tata !
-Tu ne sais peut-être pas mais ça longtemps qu’aucun homme ne les a admirés.
Je regardais ma tante et cette voix sombre, celle qui contrôlait mes hormones, prit le dessus sur ma bouche.
-J’adore vraiment tes nichons.
-Je veux t’entendre le redire.
-Tata Christiane je suis amoureu de tes beaux nichons.
En même temps que je disais ça, je tendais ma main vers elle et me saisis des seins de ma tante. Je pouvais sentir ses tétons durs derrière le textile de sa robe légère. Ma tante rougissait.
-Tu les adores vraiment ? Tu ne me joues pas ?
Alors qu’elle me parlait, elle déboutonnait une fois encore le haut de sa robe, dévoilant par ce geste ses seins, libre de tout soutien-gorge. Mon excitation me dicta de me mettre à genoux, et par la même occasion d’agripper ses nichons à pleines mains. Après les avoir bien malaxer, j’enroulai mes lèvres autour d’un de ses tétons durs et je commençais à le téter. J’entendis ma tante gémir. J’étais en joie, si excité aussi de pouvoir sucer les seins de ma tante préférée.
Au fil des secondes, elle devenait comme folle, gémissant de plus belle tout en parcourant ses mains sur mes cheveux. Inutile de vous préciser qu’elle ne s’opposa pas à aucun moment que je lui travaille ses seins avec sa bouche. Puis je sentis sa main saisir ma queue. Au début, elle se contenta seulement de la caresser. Mais alors que je suçais ses seins, elle commença à faire courir le gland sur son ventre, en la frottant sur elle.
-Oh oui, continu, suce mes seins. Ta queue est si bonne dans ma main, si dure, si chaude.
Je passais ma langue sur chacun des tétons durs. Ma tante me sourit tout en me branlant lentement. Cela ne m’empêchait pas d’arrivé jusqu’à l’orgasme. Un sperme tiède et collant qui giclait de partout. Je pouvais sentir ma tante courber ma verge vers elle alors qu’elle continuait à me branler.
-Continu de jouir, donne à ta tata préférée tout ton plaisir… J’avais l’impression que je jouissais pour toujours, alors que mon sperme jaillissait de mon bâton de chair sur sa main.
Ma tante était aux anges.
-boudou Alain, je n’avais jamais vu personne avant toi jouir autant. Écarte tes jambes !
Puis elle prit place entre elles en appuyant son dos contre ma poitrine. Elle se mit sur moi, attrapa ma queue et la plaça contre son dos. Elle regardait par-dessus son épaule et me sourit de nouveau. Elle se saisit de mes mains et les plaça sur ses seins. Je me mis à lui pétrir la poitrine, à la lui pincer et à lui tirer les tétons. Je remarquais qu’elle avait les mains entre ses jambes et qu’à en juger par le mouvement de ses bras et ses gémissements, elle se branlait devant moi.
Ma queue s’était soudainement durcie lorsqu’une pensée sombre jaillit dans ma tête.
-Tu sais tata, je e peux t’aider à te faire du bien ?
Il s’avérait que c’était ce qu’elle voulait entendre. Puisque tout de suite après, elle fit retirer mes mains de ses seins pour les pousser lentement mais surement vers la ceinture de sa culotte. Laissant mes doigts courir librement sur sa chatte. Elle gémissait de plus en plus fort, se frottant plus que jamais sur ma queue, devenue douloureuse. Intenable Christiane se mt à se tortiller sur mes jambes en gémissant. Je sentais sa mouillure tremper sa petite culotte. Son corps s’échauffa, la sueur coulait sur son dos alors qu’elle haletait sans retenue, gémissait en petits pleurs au moment où elle fut rattrapée par l’orgasme. Je n’étais pas peu fière d’être parvenu à faire jouir ma tante.
Comme une poupée de chifon, elle s’effondrait sur moi, les yeux clos, en respirant fort. Je retirais ma main de son entrejambe trempé pour la porter à ma bouche. Léchant sans honte la mouille de Christiane.
Elle me laissa encore jouer avec ma main quelques instants avant de me demander de la glisser de nouveau lentement sur son corps, mais aussi sous sa culotte. Ma queue suintait dans le dos de ma tante. Je profitais de son extase pour glisser ma main àl’intérieur de son sous-vêtement. J’étais euphorique d’avoir le plaisir de sentir enfin, les poils rêches du pubis de ma tante. Mais je ne m’arrêtais pas là, continuant ma consultation jusqu’à atteindre les lèvres humides de sa chatte.
Elle se laissa tripoter, en gémissant et en se frottant très lentement contre mon érection mais aussi sur ma main de nouveau.
-Ooh oui ! Est-ce que tu sens comme tu fais mouillée ma chatte ? Aimes-tu ma chatte, Alain ?
Je lui chuchotais un oui à son oreille. Elle gémissait sans honte.
-Je peux sentir aussi comme tu es dur. Fit-elle tout en gesticulant.
- Tu aimes que je me frotte contre toi ?
-Oh oui tata, continues… - Je suis sûr que tu vas jouir !
J’étais tellement excitée qu’elle aurait pu facilement me faire partir juste en se frottant. Puis elle tendait sa main derrière elle, en enroulant ses bras autour de ma tête.
-Embrasse-moi Alain. Lâcha-t-elle en se tordant la tête.
Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser interdit. Si passionné. Sa langue se jeta dans ma bouche. Elle lâcha ma tête alors que nous continuions à nous embrasser, pour les poser sur sa poitrine, jouant avec ses propres seins, les massant et se pinçant les tétons. Elle éloigna ses lèvres des miennes pour dire : -Je ne serais pas contre que tu me doigtes. Tu sais le faire, tu l’as déjà fait ?
-Je peux essayer.
-Oui essaye, je veux que tu me baises avec tes doigts.
Elle pencha sa tête en avant pour regarder ma main dans sa culotte en gémissant, alors que mes doigts à tâtons chercher l’ouverture du puits d’amour. Elle gémissait d’approbation alors que deux de mes doigts plongeaient dans ses entrailles.
-Je fais ça bien tata ?
-Bouge tes doigts à l’intérieur.
Je m’exécutais.
-Comme ça tata ?
-Oh oui… parfait… Elle m’embrassa à nouveau et me dit de sortir mes doigts de son antre, ce que je fis, croyant lui avoir fait mal. Mais j’avais tout faux, elle voulait seulement me voir goûter son jus. Que je fis avec empressement. Ma tante me regardait mettre mes doigts dans ma bouche. Son jus de chatte était délicieux. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà elle me força d’arrêter, pour mettre mes doigts dans sa bouche à elle, avant de les remmettres de nouveau dans sa chatte pour les retirer quelques mouvements plus tard pour les mettre dans sa bouche. En faisant cela, elle commençait à se doigter elle-même. Elle s’enfonçait à plusieurs reprises dans sa propre chatte pour les retirer par la suite pour me les offrir à les lécher.
Notre jeu érotique ne semblait plus finir, mes sombres désirs avaient atteint au niveau plus élevé. Je pris alors l’initiative de baiser la chatte de ma tante avec mes doigts jusqu’à ce qu’elle fut rattraper par un orgasme.
J’adorais la faire se tortiller, j’adorais aussi, l’écouter gémir comme j’adorais de même la regarder jouer avec ses propres seins. Je sentais sa chatte se resserrer quand elle fermait ses cuisses sur ma main. Je savais avant qu’elle ne commence à gémir qu’elle allait jouir.
-Plus vite chérie, plus vite ! M’interpelait-elle dans son extase. Baise ma chatte avec tes doigts ! Oh oui, c’est ça ! Fais jouir ta tata préférée !
C’était sale de l’entendre parler comme ça, mais j’adorai l’entendre. Plus elle criait à haute voix et plus je pouvais sentir sa chatte libérer sa douceur, enduisant mes doigts de son miel chaud d’amour. Quand elle se calma, je retirai mes doigts de sa chatte humide. Ma tante attrapait alors mon poignet et me força à le porter à la hauteur de nos bouches. Le message était parfaitement clair pour ma part, et je me mis à la lécher.
J’avais maintenant une rage sexuelle intense que ma tante pouvait voir. Elle prit place sur mes genoux. Ses tétons frôlaient les miens, ce qui était très agréable. J’émis même un joli gémissement. Elle commençait à glisser sur mon corps. La sensation de son corps en sueur qui glissait lentement le long de ma queue m’avait presque fait exploser. Elle commença à me lécher les tétons avant de les mordre légèrement, ça m’avait rendu comme fou.
-S’il te plaît tata, s’il te plaît, fais-moi jouir ! Je dois tellement jouir ! S’il te plaît tata !
Elle coula sur mon corps, je ne savais pas ce qu’elle avait en tête, si elle allait me branler, me faire une pipe. Je n’en avais aucune idée et je m’en fichais. Je regardais avec curiosité ma queue atteindre ses nichons, je la sentais glisser lentement entre ses nichons avant que le gland ne sorte d’entre eux. Elle vit le désir dans mes yeux et elle s’arrêtait une seconde puis commençait à frotter très lentement ses nichons sur ma queue.
Sans un mot elle me branla ma queue entre ses seins. Elle allait de haut en bas. Elle n’arrêtait pas de me regarder dans les yeux alors qu’elle travaillait ma queue de plus en plus vite entre ses nichons. Ses mamelons frôlaient légèrement mon corps et mes poils pubiens, ce qui ajoutait encore à l’intensité du plaisir.
Soudain je sentis sa langue agaçait mon gland. Elle me jeta un regard très sexy et séduisant, puis elle se remit à branler ma queue avec ses nichons. Je n’avais pas durer longtemps, car ma jouissance prit le dessus sur mon corps. En gémissant, mon sperme chaud commençait à se déverser de ma queue. Ma tante s’était rapidement mise en équilibre d’une main et utilisa l’autre pour maintenir ma queue pressée entre ses seins. Tout en continuant à me branler.
Du sperme jaillit de mon gland, souillant mon ventre. Il y en avait partout, entre ses seins, sur sa main et sur toute ma queue. Je profitais de chaque spasme. Une fois la dernière goutte sortit, ma tante lâcha ma queue. Ce faisant mon allait taper contre mon ventre. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle se frictionna la poitrine avec mon sperme. Le faisant pénétrer dans ses pores comme si c’était une lotion.
Comme si elle avait été commandée par je ne sais qui, elle abaissa sa culotte, se laissant aller en arrière sur la paille, les fesses juste au bord, les genoux repliés hauts, exhibant par cette pose les poils noirs qui recouvraient sa fente. À genoux, je tendis mon cou vers sa chatte. L’odeur qui s’en dégageait me procura un long frisson.
Avec un plaisir certain, elle écarta les poils, exhiba aussi son trou du cul.
-Cela dit au vilain neveu d’y fourrer sa langue.
Sans prendre la peine de répondre, j’abaissais ma bouche jusqu’à son sexe, mais elle m’arrêta dans mon élan.
-Vilain, il faut répondre à sa tata ?
-Oui tata, j’ai envi de mettre ma langue.
-Et où ça le vilain neveu veut mettre sa langue ?
-Dans… dans, bafouillais-je d’excitation, dans ta… enfin tu vois.
-Je veux entendre sortir de la bouche du vilain neveu, où il veut fourrer sa langue cochonne.
-Dans ta chatte tata, me meurs d’envie de te bouffer ta chatte.
Et je me mis à lécher son intimité odorant. Je faisais frétiller la pointe de ma langue à l’intérieur. Je l’entendais gémir, ce qui m’encourager à prolonger ma caresse buccale. J’avais aussi exploré son anus. Heureux de pouvoir y passer ma langue. De recueillir des arômes amers. Puis je lui tétai le clitoris. Jamais je n’avais vue ma tante aussi enjouée. Au moment de son orgasme, elle enfonça ses ongles sur mon crane et des cris de souris s’échappa de sa bouche entrouverte.
Ensuite, elle exigea de ma part que cela reste secret entre elle et moi.
Seul couché sur le dos sur la paille, je me branlais en pensant à la scène qui s’était déroulé entre ma tante et moi.
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